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Tournure imprévue

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Ayant passé une chaude soirée d’été relativement calme devant le téléviseur, je regardai une dernière fois l’heure avant de me décider à aller au lit. Fidèle à son habitude depuis les derniers mois, ma copine sortait souvent et je ne m’attendais pas à ce qu’elle revienne de si tôt, alors dormir seul pour une partie de la nuit ne me dérangeait aucunement. Ce qui m’agaçait de cette soirée improvisée passée seul dans mon appartement était le fait que j’avais planifié passer une soirée romantique avec ma copine lorsqu’elle m’appela pour me confirmer qu’elle allait plutôt au restaurant avec une de ses copines. Dans des situations semblables, où je me sens frustré, il m’arrive d’avoir recours à la masturbation pour mieux m’endormir. Toutefois, ce soir là, il n’en était rien. J’étais simplement déçu, alors je m’installai confortablement dans mon lit, prêt à obtenir un sommeil réparateur. Je regardai l’heure une dernière fois : 1h30 du matin.
À peine avais-je commencé à avoir conscience de mon endormissement, je fus réveillé par le téléphone. À cette heure tardive (2h45) et compte tenu de la situation, je me doutais qu’il s’agissait probablement de ma copine.— Allo? — Allo mon amour, dit-t-elle avec la voix d’une femme ayant pris un ou deux verres de trop, est-ce que tu veux venir me chercher?
Fidèle à mon habitude, je n’en fis pas trop un plat et j’acceptai. Après tout, le téléphone m’avait réveillé abruptement et je n’arriverais pas à dormir avant qu’elle soit à mes côtés, alors autant mieux prendre la voiture et se rendre à l’emplacement désigné.
Après avoir évité quelques passants un peu trop ivres pour se déplacer convenablement, j’aperçus ma copine, assisse sur le bord de la rue avec une femme qui était manifestement l’amie avec qui elle avait passé la soirée. Rouquine avec de légères taches de rousseur, je ne l’avais rarement vu autrement que via des photographies posées sur les médias sociaux. En vrai, elle dégageait une telle sensualité que je ne puis m’empêcher d’y porter attention. Elle arborait un simple décolleté qui mettait en valeur sa menue poitrine, un peu comme celle de ma copine, que j’adore d’ailleurs pour sa taille raisonnable et sa fermeté. Je mis de côté ces pensées agréables, j’arrêtai la voiture et éteignis le moteur afin de les rejoindre. Titubant légèrement, ma copine avança vers moi, m’embrassa doucement et me demanda si je pouvais aller reconduire Cindy chez elle par le fait même. Il m’arrivait fréquemment de m’adonner à ce type de covoiturage de fin de soirée, et comme elle habitait dans la même direction que nous, il aurait été déplacé de refuser.
J’ouvrai la portière avant du véhicule afin de laisser ma copine s’asseoir sur le siège passager, mais elle déclina doucement avant de s’asseoir à l’arrière avec Cindy. Un peu outré de devoir jouer les taxis, je n’en fis pas tout un plat et je me dirigeai vers le siège conducteur avant de démarrer le véhicule et entreprendre le court voyage de 10 minutes nous séparant de la résidence de Cindy. À peine avions nous croisé la première intersection que j’entendis de doux claquements à l’arrière. Un peu dérouté par ce genre de son inattendu, je jetai un coup d’œil à l’arrière du véhicule via le rétroviseur. Ce que je vis me déstabilisa quelque peu et me fit donner un léger coup de volant vers la droite : Cindy embrassait doucement ma copine sur les joues.
Ne voulant pas déroger à ma tâche (qui était de conduire, bien entendu), je ne jetai que des coups d’œil furtifs. Ma copine semblait désemparé, mais elle ne chignait pas. L’attaquante continua sa abattre des baisers tout en se rapprochant dangereusement des lèvres de ma copine, ce qui eu pour effet de raidir quelque peu mon entre-jambes. Je me disais toutefois que ma copine était ivre, qu’elle était un peu molle, mais qu’elle allait se défendre quelques instants plus tard. Après trois années de vie commune, je savais que ma copine était hétérosexuelle et qu’elle n’avait aucune tendance bisexuelle. Néanmoins, ce que j’aperçus ensuite du coin de l’œil me fit chavirer émotionnellement : ma copine embrassait à pleine langue Cindy et elle lui caressait lentement les épaules.
Je me ressaisi avant de parvenir jusqu’à la résidence de Cindy. Je laissai aller un toussotement légèrement rauque en arrêtant le véhicule, comme pour signaler ma présence et que nous étions enfin parvenu à destination. Ma copine affirma rapidement que nous continuons jusqu’à notre appartement puisque ce n’était pas très loin après tout. Un peu perplexe suite à son intervention, je remis la machine en marche et je me dirigeai jusqu’à chez moi, un peu plus bandé après chaque seconde passée à les entendre s’embrasser. Je ne savais pas ce qu’elles voulaient (ni une, ni l’autre), et toutes sortes de folles pensées envahissaient mon esprit. Je tentai toutefois de demeurer alerte, devant nous conduire avant tout jusqu’à bon port.
Une fois parvenu à notre appartement, Cindy ouvrit la portière rapidement et sortit ma copine en la tenant par la main. Elle se dirigeait manifestement vers la porte d’entrée, et je la suivis rapidement afin de débarrer la porte d’entrée du bâtiment. Arrivés tous les trois devant l’entrée de notre logement, ma copine me demanda d’ouvrir la porte. Mon cœur pompait à vive allure et une bonne partie de cet influx sanguin semblait se diriger vers mon organe reproducteur. À peine parvenus à l’intérieur, Cindy dirigea sa main vers mon jeans, touchant fermement la proéminence qui se démarquait aisément, même dans la noirceur. Elle continuait à embrassait de pleine bouche ma copine alors que cette dernière s’affairait maladroitement à caresser la poitrine de Cindy. Sans se faire attendre, la rouquine déboutonna mon jeans, rabaissa rapidement la fermeture éclair avant d’insérer une main légèrement moite à l’intérieur de mes sous-vêtements. À peine le contact fut-il amorcé que je me mis à bander davantage devant cette dextérité maladive qui semblait scruter de toute part mon mandrin. Elle arrêta temporairement d’embrasser ma copine afin de laisser aller un léger rire jaune. Ma copine répliqua rapidement en disant :— Il est gros hein? Je te l’avais dit.— Effectivement, dit Cindy, en riant et en continuant de toucher à mon membre.— Tu le veux? répondit ma copine qui semblait désormais s’attaquer au chemisier que portait Cindy.
Cindy semblait perplexe suite à cette question. Elle sortit sa main déjà confortablement installée, prit ses deux mains et descendit mon jean d’un seul coup. Ma blonde laissa aller un simple soupir et dit en riant:— Je pense que c’est un oui ça.
Cindy se laissa déboutonner son chemisier par ma copine, laissant apparaitre un simple soutien-gorge blanc (du moins, c’est ce que je crois en fonction du piètre éclairage que nous avions), alors que de son côté elle retira mes sous-vêtements et mon t-shirt. Dès que mes sous-vêtements furent enlevés, mon pénis en érection se dressa vers le haut. Pour ma défense, j’étais énormément excité. Il s’agissait de la première fois où j’avais la chance d’être avec deux partenaires de sexe féminin en même temps. Cindy s’affaira d’une main à caresser mon sexe, et de l’autre main à dénuder ma copine.

Ma copine semblait hypnotisée et elle se laissait entièrement faire, tout comme moi d’ailleurs. Une fois son slip retiré, et de ce fait, complètement nue, ma copine marcha rapidement en direction de la chambre. Je demeurais silencieux, me faisant titiller par Cindy qui semblait me regardait d’un air affamé. Quelques secondes suite au départ de ma copine, Cindy retira mon chandail et effleura d’une main mon torse nu. Je lui rendis la pareille en lui retirant sa brassière, laissant découvrir une poitrine de petite taille, mais ma foi, tant délectable. Je ne pu m’empêcher de diriger ma main vers ses seins en vue de les lui caresser. À peine ais-je touché son mamelon qu’elle laissa émettre un tendre gémissement tout en serrant de plus belle mon sexe, me laissant dans la même situation qu’elle. Elle commença doucement à faire aller sa main dans des mouvements lents mais fermes, alors que je m’abaissai quelque peu pour lui embrasser les tétons. Je laissai aller ma langue et je vis rapidement que ses mamelons étaient extrêmement durs d’excitation.
Elle fit aller les mouvements de sa main de manière à me faire gémir davantage et pour seule réponse, je mis son sein en entier dans ma bouche. Ses seins me rappelaient la forme de ceux de ma copine, mais ils étaient nettement plus fermes et légèrement plus gros. Elle me dit, en chuchotant à mon oreille, qu’elle aimerait avoir accès à une queue longue et large comme la mienne, elle qui n’était habituée qu’à l’un des deux. Haletant davantage suite à cette intervention, je me mis à me diriger vers son entre-jambe en soulevant sa courte jupe. L’intérieur de ses jambes était complètement humidifié, et il s’en laissait écouler quelque peu le long de la surface interne ses cuisses. Demeuré muet jusqu’à cet instant, moi qui suis d’habitude un homme assez extraverti, je dis, à la blague, qu’il faisait chaud et que ça expliquait sa réaction physiologique. Elle rit légèrement avant de me traiter de petit farceur et de retirer rapidement ma main. Après un peu plus d’une minute séparée de ma copine, Cindy laissa retomber mon pénis et me prit par la main afin de me diriger vers la chambre.
Ma copine cherchait dans les armoires en me demandant où j’avais caché les condoms. Je lui mentionnai que j’avais acheté un paquet dernièrement, et qu’il se situait dans ma table de chevet, nettement plus accessible qu’auparavant. Elle émit un certain grognement, et je ne puis que comprendre sa frustration étant donné que cela faisait près d’une minute qu’elle cherchait désespérément le tout. En ouvrant le paquet de trente préservatifs, elle s’esclaffa en disant qu’on en aurait pour une partie de la soirée. Cindy lui dit, d’un air étonné en regardant mon membre déjà dressé comme un parfait petit soldat :— Tu pense?
Sans attendre un seul moment, ma copine m’enfila un condom et se mit mon pénis dans sa bouche. Petite parenthèse ici, si vous me le permettez. Personnellement, je n’ai aucune gêne au sexe oral sans préservatif avec une personne en qui j’ai confiance. Néanmoins, ma copine étant quelque peu dédaigneuse à recevoir de la semence en plein visage et n’ayant pas nécessairement aimé sa première expérience d’éjaculation en pleine bouche (je ne l’avais pas prévenu préalablement, mon erreur), elle préfère que je mette un condom. Fin de la parenthèse. Cindy se mit rapidement à genoux et les deux me sucèrent à tour de rôle. Ma copine est plutôt lente et douce lorsqu’elle s’adonne à ce genre de pratique, en contraste avec Cindy, qui semble nettement jubiler à l’idée d’avoir une queue de cette taille dans la bouche. À chaque échange, je pouvais me reposer avec ma copine, puisque lorsque c’était au tour de Cindy, c’était un tour de force que de ne pas éjaculer rapidement.
Toujours muet d’étonnement et ne laissant aller que des gémissements de plus en plus présents et puissants, je dis rapidement à ma copine qu’elle devait arrêter sans quoi je viendrais sous peu. Cindy pris alors le relais, retira d’un coup sec mon condom et dirigea mon pénis en ébullition vers le buste de ma copine. Visiblement légèrement déçue par mon apparent manque de vigueur, elle se retourna complètement vers ma copine avant de lui lécher le corps. Personnellement, je ne peux nier que j’étais quelque peu choqué de m’être laissé aller si rapidement, moi qui n’a aucune difficulté à demeurer sans broncher des dizaines de minutes durant. Néanmoins, Cindy avait un tel appétit qu’il semblait impossible d’y résister. Une fois repue de la déjà bonne quantité de sperme qui avait atteint le corps de ma copine, elle se mit à astiquer mon membre avant de se retourner une autre fois vers ma copine.
Se laissant complètement aller, ma copine embarqua sur le lit, tel que Cindy le lui commanda. Prenant les reines, Cindy dirigea sa langue vers les lèvres inférieures de ma copine, ce qui eu pour effet de me redonner quelque peu de regain. Après tout, étant adepte de fellation et adorant renvoyer l’appareil à ma copine, le fait de voir une autre femme s’exécuter devant mes yeux ne pouvait pas me laisser indifférent.
Après quelques minutes de coups de langues chevronnés, combinés à des caresses intenses sur le corps de ma copine, celle-ci tenta désespérément de repousser Cindy en gémissant et en lui suppliant d’arrêter. Pour ainsi dire, ma copine fait toujours cela et elle se fait tellement insistante avec moi que je n’ai pas le choix de rendre les armes. Toutefois, Cindy ne broncha pas et reparti de plus belle. En moins d’une minute, ma copine se mit à hurler comme je ne l’avais jamais entendu auparavant, dressant du même coup ma queue en un mouvement d’ardeur qui m’était rarement connu. Ma copine implorait à Cindy d’en arrêter là, mais fidèle au peu que je connaissais d’elle, elle ne capitula aucunement. Ce que j’entendis et sentis par la suite me jeta littéralement au sol : une énorme quantité de liquide s’abattit sur le visage de Cindy et sur mes pieds, moi qui me situais à un peu plus d’un mètre de la scène.
Ma copine haletant et frémissant s’excusa auprès de Cindy qui ne semblait pas affectée par ce qui venait de se passer. Rapidement, j’enfilai un nouveau condom et je pris vigoureusement Cindy par la taille, laissant à ma copine le répit tant mérité. Je déposai Cindy à quatre-pattes sur le lit, j’abaissai rapidement ses petites culottes tout en laissant la jupe à sa place avant d’enfoncer rapidement mon mandrin dans sa féminité, alors qu’elle était de dos à moi. Elle était chaude à un point tel où j’avais l’impression que le condom allait fondre (je sais, c’est ridicule, mais c’est l’impression que j’ai eu) sous l’afflux de liquide qui s’échappait. Elle dit :— Ah, là je comprends ce que tu veux dire par le fait qu’on va manquer de condoms, en s’adressant à ma copine.
Je tiens à préciser que cette affirmation est entièrement fausse, que je n’ai plus vingt ans et que tirer trente coups d’affilée a toujours été hors de ma ligue. Ceci étant dit, mon regain ne m’a pas empêché de la remercier adéquatement pour le service qu’elle venait de nous rendre à moi et à ma copine. Je commençai vigoureusement le va-et-vient, mais je ne voulais pas aller trop loin, sachant que certaines femmes trouvent ceci désagréable. Contre toute attente, Cindy me répétait sans cesse d’aller plus loin et plus fort. Elle gémissait tellement fort pendant la dizaine de minutes qu’ont duré les ébats que je suis certain qu’elle a réveillé tous les voisins de bloc. Tout en exécutant mon mouvement de bassin, je m’appliquai à serrer vigoureusement sa jolie poitrine.
Ma copine reconnaissant chez-moi un de mes signes manifestes d’orgasme à venir, elle se déplaça rapidement jusqu’à moi, me retira fermement de ma prise, enleva mon condom et approcha son visage de ma queue prête à surgir à tout moment. Malgré mes avertissements, et en complète contradiction avec ce qu’elle prônait habituellement, elle laissa ma seconde fontaine de la soirée se déverser sur son joli visage. Nettement plus liquide ce coup-ci, le foutre chaud se déversa, selon elle, jusqu’à son entrejambes, mais elle mentionna plus tard avoir tout de même appréciée la sensation.
Dans un élan pour rattraper mon égarement, je m’excusai et je lui apportai les mouchoirs qui étaient près du lit. Je pris doucement l’un mouchoir et je tentai d’enlever toute trace physique de mon erreur. Ma copine se laissait faire et de son côté, retirait le liquide qui suivait son chemin vers le bas de son corps avec un autre mouchoir. Cindy, d’une part désireuse de nous aider avec sa langue, était désormais étendue sur le lit et semblait vouloir arrêter toute forme de mouvement pour les quelques minutes à venir, mentionnant avoir un peu mal aux cuisses. Je m’excusai pour elle, et elle se mit à ricaner et à s’enrouler dans les couvertures, trouvant « touchant » le fait que je m’excuse tant pour mes gestes après avoir éjaculé, alors que j’étais brutal et sans pitié une fois bandé.
Une fois le bref nettoyage terminé, ma copine me serra dans ses bras, chose que je lui rendis de la même manière, et elle alla se coucher près de Cindy en-dessous des couvertures. De mon emplacement, elle semblerait caresser doucement la poitrine de Cindy. Celle-ci se retourna lentement vers elle, et ma copine se mis à suçoter délicatement les mamelons de Cindy, lui disant que c’était la première fois qu’elle touchait à des seins autres que les siens, qu’elle aimait bien la sensation et qu’elle comprenait ma fixation sur les petits seins.
La rouquine me demanda de venir les rejoindre, ce que je fis sans poser de question. Je m’installai près de ma copine, qui se retrouvait désormais entre ma personne et Cindy. Je sentis une main se diriger vers mon pénis malheureusement dans un état de flaccidité, et Cindy laissa aller un soupir en disant :— Finalement, je ne pense pas que ton homme soit en mesure de me mettre à plat. — Ne dis pas ça, ça va sonner comme un défi pour lui, rétorqua vivement ma copine. — Nah, dis-je, en ricanant.
Néanmoins, lentement mais sûrement, mon membre se durcit et alla se cogner contre les fesses de ma copine qui toussota légèrement avant de déplacer sa main, question de s’assurer de ce qui touchait son corps. En laissant émettre une courte plainte, elle dit à Cindy :— Bonne chance, il est reparti, et lorsque c’est la troisième fois dans la même soirée, je t’assure que je suis incapable d’en venir à bout.— Ça sonne effectivement comme un défi, répliqua Cindy, sûre d’elle.
Elle passa doucement par-dessus ma copine, ce qui eut pour effet de me retirer les couvertures. Elle fit une série de mouvements, qui après coup, m’apparurent comme le fait qu’elle venait d’enlever le dernier morceau de tissus qui touchait à son corps. Elle empoigna rapidement ma queue et l’agita vigoureusement. Ces mouvements m’étaient quelque peu désagréables étant donné que mon organe était encore sensible, mais après quelques secondes, je m’y suis habitué. Sous le regard amusé de ma copine, Cindy s’attaqua farouchement à ma queue en se l’insérant complètement dans la bouche et en faisant tourner sa langue. La sensation était agréable, mais aucunement assez forte pour me rapprocher de l’éjaculation. Je lui laissai près de deux ou trois minutes pour se faire valoir, et malheureusement pour elle, je demeurais de marbre.
D’un coup sec, je la poussai sur le lit, m’assurant préalablement que ma copine n’allait pas être heurtée. Je me dirigeai vers la table de chevet, retirant de nouveau un condom et lui laissant le soin de me l’enfiler. Une fois exécutée, je la retournai sur le ventre et je dirigeai rapidement mon pénis vers un vagin lubrifié à un point tel où jamais, conquête ou copine, ne l’avait jamais été (dans mon expérience personnelle, bien entendu). Mon tout de même énorme pénis s’y plongea sans effort, et après quelques secondes de profondes pénétrations, je me retirai, je me plaçai sur le dos et je l’installai à califourchon, de dos à moi. Tout en lui serrant les seins d’une main, je m’attaquai à son clitoris d’une autre, en continuant les intenses va-et-vient.
Ma copine, amusée, commença à se caresser le corps entier en nous regardant. De son côté, Cindy subissait et se laissait aller de vive allure en mentionnant par moments de ne pas m’arrêter. Après plusieurs minutes de ce mouvement incessant, Cindy tenta de se retirer, mais je lui en empêchai fermement. Prétextant une crampe, je lui dis qu’elle m’avait mis au défi et qu’elle ne pouvait plus abandonner désormais. Elle sembla se plaindre un instant durant, avant de se laisser faire. Sa manière d’abandonner la bataille était manifestement celle de demeurer là, de ne plus bouger et de subir le tout. Sachant que j’avais gagné la bataille, je me concentrai à venir le plus rapidement possible, question de ne pas la faire souffrir inutilement.
Au bout de ce qui sembla plusieurs minutes, je la serrai et la collai contre mon corps et j’émis un long gémissement, signe que cette aventure était terminée. J’haletais terriblement, mon cardio n’étant plus ce qu’il était il y a quelques années. Se retirant difficilement de mon étreinte, Cindy avoua que ce qui venait de se passer n’avait aucun sens et que je ne devais rien ressentir... et elle n’avait pas tout à fait tord. Néanmoins, le défi en soi était terriblement excitant et l’éjaculation qui s’en suivit le prouva, le condom étant pratiquement remplis. Elle se recroquevilla vers ma copine qui avait arrêté ses caresses personnelles. Ma copine me fit signe de m’approcher également, et nous nous sommes retrouvés tous les trois collés sur le côté droit du matelas. Quelque peu dérangé par des chants d’oiseaux, je tournai la tête pour regarder le cadran: 5h15. À ce moment, je repensai à ma soirée romantique ratée, et d’un autre côté, je me dis que cela n’avait guère plus d’importance désormais.
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