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Tonton Daniel

Chapitre 1

Gay
Mes parents devant s’absenter, il est convenu que je vais passer un week-end chez mon oncle Daniel, le coiffeur. Je l’aime bien, tonton Daniel et bien qu’il soit un peu efféminé quand même (c’est dû à son métier) je ne crois pas certaines mauvaises langues qui le disent homo. Comme c’est les vacances, son salon est fermé et on va pouvoir sortir en copains. Quand j’arrive chez lui, vers 15 heures ce samedi, le temps de l’embrasser et je fonce retrouver son chat Mironton avec lequel j’aime jouer. En arrivant au living, je tombe sur deux mecs assis sur le canapé, l’un torse nu et en short, l’autre est en slip… Je leur adresse un « Bonjour » et reste planté à les regarder. Tonton arrive derrière moi et me présente : Claude et Tony, le blond et le brun. Puis, me montrant : « mon neveu Pascal, 19 ans, qui passe le week-end ici ». Ils viennent me faire la bise mais je ne les sens pas enthousiastes…Par contre, qu’est-ce qu’ils sont bien foutus ! Tony, surtout, a une démarche féline qui dénote un sportif. Claude est un peu plus enrobé mais sans excès. Ils retournent s’asseoir et Tonton me dit qu’il va me chercher un coca.Pendant qu’il est parti, je vois, stupéfait, Claude baisser légèrement le slip de Tony et fourrager dans les poils pubiens qui maintenant dépassent… Mon oncle revient avec le coca et leur fait les gros yeux. Claude à un petit sourire et, du menton, désigne mon entrejambes. Comme Tonton, j’y porte les yeux et je suis stupéfait de voir une bosse indiquant un début de bandaison. Ben ça alors ! Tonton y met la main en souriant et dit « mais c’est que ça te fait bander, petit cochon » et m’empoigne la bite à pleine main. Et c’est ma bite qui répond en durcissant tout à fait.
Je commence à comprendre que les on-dit étaient fondés et que Tonton est bel et bien pédé… Mais moi, alors ??? Le serais-je aussi puisque ça me fait bander ??? Très excités, Claude et Tony demandent à Tonton : « montre-la nous, montre-la nous… » Et voila que Tonton me déboutonne le jean tout en me regardant en souriant… et je vois dans son regard qu’au moindre frémissement de ma part, il arrête le jeu. Je suis tellement pétrifié par la situation que je ne bronche pas et je me retrouve, au milieu du living, pantalon et slip à mi-cuisses et le sexe tendu. Claude et Tony poussent des « hou » et des « ho » pendant que Tonton entreprend de me caresser doucement. Et je me laisse faire… c’est bon. Claude et Tony se sont levés et viennent vers nous. Claude passe derrière moi et Tony s’agenouille devant. Il me prend le bout de la bite en bouche et sa langue commence à tourner autour du gland dans une caresse lascive et lente. J’adore, surtout que Tonton continue pendant ce temps à me branler doucement. Je sens des mains qui s’affairent sur mes fesses. C’est sûrement Claude. Et une main, par derrière, vient caresser mes seins. Deux doigts se mettent à énerver mes tétons. Je ne savais pas que chez l’homme c’était agréable. Pendant ce temps, son autre main me patine toujours le cul. Soudain, Tonton se penche vers moi et pose ses lèvres surles miennes. Il sent bon et comme je ne réagis pas, il me roule un patin terrible en me caressant le creux des reins. Je bande comme un âne dans la bouche de Tony. Pendant ce temps, Claude a quitté mes seins et alors qu’il a écarté mes fesses,tout à coup je sens quelque chose d’à la fois doux, souple et mouillé me titiller l’anus. Je devine qu’il y a mis la langue. Sensation extraordinaire. C’est d’une volupté indescriptible, à tel point que, sans le vouloir, je décharge à longues saccades dans la bouche de Tony, qui, loin de s’en formaliser, aspire et avale le tout, tout en accélérant le mouvement de va-et-vient.Après un certain temps (qui me semble trop court) Claude et Tony retournent sur le canapé et reprennent leurs agaceriesmutuelles. Je reste planté au milieu du living et je n’en reviens pas de ce qui m’est arrivé… Je serais donc pédé aussi??? Pour eux trois, maintenant, je n’ai plus de doutes, bien entendu. Reprenant mes esprits, je me rhabille mais Tonton, se déshabillant, me dit « fais comme nous, fous toi en slip » et je m’exécute à ceci près c’est que j’ai un caleçon américain et que ma bite dépendante dépasse par l’ouverture. Entre-temps, Claude et Tony se sont mis complètement nus et couchés surle canapé, on entamé un 69 de grand style que j’observe avec curiosité…Dans ce domaine, je n’y connais pas grand-chose.Je remarque avec excitation qu’ils ne se contentent pas de se sucer la teub mais que les mains ne restent pas inactives,passant des caresses au dos jusqu’à celles à l’anus et par moment, il me semble que les doigts de Claude (au-dessous)entrent même dans le trou de balle de Tony. Je me déplace pour mieux voir et je vois, qu’effectivement, Claude enfonceun doigt, parfois deux, dans la rosette dilatée de Tony…et ce spectacle m’enchante, ainsi que Popaul qui relève la tête. Je vois, aussi, la langue de Claude quitter parfois la bite engloutie et lécher les couilles puis continuer jusqu’à l’anus… pour revenir ensuite à la queue. Je m’aperçois que je rebande. Merde alors ! Et je sens simultanément le souffle chaude puis la langue de Tonton dans mon cou et sa main qui vient entourer ma quéquette. Il me masturbe quelques instant puis me fait gentimentagenouiller… Aie aie aie… Je le vois venir…Effectivement, il se place devant moi et approche son gros gland luisant de ma bouche… Je n’ose refuser après ce qui s’est passé et j’ouvre timidement la bouche… Il me dit alors « attention avec tes dents » et j’ouvre plus pendant qu’il enfourne l’engin. J’analyse mes impressions… C’est chaud, c’est doux, c’est ferme et somme toute, c’est agréable. Je referme les lèvres sur son mandrin et commence à faire un va-et-vient de la tête tout en aspirant, comme, il me semble, Tony m’a fait tout à l’heure. Ça doit être assez bien car Tonton prend un air heureux et ferme les yeux. Suite à un mouvement trop fort, son sexe sort presque entièrement de ma bouche et je sens le gland contre ma langue… Oh vache… Qu’est ce que c’est doux… Je garde la position et ma langue s’enroule autour de ce gland dont la douceur m’émerveille… c’est doux, chaux et d’une finesse de grain que je n’ai jamais rencontré. La sensation me plaisant j’insiste mais, au bout d’un moment, Tonton me tient la tête et me fait reprendre les mouvements. Je me souviens alors du 69 que j’ai observé il y a quelques minutes et, pour être gentil, je passe les mains sur ses fesses et vient tripoter son anus.
Un gémissement de plaisir me montre que l’initiative est appréciée. Je m’enhardis donc et, comme suite à mes caressesje sens sa pastille s’assouplir, j’en profite pour faire pénétrer une phalange du majeur… Waouh ! C’est aussi doux et soyeux que le gland, là-dedans et je prends plaisir à limer doucement l’entrée de son trou de balle. Il n’en faut pas plus pour que je sente palpiter sa queue dans ma bouche et des giclées de sperme tapisser mon gosier. Je retire précipitamment sa queue et recrache sur le sol tout ce qu’il vient de m’envoyer… Beurk ! Ensuite, je goûte inévitablement à ce qui reste dans la bouche et, même si je n’y trouve pas un goût bien fameux, je ne trouve pas ça désagréable, aussi fais-je mes excuses à Tonton. Il me répond que c’est sans importance, tout en essuyant les traces avec un essuie-tout. Le duo Claude-Tony doit avoir terminé aussi, car ils viennent nous rejoindre et nous prenons un verre, tous ensemble et, Tonton m’ayant fait enlever le caleçon (dont ma bite sortait par l’ouverture de toute façon), tous à poil. Nous nous installons au salon pour visionner une cassette et,peut être par hasard (mais j’en doute) je me trouve assis sur le canapé entre Claude et Tony. La cassette que passe Tonton est, je m’en serais douté, un porno gay…ce qui fait que ma bistouquette qui flageolait se remet à dresser la tête. Je suis hypnotisé par un magistral anulingus sur l’écran quand je sens ma queue, devenue toute raide, enveloppée dans un chaud manchon humide. Je regarde et voit les cheveux blonds de Claude au-dessus de mon ventre…Bordel ! Que c’est bon ! Il me pompe royalement mais, me souvenant de leur 69, j’ai envie de me faire sucer la pastille…Je m’allonge sur le canapé avec la tête sur les genoux de Tony. Celui-ci se baisse et me roule un patin pendant que Claude continue sa fellation.
Mine de rien, je me retourne sur le ventre et, comme alibi, je prends en bouche la queue flasque de Tony qui, tout de suite, reprend vigueur. Et c’est très agréable de la sentir grandir et palpiter dans ma bouche. Et soudain… Bingo ! Je sens une langue s’insérer entre mes fesses. Je lève le bassin pour faciliter l’accès et c’est une sensation fabuleuse qui m’envahit… Cette langue agile, chaude et mouillée qui s’agite autour et à l’entrée de mon anus me rend comme fou et je pompe Tony avec tant d’ardeur qu’il en gémit de plaisir. Je lève tellement mon bassin que je me retrouve à genoux, tête baissée sur Tony. Mais je sens quelque chose de dur et doux à la fois venir se présenter à l’entrée de mon petit cul, là où, il y a un instant, se trouvait la langue de Claude. Ouille ! Je crois deviner et je me contracte. La langue revient… C’est délicieux et je me détends tout en continuant à sucer Tony mais avec plus de lenteur et d’application. Soudain, Tony se met à gueuler de plaisir et au même moment, je sens qu’on me défonce l’anus. Je gueule aussi mais de douleur et je me laisse tomber à plat ventre pour échapper à ce viol. Las ! Claude devait s’y attendre et a suivi le mouvement. Je suis couché en travers sur Tony et Claude est couché sur moi, me tenant toujours empalé. Il ne bouge pas. Moi non plus. J’ai mal et les larmes me coulent. Puis, doucement, la douleur reflue et se trouve remplacée par une chaleur qui va s’intensifiant. Tout doucement, cette chaleur remplace le mal et ça devientagréable. Je veux bien rester ainsi tant qu’il ne bouge pas…
Comme je suis couché sur Tony, mon sexe est dans le vide, contre sa cuisse. Je sens une main qui s’insinue et commenceà me le masturber… Ça redevient intéressant. Le plaisir monte en moi et, tout doucement, je commence à bouger les
reins pour accompagner la branlette… mais en faisant ça, je me sodomise moi-même sur la bite de Claude. Étant donnéque j’imprime moi-même l’ampleur et la vitesse des mouvements, ce n’est plus douloureux mais de plus en plus agréable.Puis je sens Claude prendre le relais et augmenter la taille et la cadence des mouvements. Et c’est très bon ! Je le luicrie : « oui, encore » et tout à coup, il s’abat sur mon dos en me déversant dans le ventre un liquide chaud qui m’inondede bonheur, pendant que, de mon côté, je remplis de mon foutre la main de Tonton qui me branlait. Un peu plus tard, quand je reprends mes esprits, je suis sidéré: Je viens de me faire enculer et ça m’a plu ! Incroyable ! Je vais retrouver Tonton dans la salle de bains et lui glisse, en passant, que j’aimerais bien sodomiser Tony et lui demande si c’est possible. Il a un grand sourire et appelle Tony qui nous rejoint. Tonton lui fait part de mon envie et, aussitôt, il se retourne et se baisse en avant, m’offrant sa pastille qui, loin d’être brune comme je le supposais, est toute rose. Je la lui flatte du doigt mais lui avoue que pour le moment j’aimerais me reposer et lui propose de le pénétrer le même soir. Dans un bon sourire, il me dit qu’il a hâte d’yêtre. Et, rhabillés, nous partons faire une balade en voiture.
Après un balade et resto, nous rentrons et Tonton décide de partager sa chambre avec Claude, qui a l’ai ravi, tandis que Tony et moi seront logés ensemble. Pour avoir dormi souvent chez Tonton, je sais que c’est un lit de deux personnes et j’en suis d’autant plus heureux qu’après la douche, c’est nu que nous nous couchons. A peine allongés, voilà que la main de Tony se fait baladeuse et m’entreprend de me tripoter la bistouquette, qui ne tarde pas à lui répondre. Par moments il l’abandonne pourflatter les deux petites coquines du dessous, qui ne demandent que ça. Du fait, je ne reste pas inactif, non plus, et ma mainva s’activer du côté de son sexe qui a, déjà, pris de l’ampleur. Je me plie dans le lit et j’embouche sa verge après l’avoirdécalottée et je lui fait une pipe la plus suave que je puisse faire vu mon inexpérience… Ça a l’air de lui plaire car il me fait pivoter et le chevaucher, ce qui lui permet de me sucer la queue pendant que je le pompe… Mon premier 69… Putain ! C’est vachement bon ! Comme je l’ai vu faire lors du 69 avec Claude, il quitte ma bite et part me lécher la pastille…Je me sens obligé d’en faire autant et je descends tout doucement sous les couilles, vers la raie et son œillet central… mais j’avoue être réticent à aventurer ma bouche de ce côté…A force de tourner autour avec la langue, il faut bien que je me décide et, furtivement, je passe la langue sur son anus. Bon ! Pas de mauvais goût ! J’y retourne et j’ai la surprise de sentir une douceur et une souplesse très agréables. Je sens son trou de balle se détendre au fur et à mesure que je le lèche et je commence, précautionneusement, à introduire le bout de la langue. Toujours pas de mauvaise surprise. Je m’affranchis et je lui butine la fleur avec ardeur. Puisil me repousse et me fait me coucher sur le dos. Je pense qu’on va continuer en inversant le dessus et le dessous. Maispas du tout… Il s’agenouille sur moi et guide mon dard vers son petit trou. A peine a-t-il senti que je suis bien placé qu’il se laisse tomber et s’empale d’un coup. Comme nous avions couvert ces organes de nos salives, ça passe sans problème.Je reste immobile pendant qu’il se tape tout le travail, allant et venant mais aussi en tournant le bassin comme les aiguilles d’une monter me faisant monter de délicieuses sensations. Je vois sa bouche se transformer en rictus de plaisir pendant que ses yeux se révulsent légèrement avant de se fermer. Il n’en faut pas plus pour que mon plaisir démarre et je lui asperge l’intérieur de mon foutre brûlant ce qui a pour effet de le faire accélérer les mouvements et se faire tomber plus lourdement chaque fois sur mes cuisses, m’enfonçant au maximum en lui. Après quelques instants d’immobilité, il se laisse glisseren arrière, posé sur ses bras, et nous laissons le plaisir nous quitter doucement. Un tour à la douche, à nouveau, et après quelques baisers passionnés, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre. Petit déjeuner à la cuisine.Avant, nous sommes tous passés par la salle de bains, ce qui permet de rester nus sans indisposer éventuellement les autres par les odeurs animales dues à la nuit… et toute cette jeune chair exposée est, je l’avoue, très réjouissante à l’œil.
Tonton annonce, à la grande joie des deux autres, qu’il a eu les clés de la villa de Francis. Voyant mon air ahuri, il me cligne de l’œil et me dit que ce sera une surprise…Après un peu de ménage, tous ensemble (ce qui permet à Claude, riant aux larmes, de tenter d’entrer le manche du plumeau dans l’anus de Tony alors qu’il est baissé pour refaire son lit) nous montons dans la BM de tonton et nous voilà partis. Claude, qui est à l’arrière près de moi, en profite pour me caresser la bite à travers mon training. Celle-ci se redressant, il profite de la ceinture élastique pour glisser la main à l’intérieur et me fait du bien tout en regardant dehors, l’air de rien. Très vite, nous arrivons à une villa qui sent le luxe et la richesse… C’est à un ami commun me précise tonton. Nous pénétrons dans un immense living, meublé et décoré avec goût encore qu’en couleurs trop sombres à mon idée. Je suis tonton qui me fait faire le tour du propriétaire, suivis des deux autres, et il me montre la chambre principale,avec au centre un immense lit rond qui fait au moins 2m50 de diamètre… et, juste à côté, une immense salle de bains avec jacuzzi d’au moins trois mètres de diamètre… Chouette!
Deux autres chambres sont regardées rapidement et nous revenons au living. Là, tonton pousse un bouton et un écran de cinéma descend du mur. Second bouton et un Barco projette sur l’écran un porno de haute qualité, bisexuel et multiracial,en taille réelle. Il n’en faut pas plus pour que ma verge se sente à l’étroit. Comme un immense canapé nous tend lesbras juste en face, nous nous y retrouvons tous les quatre. Comme par hasard, je remarque sur une table basse, justeà côté, des préservatifs, des lubrifiants et des kleenex. Tiens tiens… Tout de suite, tonton remarque ma proéminence ventraleet me conseille de me déshabiller. Sans aucune gêne ni pudeur (après ce qu’on a fait et vu hier, n’est ce pas… je me déloquedevant eux, faisant un genre de petit strip-tease qui les met en joie… et aussi, à ce que je vois, en condition. Puis je les rejoins dans le canapé et tonton nous fait un strip également, suivi de Tony bientôt rejoint par Claude. C’est très drôle et très excitant. Claude termine son numéro en se couchant à terre sur le dos, sur le gros tapis de laine, et fait mine de faire l’amour à quelqu’un qui le chevaucherait. Comme nous sommes en face de lui, nous sommes tout émoustillés par ce sexe qui monte et descend, entraînant dans son mouvement la jolie paire de fesses qui lui sert de socle. Tonton se jette à terre et se met à le sucer activement. Comme il est à quatre pattes devant nous, on voit très nettement son anus qui nous cligne de l’œil, au beau milieu de sa raie culière totalement imberbe. Comme il sent qu’on le regarde, il cambre les reins et nous expose son postérieur dans toute sa splendeur. C’est pour moi comme un appel et je prends le tube de lubrifiant et j’enduis copieusement mon sexe tendu. Puis j’en mets une grosse noix sur mes doigts, j’approche de Tonton et lui tartine le troufignon. Il aime cette caresse et les mouvements voluptueux de son derrière montrent assez qu’il en veut encore. C’est à ce moment que, sans prévenir, je l’empale d’un coup. Sans lâcher la bite de Claude, il pousse un grognement dont je ne sais s’il est de plaisir, de douleur ou de surprise…mais je n’en ai cure et me mets à lui bourrer l’anus de grands coups de boutoir. J’ai totalement oublié Tony mais pas lui. Il se met à cheval sur Tonton, tourné vers moi et me tend sa queue. Il ne doit pas attendre longtemps pour que je la gobe et que je la pompe avec frénésie, toujours en sodomisant Tonton qui fait sa gâterie à Claude. C’est moi qui part le premier et qui gicle dans Tonton. Nos cris de plaisir font jouir Claude et c’est Tony qui termine dans ma bouche. Cette fois, je ne recrache plus la liqueur mais je la garde en bouche pour l’évacuer ensuite dans un mouchoir en papier. Par la force des choses, je découvre son goût et je m’aperçois qu’il est différent de ce que j’avais ressenti avec tonton. Le sperme de Tony est plus doux, presque sucré… encore une découverte ! Les trois lurons m’entraînent vers le jacuzzi. Tonton presse un bouton et voilà les bulles… Nous nous asseyons sur le siège immergé qui fait le tour du bain et nous nous délassons dans un fond musical qui vient je ne sais d’où. Au bout d’un moment, je me tourne sur le ventre et pose la tête sur mes bras repliés sur le bord. Je me laisse flotter dans les bulles et c’est très bon. Je suis tout détendu et mes jambes flottent comme loin derrière moi. Je sens soudain un mouvement entre elles… Quelqu’un s’intercale entre mes jambes… Ah non, pas encore… pas maintenant… Mais celui qui s’est glissé maintenant entre mes cuisses entreprend de me caresser très doucement le dos et d’alternercaresses et frôlements Hmmm ! C’est booon ! Je laisse faire sans même savoir qui me fait ces divins attouchements…Les mains s’activent de mes épaules au creux de mes reins et parfois débordent sur les fesses… Continue, qui que tu sois ! « A table ! » C’est la voix de tonton. Je sursaute. Je m’étais endormi sous les caresses. Vite je me sèche et je passe à table. Aucun regard suspect ou allusion quelconque… Je ne saurai jamais qui m’a procuré ce moment adorable. Après le repas, vaisselle à quatre. Je me sens en pleine forme. Je demande à tonton quel est le programme de l’après-midi. Il a un sourire ambigu et regarde les deux autres, qui rient en lui faisant un clin d’œil. Ils m’entraînent à la cave. Stupéfaction ! Une cave immense, toute tapissée de miroirs, plafond compris et dans laquelle se trouve une table de gynécologue (j’ai appris ça depuis mais à l’époque je voyais ça comme un truc genre table de torture… Je commence à flipper ! Tonton me caresse les fesses gentiment et me dit de ne pas m’inquiéter. C’est seulement un nouveau jeu… Mmmmouais…Faut voir ! Il me dit de me coucher sur la table, les pieds dans les étriers Position bizarre qui leur laisse le loisir d’admirer toute mon intimité…d’autant plus que nos images se reflètent à l’infini dans les miroirs. Je suis un peu gêné mais en même temps, je trouve ça très excitant. Claude enjambe la table et se place à califourchon sur moi, la tête vers moi et se baisse pour m’embrasser. En même temps,il me caresse le ventre de son sexe déjà tendu. Par un jeu de glaces (plafond et côtés) je peux admirer son popotin tendu et grand ouvert qui dessine des huit au-dessus de mon corps. Tonton et Tony se sont penchés pour mieux profiter du spectacle. Puis je vois Tonton s’approcher d’entre mes jambes et je le vois se baisser… Mmmmmh! Sa langue me lèche depuis l’anus jusqu’aux couilles et parfois remonte même jusqu’à ma queue, maintenant orgueilleusement dressée.
Tony, lui, fait le tour de la table, monte avec un genou de chaque côté de mon visage et embrasse Claude qui s’est redressé.J’ai une très belle vue sur le matériel de Tony et je lui attrape les hanches pour le faire descendre vers moi. Il se laissedescendre sur les mollets et je peux lui lécher et mordiller tout ce qui est à ma portée. Tout à coup, j’entends les trois voix dire : « Salut Francis ». Ils me quittent et vont faire la bise à un type qui a tout du gentleman de gravure : Costard foncé à fines rayures, chemise blanche et cravate bordeaux, cheveux blancs argents mi-longs et ondulés et yeux bleus lavande. Dans la cinquantaine à mon avis. Il est très séduisant.
Je reste tout bête sur ma table et il s’approche de moi, me caresse les cheveux et se penche pour un bisou sur les lèvres : « salut mon mignon ». Il sent bon un parfum poivré et doux à la fois. « J’ai envie de te sucer. Tu permets ? ». Des paupières,je fais signe que oui. Il vient se placer entre mes jambes, là où était tonton tout à l’heure et se penche pour emboucher mon instrument après l’avoir décalotté. Et là, surprise ! Au lieu de faire des va-et-vient plus ou moins rapides comme les autres, sa tête reste absolument immobile mais je sens sa langue qui vient délicatement entourer mon gland, se faire tantôt douce, tantôt puissante et de temps en temps pointue pour venir délicatement titiller le filet que j’ai sous le gland. Puis la langue reprend son manège, toujours très doucement, effleurant seulement la membrane par moment et se frottant fort contre elle l’instant d’après.Les sensations sont indescriptibles et bien plus fortes qu’avec l’autre technique.
Je ferme les yeux et m’abandonne à la volupté. Je ne suis plus qu’un sexe qui reçoit un plaisir immense et qui grossit de plus en plus, à ce qu’il me semble, au point d’être énorme et j’ai peur qu’il ne puisse plus être logé dans une bouche humaine. En même temps, je sais qu’il ne s’agit que d’une impression et qu’il restera bien au chaud à se faire dorloter par la langue de Francis. Puis sa langue s’arrête au filet et l’excite de la pointe avant de s’étaler, large et caressante sur lui, venant voluptueusement calmer l’excitation qu’elle vient de provoquer. Et elle reprend son jeu autour du gland et tout recommence…
Brusquement, je sens le plaisir monter de mes reins et se propager vers ma queue… J’essaie de me retenir pour faire durer ce merveilleux instant mais mes sens me trahissent et je me sens jouir dans cette merveilleuse bouche en même temps qu’un spasme violent me traverse, m’électrisant les nerfs de tout le corps, suivi d’autres décharges de plaisir moins violentes mais qui semblent ne plus devoir finir. Je m’entends hurler mon bonheur. Quand, quelques minutes plus tard, je reprends pied dansla réalité, j’ai encore des papillons devant les yeux et le souffle court… Tout ça sans me toucher et quasiment sansbouger… Quel mec ! Je m’assieds sur la table, je reprends mon calme et tandis qu’il vient me refaire un bisou, je lui souffle un « merci » qui veut tout dire et qui lui arrache un petit sourire. Tonton me tend un verre. C’est un fond de whisky qui me revigore et je me mets sur pieds. Les autres me proposent de venir avec eux au living voir un nouveau film X mais je leur demande de m’excuser et je retourne me relaxer au jacuzzi et remettre de l’ordre dans mes pensées. En effet, avec ce que j’ai vécu depuis hier, il y a de quoi être chamboulé et j’ai besoin de faire le point avec moi-même.
L’après-midi est à peine entamée et je me demande ce qui me reste à découvrir… D’autant plus que demain fait encorepartie de ce long week-end. Quand je suis un peu relaxé, je quitte le jacuzzi et cherche les autres dans la grande maison. Aux bruits, je me dirige vers la grande chambre et je les trouve sur l’immense lit rond, tous les quatre emmêlés, à ne savoir à qui est ce cul, de qui est cette jambe ou cette queue… Je dois être vraiment crevé car je ne rebande même pas. Je m’assieds dans un fauteuil et regarde le spectacle, ma foi très réjouissant. J’admire surtout le physique de Francis. Il me fascine, ce type, avec son corps sec et musclé sans excès, son torse triangulaire et son ventre plat, très légèrement poilu. Ses fesses sont petites et musclées aussi. Il me prends l’envie de les toucher aussi je rejoint le lit pour le faire. A croire qu’ils n’attendent que ça ! Tous quatre me sautent dessus, me couchent de force sur le dos et chacun s’emploie à une partie de mon corps. J’ai des doigts, des bouches et des bites partout. J’en ai sur les seins, sur la queue, dans le cul, sur les couilles, et même (je l’espérais) la bitede Francis à proximité de ma bouche. Je ne m’en prive pas et j’essaie de lui rendre le plaisir qu’il m’a donné tout à l’heure en copiant sa technique. Malheureusement, j’ai le corps tellement sollicité de partout que je n’arrive pas à me concentrer et je pense que je fais un peu n’importe quoi. Puis, je bascule dans un délire de sensations et je me contente de lécher, aspirer, mordiller, palper tout ce qui passe à ma portée, m’en fichant complètement de savoir qui est son propriétaire. Je suis bien incapable de dire le temps que dura cette séance où je fus le jouet de ces quatre hommes déchaînés mais pour moi ce fut un rêve érotique qui ne dura qu’un instant trop court et qui se termina par mon éjaculation dans je ne sais quelle bouche. Je suis épuisé. Que vont-ils encore inventer maintenant ? Heureusement, il est déjà tard et tout le monde se rhabille après un passage obligé à l’une des deux salles de bains et Francis nous emmène au resto. Je ne vous dirai que peu de choses de la nuit qui suivit car si je l’ai passée avec Francis et Claude dans le grand lit, je ne fis que dormir entre eux, crevé que j’étais, une main sur la bite de chacun.
Que me réserve demain ? Je vous l’expliquerai plus tard.Bonne nuit....
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