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Toutes les femmes de ma vie

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Nous habitions dans une zone résidentielle près d’un lac. Nos voisins nous aimaient bien. D’abord parce que mon père les aidait pour le jardinage et l’entretien de la piscine communautaire et qu’ensuite, ma mère invitait toujours ses amies et voisines à manger ou boire le café. Notre quartier était calme et tranquille. Il était essentiellement composé de gens aisés. Il y avait beaucoup de famille et l’été, nous, les enfants passaient notre temps dans la piscine pendant que nos mères papotaient et que nos pères préparaient le barbecue. C’était un quartier sans histoire jusqu’à ce que…
À cette époque, j’avais 18 ans. J’étais un adolescent plutôt discret. Je travaillais bien à l’école. Je faisais des petits boulots dans le quartier. Les gens m’aimaient bien et avaient confiance en moi. Mes parents étaient rarement là le week-end, ils allaient jouer au golf dans toute l’Europe. Mon père était banquier. Il gérait des fortunes. Ma mère comme beaucoup de femmes du quartier, était mère au foyer. Elle dépensait l’argent de mon père sur internet en chaussures et habits.
Un jour, Sam, mon meilleur ami, m’invita chez lui pour dormir. Après avoir joué à la console, une bonne partie de la soirée, nous nous couchâmes avant que ces parents ne rentrent. Je me réveillai au milieu de la nuit. Un bruit m’avait réveillé. Je n’arrivai pas à me rendormir. J’entendais des chuchotements de la chambre des parents de Sam. Au bout d’un moment, les bruits s’arrêtèrent pour laisser la place à de petits cris aigus et à des râles. Je décidais d’aller pisser à ce moment-là. Ses parents étaient en train de baisser dans la chambre du fond et je voulais en entendre davantage. Arrivé aux WC, les bruits s’arrêtèrent. J’étais dessus. J’allai tirer la chasse lorsque la porte de la chambre de parents s’ouvra. Je n’avais pas fermé la porte des toilettes. Merde, je me levai, mais au lieu de la fermer. , j’allai me cacher dans la douche. À ce moment, la mère de Sam entra, NUE. Sylvie avait un corps magnifique et mon sexe commença directement à durcir. C’était une femme encore jeune, elle avait eu Sam très jeune et son mari était plus vieux qu’elle. Elle avait des seins lourds et bien ronds. Ses fesses devaient être fermes. Elle n’avait pas un gramme en trop. Lorsqu’elle sortit, je remarquai que j’étais en train de me branler. Je finis vite avant d’aller me coucher. Le lendemain, lorsque je descendis, je découvris la mère de Sam en bikini sur sa terrasse. Je pris un rapide petit-déjeuner et partis sans rien dire. J’aurai eu trop honte de lui parler et de la regarder en face.
Pendant tout l’été, j’observai Sylvie bronzé. J’eus même l’occasion de voir ses saints lorsqu’elle bronza topless. Son jardin n’avait pas de vis-à-vis, il donnait sur le lac. Pourquoi se cacherait-elle. Je devais traverser notre haie pour passer dans leur propriété. Un jour, je passai chez mes voisins pour aller voir si Sylvie bronzait. Je fus déçu car personne n’était dehors. Nous étions en plein après midi, un jour de semaine, il n’y avait personne chez moi, ni chez Sylvie. Alors que je m’apprêtais à partir, je vis que la porte-fenêtre était ouverte. J’allai donc voir s’il y avait quelqu’un. Qu’elle ne fut pas ma surprise en découvrant Sylvie à quatre pattes sur son canapé. Je pouvais voir sa croupe de derrière. Sa chatte était complètement rasée. Son anus était serré. Je m’imaginai la prenant en missionnaire. Elle se caressait l’intérieur de cuisse. Elle passa une main sur son vagin. Elle continua en se stimulant le clitoris. Cela dura un peu moins de 5 minutes. Elle passa sa main sur sa vulve. Elle se redressa et lécha ses doigts, humides de sa cyprine. Elle prit un objet par terre. C’était un gros sexe en plastique. Elle s’accroupit, plaça l’engin entre ses cuisses. Elle se leva et s’assit sur le membre dressé. Il rentra très facilement. Elle commença son va-et-vient. Cette femme se masturbait pensant être seul. Elle poussait de petits cris de plaisir tout en introduisant un doigt dans ses fesses. Je sortis mon téléphone pour prendre des photos de cette scène. Elle jouit en hurlant. J’avais pu immortaliser la scène en vidéo. Je décidai de partir avant que quelqu’un me surprenne. J’allai directement dans ma chambre pour mettre mes photos dans un dossier, Sylvie, mère de Sam, grosse cochonne…
Et si je la faisais chanter…
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