Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 73 J'aime
  • 5 Commentaires

Tommy

Chapitre 2

Zoophilie
Ainsi, mon frère avait maté pendant que je me faisais monter par son clebs. Je regardai la cam, assez en colère. "Putain Nico, si tu mates encore, t’es un dégueulasse. C’est vraiment pas cool". Je débranchais la cam et me rhabillais pour rentrer chez moi, assez énervée.
Avant que j’ai eu le temps de partir, mon frère m’avait rejoint. "Tu nous as maté hein" ?"Oui, putain, c’était trop bon"."T’es vraiment un salaud"."Eh, c’est pas moi qui me fait mettre par un chien" !Je lui balançais une gifle."Et les autres nanas, c’est pas toi qui les amènes peut -être "?"Si tu ne voulais pas que je te regarde, fallait pas mettre des photos et me dire que tu avais découvert mon secret".Il avait marqué un point.Je lui dis : "Tu aurais au moins pu me demander ou me prévenir"."Tu voulais pas non plus que j’assiste comme avec les filles que je fais venir" ?"A la limite, j’aurais vraiment préféré"."On peut le faire la prochaine fois et je prendrai des photos".En guise de réponse je lui fis un doigt d’honneur et je rentrai chez moi.Assez fâchée et humiliée, je ne mis pas les pieds chez mon frère pendant plusieurs jours. Mais le chien me manquait.Au bout d’une semaine, n’y tenant plus, j’envoyais un sms. "Est-ce que tu peux me prêter Tommy ce soir"? Réponse "Je pourrai mater et prendre des photos?". "Non !"."Alors, je préfère que tu ne t’occupes plus de mon chien". "Sérieux? ". "Oui, je préfère le garder pour les filles qui aiment ".La vengeance était claire et, connaissant mon frère il allait me faire patienter longtemps avant que je ne puisse me retaper un orgasme canin. Je cédais. "Ok. J’arrive".
Sans réfléchir, je me mis à poil et me jetai contre le chien qui triquait déjà à fond. Je le laissai me lécher les seins et la chatte, puis je lui pompai le dard si dur et si sec. Enfin, après ces heureuses retrouvailles je me mis à quatre pattes pour qu’il me prît en levrette. Habitués maintenant l’un à l’autre, il trouva ma fente du premier coup. Je le fis entrer jusqu’au knot mais pas au delà pour pouvoir le libérer et me coller contre son sexe ou le prendre dans ma bouche au moment où il lâcherait tout.

Nicolas s’était mis à poil. Il bandait comme un âne. C’était la première fois que je voyais sa tige et, honnêtement, tel maître tel chien. Il est remarquablement monté. Il prenait les photos. Il me dit "Putain, si tu n’était pas ma sœur, je te la foutrais encore plus profond que le chien". "Tu le fais aux autres filles"?Il m’expliqua qu’en fait, il attirait les filles, les baisait et, quand elles étaient proches de l’orgasme, il faisait entrer le chien. Alors, il se faisait sucer pour libérer la chatte vers laquelle le chien précipitait aussitôt sa longue langue rappeuse et baveuse. La plupart des filles reculaient d’abord. Mais Nicolas leur disait au moins de se laisser faire un peu. De toute manière, comme il était à genoux au dessus d’elles, elle ne pouvaient pas trop bouger. Il ne fallait généralement que quelques coups de langues pour qu’elles reconnaissent la supériorité de la langue du chien sur la langue de l’homme. Dès lors, elles se laissaient faire et tout le reste suivait, la pine dans le trou, les photos, tout... Rares étaient celles qui refusaient absolument. Il leur laissait alors leur liberté.
Pendant qu’il me racontait cela, le chien avait prit de l’allure, les jets se faisaient plus fréquents et plus abondants. En effet, tant qu’il n’a pas éjaculé, le chien libère à intervalles réguliers assez proches de petites quantité de liquide. Nicolas, queue toujours dressée reprit la direction des opérations. Il me fit remettre à quatre pattes puis prit un tube de gel dont il m’enduisit la rondelle. Je le laissai faire, redoutant cette première sodomie. Ce fut dur car le chien ne se retînt pas. Il s’arrêta au knot (la grosse excroissance ronde que les chiens ont à la base du pénis, juste avant les couilles) puis se mit à pousser à mesure que son orgasme approchait. Le knot s’inséra dans une douleur supplémentaire vite oubliée. Complètement verrouillé, la bite ton au fond de mon intimité, les couilles pendantes heurtant mes cuisses en cadence, il accéléra jusqu’à inonder mon trou. Une gelée épaisse recouvrait les orteils de Nicolas et sa queue longue rouge et mole, pendait désormais entre ses jambes. La séance était terminée.

Quelques jours plus tard, un dimanche après-midi, je reçus un sms de Nico : "Viens vite". Je me précipitai à cet appel, la chatte déjà toute humide. Devant la maison de mon frère une voiture de luxe était stationnée. Je descendis dans le baisodrome canin. La scène était improbable. Une femme âgée, de plus de 70 ans au moins était en train de se faire saillir par Tommy. Elle avait une mise en plis impeccable, un tour de cou en perles et des bijoux aux doigts et aux poignets qui valaient plusieurs de mes années de salaire. Elle prenait son pied sans retenue et sans gène, d’autant plus que son chauffeur, un type à peine plus jeune qu’elle était assis et contemplait la posture. Sa casquette était posée à côté de lui, il avait tombé sa veste, ouvert sa chemise sur son gros ventre et desserré sa cravate. Son pantalon reposait sur ses chevilles et il masturbait lentement un zob de belle taille. La rombière prit la parole : "Pouvez-vous mademoiselle s’il vous plaît vous occuper de mon chauffeur"? Si je n’avais pas vu l’engin de mes yeux vu, je n’aurais pas cédé à cette demande. Mais j’étais toute émoustillée par cette femelle qui se faisait mettre par "mon" chien et le chibre du chauffeur était trop gros et trop dur pour refuser l’opportunité. Après quelques coups de langue, je m’assis dessus en tournant le dos au vieux mâle afin de ne rien perdre de la femme se faisant saillir. C’était la première fois, en tant que spectatrice, que je voyais Tommy s’accoupler.
Très vite, la grosse bite qui s’agitait en moi et les mains fermes qui me trituraient les nichons me firent jouir. Je restai empalée sur cette queue pour voir Tommy jouir à son tour. Quand le chien aboutit, il s’agit par petites secousses régulières et très vives. La vieille, appuyée sur ses coudes, la croupe en l’air hurlait de bonheur. Nicolas, habillé pour cette fois, filmait. Tommy dut attendre quelques minutes pour pouvoir se dégager de la vielle croupe. Quand il le put, son sexe était encore assez dur et un long fil de sperme dégoulinait de son bout rouge et trempait le matelas. J’eus évidemment envie d’aller sucer le tout mais la rombière fut plus rapide. Elle goba le sexe avant qu’il ne se rétracte tout à fait. Tommy y était accoutumé et se laissa faire. Avant de partir, la charmante vieille dame nous fit une proposition. Il s’agissait d’inscrire Tommy à un concours de baise. Un jury examinerait les prouesses de quelques animaux avec leur compagne et le vainqueur emporterait la coquette somme de 5 000 €. Pour moi, il s’agissait de me faire grimper en public par le chien et j’hésitais franchement. Ce fut le chauffeur, Jacques, qui me rassura en me disant qu’il était le maître de cérémonie et qu’il saurait me maître à l’aise. Du reste, l’éclairage sur le baisodrome était sensé être fait pour que le public pût nous voir plus que l’inverse. C’est à peine si j’apercevrais les mollets des spectateurs du premier rang car, outre le jury, il y avait des mateurs. Selon les soirées, une par an, le public variait, m’assurait-on entre 20 et 30 personnes. Les mensurations et le savoir-faire de Tommy pouvaient nous laisser prétendre au podium. J’acceptais. La prochaine session de "baise avec mon chien" devait avoir lieu dans quatre mois.

Quatre mois après, un samedi après-midi, nous faisions notre entrée dans un château qui avait dû servir de pensionnat. On nous attribua une chambre très vaste. Nous étions le quatrième couple à passer. Selon le temps de coït des chiens, ce serait vers vingt heures. On viendrait nous chercher. D’ici là, nous ne devions pas sortir de notre chambre. Une fois notre prestation achevée, nous aurions le droit de nous joindre aux autres spectateurs après avoir amené Tommy dans notre chambre.On vint nous chercher à l’heure dite. Je m’étais déshabillée dans une pièce à l’écart pour ne pas exciter prématurément le chien. Nicolas vint me chercher. Il était entièrement nu aussi, portant juste un harnais. A ma vue, Tommy se mit immédiatement à bander. Nous descendîmes un long couloir qui desservait plusieurs pièces puis qui se rétrécissait pour accéder à ce qui avait dû être un gymnase. Nous attendîmes derrière un rideau noir. Jacques vint nous chercher. Il était entièrement à poil à l’exception d’une veste queue de pie un peu trop étroite qui faisait ressortir son énorme ventre rond et ferme et l’énorme paquet bandant mou qui pendait en dessous. Décalotté, le gland violacé était humide à son extrémité. Après nous avoir accueilli et complimenté, il disparut derrière le rideau et annonça : "Mesdames et messieurs, je vous demande de réserver votre meilleur accueil au chien Tommy, à sa chienne Jessica et à leur dresseur Nicolas".J’entrais, suivant Tommy, sous les applaudissements et les commentaires salaces qui fusaient déjà. "Belle salope. Le chien a du pot. Belle bête, il va la faire couiner...".
La scène, ressemblant à un vaste ring de boxe, était éclairée de telle sorte que je fus éblouie et que je ne pus distinguer que des ombres qui me parurent plus nombreuses cependant qu’une trentaine. Mais déjà Nicolas, avec un petit coup de fouet sur mes fesses conformément à ce que nous avions répété dans les semaines précédentes, me fit mettre sur le dos, jambes écartées ouvertes au maximum. Aussitôt Tommy se précipita langue baveuse et fébrile sur ma chatte toute offerte. La langue d’un chien est plus large, mais plus fine que celle d’un homme. Surtout, elle est beaucoup plus nerveuse, rappeuse et plus longue. Elle peut pénétrer très loin dans la chatte, surtout si le chien est grand ce qui est le cas de mon Tommy. Après les premiers coups donnés sur ma moule bien épilée, mes lèvres se gonflèrent dégageant le clitoris très excité. Je sentis la langue me rentrer dans le con et je ne fus pas longue à m’agiter et à me caresser les seins sous la vague chaude et humide qui me renversait de plaisir. Très vite je fus secouée d’un premier orgasme et je laissais libre cours à mes cris de plaisir et d’encouragement pour mon chien. Les applaudissements, les encouragements, les paroles obscènes déferlaient. Nous enchaînâmes les positions selon ce qui était convenu en prenant soin que Tommy ne se verrouille ni dans mon con ni dans mon cul.
Alors que j’étais en levrette et que j’atteignais un second orgasme, des cris fusèrent depuis la salle."Une double, une double..."
Jacques prit la parole : "Mesdames, messieurs, la double est impossible car monsieur et madame son frère et sœur". Il fut répondu par un soupir collectif de déception et quelques cris : "Mais qu’il la fourre sa putain de sœur". Nicolas répondit : "Si vous le permettez, monsieur le maître de cérémonie peut prendre la place". La société applaudit à tout rompre et j’entendis des bruits divers : "Allez-y Jacques, bourrez-lui la chatte. Mettez-lui votre gros vit.... etc". Jacques se présenta donc à moi, la verge rubiconde en pleine ascension. Quelques coups de langue lui donnèrent une solide vigueur et la dureté du roc. Jacques s’allongea. Je chevauchai l’immense pieu et lorsque je fus bien installée, Nicolas fit monter Tommy sur ma croupe. Il guida l’immense Zob qui pissait ses petits jets dans mon trou. Cependant, comme j’enjambais Jacques, la position de mon cul n’était pas la même que d’habitude et Tommy avait du mal à me grimper et, a fortiori, à se verrouiller. Je décidai donc de me retourner. Je passai mes doigts dans le sperme dont le chien avait déjà aspergé mon sexe, mon cul et le matelas, car un chien éjacule pendant toute la durée de la baise. J’en enduis ma rondelle en me fourrant deux doigts dedans et je vins me ficher sur le gros zob de Jaques, en lui tournant le dos de façon à m’allonger sur lui et offrir mon con à la tige monstrueuse du clebs. Je glissai lentement sur la verge de l’homme qui râlait de bonheur. Je m’allongeai, il me saisit les nichons avec ses deux énormes paluches. Tommy n’eut pas besoin que Nicolas le guide. Il vint droit à moi. Le knot, déjà très gonflé eut du mal à s’introduire. Quand il fut tout à fait dans mon trou, il prit sa dimension la plus importante et je sentis toute la proportion de cet immense pieu dans mon vagin. Entre le sexe de l’homme et celui du chien qui se comprimaient l’un l’autre à travers la paroi, je me sentis remplie comme jamais. Jacques avait du mal à bouger. Tommy poussait déjà à fond et ma chatte se remplissait déjà de liquide. Des ondes successives me parcouraient tout le corps comme des décharges électriques et je ne me contrôlai plus laissant mon corps naviguer au rythme des orgasmes successifs qui déferlaient sur moi. Je ne voyais plus rien et n’entendais que dans un lointain murmure les délires de la foule qui commentait la saillie et les insultes de Jacques dont les couilles étaient sur le point de se vider dans mon cul. La scène dura un long moment avant que Tommy ne décharge tout à fait. Sous l’excitation de la scène, mon frère s’était saisi le manche et se branlait avec vigueur au dessus de nous. Je ne m’en rendis compte que lorsque sa lourde pluie de sperme me détrempa le visage. Cela eut un effet sur Jacques qui, au comble de l’agitation déchargea dans mon cul. Je sentis chaque pulsation du vit à chaque giclée sur ma paroi tellement elle était tendue. Il fallu attendre encore quelques minutes pour que le chien atteigne son paroxysme que je reconnus au volume de jute et à son épaisseur plus conséquente qui se déversait en moi. Pendant ce temps la bite de Jacques reprenait sa taille normale, se retirant progressivement de mes fesses d’où filait un ruisselet de plus en plus fourni de jus.Tommy se déverrouilla assez vite. Il se retira puis, comme d’habitude, vint me re-lécher la chatte donnant au passage quelques grands coups de langue sur les couilles et le pénis de Jacques. Ce petit gang-bang mixte était terminé. Il y eu un tonnerre d’applaudissements.
C’était la pause. Une heure pour grignoter un peu. Nicolas reconduisit Tommy, quant à moi, on ne me laissa pas m’essuyer et je rejoins la foule où je n’eus pas de mal à reconnaître les trois putes qui s’étaient fait mettre avant moi. Les femmes du publics se pressaient autour de nous et certaines, après l’avoir demandé, mais sans attendre la réponse, plongeaient leurs doigts dans notre chatte pour recueillir le sperme qui y était encore et le déguster après.Quelques couples en profitaient pour se soulager. Une femme s"était allongée sur la table, entre les victuailles et offrait sa chatte à qui voulait la prendre. Plusieurs hommes en rut vinrent se vider les couilles sur ce buffet improvisé. Puis il fallut reprendre place. Nous assistâmes au quatre prestations suivantes, de belles saillies en vérité, mais il me semblait qu’aucune n’atteignait notre baise.

Le jury délibéra et nous fumes déclarés vainqueurs. La cérémonie de remise du prix aurait lieu le lendemain et chacun put retourner dans sa piaule ou rester baiser avec qui il voulait. Il y eut un gigantesque partouze.
Le lendemain matin eut lieu la remise du prix.Outre le chèque, il y avait une petite cérémonie. Tous à poil, le vainqueur, c’est à dire Nicolas, pouvait choisir la femme ou les femmes qu’il voulait pour les baiser. Je pouvais en faire autant avec des mecs et je choisis évidemment une dizaine de gars qui me parurent bien montés;Mais surtout, il y eut la récompense du chien. Toutes les femmes qui avaient participé à la soirée se tenaient sur des tapis autour de la salle, toutes à poil, certaines ayant gardé leurs chaussures, des bijoux, un foulard.... Certaines à quatre pattes, d’autres allongées, toutes se caressant la moule. Tommy n’avait qu’à choisir la croupe qu’il voulait. Lâché au milieux de toutes ces femelles en rut il se promena comme un fou, allant et venant, reniflant les croupes tendues vers le ciel ou les entre-jambes écartés et ruisselant de désir. Puis il s’arrêta a l’une d’entre-elle. Il commença par lui lécher la chatte bien comme il faut. La fille, qui n’était ni la plus belle ni la plus jeune, écarta ses lèvres avec la main gauche. Une de ses amies vint aider le chien à trouver l’orifice. J’étais à ce moment la accroupie avec une bite dans la bouche et un mec qui me caressait la rondelle et je pus voir de côté l’énorme pic rouge disparaître graduellement dans la cavité dilatée. La fille hurla quand le knot força la place trop étroite pour lui. Alors il se fit un attroupement autour du couple ainsi formé et je ne pus rien voir d’autre que le cul des mateurs qui me cachaient la scène tout en se tripotant les uns les autres. Pus tard, le cercle s’élargit à nouveau au moment où le chien se retirait.
Les photos immortalisaient le cul rougeoyant d’où s’écoulait une écume blanche et épaisse. Le mec qui était en train de me fourrer en levrette à ce moment là, un sexagénaire bien dégueulasse avec une bite énorme, se dégagea, m’attrapa par les cheveux et me traîna jusqu’à la vulve de la chiennasse. "Bouffe salope" ! Je plongeai le visage, la langue pendante vers cette friandise et pendant que j’aspirai à grandes goulées, tout ce que je pouvais de la semence de mon chien, le mec acheva de me bourrer. Le cercle s’était reformé autour de nous trois. Des mecs agitaient leur chibre frénétiquement ou se faisait branler par des femmes avec non moins d’énergie. Des averses de foutre vinrent s’abattre sur mes cheveux, mon dos et la croupe toujours offerte de la maîtresse de mon chien.

Ainsi se finit le week-end. Nous partîmes, avec un ticket d’invités pour la prochaine saison, avec plein de nouveaux amis et un carnet d’adresse qui promettait de bien chaudes soirées...
Diffuse en direct !
Regarder son live