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La tour d'ivoire, le temps des soumises

Chapitre 1

SM / Fétichisme
J1, Emma et les soumises , le soir .

     Emma ne perdit pas de temps.     Elle cueillit la belle Myriam toute débraillée, le pantalon déboutonné, le visage hagard et les yeux mouillés de larmes, le rimmel de ses beaux yeux sombres coulant sur ses joues . La jeune assistante entrevit aussi les souillures sombres qui commençaient à marquer l’entrejambe du pantalon .     Elle fit lever la jeune femme et l’entraina dans sa chambre ; en chemin Emma admira la belle psychologue, elle avait vraiment un corps à croquer, grande, sensuelle, une grâce qui semblait infinie, le Maitre aurait sans doute de grands projets pour elle et la jeune soumise en fut jalouse.    

     Elle aurait tant aimé que le Maitre se satisfasse d’Ondine et de Sophie, elle savait qu’elle arriverait à faire mieux que ces deux là, elle avait en elle une immense envie de connaître son coté sombre et cela, Il pouvait le lui révéler . 
     Mais Myriam était un vrai fantasme ambulant, sa domination risquait de freiner l’apprentissage d’Emma et elle en eu un pincement au cœur .

     Myriam subit en arrivant dans sa chambre le même traitement que les autres et s’y plia étonnement facilement . Déçue de ne pas être obligée de la gifler pour la faire mettre nue, Emma se satisfit en contrepartie de la beauté du spectacle. Les seins étaient de taille moyenne mais charmants, fermes et pointant leurs auréoles brunes claires vers le ciel, le ventre plat menait sur une taille étroite surmontant un fessier callipyge dans lequel disparaissait une culotte froissée en satin . 

     Ladite culotte était évidemment souillée de menstruations puisque le Maitre avait enlevé le tampon de la belle pour la doigter et le sang avait marqué aussi l’intérieur des cuisses de trainées marron .
     Myriam se sentait vidée. Son cerveau paraissait paralysé et se voir nue, dégradée par ses souillures de femme ruisselantes, lui semblait un cauchemard . Mais tout en elle savait qu’elle ne dormait pas. La sensation de froid sur sa peau, le regard insistant de la jeune fille en face d’elle, les ordres que cette dernière lui donnait, le fait qu’elle se soit déshabillée sans pudeur, elle qui n’aimait pas être nue sauf devant ses amants . De toute évidence elle ne rêvait pas .
       En son fort intérieur elle disait, hurlait, même , NON ! , mais son corps agissait quand même . Elle en concevait une sorte d’effroi . 
     Obéissant à un nouvel ordre elle se retrouva à genoux, penchée en avant et cambrée au maximum, offrant donc une vue imprenable sur son intimité sale à la jeune fille restée derrière elle . Elle visualisa soudain que c’était dans cette position que son amant aimait la prendre par les fesses, lubrifiant au fil des mois de moins en moins son anus pour finalement la pénétrer après un crachat bien ajusté sur la rondelle .      Elle n’avait donné son anus qu’à cet amant là mais les quelques hommes qui avait eu la joie de la prendre avaient adoré eux aussi le faire dans cette position qui la mettait tellement en valeur .

     Emma admira la croupe de la femme qui se donnait en spectacle devant elle : c’était admirable et le Maitre adorerait à sa juste valeur ce corps olympien . 
     Elle lui édicta les règles en ne quittant pas des yeux ce cul dont elle était jalouse :
     " Tu appartiens au Maitre, tu lui dois tout tu n’es rien sans lui, tu manges parce qu’il te le permet, tu dors si lui le veut, tu accèdes à tous ses désirs, tu n’as pas mal, tu souffres pour apprendre à être une bonne soumise .
       Tu auras le droit de sortir de la chambre quant tu n’auras plus tes règles, en attendant tu es cloitrée ici et tu resteras nue . Si tu salis quelque chose tu le nettoie, tu vas devenir l’esclave de ta chatte sanglante !!!! 
        La petite pute blonde te donnera à manger tous les jours si tu es bien propre, sinon tu jeûneras ! Ta chatte, ta bouche et ton petit trou sont au Maître, interdiction d’y toucher sauf pour te laver , suis je claire ?"
     Elle agrémenta la fin de sa phrase d’une claque sèche sur le fessier bien blanc qui était posé devant elle, y laissant une marque rouge vif . Au fond d’elle elle aurait aimé plus, faire souffrir cette jolie fille insolente de sensualité, mais elle se ravisa, la souffrance était pour le Maitre, pas pour elle .
     Elle sortit donc et ferma la porte derrière elle . En traversant la salle commune elle trouva Sophie, toute propre, sentant merveilleusement bon et bien coiffée, totalement nue avec des petites sandales aux pieds qui ouvrait la porte de l’eunuque et s’y faufilait . 
     "La petite pute blonde va passer un sale moment à faire bander ce pervers" pensa t’elle et elle en soupira d’aise, tout fonctionnait comme le Maître l’avait prévu, elle aurait peut être une récompense ...   
     Son sexe lui faisait mal de désir, encore plus depuis qu’elle avait vu Myriam nue et qu’elle avait pensé à ce que le Maître lui ferait sans aucun doute subir . Emma avait une folle envie de se branler, elle se sentait dégouliner, le simple frottement contre la culotte trop serrée de Sophie lui provoquait des élancements de plaisir . Néanmoins et malgré le trouble qui l’animait, elle se retint et se dirigea vers sa chambre .

J1, Le Maitre et Ondine

     Ondine s’était réveillée entièrement nue, couchée sur le ventre et la première sensation qu’elle eu dans le brouillard qui embrumait son cerveau fut que son mari venait de pousser son sexe plus loin qu’elle ne le lui permettait dans son fondement . Elle avait mal comme si il était dans son précieux anus mais sans va et vient .      Par reflexe elle chercha à le chasser de la main mais elle ne rencontra que du vide derrière elle , excepté à l’entrée de ses fesses où une sorte de gode ( elle ne connaissait pas les plugs) lui bouchait le fondement ; elle sentit alors deux mains s’emparer des siennes et les lier avec une cordelette.        Elle n’aimait pas être attachée, préférant aux jeu des menottes être celle qui attache que la victime de la contention .
      Elle aurait voulu se lever et crier sa douleur mais ses jambes étaient elles aussi liées l’une contre l’autre et elle ne pouvait pas esquisser le moindre geste .
     Le Maitre jeta un œil avisé au tableau : celle qui serait son Epouse soumise durant ce stage était une jolie fille, sans plus mais charmante. Il comptait bien abuser d’elle et lui infliger à la sauce SM tous les devoirs qu’une bonne Epouse se doit d’honorer . Les seins étaient petits et un peu tombants mais le téton était si doux et soyeux qu’il entrevoyait avec joie les sévices futurs .
     La bouche pulpeuse le réveillerait tous les matins par un nettoyage de sa bite et les fesses bien larges sauraient lui prodiguer bien des plaisirs .      
     Elle serait son garage à bite, offrant une chatte toujours écartée à son Maître si l’envie lui plaisait de la fourrer .
     Pour commencer il l’avait donc couchée sur le ventre, nue, puis l’avait attachée . Elle dormait toujours quand il avait écarté les deux grosses fesses pour admirer la rondelle ridée bien rose qui surmontait un con bien gonflé et rebondi . Il constata que la belle négligeait de s’épiler la raie du cul et que quelques poils blonds gâchaient la vue .      Elle serait punie pour cet affront plus tard . Le plug lutta un peu pour violer l’intimité de la jeune femme mais la rondelle ceda et il finit par s’ancrer solidement au moment ou elle se réveilla . 
     Il lui expliqua les règles en cinglant ses belles fesses avec une baguette en osier, ponctuant ses phrases d’une tape ferme . 
        Elle était son Epouse

        Elle lui devait obéissance

        Elle n’aurait de rapports sexuels qu’avec lui et les personnes qu’il lui indiquerait

        Elle ne verrait l’eunuque que si le Maître le lui demandait et qu’elle était sage

        Elle devait toujours être propre, parfumée et sexy, avec des talons ou des chaussures qui mettaient en valeur ses pieds

        Elle devait chaque matin le réveiller en le suçant

        Elle ne parlait que si il le lui disait

       Elle ne jouissait que si elle y était autorisée

       Elle aurait voulu lui dire d’aller se faire foutre, qu’elle n’était pas sa femme, que tout cela elle le voulait mais avec son mari, pas avec lui . Pourtant elle ne dit rien et quand il lui demanda de choisir quel collier de chien elle voulait elle lui montra celui qu’elle trouva le plus beau en éprouvant une gène indicible à faire ce choix sans s’insurger .

        Quand il lui attacha la laisse autour du cou pour la trainer dans l’ascenseur au bout du couloir, le plug lui comprimait tellement le bassin qu’elle eu la sensation d’être prise dans son vagin aussi . Elle constata avec effroi qu’elle était trempée de mouille et que son corps lui réclamait du plaisir .

 
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