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Tiffany, l'allumeuse

Chapitre 2

Hétéro
Le lendemain matin, Tiffany n’est pas là. Toute la journée, je guette, je scrute la salle de cours, espérant l’apercevoir. Je sais qu’il ne faut pas, que ce n’est que du mal que je me fais. Cette fille joue, et je suis son jouet, mais jamais elle ne me laissera vivre un moment d’intimité en sa compagnie.
Le soir, je m’apprête à prendre le bus, mais il ne vient pas.Mon portable sonne, je décroche machinalement, sans y prêter attention, habitué aux coups de fil de ma mère à la sortie des cours.
-Quoi Maman?!-Allô? Oulà, tu débloques je crois. Tu es cinglé au point de me prendre pour ta mère? -TIFFANY ??? Quoi? mais... non... je... enfin... voilà... -Pas la peine de m’expliquer, je veux pas savoir ce qui traverse ton esprit, petit cinglé. Alex, j’étais malade ce matin, et j’ai dormi tout l’aprem’, ma mère a fait irruption à la maison avec son mec et a pété son câble, donc je suis privée d’argent de poche tant que j’ai pas rattrapé les cours du jour. Et Elisa est pas foutue de décrocher... Je suis sûr que tu es aux anges de savoir que tu dois venir chez moi pour me les apporter.-Mais... Je... Tiffany, je peux pas !...-Mais si tu peux, à toute !
Elle habite à plus d’une heure de métro de chez moi, à l’opposé par rapport au lycée. Mais j’ai trop fantasmé sur elle hier dans mon lit pour laisser passer une telle occasion... J’hésite, ma mère ne m’a pas appelé, elle rentre certainement tard. Oh, et puis zut. Je descend à l’arrêt de métro, met mes écouteurs, et m’assoupi légèrement. Lorsque j’arrive à son arrêt, je me rend compte que je n’ai aucune idée exacte de là où elle habite. J’hésite à l’appeler, je n’ose pas. Je cherche pendant une heure, la nuit tombe, et je ne fais que cumuler les allées et venues. Mon téléphone vibre, je regarde l’écran : -APPEL ENTRANT : TIFFANY-
Je décroche rapidement.-Mais qu’est-ce que tu fous? Tu devrais déjà être là, ça fait une heure que je t’attend ! -Euh, tu habites où exactement?-Tu sais que tu es vraiment un bouffon? Tu aurais pu m’appeler pour me demander plutôt que de me faire poiroter ! -Désolé...
Elle m’indique l’adresse, et je me rend compte que je suis en bas de l’immeuble. Je raccroche, attend 5 minutes et sonne. Le grésillement de la porte de l’immeuble se fait entendre, je la pousse et prend une profonde inspiration. Je gravis les marches une à une, une boule dans mon ventre bloque mes mouvements. Tiffany me prend pour son soumis, et je déteste ça. Mais elle est trop parfaite pour que je résiste...

Je sonne à sa porte, j’attends. 10 secondes... 30 secondes... 1 minute... Je sonne à nouveau. Même cinéma... J’attend 5 minutes devant la porte. Je sonne à nouveau, et la porte s’ouvre d’un coup sec.
Je ne sais plus quoi dire..Elle est là, devant moi, un sourire malicieux sur les lèvres, en regardant mon air béat. Mais surtout, elle est vêtue d’un peignoir type japonais, d’un tissu blanc très fin, et à moitié transparent. Et dessous, elle est entièrement nue. Je peux discerner facilement son épilation pubienne, en ticket de métro, ainsi que ses tétons d’un rose bonbon sublime, qui ornent ses seins magnifiquement dessinés. Je les voyait assez gros, mais ils sont juste parfaits, ni trop gros, ni trop petits.
Elle s’avance vers moi. Instinctivement, je recule, mais elle continue, et m’accule sur la porte de ses voisins, sans même m’avoir touché. Son regard, sa bouche légèrement entre ouverte, c’est le plus beau visage d’allumeuse qu’elle n’ai jamais fait.
Elle dépose un baiser dans mon coup et me chuchote à l’oreille : "C’est vraiment adorable de venir me voir.. de ton plein gré... si rapidement..." Son ton n’est pas ironique, on dirait qu’elle pense réellement ce qu’elle dit. Sa voix, elle a cette douceur qui fait frémir, et qui hérisse les poils d’excitation. Elle est très féminine, très douce, mais également assurée, et légèrement bête, juste ce qu’il faut pour qu’elle joue à la perfection l’allumeuse idiote, mais en aucun cas énervante.
Elle se retourne, et adopte son déhanché auquel je succombe. Mon pénis se met au garde à vous d’un coup sec. Ses fesses sont sublimes. Là, je peux les voir comme si elle était nue. Elles sont parfaitement rondes, et le pli entre la cuisse et la fesse, ce que j’adore, est impeccablement dessiné de chaque côté.
Elle s’appuie contre la porte, et tourne légèrement la tête vers moi, levant lentement sa main, et me faisant le signe de venir avec ses doigts fins et gracieux.
J’avance, fébrile, mon cœur bat à toute allure, je rentre. Ça sent l’odeur de son parfum, la fleur, la fleur délicate, féminine. Je ne tiens plus, j’ai l’impression que je vais m’évanouir tant je suis excité. Je la suis, et on rentre dans sa chambre.
Elle est impeccablement rangée, l’odeur y est encore plus forte, j’ai l’impression qu’un brouillard rose flotte dans la pièce. Sur une chaise, il y a une tenue de soubrette très sexy, bien en évidence. Je vacille, elle m’attrape la main et me tire vers son lit, me faisant m’allonger. Elle pose sa main sur ma joue, son visage est au dessus de moi...
C’est un rêve. Mon réveil va sonner. Je ferme les yeux, et je sens deux lèvres douces se poser sur mon front. Je rouvre les yeux. Tiffany me regarde : -Tu es souffrant peut-être... Tu m’as l’air très tendu... Je finis par me redresser.-Non ! Ça ira ! J’attrape mon sac pour lui donner les cours, elle retient ma main.
-Je ne t’ai pas fait venir pour ça... Je m’en fiche.. Mais voilà, j’avais envie de chauffer quelqu’un... Un seul jour sans le faire, et ça me manque. Et j’ai une faveur à te demander...
-Je....Ne sais plus quoi dire. Mon cœur va exploser, j’ai l’impression d’avoir déjà éjaculer, et mon sexe est pourtant dur comme jamais.
Elle s’allonge sur un large fauteuil de sa chambre, face à moi, et replie une jambe, qu’elle pose sur le bord de l’assise, puis fait de même avec l’autre. Elle ouvre ensuite le bas du peignoir, et me fait signe du doigt d’approcher.
-Ça fait quelque mois qu’aucun n’homme ne m’a donné du plaisir.. Fais-moi un cunnilingus Alexandre.. Juste ça, je suis en manque en ce moment. Je sais que tu rêves de ça. Toi, tu n’auras rien, mais ça te fera ta branlette du soir pendant 10 ans, j’en suis certaine.
Je ne résiste pas. De toutes façons, je ne me contrôle même plus. Je me lève, me met à genoux, et avance jusqu’à elle, mes yeux ne quittant pas sa fente rose et parfaite.Entre ses cuisses, je passe délicatement mon doigt sur son clitoris, descendant lentement entre ses lèvres. C’est humide, et brûlant. Je reçois une claque sur la main.-Il n’y a que ta langue qui a le droit de toucher !
Alors, j’approche mon visage, et dépose un baiser sur le petit carré de poils qui décore son pubis. Je n’aime pas ça, mais ici, l’épilation est parfaite. Je sors ma langue, et en passe le bout sur son clitoris. Elle gémit, et mon érection va exploser.Je commence à lécher entre ses lèvres vaginales, remontant jusqu’au clitoris, allant et venant. Tiffany pousse des soupirs fréquents, de plus en plus intenses, qui se transforment en petits cris lorsque je tête son clitoris. Puis je descend doucement ma langue, et appuie sur l’entrée de son vagin. Ma langue la pénètre, je n’aime pas la cyprine, mais la sienne ne fait qu’une avec ma salive tant son goût est agréable. Je vais et viens dans son intimité, sans me relâcher une seule seconde, sauf parfois pour lécher son clitoris demandeur. Elle caresse mes cheveux, ma joue.. et surtout, elle est entrain de jouir, pour la deuxième fois je crois.. Le temps s’est arrêté... Ma langue tourne, mes lèvres pincent délicatement son bouton, je met la tête en biais pour le tenir dans ma bouche tout en la léchant entre les lèvres. Un autre orgasme vient, et cette fois-ci, lorsqu’il se termine, elle me repousse.
-Tu peux rentrer chez toi.Je la regarde, effaré, refermer son peignoir, se lever, et prendre son portable, puis lever la tête.
-Au revoir !
Horriblement déçut, je tourne les talons, et sort sans demander mon reste. Une fois dehors, les larmes coulent toutes seules. Cette fille ne mérite pas d’être aimée, et pourtant, je ne peux pas penser à autre chose qu’à elle. Durant tout le trajet, j’ai son visage, son odeur et son goût qui torturent mon esprit. Lorsque je rentre chez moi, il est 22 heures, et ma mère n’est toujours pas là. Je me met au lit, et regarde mon portable une dernière fois :
-1 NOUVEAU MESSAGE-Tiffany : Merci... Fais de beaux rêves..

À suivre...
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