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La tour d'ivoire, le temps des soumises

Chapitre 3

SM / Fétichisme
J2, 9h45, les soumis et le Maitre

     Ondine se réveilla vers 8h et mit 10 mn à sortir de la torpeur étrange qui l’envahissait . Elle était nue dans le lit d’une pièce inconnue, elle portait un collier clouté en cuir et son corps entier lui envoyait un message d’alerte . Elle avait l’anus en feu, comme si une vrille était en train de la transpercer, sa petite chatte pulsait comme si un pieu l’avait empalé et ses cuisses et ses seins étaient zèbrés de marques rouges rectilignes . Pour finir elle constata en se redressant qu’elle avait été mordue dans le cou à plusieurs endroits.       Elle se leva avec difficulté du lit et petit à petit la nuit se rappela à elle : le Maitre avait commencé son éducation .     Elle avait le plus grand mal à se rapeller de tous les détails mais machinalement elle alla prendre sa douche, obéissant à l’ordre qui lui avait été donné d’apparaître toujours propre, sexy et disponible pour se faire baiser . Elle régla l’eau sur une température bien chaude et frotta amoureusement son corps .      Elle enduisit ses petits seins douloureux de crème hydratante et remarqua que les tétons étaient bien gonflés . Elle se rappella alors le supplice des pinces qu’il lui avait imposé pendant qu’elle le suçait . Il avait enfoncé sa grosse bite (plus grosse de facilement 5cm de long et surtout plus épaisse que celle de son mari) dans sa gorge, lui limant la bouche sans attendre . Elle avait été punie par une succession de coups de baguette sur les seins car elle suçait mal .      "On dirait une collégienne qui fait sa première pipe, pauvre conne, aspire de toutes tes forces, va chercher le jus au fond de ma bite, tu dois t’améliorer si tu veux rester mon Epouse !"      Sur ce Il l’avait faite allonger sur le lit, tête pendant en dehors du matelas et avait enfoncé jusqu’à la nausée sa queue dans la gorge d’Ondine .         
    Elle n’avait jamais subit de gorge profonde et la douleur du viol de sa bouche s’était mêlé aux larmes et aux spasmes qui lui soulevait l’estomac à chaque aller retour de la bite . 
     Le Maitre avait été fort déçu des pietres capacités de pompeuse de son Epouse (même les lycéennes du groupe précédant suçaient mieux dès leur arrivée) , en revanche elle etait d’une docilité phénoménale, telle une poupée de chiffon elle ne résistait pas quand il lui donnait un ordre . Il se retint de jouir dans sa bouche ( au demeurant elle avait une bouche superbe, des lèvres pulpeuses et une petite langue ronde et douce ) et quand il se sentit au bord de l’orgasme il l’empala sans ménagement sur sa queue . La petite chatte était superbement mouillée, d’autant plus étroite que le plug dilatait toujours le petit trou du cul .
     Il avait apprécié la moiteur torride de cette fente ferme, tout juste fendue, sans ces grandes lèvres pendantes qu’il détestait, un bel abricot qui serrait avec brio sa queue dressée.      Elle gémit lors de l’intromission car il n’avait pas pris le temps de l’élargir avec ses doigts avant, chose qu’elle appréciait particulièrement avec son mari . Depuis toujours elle avait aimé être prise, sentit une queue bien dure la prendre, s’enfoncer en elle et ramoner sa petite chatte, toujours très étroite au début, puis dilattée rapidement pour devenir une véritable fontaine de cyprine . Se faire doigter avait toujours été un plaisir pour elle . Autant certaines femmes n’aimaient que les caresses clitoridiennes, autant Ondine prenait plaisir à se faire fouiller l’intimité par des doigts hardis .       Hors le Maitre venait de l’empaler comme une véritable pute, sans même s’intéresser à ses prédispositions à se faire enfiler de suite . Elle ressentit une belle douleur due essentiellement à la taille du barreau qui la fouissait . Elle chercha à se rattacher à cette douleur pour execrer ce qui lui arrivait .      D’abord sa bouche violée et maintenant son petit bijou qui se faisait défoncer . Le Maitre la limait sans se préoccuper le moins du monde de son Epouse, quasiment mécaniquement et se laissa même aller à lui mordre le cou . Elle était coincée sous son corps et ne pouvait pas bouger, à peine lui laissait t’il l’amplitude nécessaire à la respiration . Les morsures lui déclenchèrent une vague étrange de douleur mêlée d’excitation . Elle aimait bien que son mari la mordille, le mélange de douleur et d’andorphine libérée par cette dernière lui tournait la tête . 
     Quand elle le sentit décharger elle fut stupéfaite de sentir qu’elle était elle aussi sur le point de jouir . Tout son corps vibrait de la violence de l’assaut, les parois de son sexe étaient bouillantes et elle sentait battre son cœur au rythme des pulsations de la semence qui inondait son vagin .   
     Quand il se retira elle en fut éminemment contrariée car elle était au bord de l’orgasme.    Le Maitre lu dans les yeux de sa petite soumise la déception . Néanmoins, sa piètre prestation de suceuse ne lui permettait pas de prétendre au plaisir, Il n’avait donc aucune raison de la laisser se faire du bien .     Il admira le con ouvert, rouge de frottement, la toison poisse de cipryne et dégoulinante de sperme . Ce dernier , en coulant d’Ondine , venait tâcher le drap et recouvrir la tête du plug qui plongeait dans son cul . Ondine se retint de caresser son petit bouton gonflé car elle sentit que le Maitre ne serait pas d’accord . Elle l’avait déçue en le pompant et se rendait bien compte que malgré les encouragements de son mari elle n’excellait pas dans cette tâche qui pourtant l’excitatait . Elle n’osait jamais aspirer trop ni sucer très fort de peur de prendre la semence dans la gorge . 
     Elle avait donc manqué à son devoir et malgré l’excitation qui l’avait gagné quand Il lui avait démonté la chatte, elle craignait de devoir subir encore une punition .      Le Maitre savait exactement ce qu’il allait lui faire subir . Il passa la main sur le minou ouvert, étalant au passage tout le foutre sur la toison et les lèvres de la femme . Le contact sur son sexe et son clitoris, lubrifié naturellement par le foutre chaud, replongea Ondine dans un trouble intense . Les décharges de plaisir lui traversaient le ventre à chaque caresse du Maitre . Elle allait de toute évidence jouir comme une folle . Sa bouche entrouverte émettait des gémissements de plus en plus forts et son corps se cambrait sauvagement . "Tu vas jouir ?"" oh ... oui, continuez, continuez s’il vous plaît ""Tu vas jouir comment ?"" fort, fort, fort, c’est trop bon"Il sentit l’onde de l’orgasme traverser la belle et le spectacle en valait la peine . Elle écartait les cuisses pour le laisser la branler sans aucune pudeur , ses mamelons étaient dressés , son ventre se soulevait , ses orteils se crispaient de plaisir pendant que ses yeux se révulsaient .
     Elle vivait un vrai dilemme, le Maitre la forçait depuis 2 heures à un vrai calvaire, d’abord le choc d’être nue, empalée sur un plug , traînée en laisse , forcée à recevoir une pine jusque dans le fond de sa jolie bouche , puis limée comme une garce avant d’être souillée . Et maintenant elle allait jouir et elle sentait bien que cela allait la renverser, sans retenue . Elle décida de se laisser aller, après tout c’était trop bon .
     Il arrêta subitement de la branler et passa ses doigts dans la petite toison claire qui surmontait le puit d’amour en train de jouir . Il serra bien les petits poils entre ses doigts et les tira subitement très fort     Ondine eu l’impression que son cœur s’arrêtait . Au moment où son corps se laissait aller à l’orgasme, le Maitre venait de la punir dans un torrent de douleur cuisante . Elle eu la sensation que son sexe explosait et immédiatement l’orgasme tant attendu s’enfuit, laissant place à une brûlure intense et une frustration immense .      Il relâcha sa prise quasiment immédiatement et l’observa pliée en deux pour retrouver sa respiration .     Ondine sentit les larmes lui inonder le visage . Au travers de ce rideau elle vit le visage du Maitre se rapprocher d’elle et lui murmurer en lui tenant le menton qu’elle ne jouirait pas tant qu’elle ne sucerait pas mieux .      Quand Il lui demanda si elle avait bien compris, Ondine acquiesça et ressentait une double peine en son fond intérieur : elle n’avait pas donné au Maitre ce qu’Il voulait , elle avait fauté et donc elle était punie . Tout était donc de sa faute . 
"Bien, mets toi à 4 pattes maintenant et marche dans la chambre que je m’assure que tu sois une bonne Epouse docile"
     Ondine ravala ses larmes et s’exécuta . La position etait availlissante, d’autant qu’elle se doutait bien que le plug devait briller dans la demi pénombre de la chambre . Néanmoins elle savait que le Maitre serait content de sa démonstration . Elle avait déjà fait la chienne pour l’amant précédant son mari et elle avait aimé le faire      . À l’époque elle n’était pas empalée sur un olisbos mais portait une culotte fendue et des bas résille , fantasme de son amant et il avait été ravi du spectacle, au point qu’il avait failli jouir en la regardant simplement . Effectivement, le Maitre apprécia le tableau , la petite salope ondulait à merveille et son cul large rendait très bien avec le plug qui la déformait .     
     Par pur plaisir Il la laissa se promener ainsi une bonne dizaine de minute, avant de la conduire sur la table ou quelques jours auparavant il avait plugé Emma .         Ondine remarqua , quand Il l’attacha sur le ventre sur la table étroite , qu’il bandait à nouveau . Elle aimait l’idée qu’elle arrivait à lui procurer du plaisir malgré ses écarts de conduite . Quand elle fut ligotée elle n’avait plus aucune latitude de mouvement et offrait son cul sans possibilité de refuser . Il lui écarta les jambes et menotta chaque cheville .
      Au passage Il admira la beauté des pieds de son Epouse, très fins et bien proportionnés, élégamment peints, délicatement veinés . Il passa la main entre les fesses de la belle, au milieu de la moiteur collante du sperme qui avait inondé la raie de son cul et étala les restes de foutre et de mouille sur le fessier bien blanc et large qui se donnait à lui .    Il empoigna le plug et tout en le faisant tourner, tira dessus fermement . Ondine serra les dents quand la partie renflée lui déchira l’anus . Elle était déjà bien dilatée et son petit trou n’en avait plus que le nom . Le Maitre admira la jolie rose rouge qui fleurissait au milieu des galettes de son Epouse . Le plug etait bien plus gros que celui qu’il avait posé à Emma l’avant veille .
    L’anus était dilaté comme après une bonne sodomie . Il alla jusque au fond de la pièce chercher un petit flacon de lubrifiant et en fit gicler directement dans le fondement dilaté .      Ondine eut l’impression qu’elle était fendue en deux, elle ne contrôlait absolument plus son petit trou habituellement serré et quand le liquide gluant atterri dans sa cavité secrète, elle en fut si surprise qu’elle chercha à se cabrer . Son mouvement fut réprimé par les cordelettes qui lui liaient poignets et cheville sur sa table de torture .       Elle entendit le bruit caractéristique d’un homme qui enfile un préservatif et en fut étonnée car jusque là, Il l’avait baisé sans aucune protection . Par réflexe elle tenta vainement de serrer les fesses mais Il les cramponnait déjà bien ouverte. Immédiatement elle en fut troublée car la levrette, pas son côté animal, lui avait toujours plu .      De plus dans cette position elle sentait son mari plus loin et cela l’excitait depuis toujours . Néanmoins elle n’appréciait pas la position pour se faire enculer car elle lui rappelait un souvenir cuisant, jamais raconté à son amant . À ses 19 ans, avec son amant elle avait fait des galipettes à la plage à la nuit tombée et quand il l’avait mis dans cette position, après quelques coups de rein dans sa chatte il était sorti et avait tenté de forcer son cul malgré ses dénégations . Il avait réussi sans mal à enfoncer son gland dans la rondelle étroite mais elle avait eu si mal que tout s’était arrêté la .     Deux jours durant elle avait eu l’impression que son cul était defoncé . Elle n’avait jamais renouvellé avant les récentes expériences avec son mari .
      Le Maitre sodomisa Ondine jusqu’à ce que ses couilles frottent contre le con moite de sperme .      Elle cria , pas tant par l’intromission , facilitée par la dilatation exemplaire de son cul, mais par la longueur qu’il lui enfila dans le cul . Elle n’avait jamais été limée dans son fondement et la sensation de se faire baiser le fion comme une chatte était insupportable à ses yeux .      Elle n’arriva pas à autre chose qu’à pousser des gémissements , mélange de surprise, de douleur, d’incompréhension, et à mordre le revêtement de la table, en cuir rouge bordeaux .     Pendant ce temps, le Maitre admirait son œuvre, dressé comme une bête .
      La belle avait le cul tellement large qu’il avait pu l’enculer sans attendre. Elle était juste assez serrée pour qu’il la sente comme un fourreau autour de son membre .     Ce qu’il ressenti durant la pénétration initiale était divin, l’huissier était très tonique et se moula autour de lui, bouillant comme seul peut l’être un anus, lui procurant immédiatement la sensation escomptée .       Sa belle Epouse sembla moins bien supporter quand il se mit à la limer comme une traînée . À chaque fois qu’il finissait de planter son pieu dans le fond de son cul elle se cambrait et étouffait de beaux cris authentiques . Il se concentra sur le tableau qu’il avait la chance d’avoir sous les yeux .      Les deux grosses fesses avec cette queue au milieu qui allait et venait dans cet anneau écarlate, ces hanches fines , cette cambrure superbe imposée par la table, ces beaux cheveux étalés sans retenue sur un visage crispé . À l’extrémité des jambes, Il admira aussi les petites cheville fines, meurtries par les cordelettes et les petit pieds menus si élégants dont les orteils se crispaient à chaque ruade du mâle .  
     Dans ce contexte la Il sut qu’il ne tiendrait pas longtemps ainsi et de plus il ne voulait pas que sa jolie Epouse soit trop éreintée pour subir son asservissement du lendemain . Il s’enfonça d’un dernier effort dans le cul sans résistance d’Ondine et ejacula dans un grognement sauvage .
     Ondine se sentit soulagée quand elle entendit le Maitre jouir , son calvaire prenait fin pensa t’elle .    Elle ressentit les spasmes de l’homme dans son dos, la chaleur des testicules collés contre sa vulve .     Il resta longtemps en elle après avoir ejaculé . Quand il daigna enfin se retirer de son cul meurtri, elle fut presque surprise de sentir les liens qui la maintenaient se détacher . Il la redressa étonnamment gentiment et avec précaution avant de l’amener vers un siège en cuir sur lequel il s’assit et devant lequel il la fit agenouiller .      Elle avait mal partout, Il lui semblait que son corps était fendu en deux et chaque pas la faisait souffrir .     "J’espère que tu as aimé ton entrée en matiere , tu feras peut être une bonne Epouse mais je n’en suis pas encore sûr . Tu vas devoir améliorer certains points , dés demain matin tu viendras me sucer dans mon lit . J’attends de toi que tu fasses plus d’effort que tu n’en as fait aujourd’hui . Je te rappelle que tu n’as pas le droit de jouir sans demander la permission . "     Ondine hocha la tête, honteuse du spectacle affligeant qu’elle pensait donner .     "Maintenant, enleve moi la capote, regarde un peu ce que tu as fait avec ton cul sale!"     Étonnée , Ondine leva les yeux et voulu se précipiter pour accéder à l’ordre de son Maitre , après tout Il etait légitime en lui demandant d’enlever sa capote, elle etait sa femme et avait de plus déjà pris plaisir à s’occuper d’enfiler un préservatif à ses amants et à leur enlever ensuite , profitant toujours de ce moment pour admirer la quantité de sperme recueillie .      Mais la , le spectacle etait tout autre , la capote fripée était couverte de traces suspectes et quand elle en compris la provenance elle en devint rouge de honte .     Maladroitement et vaguement dégoûtée elle retira le préservatif souillé , remplit de sperme encore chaud et sentant tres fort le cul .    "Je te laisse avec ta honte, dorénavant tu te laveras le cul comme il faut, je ne supportes pas les filles sales . Et puis tu vas t’epiler comme il faut la raie du cul, ton corps doit être nickel, sans quoi tu seras punie . Déjà, sache que pour la merde que tu as eu l’outrecuidance de tartiner sur ma bite et ta raie pas entretenue, tu subiras une punition de taille dès demain matin et l’eunuque aussi ! " 
     "Maintenant , vas dormir et viens me réveiller avec ta bouche de pute demain matin ."
     Il se leva et la bouscula sans ménagement pour sortir en claquant la porte , la laissant terrorisée par la promesse de la punition future . Elle se releva avec difficulté et alla en sanglotant dans la petite Salle d’eau . Elle se débarbouilla, passa un gant frais sur son sexe encore gonflé, nettoya sa rondelle et fut étonnée qu’elle reprenne déjà une forme quasi normale bien qu’encore dilaté . Elle se trouva souillée malgré la capote, elle eu du mal à endiguer le flot de lubrifiant mêlé a un jus malodorant jaune sale, se promit de ne pas réitérer et se jura de bien se nettoyer le cul dorénavant, elle qui répugnait à s’y fourrer un doigt lors de la douche , habituellement.       Elle trouva dans les tiroirs des bandes de cire et en profita pour s’épiler la raie, arrachant avec douleurs quelques poils blonds.      Puis elle alla se coucher, moulue de fatigue .
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