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La tour d'ivoire

Chapitre 4

SM / Fétichisme
J 1 , dans la nuit . Maitre .
     Après la séance de dressage d’Emma , Maitre alla prendre un peu de repos, Il ne s’attendait pas à une aussi bonne réponse de la part de cette petite gourde . Elle lui avait plu sur le CV, elle ne payait pas de mine à première vue mais lors de son arrivée elle avait  réagit avec toute l’innocence et la candeur de sa jeunesse .      Il n’avait pas mis plus d’une heure à faire son "inception" et à commencer  à la manipuler . Il l’avait laissé s’installer, l’avait ensuite convoquée pour lui donner les directives relatives au stage d’hypnoanalgesie ainsi qu’à l’accueil des stagiaires . Elle avait pris tres sérieusement ses notes, visité la maison pour être en mesure d’accueillir les arrivants . 

     Puis il l’avait convié dans son Bureau ... elle avait paru surprise par la décoration de la Salle de jeu . Se penchant alors vers elle il lui demanda d’enlever son haut et de dénuder sa poitrine . Il avait une envie pressante de se vider en attendant de passer aux choses sérieuses avec les stagiaires et cette petite chaire fraîche , malgré son visage un peu niais , possédait une poitrine splendide . Elle parut interlocquée mais Il vit dans son regard ce petit voile étrange qu’il connaissait si bien .      Elle était déjà un peu LUI . 

     Elle avait enlevé son chemisier puis , un peu tremblante , son soutient gorge . Les seins étaient tellement fermes qu’ils ne pendaient pas et rebondissaient même légèrement quand elle bougeait . Il l’avait conduite vers un petit banc rembourré de tissus rouge sur laquelle elle s’était allongée sur le dos . Elle avait commencé à déboutonner son pantalon mais Il le lui avait interdit . Il se réservait pour d’autre con plus subtils que celui ci . Elle avait accepté sans rien dire de lui offrir sa poitrine pour se vider .      Il avait alors littéralement violé les seins de la jeune fille , plantant son sexe entre les deux mamelles frémissantes, les écrasants contre sa pine dressée , ne pouvant s’empêcher de gifler cette petite salope dans un excès de joie , avant de lui fourrer la bouche jusqu’à la garde . Il n’avait pas dominé d’aussi jeune fille depuis un moment et ne s’était pas retenu de jouir , elle s’étouffait à moitié, noyée par le flot de sperme et la queue qui lui bouchait la gorge .      Il avait été obligé de la punir comme on le sait car elle avait désobéi à son dernier ordre . Le lecteur connaît la suite . 

     Il était ravi de cette première étape d’humiliation de la jeune assistante, nécessaire à sa domination sur le futur groupe . Elle avait tenu ses engagements, la petite surprise de son évacuation inopinée tombait bien à propos pour renforcer son "inception" sur elle, Il n’aurait plus qu’un signe à faire pour qu’elle obéisse . Et le lot de punition qu’une jeune idiote de son genre pouvait endurer était un vrai délice . Il s’occuperait notamment de son petit trou vierge d’une manière ou d’une autre . Il était de toute façon bien trop serré pour qu’elle subisse à ce jour le traitement qu’il avait en tête . Il devrait songer à entretenir l’élargissement de la demoiselle, à un rythme que son muscle supporterait .

     Avant d’aller au lit Il s’absorba dans la photo de Sophie, cette jolie blondinette de 38 ans, adorable comme un petit bonbon sucré . Emma avait confirmé que la trentenaire était ravissante et le savait . Il aurait tout loisir de lui faire prendre conscience qu’elle n’aurait aucune chance de le charmer lui mais qu’elle devrait au contraire prouver qu’elle méritait autre chose qu’une succession d’humiliation bien pires encore que celle subies par la petite truie d’assistante . 

J 1 , matin , Myriam,

       Myriam conduisait rapidement sur cette autoroute un peu désertique au petit matin, la nuit finissant juste de s’estomper . Elle s’était levée tôt pour pouvoir être à l’heure car le trajet était long . Afin de se réveiller complètement elle alluma la radio et brancha une fréquence plus "intello" que musicale . Un débat intéressant sur la psychologie, justement . Elle même psychologue depuis 5 ans elle trouva tout naturellement écho dans les propos du spécialiste,  interrogé sur la contrainte que la société imposé en terme de carcan , métro, boulot, dodo ... 
          Elle avait 29 ans et elle se sentait assez partagée sur sa vie . Un job intéressant , des hobbies culturels, une passion pour le cheval . En contrepoint , plus de mec depuis 3 ans , larguée comme une chaussette . Folle amoureuse elle avait souffert , tentant de trouver un sens ou une solution grace à ses connaissances professionnelles . Mais le néant était resté .      Elle était assez secrète , réservée mais très gentille et ne se rendait pas vraiment compte qu’elle était aussi une jolie fille . Courtisée donc , mais n’osant pas se lancer dans une aventure pour une aventure elle ne sautait pas le pas avec les hommes . Grande, brune avec un fessier calypige , une poitrine menue mais bien souple , un visage de déesse grecque , elle ne faisait néanmoins pas d’effort particulier pour s’apprêter ni s’habiller .        À une petite période de sa vie il y a 6 mois , elle avait senti une bouffée d’hormones l’envahir et un désir assez cru de relation charnelle l’avait pris . À cette époque elle vivait en colocation avec une amie de fac dont le compagnon vivait à l’étranger pour quelques mois .       Un soir de cette période les deux amies avaient bu un verre de trop et l’une comme l’autre avait convenu que le sexe leur manquait . Sans trop savoir comment , Myriam s’était retrouvée en culotte sur le lit de sa colocataire, échangeant un long baiser avec elle  , avant que cette dernière se mit à lui masser le sexe à travers la fine culotte qu’elle portait .       L’excitation n’avait néanmoins pas renversé Myriam et elle n’avait pas retrouvé dans cet acte viril le plaisir qu’elle ressentait avec son ex . Elle avait été étonnée par contre de mouiller autant , son slip était trempé .       En contrepartie elle avait en suivant tenté de se forcer à faire un rapide cuni à sa colocataire mais le goût epicé de là cyprine mélangé à une petite odeur de pipi lui avait déplu et elle s’était contenté d’une caresse appuyée du clitoris qui pointait devant son nez . L’amie eu un spasme rapide , les deux filles s’étaient séparées quasiment aussitôt et n’avaient jamais reparlé de ce demi échec . Quand le compagnon de sa colocataire était rentré de voyage , Myriam avait entendu bien malgré elle que son amie semblait préférer nettement les caresses de son amant .             Le constat était donc en demi teinte sur sa vie, elle avait donc vainement cherché pendant des mois une thérapie ou un autre horizon à explorer . Elle avait dégotté cette formation d’hypnoanalgesie qui pouvait lui apporter un plus professionnel, son employeur la lui offrant sans soucis elle avait foncé .  

     À mi chemin elle fit une pause avant de quitter l’autoroute , son GPS indiquant 1h25 de trajet restant . Elle s’arrêta prendre un thé sur une petite aire d’autoroute et faire un petit détour aux toilettes .       Elle rentra dans la cabine et s’assit pour uriner et changer son tampon hygiénique .      Quand elle eu finit elle s’apprêta à sortir de sa cabine quand tout à coup elle entendit un pas lourd et typiquement masculin , elle constata alors avec gêne qu’elle n’avait pas fait attention en rentrant mais qu’elle se rappelait à l’instant avoir vu des urinoires à sa droite en rentrant , elle était donc chez les hommes .      Les pas s’arrêtèrent non loin de sa porte et elle entendit un homme qui ouvrait son pantalon, puis en suivant le jet d’urine frapper la faïence de la pissotiere . Elle refréna un sourire, en se disant que c’était tout elle de se tromper ainsi , pour un peu elle sortait et tombait face à une quequette.      L’idée la fit sourire et lui rappela ce fantasme qu’elle avait assouvi avec son ex . Un excellent souvenir , même si elle en rougissait quand elle y pensait . Il lui avait avoué avoir très envie de la salir sous la douche . Toute psychologue qu’elle était elle avait voulu explorer ce petit côté sombre de son couple et avait dit "ok pour tout" . Il l’avait donc envoyé se laver sous la douche en lui demandant de laisser ses vêtements devant la douche. Elle avait obtempéré et était partie se doucher .      Il était venu la rejoindre peu après et lui avait dit de garder les yeux fermés , ce qu’elle avait fait . Il lui avait raconté ensuite qu’une fois qu’elle etait partie se laver il avait reniflé tous ses vêtements avec une insistance particulier pour les bretelles de soutif (Myriam savait qu’elle avait une odeur de transpiration un peu forte parfois mais ce jour là elle n’avait rien remarqué) et l’entrecuisse de sa culotte . À ces mots Myriam avait ressenti une vague de chaleur lui monter dans le ventre, majorée par une main vagabonde qui jouait à effleurer  les grandes lèvres de son sexe . Il lui susurra à l’oreille avoir lèché la petite goutte d’urine qu’elle avait mal essuyé et insisté aussi sur la partie qui avait frotté la raie de son cul, fente largement ouverte d’ailleurs dans laquelle il adorait se perdre . Il l’avait inité au début de leur relation à la sodomie, bien aidé en cela par une Myriam folle amoureuse d’une part , et un anus accueillant s’ouvrant avec une facilité déconcertante d’autre part .      Il l’avait senti monter très fort et très vite et sous la douche il la prit avec une virilité qui envoya Myriam au plafond . Elle jouit très fort ce soir la, le laissant lui aussi éreinté . Puis, sans la prévenir il lui avait uriné sur les fesses , un grand jet chaud et odorant, le dirigeant même entre sa raie . Elle fut surprise mais loin d’être écœurée et même portée par l’élan de son plaisir à explorer cette facette noire de son couple, s’était retournée pour qu’il finisse de vider sa vessie sur son ventre et son intimitée . Ce fantasme ne s’était pas produit à nouveau mais notre jolie brune y repensait régulièrement en se demandant ce qui lui avait plus là dedans .      3 mois après il l’avait quitté et lors de l’épisode lesbien elle avait été dégoûtée par le petit arrière goût d’urine de sa colocataire, elle supposa donc à posteriori qu’elle n’aimait pas être actrice de ce genre de jeu mais plutôt en être la "victime" . Quoi qu’il en soit cela ne s’était pas reproduit et elle n’avait pas eu de relation sexuelle avec un homme depuis maintenant plusieurs années, ce qui lui semblait à la fois totalement stupide mais aussi insurmontable .      Elle n’y arrivait pas . Elle ne se sentait pas nonne , loin s’en faut mais elle ne se mettait pas en tête de faire l’amour, malgré des pulsions certains soirs, pulsions calmées par un petit gode nervuré , très étroit  mais qui lui permettait (rarement il est vrai) de maintenir son anus compliant à la pénétration .      Elle avait découvert cela avec son ex , elle savait que les hommes aimaient , que bien des femmes sont trop prudes ou trop serrées pour assouvir cette envie et elle s’estimait heureuse de ne pas avoir ces soucis . Sa seule réticence avec son popotin était qu’elle n’aimait pas qu’il lui éjacule dedans . Les alternatives qu’il lui avait proposé lui convenait, sur la tête (pas le visage, mais bien sur les cheveux et pendant ce temps là elle lui léchait les couilles) ou sur son ventre bien plat . Souvent , même par devant il sortait pour asperger son bidou. Elle avait analysé cela comme un besoin de la rabaisser en la salissant et cette idée l’excitait en tout point . De même , si la sodomie durait un peu il lui arrivait de salir son amant, jamais grand chose mais quelques traces parfois, et bien il se faisait une joie ces fois la de venir sur ses cheveux pour qu’elle admire ses souillures . Au début cela la gênait , par la suite elle y avait trouvé une sorte d’excitation animale . Il la rendait folle de toute façon .           L’homme sortit enfin et Myriam lui emboîta le pas puis sorti l’air de rien de la boutique pour rejoindre sa voiture . Elle mit le contact et calla son trajet sur l’itinéraire du hameau ou elle allait .       1h30 après elle arriva devant le portail qu’avait emprunté Sophie la veille . Devant elle , une voiture venait juste de s’arrêter . Elle aperçut une femme blonde , les cheveux tirés en arrière , peu être un peu plus âgée qu’elle, ainsi qu’un homme du même âge que la femme , les deux formaient un couple de toute évidence . Le portail s’ouvrit à cet instant et les deux véhicules viennent se garer dans l’allée devant la maison . 

      Myriam regarda le couple sortir de la voiture , la femme portait une robe sayante et des petites bottines , l’homme etait plaisant à regarder pensa Myriam , tres souriant , charmant sans être beau . La femme etait de taille moyenne , blonde , de beaux yeux verts, un nez anguleux mais un beau visage, bien proportionnée dans son ensemble . Myriam chercha l’homme du regard pour le détailler mais il s’avançait déjà vers la jeune fille qui arrivait toute souriante vers eux . Cette dernière effectua un Check up des documents d’inscriptions, proposa son aide pour les bagages et effectua avec eux le même parcours qu’avec Sophie la veille .

      Myriam ne pu s’empêcher de constater que l’homme avait un regard appuyé sur les fesses de l’hôtesse quand elle montait l’escalier devant eux, ce qui lui parut drôle car elle venait d’avoir le même réflexe envers sa femme dont la robe en montant l’escalier dévoilait une cuisse appétissante . Du moins Myriam le supposa t’elle . 

      En arrivant dans le couloir du haut ils croisèrent Sophie et tout le monde se présenta . Emma attribua la chambre 3 au couple et la 4 à Myriam . Celle ci lui demanda si on attendait encore quelqu’un mais la jeune fille assura que non, la numero 1 etait vide c’est tout . 

 -" il est 10h, on se retrouve à 14 h pour le début du stage , je vous laisse vous installer , vous pouvez vous préparer à manger dans la cuisine au dessus du jardin japonais , bonne installation .  Je viendrais vous chercher , à toute à l’heure ."

      Elle réitéra la courbette de la veille et Myriam constata comme l’avait fait Sophie la veille que le décolleté était généreux . 

      Le cadre était propice à la méditation , calme et isolé , cela plaisait à notre psychologue . Elle alla s’installer dans la chambre et n’ayant pas très faim , décida de sauter le repas et de s’offrir une petite sieste sur le lit .

      
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