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Tournante de pines pour maman et tante Lucie.

Chapitre 3

Où j'entre en scène malgré moi.

Orgie / Partouze
Mais regardez qui je trouve en train de s’astiquer le manche !d
En moins de temps qu’il en faut pour le dire, la porte avait été ouverte et je m’étais littéralement trouvé projeté par une violente secousse sous les lumières de la salle.
Le cri que j’avais poussé de peur et de surprise, autant que les paroles de celui qui m’avait ainsi découvert et jeté dans la place, eurent pour effet de figer immédiatement la partouze. Tous les regards convergèrent vers nous et la honte de me trouver ici, la queue en l’air me fit détourner le regard et je l’abaissai vers celui qui m’avait ainsi pris en flagrant délit d’espionnage sexuel et d’activité masturbatoire.
C’était Grégoire.
Grégoire est comptable dans la boîte de papa, de Bertrand et de Christian.
Depuis combien de temps m’observait-il? D’où venait-il ? Certainement pas de l’arrière-cuisine, malgré tout je l’aurais vu. D’ailleurs peu importe. Il était arrivé en douce dans mon dos et m’avait malgré moi, mis au centre de l’attention
J’étais nu, la queue tellement dure qu’elle ne dégonflait pas malgré ma honte immense et ma gêne extrême. Il faut dire qu’autour de moi le spectacle ne se prêtait pas à la méditation. Les femmes à genoux, les mecs bandant comme des taureaux, la verge luisante de bave et de cyprine, sans compter Grégoire qui déjà, me prenait par la main et m’entrainait de force vers le groupe.
— Plus on est de fous... dit-il.
Car Grégoire est un spécimen...
Âgé de 28 ans, Grégoire est ce qu’on appelle une personne de petite taille. Il mesure 1,35 m et sa tête m’arrive au bas des pectoraux.
Nu, il est... surprenant... très musclé, très poilu dans le creux des pectoraux aux aisselles, dans la raie du cul et en dessous du nombril. Il s’épile les couilles.
Et surtout, il en a une très grosse. J’ai toujours entendu les légendes urbaines sur la dimension du pénis des nains et j’ai pu me rendre compte, en allant sur les sites de cul que c’est plus qu’exagéré...mais lui, sans déconner...Quelle pièce ! Quel morceau ! Une vraie bite de satyre, longue de plus de 23 cm et très très épaisse. Elle est très légèrement courbée, lançant vers le ciel un gland colossal, très dessiné même lorsque le prépuce, long et épais, le recouvre.
Dans la piaule, il n’y avait pas que des petites bites.... mais comparées à la sienne.... Il n’en était que plus impressionnant.

Sa peau mate tranchait avec la pâleur des fesses musclées des hommes et de la peau blanche des femmes.
Il commentait mon entrée en scène :
— Vous m’aviez pas dit que le petit n’était pas au courant et qu’il était absent ce soir ?— Ben, C’est vrai, Fred, qu’est-ce que tu fous là ?— Et en plus, il est bien monté... vous êtes des as dans la famille... belle hérédité !
Maxime s’était précipité vers moi.
— C’est cool que tu sois là ! On ne sera plus obligé de se cacher et faire sans toi... viens c’est de la bonne baise.
J’en conclus que ce n’était pas la première orgie qui se déroulait ici. Je tombais de haut ! Comme beaucoup d’enfants, je n’imaginais pas que mes parents pussent avoir une vie sexuelle, même normale... alors là !
Tous les types s’étaient écartés, exhibant fièrement leur virilité triomphante et l’entretenant au besoin par un bon coup de main, et les deux femmes, toujours à genoux sur le canapé, ouvraient chacune la bouche prête pour la tétée.
Voir ma mère, la croupe tendue vers le ciel, les seins écrasés contre le canapé et lorgnant sans pudeur vers mon sexe pour le gober, cela me donna un haut-le-cœur et je battis en retraite en explosant de rage.
Ma colère fut homérique. Je les incendiai de bêtise, les traitant de tous les noms, les accusant de la pire des perversités, d’être une bande de dégénérés ! Comment ! Les mères, ma mère, étaient-elles à ce point perverties qu’elles s’offraient à plusieurs hommes sous le nez de leurs maris!... et les fils ? Comment pouvaient-ils s’accoupler avec leur mère ? N’avaient-ils aucun amour filial?, Et les mères, étaient-elles dénaturées au point de se laisser prendre par leur fils ? Et les maris, comment pouvaient-ils inciter leurs femmes et leurs enfants à une telle perversion ?
Tous, je les vomissais, je les conchiais, je les maudissais, je les reniais ! J’allais me casser d’ici et ils n’allaient plus jamais me revoir ! Je disais cela la rage aux lèvres et les larmes aux yeux.
Quand j’eus fini ma diatribe, il se fit un long silence gêné. Les femmes avaient baissé le regard et tout le monde débandait. Je sentais la culpabilité les mettre en doute...
C’était sans compter sur Grégoire.
— Putain, il nous fait chier le p’tit con. C’est là dix minutes à mater la partouze en se pignolant le poireau et ça vient faire des leçons de morale ? Tu t’es pourtant bien secoué la nouille en voyant ta mère se faire grimper par tout le monde ? Monsieur fait le dégoûté, on fait sa chochotte, on a des grands principes ? J’vais t’l’affranchir la Sainte-nitouche, moi! tu vas voir s’il va nous gâcher la fête le branleur et si son zguègue va rester en berne... Aller, messieurs, apporter la cagoule. On va lui faire perdre son pucelage au p’tit prétentieux, au gardien de la morale... Tu vas juter mon coco, et pas qu’une fois en plus !
Et il m’infligea un violent coup sur les fesses pendant que les autres mecs me ceinturaient. Je ne pus me débattre. On acheva de me déshabiller. On me lia les mains. On me passa une cagoule en latex où il n’y avait que l’orifice prévu pour la bouche et les narines. J’étais aveugle.
— Aller, sucez-le, et toi mon joli devine si c’est ta mère ou Lucie... deux sacrées bonnes suceuses. Tu vas voir comme elles aiment la bite. T’es surpris de nous voir là ? Tu crois qu’on les a forcées? Mais tout vient d’elles ! C’est deux foutues salopes. Elles aiment la bite les deux chiennasses, tu vas voir.
J’attendais un démenti au lieu de quoi une bouche avala ma queue. J’étais tétanisé. Pourvu que ce ne soit pas maman...
La femme était habile, en quelques coups de langue et de main, mon sexe retrouva toute sa rigidité, ce qui détendit considérablement l’atmosphère.
Je gémissais faiblement: "Non, arrêtez, je vous en prie, pas moi, pas moi..."
En fait, j’étais déjà vaincu. La langue sur le gland, sur les couilles, sur le manche, tout faisait merveille. Jamais je n’avais connu un tel plaisir. Ma libido commençait à l’emporter sur ma conscience. Le sexe triomphait...
Et puis il y eut une deuxième langue....
Du coup, c’était sûr, ma mère était en train de me sucer. J’eus envie de pleurer mais je ne protestai pas. J’étais à leur merci. Je n’avais plus aucune volonté. Ma révolte était impuissante. J’essayais de ne pas penser.
Les corps des hommes me frôlaient et je perçus nettement qu’ils pointaient leurs queues pour qu’elles puissent être pompées alternativement avec la mienne. Je devinais les mains descendant vers les mamelles des femmes agenouillées devant nous.
— Et si on passait à broute-minou ?
Il y eut un mouvement. On me guida par les épaules. Je sentis l’épaisseur du tapis sous mes pieds nus. On me força à m’incliner, ma tête fut prise entre l’étau des cuisses et mon visage rencontra l’humidité de la touffe.
Je redoutai de retrouver le parfum de ma mère et en même temps je l’espérai pour mieux me détourner mais cela ne sentait que le sexe, le rut, le stupre. Pour autant je résistai.
— Ta langue ! Lèche-lui la chatte !
Une ferme pression sur les cervicales me décida. À l’aveugle je découvris le con, les lèvres, le clitoris, l’orifice vaginal. C’était bon. La chatte était douce, épilée, et la femme ondulait de plaisir. Les sons étouffés qu’elle émettait me certifiaient qu’elle avait une queue ou une paire de roustons dans la bouche.
L’autre femme ma branlait fermement.
On me fit changer de femme. Était-ce ma mère, ma tante ? Tout était fait pour que je ne sache jamais qui j’étais en train de faire jouir et que je finisse par m’habituer à ne plus voir que la femme et plus la tante ou la mère...
— La chatte maintenant ! Qu’il enfile la chatte !
La voix un peu stridente de Grégoire donnait des ordres.On me délia le main et on me fit asseoir sur le canapé.
Aussitôt une femme me chevaucha puis me saisit la bite et se prépara à l’enfoncer.
— Non pas comme ça! Dans l’autre sens... retourne-toi. Si tu te couches sur lui, rien qu’au volume des nichons, il va savoir qui c’est. On laisse encore traîner.
Un mec reprit :
— Ben s’il passe les mains devant, ça va faire pareil.— Mais non il va pas les passer les mains. Il va attendre bien sagement qu’on lui dise. Hein mon pt’it lapin ?
J’acquiesçai de la tête.
— Toi la pute, dit-il à l’autre femme, couche-toi à côté et prends-toi les bites qui se présentent.
La femme glissa sur mon membre et se mit à aller et venir. C’était hyper bon. On changea de femme à plusieurs reprises... c’était fait... j’avais baisé ma mère.... dans quel ordre, la première, la deuxième... trop tard !
Et puis la femme qui était sur moi se releva. La main du nain empoigna mon zob pour le maintenir bien droit et la femme, lui obéissant fin se planter le cul dessus. C’était plus étroit mais mon vit entra dans le trou de balle. La femme soufflait fort mais ne prononçait aucune parole. Elle s’allongea sur moi.
— Allez, toi, vas-y pénètre là !
Les cuisses poilues de l’homme frottèrent contre les miennes que j’écartai davantage pour lui laisser la place. Je sentis son gland contre mes couilles pendant qu’il cherchait la vulve. Puis il entra dans les chairs et j’éprouvai la pression de son nœud contre le mien derrière la paroi.
Le poids de la femme me paralysait, je ne faisais plus aucun mouvement. Seul le type s’agitant dans la chatte donnait du rythme à notre association.
À côté, sur le canapé, le râlement des mecs et les gémissements de l’autre femme, montraient que la scène se répétait.
Le mec qui était au bout de la pine qui s’agitait dans le vagin se mit à gueuler.
— Putain c’est bon d’avoir une bonne chatte bien remplie là. Avec la queue de l’autre côté, c’est géant ! Je surkiffe.
C’était la voix de Maxime, il n’y a avait pas à douter.
Dans mon esprit, le fait de baiser sa propre mère ne faisait toujours pas son chemin. La cagoule sur la tête en faisait toujours quelque chose de virtuel, même si j’étais sûr, depuis qu’on me l’avait mise que ma mère avait déjà sucé mon pénis et l’avait enfoncé dans son sexe. Néanmoins, comme je me refusais encore à croire que cet acte incestueux fût possible bien qu’il ait eu lieu certainement, je ne pouvais m’imaginer que Maxime dise cela de sa mère pendant qu’il la sautait... en conséquence, je n’y tiens plus. S’il ne sautait pas sa mère c’était donc la mienne et j’étais dans son cul !
Donc, avec un mouvement d’hésitation, je dirigeai mes mains vers la fille. Je tombai presque immédiatement sur les seins.
Les tétons étaient dardés, les chairs fermes mais les nibards me parurent petits. Ce ne devait donc pas être maman... mais il fallait que j’en aie le cœur net.
Je mis donc les mais à la cagoule.
— Oh là, oh là ! On t’a pas dit de l’enlever...
J’hésitais.
— Je crois qu’il est prêt maintenant !
Sur ce commentaire de Grégoire qui s’imposait décidément comme le maître de cérémonie, on me laissa faire. J’aperçus d’abord le visage de Maxime qui grimaçait au-dessus de moi en continuant de bourrer comme un fou dans la chatte....
À suivre
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