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Le torticolis

Chapitre 1

Inceste
Cet été, il a fait chaud, vraiment très chaud. Quand je rentrais dans ma chambre pour me coucher, la chaleur m’empêchait de dormir. Par chance, avec mes parents, on a installé un système climatiseur. Du coup, je pouvais profiter d’un peu de froid pour m’aider à m’endormir. Sauf qu’une nuit, j’ai oublié de l’éteindre. Je me suis réveillé le lendemain matin, et je me suis levé de mon lit. Une violente douleur m’a pris entre le cou et l’épaule.Je suis allé jusqu’au climatiseur pour l’éteindre, en faisant des pas le plus aérien possible, en me disant que la douleur s’atténuerait et que je pourrais aller prendre mon petit-déjeuner tout doucement. Mais j’avais si mal que finalement, je suis retourné m’allonger sur le dos dans mon lit et je n’ai plus bougé.Il était assez tôt, mais mon père avait déjà dû partir au travail. Du coup, il n’y avait plus que ma mère à la maison, qui ne travaillait pas ce jour-là. J’avais mal quand je bougeais, alors j’essayais de rester le plus immobile possible. Je n’ai même pas essayé d’attraper mon portable pour prévenir ma mère, la douleur aurait été trop grande. Je ne pouvais qu’attendre en regardant le plafond.J’ai attendu une grosse partie de la matinée. Ma mère s’est levée tard, a pris son petit-déjeuner, et ensuite elle est venue me voir pour me réveiller, pensait-elle. Quand elle est entrée dans ma chambre dans son peignoir blanc, elle m’a dit :— Alors, tu ne crois pas que tu as assez dormi pour aujourd’hui ?— J’ai mal au cou, je ne peux plus bouger.— Tu as attrapé un torticolis. J’imagine que tu as dormi avec la clim’ ?— Oui.— Rha la la ! Bon, je vais te chercher de quoi te soigner, ne bouge pas.— Très drôle.Ma mère est sortie et est revenue avec de la pommade. Elle a soulevé la couverture et s’est assise au bord de mon lit. Elle a soulevé mon T-shirt jusqu’au menton. Je n’avais plus que mon boxer qui couvrait mon intimité. Ma mère a commencé à étaler de la pommade sur mon épaule et dans le cou. Vu qu’elle en avait trop mis, elle s’est essuyée les mains sur mon torse. Elle a fait quelques mouvements rapides, puis elle a descendu sa main jusqu’au bas de mon ventre et a caressé le relief de mon sous-vêtement. J’ai eu un réflexe pour l’en empêcher :— Arrête ! Qu’est-ce que tu fais ?Mais la douleur m’a remis à ma juste place et j’ai dû m’immobiliser derechef. Ma mère a passé encore une fois sa main au même endroit, et encore une fois.— C’est dommage que tu ne puisses pas bouger, je n’aimerais pas être à ta place.Ma mère ou pas ma mère, vous comprenez tous ce qu’il s’est passé là en-dessous.— Mais, tu durcis ? J’y crois pas, tu bandes pour ta mère, petit coquin ?— Non, c’est pas ce que tu crois…— Si tu deviens dur pour ta mère, il est logique que ta mère en profite !Sur ce, elle a passé une jambe au-dessus de mon corps, a écarté les pans de son peignoir, laissant voir sa petite culotte blanche, et a déposé son entre-jambe sur mes parties.— Hummm, c’est agréable…Je ne voulais pas ce qui arrivait. Je lui ai demandé d’arrêter.— Trop tard. Par ta faute je suis excitée, maintenant il faut que j’aille jusqu’au bout.— Non, c’est mal, je ne veux pas…— Très bien, on n’a qu’à passer un marché. Tu dois me faire jouir. Soit en utilisant ton engin, soit en utilisant ta langue. Tu dois choisir, sinon c’est moi qui choisis pour toi.Elle m’avait imposé son ultimatum. Je devais choisir entre peste et choléra, sinon, elle en profiterait. J’ai choisi d’utiliser ma langue. Ma mère a alors retiré sa petite culotte, et m’a présenté son sexe nu. Elle s’est placée au-dessus de ma tête, en faisant attention de ne pas me faire mal, et a posé son bassin au niveau de ma bouche. J’ai donc commencé mon travail. J’ai commencé à lécher ses grandes lèvres, de chaque côté. Cela me répugnait. Je n’avais pas envie d’aller plus loin. Au début, ça avait l’air de lui convenir, mais après quelques minutes, elle m’a demandé d’aller plus loin. J’ai donc passé ma langue par-dessus sa fente, puis, à chaque aller et venue de haut en bas, et de bas en haut, je poussais ma langue un petit peu plus loin. Ma mère a ensuite écarté ses lèvres de ses doigts, m’invitant à flatter son intimité profonde. J’ai donc doucement léché l’entrée de son vagin, puis je remontais pour faire des ronds autour de son clitoris. De longues minutes passaient, je commençais à avoir mal à la mâchoire. Ma mère gémissait, de plus en plus, et elle commençait à se trémousser. Ensuite, après une attente interminable, elle a enfin jouit. Ce fut une délivrance autant pour elle que pour moi. — Hmmm… m’a-t-elle dit. C’était très bon.Je voulais maintenant qu’elle s’en aille. Mais elle est restée. Elle s’est installé près de mon bassin, et sans me demander, a baissé mon boxer et l’a retiré entièrement, le jetant au-delà de ma portée. La douleur fulgurante de mon épaule semblait me dire « ne bouge pas ! ». C’est donc totalement impuissant, avec comme seul rempart des mots qui n’atteignaient pas leur cible, que j’ai dû subir le spectacle de ma mère qui suçait mon sexe. J’essayais de ne pas avoir de mauvaises pensées, mais je durcissais et je finissais par éprouver du plaisir malgré moi. Ma mère m’a ensuite enjambé, et a posé sa vulve contre mon membre. J’ai voulu protester, mais en vain.Ma mère a ondulé son bassin, faisant des va-et-vient le long de ma verge. Elle a ensuite empoigné celle-ci, et l’a présenté à l’entrée de son sexe.— C’est là-dedans que tu as commencé ta vie, c’est normal que tu y retournes.Elle s’est laissé descendre, et son vagin a enveloppé mon pénis. Une fois descendue tout au bout, elle a effectué des aller-retour, puis s’est amusée à faire sortir mon gland de son sexe pour l’y remettre aussitôt. C’était comme si je pénétrais ma propre mère toutes les secondes. Elle est ensuite redescendue tout en bas. Bassin contre bassin, elle s’est cambrée en arrière, et a défait le nœud de son peignoir. Elle a ensuite écarté les deux pans du vêtement, laissant apercevoir sa poitrine. Ses seins tombaient un peu à cause de l’âge, mais restaient quand même très beaux. J’avais presque honte de me l’avouer. J’ai trouvé que sa poitrine était si belle que mon dégoût de faire l’amour à ma propre mère se dissipait un petit peu.Ma mère a retiré son peignoir en entier. Elle était alors complètement nue, mon pénis caressait les parois de son vagin. Pour m’exciter davantage, et pour se donner plus de plaisir, ma mère a caressé ses seins devant moi. Je ne pouvais faire autrement que de profiter du spectacle. Elle faisait tourner ses mamelons durcis du bout des doigts, puis caressait ses seins à pleine main de haut en bas, avant de les rapprocher l’un contre l’autre et de les tirer, de les malaxer. Je sentais le plaisir monter en moi. Elle ondulait son bassin autour de ma verge, qui devenait de plus en plus tendue. La tension montait, montait, et je me suis alors lâché. J’ai jouit à l’intérieur du ventre de ma mère. J’ai éjaculé plusieurs jets de sperme puissant, qui l’ont peut-être fécondée.Nous sommes restés un instant sans bouger, puis ma mère s’est retirée. Elle m’a remis mon boxer, en me disant qu’elle reviendrait me voir plus tard pour voir si j’allais mieux. Assailli d’émotions contraires mais puissantes, je n’avais pas fait attention que la pommade avait fait son petit effet (mais était-ce bien la pommade ?). J’avais toujours mal quand je bougeais, mais la douleur ne m’empêchait plus de bouger en douceur. J’ai pris un livre et je suis resté dans mon lit. Je ne suis pas sorti de ma chambre. Il était tard, la faim me tenaillait, mais je n’avais à présent plus qu’une envie : que ma mère revienne.
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