"La fessée" : Je l’attends...Chambre 69 a-t-il dit. Mon c½ur bat la chamade, inconsciemment je m’impatiente. J’ajuste sur mes yeux le foulard noir qu’il m’a demandé de mettre pour l’attendre. Lumière éteinte, rideaux tirés et volets clos, je suis assise sur le bord du lit. Nerveusement je lisse ma courte jupe, recréant mentalement mon parcours jusqu’à cette chambre obscure. Tout d’abord, un e-mail me fixant l’heure, le lieu du rendez-vous et quelques consignes : « Tu auras bandé tes yeux et fait l’obscurité complète dans la chambre 69 que j’aurai réservée à ton nom ». Puis je repense au regard des hommes dans la rue sur mes jambes dénudées. A chaque fois, j’avais baissé les yeux, comme s’ils risquaient de lire en moi, de deviner. Enfin, le clin d’½il de l’employé de l’hôtel qui m’a tendu les clés de la chambre en louchant sur la pointe de mes seins sous mon chemisier moulant. Et je suis là désormais, le c½ur battant. Je croise les jambes comme pour mieux cacher le mélange de désir et d’anxiété que j’éprouve, mon sexe tendu mouille déjà. Viendra-t-il ? Sera-t-il seul ? Suis-je naïve, inconsciente ou complètement folle d’avoir accepté un tel rendez-vous ? La porte s’ouvre sans que l’on frappe. Mon sang se glace aussitôt, je retiens mon souffle et serre plus fort les cuisses l’une contre l’autre.
A ce moment précis, mais trop tard, je me dit que je n’aurais jamais dû accepter ce petit jeu ! Mon c½ur s’emballe de plus belle. Des pas, une présence, sans un mot l’homme m’attrape le menton d’une main, relève ma tête et m’embrasse à pleine bouche. Les choses se bousculent dans ma tête, mais je m’abandonne à son étreinte, goûtant au plaisir de lui offrir ma langue à mon tour. Penché sur moi, l’homme me fait lever tout en m’embrassant. -« As-tu été sage ? » Surprise, je ne sais trop quoi répondre.Il pose à nouveau la question, je murmura un « oui » timide. Relevant ma jupe d’un geste, il m’ordonne d’enlever ma culotte. Fébrilement je m’exécute, faisant glisser le fin tissu de dentelle sur mes chevilles. Il pose une main sur mon sexe et glisse de l’autre un doigt dans ma raie. Je me liquéfie, je sent mon sexe trempé et ma rosette s’ouvrir comme une fleur. -« Tu n’as pas été sage petite vicieuse ! Qu’est-ce que c’est que ça ? » Il porte sa main couverte de mouille sous mon nez, je sent l’odeur de mon sexe sur les doigts de l’homme... Et je sais parfaitement ce qu’il fait aux petites cochonnes qui mouillent en pensant aux hommes. Il me pousse vigoureusement sur le lit, me retourne sans ménagement et m’ôte complètement la culotte restée accrochée à l’une de mes chevilles. D’un claquement sec, l’homme fait tomber sa main sur mes fesses me faisant pousser un petit cri, surprise. Puis un nouveau claquement, plus fort. Je serre les dents pour étouffer mes cris. La fesse droite, puis la gauche, puis la droite à nouveau, la gauche, encore et encore, jusqu’à ce qu’il s’arrête. Immobile malgré mes spasmes, les fesses contractées par la douleur, je rumine ma honte en gémissant. -« Écarte tes fesses ! » Au comble de l’émotion, les yeux toujours cachés par mon foulard, j’écarte un peu mes globes de chair endoloris. -« Plus que ça petite vicieuse ! Je veux respirer ton cul après ça ! » Honteuse, je m’exécute immédiatement. Je sent aussitôt le visage de l’homme s’approcher de ma croupe, l’entend humer mon intimité, longuement. Les lèvres de l’homme déposent alors des baisers brûlants sur mes fesses, puis sa langue vient goûter mon petit trou avec douceur et passion, l’emplissant de sa salive. Trêve de courte durée …L’homme se redresse et j’entends glisser son pantalon à terre. -« Reste comme ça et écarte bien ! Ouvre moi ton cul ! » Je sent un membre énorme se présenter à l’entrée de mon canal intime, l’homme pousse doucement jusqu’à ce que son gland soit rentré, puis s’engouffre d’un coup jusqu’à la garde, me remplissant jusqu’au plus profond des entrailles, m’arrachant un cri plus strident que les précédents où se mêlent douleur et plaisir honteux de s’offrir ainsi. Me labourant les reins avec détermination et sans ménagement, l’homme s’agrippe aux hanches de sa soumise pour me pénétrer encore plus profondément. Je mords carrément le dessus de lit pour étouffer mes cris et ne pas ameuter tout le quartier ! Après un long moment de ce traitement vigoureux, l’homme se retire pour se répandre sur mes reins en de longs jets de sperme chaud. Au contact de cette semence divine sur mes fesses meurtries, je suis prise d’un orgasme incontrôlé et tout mon corps se tend avant de retomber inerte sur le lit. L’homme remonte vers mon visage et m’embrasse à pleine bouche pour partager avec moi ce moment d’extase. -« Tu devras être sage la prochaine fois petite garce » Me murmure-t-il à l’oreille. Comme hypnotisée, je m’entends lui répondre d’une toute petite voix : -« Je serai sage, je vous le promets ». Quelques instants ... comme si le temps était suspendu, puis j’entends l’homme refermer la porte de la chambre derrière lui et ses pas s’éloigner dans le couloir de l’hôtel. Plusieurs minutes s’écoulent avant que les battements de mon c½ur ne s’apaisent et que les braises sur mes fesses ne se dissipent. Je retire mon foulard et cligne des yeux dans l’obscurité. Je glisse ma main vers mon sexe, me caresse jusqu’à la jouissance en essayant de m’imaginer l’homme, puis m’endors sur le lit, repue. Fin. 1ère histoire d’une longue série si celle-ci vous plait ;)N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires ou critiques afin d’améliorer mes récitsTina
