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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Toilettes publiques

Chapitre 1

Gay
Je suis bisexuel, mais je souhaitais vous raconter une aventure de jeunesse qui m’est arrivée quand j’étais lycéen. Ma curiosité? mon goût pour le Sexe, m’ont permis d’en connaître beaucoup d’autres depuis.
Chaque jour, matin, midi et soir, pour me rendre au lycée, je traversais un très grand parc public, lieu apprécié pour les promenades.
Un jour de printemps, l’année de mes 17 ans, alors que je rentrais comme chaque midi déjeuner chez mes parents, je fus pris d’une ’envie’ extrêmement urgente, mon ventre était douloureux, je serrais les fesses sans espoir, je savais que je n’aurais pas le temps de rentrer assez vite chez moi. Je repérais le panneau ’Toilette’ et me précipitais.Cachés dans un massif d’arbustes, les WC en forme de rotonde comportaient plusieurs cabines. Je me précipitais vers une porte entr’ouverte, refermais vivement et descendais prestement mon pantalon. Installé sur la cuvette je me libérais de mon urgence.
En partie soulagé, je regardais autour de moi, les murs tapissés de graffitis et de dessins obscènes: une queue pointée vers une paire de fesses, une autre vers une chatte de femme, ou encore des sodomies en chaîne.Je lisais des petites annonces écrites dans tous les sens:— ’JH cherche jeune chatte à lécher’— ’H ch JH pour branler et sucer, de 12 a 14 H 00, ici’— ’Cple rencontrerait F ou Cple pour plaisirs divers’— ’Cple ch mec bien monté - rdv ici’— ’Branle et suce jeunes mecs, ici tous les jours, le midi ou le soir’....
Les murs et les portes étaient barbouillées de ces annonces dont certaines paraissaient anciennes, d’autres récentes, des réponses proposaient des rendez-vous. Il y avait un trou de cinq centimètres dans la porte, à 80 centimètres du sol. L’idée que quelqu’un pouvait espionner dans les toilettes m’amusait beaucoup.
Je me rendis compte rapidement, qu’il y avait aussi un trou de la taille d’un oeuf percé dans chacun des murs sur les côtés, à hauteur des genoux.
Poussé par la curiosité, je me penchais pour regarder au travers de l’un d’eux, la cabine était vide. Je voyais le rebord de la cuvette du WC.
Je me tournais vers le second trou, j’eu l’impression de voir un oeil qui s’effa?ait, puis je vis nettement une cuisse; quelqu’un était assis sur le WC de la cabine voisine.
Je me reculais vivement, rougissant. Mais poussé par une curiosité viscérale, je regardais à nouveau. La cuisse semblait être celle d’une fille ou d’un adolescent : ferme, mais sans poils. Je m’avançais un peu pour mieux voir.
Et je vis une main qui massait lentement un sexe dressé de taille moyenne au gland bien dégagé, tout rosé. L’autre main triturait doucement les couilles. Mon voisin se masturbait en toute tranquillité, assis sur le bord de la cuvette.
Ma tension montait violemment, Je me surpris à bander à mon tour. Je glissais une main sous ma queue et me masturbais aussi.
Mon voisin continuant de s’astiquer, s’était penché sur le côté, avec un peu de recul pour vérifier si je l’observais. Je croisais son regard amusé. Il accélérait sa masturbation, avançant sa queue bien en face du trou. J’étais hypnotisé, rouge de confusion, ne sachant plus ce que je devais faire, fuir ou continuer. Le spectacle m’excitait trop, je me branlais de concert.
Il me fit signe de montrer mon sexe. Intimidé j’hésitais, lui insistant me montrait le sien avec impudeur. Je m’avançais un peu, lui présentant le profil de ma bite dressée, au gland congestionné.
Mon voisin, vint placer son sexe face au trou, l’avançant au travers de la mince cloison. Une douzaine de centimètres dépassait sous mon nez. Attiré par cette chaire inconnue j’osais une caresse timide, moi qui n’avait jamais touché un autre sexe que le mien. A ce contact doux et chaud, une violente bouffée de chaleur m’envahit. Je faisais glisser délicatement la peau sur le gland, comme j’aimais me le faire moi-même.
L’inconnu se reculait et me fit signe de faire comme lui. Je glissais mon sexe dans l’orifice. Surprise ! Ce n’étaient pas ses doigts qui avaient saisi ma bite, mais sa bouche tiède et humide. Il aspirait, malaxant de ses lèvres, sa langue chatouillant mon prépuce. Ma tête tourbillonnait, je sentais mon sperme monter dans ma verge.
J’allais me retirer, il me retenait par sa bouche. Je sentis mon sexe exploser, j’accompagnais mon éjaculation de coups de ventre saccadés contre la cloison. Vidé je m’asseyais sur la cuvette pour récupérer.
Quelques instant plus tard j’entendais la porte voisine s’ouvrir. Je me rhabillais, pensant que celui qui m’avait donné autant de plaisir était parti j’attendis quelques instants avant de sortir pour ne pas le rencontrer.
Le rouge aux joues, je sortais à mon tour, un peu étourdi. A ma plus grande surprise mon voisin m’attendait. Je reconnus un gars de mon lycée, je le connaissais seulement de vue car nous étions un millier d’élèves et nous n?étions pas dans la même classe. Il était aussi grand que moi, bien que mon cadet d’un an.
Voyant ma gène, il vînt vers moi, la main tendue :  - Je m’appelle Alain, je viens souvent ici, on y fait des rencontres sympas, des gars, mais aussi parfois des femmes ou des filles.
Il continuait:— Tu as aimé ? Apparemment oui ! On peut se retrouver ici après déjeuner ? Je reprends à 15 H 00 et toi ?
Je répondais, sans réfléchir :
— Moi aussi je reprends à 15 H 00. J’aurais fini de déjeuner à 13H15.
— OK, j’attendrais ? 13 H 30, sur le banc dehors, en face.
Avec un large sourire il s’éloignait. L’esprit embué, mais j’accélérais mes pas pour aller déjeuner. Je n?avais pas donné mon accord, mais mon envie de revenir était trop forte.
A l’heure convenue j’étais de retour. Alain me demandait d?emblée de le suivre dans les toilettes. Il m’entraînait dans la cabine la plus éloignée de l’entrée et verrouillait la porte derrière nous.
Prestement débarrassé de son pantalon et de son slip, qu’il accrochait à une pointe derrière la porte, Alain, la bite fière, dressée, s’avançait vers moi et s’attaquait à la ceinture de mon pantalon. En un tournemain j’étais débarrassé aussi de mes vêtements.
Ma queue bandée à faire mal, j’attendais la suite des évènements. Alain avait jeté un regard par le trou du mur, pour savoir si nous étions tranquilles. Il s’agenouillait devant moi, aspirant mon sexe à pleine bouche, il me pompait à merveille. Quel délice ! Adossé au mur, j’étais tendu comme un arc. Inconsciemment je caressais la tête de mon compagnon. Il avait glissé une main sur mes fesses, séparant les globes il descendait vers mon anus, qu’il agaçait d’un doigt, mais constatant ma contraction il en restait là.
Une nouvelle fois je déchargeais dans sa bouche, il avalait mon sperme avec délice. J’y avais moi-même goûté? et trouvais le goût très agréable.
Alain se redressait, en disant que c’était super. Je ne voulais pas être en reste, je m’agenouillais à mon tour. Maladroitement je le suçai. Comprenant que c’était la première fois que je suçais une queue, il me conseillait et me guidait dans mes gestes, j’assimilais vite.
Rapidement Alain m’informait qu’il allait éjaculer, me demandant si je préférais qu’il se retire ? Moi je souhaitais aller jusqu’au bout.
Un jet de sperme giclait contre mon palais, je suffoquais un peu mais continuais à pomper et avalais avec plaisir la semence épaisse.
Après quelques caresses échangées, sur les tétons, les fesses et le ventre, nous nous sommes rhabillés pour rentrer au collège.
Alain devenu un ami, venait à la maison, pour étudier ou écouter de la musique pensaient mes parents, nous pouvions nous enfermer dans ma chambre sans être dérangés. Alain était même autorisé à rester dormir à la maison, avec moi bien entendu.
Nos jeux évoluèrent rapidement, mon ami me sodomisait, je lui rendais la pareille. Cela ne nous empêchait pas de nous retrouver fréquemment dans nos toilettes préférées ou nous avons vécues d’autres aventures piquantes que je vous raconterais sans doute plus tard.
Amicalement.
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