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Toute une histoire

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Toute une histoire,La trentaine, marié à une délicieuse petite femme de 22 ans, très gentille et soumise. Nous nous entendons à merveille, tant au lit que dans la vie de tous les jours.Elle accepte tous mes fantasmes et n’est jamais en refus de sexe. Voici deux ans que nous vivons un nirvana à deux. Elle travaille dans une entreprise de communication et depuis un an, rentre de plus en plus tard et fait des séminaires, de plus en plus régulier, de quelques jours. En général, elle est complètement crevée et il lui faut quelques jours pour s’en remettre.Malgré que, je lui conseille de ralentir cette progression dans son travail, ma petite chérie semble y accorder de plus en plus d’attention.Puis un soir, elle à craquée et m’a tout raconté.— Mon chéri !... Mon amour, Je ne suis qu’une salope, une traînée ! Commença-t-elle.— Que… Quoi ?Voici son histoire : — Voilà chéri, il y a plus ou moins un an, Gérard mon collègue de bureau m’a séduite aux archives. Il est arrivé derrière moi, pendant que je cherchais un dossier, m’a prise dans ses bras et m’a roulé une pelle d’enfer.Comme tu le sais car, je t’en ai parlée à l’époque, je le trouvais séduisant et je savais qu’il me tournait autour. Lorsque, dans ce coin sombre des archives, il m’a embrassé et serrer dans ses bras, je n’ai pu résistée et ne me suis pas défendue.Il a soulevé ma robe, tiré mon string et sorti son engin tout en continuant son baisé. Lorsque, j’ai senti son engin hors norme me coller la peau du pubis, je suis devenue comme hystérique et je l’ai laissé me pénétrer.— Waouh ! Putain ! Quel engin ! T’es trop gros ! M’écriais-je tout en avançant mon ventre vers lui.— Autre chose que la petite queue de ton mari ! Me dit-il dans l’oreille.Je dois reconnaître, qu’il était, deux fois mieux, membré que toi, mon chéri ! Alors, j’ai complètement perdu les pédales et je me suis donnée complètement à lui.Il a joui en moi comme jamais. Je crois bien que la quantité de sperme qu’il m’envoya au fond du vagin était le double de tes éjaculations.Il m’a laissée ainsi, pleine de sperme et est remonté dans notre bureau. J’ai bien mis une demi-heure pour me remettre de mon orgasme et de le rejoindre dans notre bureau.Ce qui m’a frappée immédiatement c’est le regard de mes trois autres collègues masculins, comme s’ils s’avaient exactement ce qui venait de ce passer.Gérard, lui pavanait et me regardait comme si, je lui appartenais. J’étais honteuse de m’être laissée allée et en même temps heureuse de cet orgasme monstrueux qu’il m’avait donné.Bien sur le lendemain, il m’entraîna aux toilettes et me repris debout contre les parois du Wc. Je n’osais crier de peur que d’autres collègues ne nous entendent. Ce jour-là il m’a prise trois fois. Deux fois dans les toilettes et une fois aux archives comme la veille.J’étais devenue accro à son sexe et un seul regard lui suffisait pour que je le suive. Les autres collègues comprirent également et les semaine qui suivirent, ils profitèrent pour me toucher les fesses ou même me caresser les seins.J’ai évidement donné des gifles à ceux-là mais Gérard m’a mise en garde et m’a ordonné de les laisser faire.Au bout de plusieurs semaines, j’étais devenue la pute et le jouet de mes quatre collègues qui me baisaient quasi tous les jours aux archives.Puis, ce fut les séminaires. Gérard m’obligeait à le suivre pendant le week-end et je devais te trouver des excuses pour rester avec lui.J’ai donc inventée cette histoire de séminaire et en fait, nous partions le vendredi soir et on revenait le lundi matin juste à l’heure du bureau.Pendant tout le week-end, il me baisait et me donnait à d’autres hommes. Des vieux et des clochards qu’ils trouvaient dans des homes ou sous les ponts.Je devais surtout les sucer et bien sur avaler leur sperme. En quelques mois, je suis passée de 4 à 5 hommes à plus de 15 par week-end.J’ai bien vu qu’il faisait payer les vieux. Pour les clochards, c’était gratuit. Le soir, lorsqu’on rentrait dans l’appartement qu’il avait loué, il téléphonait à des copains qui venaient se vider les couilles dans un de mes trous.Vers 4 ou 5h00 du matin, je pouvais enfin me reposer et je restais couchée, les trous plein de sperme jusqu’à l’heure du midi. Alors il me laissait prendre une longue douche et on repartait pour la journée du dimanche.Il me donnait au curé, un de ses potes qui connaissait beaucoup de petit vieux en manque de sexe. Après la messe, je le suivais dans des maisons et me faisait baiser par ces vieux. Puis comme récompense, j’allais traîner sur les quais et me donnait à ceux qui voulait se vider les couilles.Puis, voici deux mois, Gérard connu deux frères africains et ceux-là me baisèrent pendant toute une après-midi et me firent revenir le week-end suivant.J’ai alors vu ou plutôt sentis de nombreuses énormes queues me ramoner mes trois trous. Je ne voyais même plus mes clochards et mes vieux, j’étais devenue la pute du quartier africain de la ville.Il y a deux semaines, Gérard et un des noirs m’ont prévenue qu’a la fin du mois, je partirais une semaine en Côte d’Ivoire et que j’étais attendue avec impatience.Voilà pourquoi, je te raconte tout. Je t’en supplie, ne me laisse pas partir, je crois que je vais devenir folle si je pars là-bas.Son récit m’avais tellement excité que j’avais déjà joui une fois et était prêt à jouir à nouveau. Je tenais ma queue en main et m’imaginais ma petite chérie entre une bande de noir hyper bien montés qui se déversaient sur ma petite chérie.— Salope ! Vient ici ! à genoux et avale ! Lui criais-je en me levant et en tenant ma queue raide devant elle.Ma petite chérie me regarda, les larmes aux yeux, se leva lentement et s’agenouilla devant moi. Elle ouvrit sa bouche et englouti mon sexe complètement.Une dizaine de mouvement de sa bouche sur mon sexe, suffirent à me faire éjaculer un litre de sperme au moins.— Donne-moi le numéro de téléphone de Gérard ! Lui ordonnais-jeElle me le donna après avoir avalée mon sperme et nettoyer mon sexe. Toujours à genoux, elle me regarda téléphoner à Gérard, pour lui donner mon accord pour Abidjan mais, à condition que je l’accompagne.Gérard fut étonné et ensuite d’accord pour faire le voyage à trois. Ce qui arriva là-bas est une autre histoire que je vous raconterai si vous en voulez !
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