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Titia

Chapitre 1

Trash
On était en plein été et j’essayais la robe que je venais d’acheter après avoir fait du shopping cette après-midi. Pour fêter mes dix-huit ans, je sortais en boîte pour la première fois ce soir, avec quelques amis et mon copain, Paul, vingt ans, avec qui j’étais depuis plus de deux ans maintenant, dont j’étais toujours éperdument amoureuse. Je regardai comment elle m’allait encore une fois dans le miroir, c’était une petite robe en soie rose pas trop moulante mais plutôt courte, très courte même, mais je savais que cela plairait a Paul, car il me disait souvent que certaines robes m’iraient bien quand on faisait les magasins alors que moi, je les trouvai trop vulgaires. Mais cette fois, je voulais lui faire plaisir avec une robe qui me met en valeur, car je me trouvai un peu grosse même si mon mec et d’autres me disaient que j’avais un corps de rêve ou que j’étais simplement pulpeuse, bien que j’avoue que jetai assez contente de mon visage d’ange et de mes cheveux noirs, surtout de mes yeux gris. Il était encore trop tôt pour m’habiller, je ne faisais qu’essayer ma nouvelle robe, devant encore aller prendre une douche et me remaquiller. Non seulement, je trouvais la robe beaucoup trop courte pour mon mètre soixante-cinq, m’arrivant tout juste au ras des fesses, mais le col bénitier était si ouvert et plongeant que si je me penchais qu’un peu, je pouvais facilement voir mes nichons sans problème, mais comme je porterai un soutien-gorge pour la soirée contrairement à maintenant, je me disais que ce ne sera pas si vulgaire, bien que le dos fût aussi très échancré. Étant une fille très sage et timide et n’étant jamais allé en boîte jusque-là, avec en plus des parents très stricts niveau vêtements, je n’avais jamais eu ou porter ce genre de robe, mais ce soir, je voulais que ce soit une soirée un peu spéciale, même si je savais que mes parents, surtout mon père, seraient furieux et pas contents quand ils me verront dans cette tenue, m’ayant déjà grondé pour moins que ça. Mais moi, j’étais satisfaite de ma robe. J’allais l’enlever pour sauter sous la douche quand j’entendis sonner à la porte.
J’allai voir et regardai a travers le judas pour voir 2 hommes assez vieux en tenue de travail, un noir et un beurre. Je me rappelai alors que mon papa avait dit que le plombier passerait vers seize heures pour réparer le tuyau de l’évier, après avoir fait un devis la semaine dernière. Mais comme il était encore quinze heures, ni mon père ni ma mère n’étaient encore là et ne voulant pas ouvrir dans cette tenue, je demandai a travers la porte, ’C’est pour quoi s’il vous plaît ?’
’C’est le plombier pour réparer l’évier, je suis passé la semaine dernière.’
’Mes parents ne sont pas encore rentrés, pouvez-vous repasser plus tard s’il vous plaît ?’
’Vos parents rentrent à quelle heure ?’ Entendis-je avec un fort accent.
’Vers seize heures.’
’Nous pouvons commencer à travailler en les attendants ?’ Demanda l’un d’eux.
Je décidai de leur ouvrir la porte, mais en tenant bien haut le col de ma robe avec une main.
’Bonjour, on peut commencer à réparer en les attendants ?’
’Bonjour, oui, entrez’, je m’avançai pour qu’ils entrent et fermai la porte. Ils s’étaient retournés pour m’attendre et en passant devant eux pour les diriger à la cuisine, je sentis leurs regards sur moi et mon dos nu. J’étais vraiment embêtée et gênée, mais je me disais que mes parents n’allaient pas tarder, ils rentrent vers quinze heures trente la plupart du temps.
Cinq minutes après, ils étaient accroupis sous l’évier en train de réparer et parlaient a voix basse tandis que moi, j’étais sur mon téléphone, assise près de la table, croisant les jambes et jetant de temps à autre un coup d’œil sur eux.
’Pouvez-vous nous donner un coup de main ? ’, me demanda l’arabe en se retournant.
Je fus très surprise de cette demande, d’abord parce qu’ils étaient déjà deux et ensuite, je ne voyais vraiment pas en quoi je pouvais les aider. Je fus encore plus prise au dépourvu quand le black me dit, ’il faut que vous veniez voir mademoiselle’.
’Mais je ne peux pas, je vais salir ma robe ! ’, dis-je avec un ton énervé.
’Ne vous inquiéter pas, je vous promets que non’
Je posai mon portable pour m’approcher d’eux et me penchai pour voir ce qu’ils voulaient, mais le monsieur me dit, ’On a besoin que vous teniez le tuyau, il faudra vous accroupir aussi’.
Je le regardai un moment en fronçant les sourcils avec un air agacé, mais étant très gentille de nature, je finis par me mettre à genoux à côté du rebeu. ’Mettez-vous par ici, c’est mieux’, dit le noir en montrant la place entre lui et son collègue. Je me plaçai alors entre les deux pour voir de quel tuyau il parlait, mais quand il me le montra et que je le tins, je ne vis vraiment pas pourquoi je devais tenir ce putain de tuyau ou pourquoi ça devait être moi quand l’un d’eux pouvait facilement le faire. Je commençais vraiment à m’énerver cette fois, car j’avais l’impression qu’ils me prenaient pour une conne. En plus, les deux avaient une odeur pas possible de transpiration avec leurs visages à quelques centimètres du mien, j’avais presque la nausée en sentant tout ça, même si je ne dis rien.
Je ne pouvais même plus tenir le col de ma robe dorénavant et je savais que, dans la position où j’étais, mes seins étaient clairement visibles et presque à l’air sans soutif, ils n’auraient eu qu’a jeter un œil sur leurs côtés pour tout voir. Je commençais à me demander s’ils avaient vraiment besoin de mon aide. À ce moment, j’aurai pu me lever pour leur dire que j’en avais assez fait, mais voulant rester polie et serviable, je restai sur mes genoux, me disant que ça ne durerait pas bien longtemps. J’avais aussi ma robe qui ne couvrait maintenant qu’une partie de mes fesses et dans ma position quelqu’un se tenant derrière verrait mon string et la moitie de mon cul, mais vu qu’eux ne voyaient rien et il n’y avait personne d’autre, cela ne me gênait pas plus que ça.
Soudain, le beurre se leva en disant ’je vais chercher une plus grosse clé’ et je faillis me lever en même temps, mais je n’en fis rien, au contraire, je me cambrai un peu plus pour que ma robe remonte encore plus, tout en me disant à l’intérieur, ’t’es une sacrée petite allumeuse Laytiss’ et sentant une excitation inconnue et nouvelle monter en moi. Cette chaleur qui m’envahissait rien qu’en les allumant était une nouvelle sensation pour moi. Je chauffais des fois mon mec, mais c’était différent, je le faisais parce que je l’aimais et que j’avais besoin de câlin ou qu’il ait envie de moi, et évidemment, ça finissait toujours au lit, mais là, je ne comptais rien faire avec ces hommes, car ils étaient loin de me plaire, n’étaient pas de mon âge et étaient loin d’être attirants avec leurs bedaines et leurs cheveux grisonnant. Malgré cela, je venais de les allumer et voulais continuer, mais sans qu’ils ne puissent rien faire. Bien sûr, les deux avaient immédiatement remarqué mon mouvement, et quand le black me regarda l’air étonné non sans avoir jeté un coup d’œil vers mon cul qui venait de bouger avant, je lui fis un sourire mi-aguicheur, mi-gêné, ne comprenant pas vraiment moi-même pourquoi j’avais fait ça, ne m’étant jamais comporté comme ça auparavant. Quand il dirigea ensuite son regard vers ma poitrine et je vis un large sourire apparaitre sur son visage, je baissais aussi les yeux pour confirmer ce que je savais déjà, que le mec pouvait effectivement tout voir de mes quatre-vingts dix C comme je le pensais et qu’il devait se rincer pas mal les yeux.
Après avoir cherché une clé dans son sac, au lieu de revenir a coté de moi, le rebeu émit un ’tien’ à son collègue, qui se retourna en se levant un peu pour prendre la clef tendue derrière lui et bien évidemment, il prit tout son temps, tandis que je pouvais aisément deviner leurs regards sur mon corps, ce qui me poussa à me cambrer instinctivement encore plus pour les laisser en profiter.
Quand il revint à sa place pour commencer a viser le tuyau, il me lança un ’ne bouge surtout pas’, ce qui me fit le regarder d’un air interrogatif, mais avant que je ne puisse répondre ’comment ça, ne bouge pas ? ’, des mains sur mes fesses me fit sursauter et je lachai ce foutu tuyau qui n’avait d’ailleurs plus besoin que je le tiens. Ce bref moment de choc passé, je me dis alors que bien que j’eusse voulu les allumer un peu, là ç’en était trop, ces mains avaient dépassé les limites et qu’il était hors de question de les laisser continuer. Mais malgré cela, je n’avais toujours pas bougé pendant que les mains passaient maintenant sous l’extrémité de ma robe pour agripper mon string, tandis que l’autre mec à côté me regardait avec un large sourire. Je lui rendis un regard désolé en disant ’désolé, mais je ne peux pas faire ça, mes parents vont bientôt rentrer’. Cependant, mon string était arrivé à mes genoux et quand je compris que le mec voulait que je l’enlève complètement, je levais les genoux un à un pour le laisser faire au lieu de l’en empêcher. J’entendis l’arabe déchirer un sachet et je devinai tout de suite ce que c’était tandis que le black me dit ’vous inquiéter pas jeune fille, on fera aussi vite qu’on pourra’, toujours avec son grand sourire, pour ensuite m’embrasser en pleine bouche tandis que j’écarquillais les yeux de surprise, ne comprenant pas vraiment ce qui m’arrivait. Quand il essaya d’introduire sa langue dans ma bouche, je ne résistai pas longtemps pour écarter aussi mes lèvres et l’y inviter avec ma langue pendant qu’il n’avait fallu que quelques secondes au beurre pour commencer à s’introduire en moi muni d’une capote, et je dois avouer qu’à ce moment-là, j’étais si brûlante de désir et excitée comme jamais que je me cambrai au maximum cette fois et poussai mes fesses vers lui pour l’encourager, ne pouvant me retenir de soupirer un ’hmm’.
L’espace de quelques secondes, Paul me vint à l’esprit et je me dis que jamais je n’aurai jamais imaginé lui faire ça, même dans mes rêves ou cauchemars les plus fous et que je n’étais pas ce genre de fille, que je ne pouvais pas être de ces filles faciles, qui trompent leurs mecs à tout-va ou qui se donnent au premier venu. Puis le plaisir repris le dessus et je commençai à bouger mon cul au même rythme des coups de queue que me donnait ce mec en moi, me lâchant complètement, tout en continuant à offrir ma bouche et mes seins a l’autre, car il s’était permis de descendre une bretelle pour mieux avoir accès a mes seins et les peloter d’une main.
Tout s’était très vite enchainé et je ne me retrouvai maintenant non pas sous l’évier, mais en l’air agrippée au noir, avec les deux me tripotant la poitrine ou me titillant les tétons, ma langue dansant dorénavant avec celle du rebeu se tenant debout derrière moi, sans même avoir enlevé ma robe, qui ne formait maintenant qu’une large bande de tissu autour de ma taille, ni eux n’avaient retiré leurs vêtements d’ailleurs, avec leurs pantalons a leurs pieds. On était toujours dans la cuisine et j’étais déjà en sueur, plus chaude et bouillante que je ne l’ai jamais été. Son sexe en moi me faisait un incroyable bien, que je n’avais jamais ressenti avec mon copain, peut-être parce qu’il était beaucoup plus long et large que celui de Paul. J’avoue que les deux m’avaient déjà fait jouir deux fois en l’espace de quelques minutes, comme jamais je n’avais encore joui auparavant avec mon mec. Ce fut tellement intense que cela réveilla une folie inconnue en moi et dorénavant excitée comme jamais, j’en voulais encore et mon corps en redemandait, j’étais totalement leur merci. Avec tout ça, j’avais perdu le fil du temps, mais je savais très bien que me parents pouvais maintenant rentrer à tous moment et c’est pourquoi aucun d’entre nous ne s’était désaper d’ailleurs, car on n’aurait pas le temps de se rhabiller si on les entendait arriver. Eux aussi le savaient, mais ils s’en foutaient un peu, car ce n’était pas leurs parents. Je ne m’inquiétai pas longtemps du fait que mes parents seraient là d’un moment à l’autre, quand je sentis un autre membre toucher cette fois mon anus, ce qui me fit sursauter. Le mec me murmura à l’oreille après avoir quitté ma bouche, ’ne t’inquiète pas, je vais y aller doucement petite, c’est ta première fois ? ’. Je fis oui de la tête et murmurai, ’vas-y doucement, s’il te plaît’ mais ne put m’empêcher de crier ’OHH PUTAIN !’ quand il l’enfonça presque d’un seul trait, tandis que l’autre me tourna la tête vers lui pour m’embrasser et que j’entendis mon téléphone sonner.
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