Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • 1 J'aime
  • 2 Commentaires

La tour d'ivoire, le temps des soumises

Chapitre 4

SM / Fétichisme
J2 10h30 Ondine , Myriam, Emma
Ondine finit de s’habiller et s’admira dans le miroir : une jolie robe noire d’été , portée sans sous vêtements mais avec de belles sandales à talon qui lui cambraient le dos et faisaient ressortir ses fesses insolemment. Elle s’était maquillée , parfumée et enduite de différentes crèmes. Elle se sentait belle et se surpris à espérer que la Maitre la trouverait à son goût , avant d’en ressentir une honte fugace vis à vis de son mari, "mon dieu je suis en train d’apprécier de le tromper"....Elle réajusta sa robe et prit la direction de la chambre du Maitre pour la petite pipe matinale, elle allait faire de son mieux pour le satisfaire...
Ondine venait d’arriver devant la porte du Maitre quand elle vit la porte s’ouvrir et la jeune Emma sortir de chez Lui. Cette dernière la regarda en peine en la croisant, Lui jetant un regard fugace qu’Ondine ne sut décrypter.Elle respira par contre dans le mouvement d’air génèré par le passage de la jeune fille un mélange étrange de parfum léger et d’odeur animale qui lui déplut immediatement. Elle ne pouvait pas savoir que la petite Emma portait un dessou fort souillé en guise de punition, encore moins que ce dessous avait été porté par Myriam la veille. 
Emma etait venue de tres bonne heure voir le Maitre pour sa "visite d’apparence" et exhiber sa tenue afin de faire valider sa conformité. Le Maitre l’avait reçu nu, allongé sur son lit. Quand il s’était levé pour l’accueillir elle avait remarqué qu’il bandait à moitié et que son sexe était encore luisant de lubrifiant , elle supposa que l’Epouse avait eu la chance de faire les frais de son Mâle et en y pensant, elle eut un regain de jalousie envers celle qui avait eu la chance de se faire baiser, elle qui en mourrait d’envie.Le Maitre la fit tourner sur elle même et admira à sa juste valeur la parfaite petite esclave qu’il avait sous les yeux. Il exigea de voir le dessou de Myriam , apprécia qu’il soit aussi bien ajusté au con d’Emma et qu’il soit aussi sale. La petite salope allait en avoir la nausée toute la journée , Il le savait et cela lui procurait un plaisir intense. Elle était de toute façon trop excitée en permanence, Il l’avait remarqué à de nombreuses reprises et cela la rendait moins bonne soumise. Il effleura les tétons dressés et les fit rouler entre ses doigts. 
Emma devenait de plus en plus adepte des caresses, fussent t’elle brutales, de son Maitre. Sa façon de malmener ses tétines lui envoyait des décharges de plaisir dans tout le corps. Il avait le talent de lui faire mal et de la préserver en même temps. Elle en serait devenue liquide si Il n’avait pas soudain décidé de gifler à plate main son petit con juteux. Elle en eu la respiration coupée et les larmes la submergèrent. Il appliqua une demi douzaine de tapes sèches sur sa vulve à peine couverte du mince tissu de la culotte héritée de Myriam. Passé ce douloureux exercice elle se retrouva à genoux...
Le Maitre mesurait chaque minute sa chance que ce groupe de soumises soit aussi convaincu de lui plaire. Emma avait retenu ses cris quand il lui martyrisait le sexe, elle venait de tomber à genou et semblait attendre sa prochaine punition avec délectation malgré les larmes qui avaient emplies ses yeux peu avant. Il jeta un œil admiratif sur le decolletté de la jeune fille , ses seins étaient vraiment sublimes, Il avait rarement vu des filles de cet âge déjà pourvues d’aussi belles poitrines, fermes naturellement et aussi insolentes d’érotisme. Il empoigna sa chevelure et la fit avancer sur les genoux docilement vers le lit.Emma s’allongea sur le ventre et senti avec délectation le Maitre lui baisser sa culotte sur les cuisses. Elle avait encore le pubis en feu après les gifles assennées mais cela n’avait pas calmé durablement son envie de bite. Au contraire même, la chaleur procurée par les frapppes sèches lui donnait maintenant une envie de baiser totalement folle. Elle sentit une main caresser sa croupe doucement et se retint de gémir autant qu’elle pût. Quand Il posa son gland humide et dur sur le sillon de son cul elle mordit le drap pour se retenir de crier. Il glissa son barreau dressé depuis la naissance de sa raie jusque sur sa fente trempée. Quand il passa contre son petit trou Il s’arrêta une seconde et poussa son gland contre la rondelle pour en ressentir la douceur mais s’arrêta quand il surprit une involontaire crispation de la belle. Son sexe échoua contre le con trempé de la petite pute. Sans attendre Il s’enfonça en elle sans rencontrer la moindre résistance. Elle ne pût s’empêcher un soupir de soulagement et cambra son dos tres élégamment. En son fort intérieur il sourit en anticipant la déception de la belle. Il appréciait la jeunesse de sa moiteur, la tonicité de sa chatte à peine sortie de l’adolescence, mais il avait appris au fil des années à préférer les chattes matures, plus difficiles à conquérir mais beaucoup plus joueuses. Le fourreau bouillant et baveux qui l’enverrait à peine tellement Emma etait ouverte n’allait pas être limé , comme la belle l’attendait sans doute. Il ressorti à moitié et , plaquant la jeune fille au lit, Il se masturba dans la chatte , laissant juste son gland dans le minou de la catin qui s’offrait à lui. 
Il ne chercha pas à se retenir et quand l’envie de jouir montât il se retira et vida son foutre sur le cul de sa petite salope, le zébrant de belles coulures blanches. Emma n’en ressentit qu’une nouvelle et intense vague de frustration, le Maitre n’avait même pas daigné l’honorer jusqu’àu fond de son petit con pourtant bien disposé. Elle apprécia néanmoins de recevoir de belles giclées bien chaudes sur elle. 
Elle fut en revanche étonnée de sentir que son Maitre raclerait avec une sorte de spatule le précieux nectar sur elle pour le récupérer. Quand il l’autorisa à se relever elle se rhabilla et dût à nouveau l’accompagner comme la veille , uriner et aspirer le mélange fort en goût du sperme et de l’urine qui émanait de son méat. Puis il la congédiât. 
En sortant elle croisa l’Epouse et ne put s’empêcher de lui jeter un regard de dédain rapide. Cette dernière ne semblât pas le remarquer et paraissait fort pressée, le rouge aux joues.

J2 Myriam 
Myriam se réveilla tôt, gênée par le flux qui souriait de son entrejambe. Elle se maudît immédiatement de ne pas s’être réveillée avant et ne pu que constater les dégâts. Son peignoir était taché par ses menstruations. Elle se secoua et fonça dans la salle de bain pour nettoyer ses puillures avant que la belle Sophie vienne faire son inspection.Cette dernière rentra dans la chambre peu après, alors que Myriam finissait de savonner le peignoir sale. Elle était nue, vêtue seulement d’une paire de bas blanc qui gainaient ses petites jambes parfaitement proportionnées et lui donnait une apparence de fantasme lycéen sur patte.  
Myriam ne pu qu’admirer cette belle fille, tellement différente d’elle mais qui devait à coup sûr avoir un succès fou. La vue de la petite blonde lui fit oublier un instant que cette dernière venait pour inspecter les lieux. Elle comprit trop tard qu’elle aurait dû être plus rapide à nettoyer sa faute. Sophie lui arracha le peignoir des mains et inspecta chaque centimètre de tissu. Quand elle trouva l’inévitable tâche brun foncée elle l’exhiba sous le nez de Myriam et lui annonça très froidement qu’elle serait à la diète pour la journée comme convenu puisqu’elle n’avait pas respecté les ordres du Maitre.Myriam en fut horrifiée , elle mourrait de faim depuis son réveil et elle se sentit défaillir à cette annonce. Sophie la regarda d’un air narquois et la repoussa dans la chambre en lui intimant l’ordre de se reprendre pour le lendemain. De son côté, Sophie appréciait tout particulièrement que le Maitre lui ai confié cette tâche : la grande brune etait une vraie concurrente pour elle et si punition elle devait recevoir, Sophie ne voulait pas que cela soit de la faute de cette fille avec son gros cul. Elle n’allait pas la lâcher si facilement. Elle lui pris le peignoir et la laissa ainsi nue comme un ver, avec sa chatte sale et nauséabonde ( Sophie avait senti en rentrant dans la chambre que Myriam avait des menstrues puissantes et cela la dégoûtait )  
En sortant de la chambre elle claqua la porte , jeta le peignoir dans le panier de linge sale et se dirigea chez l’eunuque. Ce dernier l’attendait de toute évidence car il était tourné vers la porte, dans une position indécente, cuisse écartée face à elle et jouant avec ses testicules. Elle remarqua de suite qu’il n’avait pas besoin d’elle pour bander. Il était déjà érigé autant que la cage le lui permettait et comme la veille, le bout du gland exsudait par grosses gouttes. Elle baissa les yeux et s’approcha de lui. Il grognât en la regardant et lui fit signe de s’approcher. Elle fit un signe de tête pour signifier qu’elle ne voulait pas réitérer le cinéma de la veille et n’accepta qu’à contre cœur de s’assoir à côté de lui sur le matelas. Il la dévora des yeux en se malaxant les couilles et finit par lui montrer sa chatte du doigt. Elle cligna des yeux pour lui faire comprendre qu’elle avait compris et s’installa face à lui. Doucement elle écarta ses jolies jambes et lui dévoila son con de jeune première. L’eunuque paraissait sur le point d’éclater. Il lui mangeait l’abricot des yeux. Elle voulu s’assurer que l’erection serait pérenne et écarta sa petite fente avec deux doigts pour lui exhiber ses petites lèvres. Il éructa et se pencha en avant , collant son visage à quelques centimètres de la vulve indécente pour en admirer les détails.Sophie se sentit très sale d’avoir l’idée de frotter alors le draps contre sa fente pour qu’il’s’impregene de son odeur délicate. Elle en conçu une gêne énorme mais en voyant la réaction de l’homme elle su qu’elle avait touché juste. Quand elle se releva il se précipita pour lécher le tissu sur lequel elle venait de mettre son odeur de femme.Il suça les draps avidement , frottant finalement son visage entier sur la pièce de tissu.Elle quitta la pièce discrètement.
Ondine trouva le Maitre sous sa douche et quand elle s’approcha pour prendre ses ordres Il lui indiqua de rester debout face au mur et de se taire pendant qu’Il se lavait. Elle obtempéra et attendit ainsi sans bouger une bonne vingtaine de minutes qu’Il se lave. Il sortit enfin de la douche, s’essuya méthodiquement tout en l’observant. Puis Il enfila un pantalon et resta torse nu à son habitude. Finalement Il lui donna l’ordre de se menottes toute seule au radiateur mural , sur le barreau le plus haut. Elle éprouva une grande difficulté à fermer la deuxième menotte et le froid mordant du métal lui rappela immédiatement les entraves de la veille. 
Il lui ordonna ensuite de poser un pied sur le rebord du lavabo à ses côtés , ce qu’elle fit avant de se rendre compte qu’ainsi installée , sans sous vêtement , son intimité était toute offerte à qui se pencherait sous sa petite robe estivale. Elle en éprouva une gêne d’autant plus grande que le Maitre remonta immédiatement l’habit pour dévoiler son cul offert, coinçant le tissu dans la ceinture en cuir qui entourait sa taille. Sans aucune vergogne il écarta les belles meules et lui fourra un doigt dans le cul, fourrageant son majeur dans les tréfonds de sa pute. Elle etait stupéfaite de se faire fouiller ainsi, mais elle se surpris à se cambrer pour faciliter la fouille. 
Quand il sortit enfin son doigt d’Ondine elle le vit avec horreur approcher son extrémité inquisitrice de sa bouche. Elle tenta de lutter mais dut se résoudre à avaler ce doigt en provenance de son propre cul. Elle fut surprise qu’il ne pue pas plus et accepta même de le sucer quand il lui en donna l’ordre. Il la félicita d’avoir fait un effort de propreté et de présenter à son Maitre à la fois un cul propre et une raie bien épilée. 
Elle fut soulagée de le voir content d’elle et souffla de satisfaction quand il la détacha. Elle avait encore la naïveté de croire que son hygiène stricte lui permettrait de passer une journée calme. Le Maitre se chargea bien vite de la remettre dans le droit chemin en lui indiquant le chemin de la salle de Jeu. Comme la veille elle fut allongée sur le ventre et ligotée , chevilles et poignets entravés.  Après la sodomie de la veille , Il n’eut aucun mal à glisser son plug préféré dans le cul d’Ondine. Le muscle tonique emprisonna le bijou écarteur. Ce plug la avait la particularité d’être relié electroniquememt à un boîtier qu’Il allait conserver sur lui, afin d’humilier un peu plus son Epouse ainsi que l’eunuque.  Ondine supporta sans broncher l’insertion du plug, étonnée de ne pas avoir plus mal au cul que cela. Elle senti néanmoins que le jouet n’était pas le même que celui de la veille et en conçu une inquiétude particulière. Il la détacha et lui passa son collier de chienne , puis il la traîna dans l’ascenseur.
Diffuse en direct !
Regarder son live