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Tradition familiale (ins-man)

Chapitre 1

Inceste
Ma famille est-ce qu’on peut appeler une famille libérée sexuellement. Je ne sais pas depuis quand ça date, mais il paraît que c’est une tradition ancestrale chez nous : dès qu’un membre de notre famille est majeur, il peut s’adonner aux plaisirs du sexe avec n’importe quel autre membre de la famille.
Je m’appelle Quentin, j’ai 21 ans, cela fait donc 3 ans que je suis initié à ce genre de pratique et je n’ai pas besoin de vous dire que j’adore ça. Etant donné que pour moi, le sexe n’est pas uniquement symbole d’amour, mais au contraire un bon moyen de recevoir et donner du plaisir, je m’adonne à cette activité avec un grand enthousiasme.Vous le verrez bien au fil des différents récits que je vais vous proposer. J’espère que vous aurez un très grand plaisir à les lire, autant que moi j’en ai eu pour les écrire et même à les vivre !
Bonne lecture…
Chapitre 1 : Prologue
Comment cela a commencé ? C’était il y a trois ans. Il faut savoir que je suis né en août et que donc mon anniversaire se fait en été. Je venais d’avoir 18 ans, mes parents avaient organisé une fête avec mes amis. Cela m’avait vraiment fait plaisir. La soirée était bien arrosée. Et j’arrivais vite au stade où je ne savais plus ce que je disais. A vrai dire, je ne me rappelle même plus des conversations que j’ai tenu.
Le lendemain, me réveillant j’étais heureux de n’avoir qu’un léger mal de tête qui passera au fil des heures. Je déjeunai et demanda à ma mère où se trouvait mon père, elle me sortit une excuse bidon qui me paru louche comme quoi il avait quelque chose à faire pendant toute la journée. Sur le coup, je m’en fichais et n’essayai pas d’en savoir plus. Elle ajouta aussi une phrase qui ne m’avait pas fait tilt sur le coup, mais qui maintenant prend tout son sens :— On a donc la journée pour nous tout seuls !Je n’avais qu’acquiescé d’un signe de tête, le regard plongé dans ma tasse de café.
Je m’habillai, et ma mère m’appela dans sa chambre. J’y allai.— J’ai un dernier cadeau à te donner.— Ah bon ? Dis-je content. Tu sais, ce que papa et toi m’avaient acheté est suffisant, j’adore ce nouvel Ipod !— Oui, mais là c’est un cadeau un peu spécial, un passage rituel dans la famille, c’est pour ça que je veux que tu te bandes les yeux.Cela m’intrigua mais je jouai le jeu. Elle me mit un bandeau autour de ma tête, je ne voyais plus rien. A m’en rappeler maintenant, je me souviens que je sentais juste sa poitrine contre mon torse. Elle me dit qu’elle allait revenir dans quelques secondes. Je ne savais pas pourquoi mais mon cœur battait fort, je sentais même une pointe de stress. Qu’est-ce que cela pouvait bien être ? Et surtout que voulait-elle dire par un passage rituel dans la famille ? Je pensais d’abord à une voiture. Oui, à 18 ans on peut enfin conduire, donc peut-être qu’à chaque fois qu’un membre devient majeur, toute la famille se cotise et offre une voiture. Je souriais à l’idée d’avoir enfin ma propre bagnole. Mais pourquoi me bandeau les yeux, elle aurait pu juste me donner les clés. Ou bien peut-être qu’elle est sortie appeler quelqu’un pour la ramener. Les spéculations fusaient dans ma tête, mais j’étais loin de ce que j’allais vraiment avoir et ça valait beaucoup plus que toutes les Ferrari du monde.Ma mère revint et me dit :— Ca y est, tu peux l’enlever.Je retirai mon bandeau et vit ma mère devant moi et rien qu’elle. Elle cria un "Tadaaa" que je ne compris pas. Je regardai autour d’elle : rien. Je bredouillai :— Je… Je ne vois rien…— C’est moi ton cadeau, idiot. Dit-elle en riant avec ce rire espiègle que j’adorai tant chez elle.
Je restai silencieux, je n’avais toujours pas compris. Elle me sourit et fit un signe de la tête en guise de dépit.— On doit vraiment tout vous montrer à vous les garçons hein !Et là, à ce moment précis, elle retira en même temps les deux bretelles de sa magnifique robe courte rouge. Je rappelle qu’on était en plein été, et qu’il devait faire minimum 30 degré. Ses seins apparurent devant moi. Ils étaient magnifiques. A vrai dire, de toutes les filles que j’ai baisé dans ma vie, c’est ma mère qui a les plus beaux seins. Car ils sont ni trop petits, ni trop gros. J’irai presque jusqu’à dire qu’ils sont parfaits. Doux, assez gros pour en prendre un en main, souple, enfin bref je les adore. Mais je ne les avais jamais vus jusque là. Et cela ne me laissa pas indifférent : j’eu une forte érection. Je continuai à parcourir le corps de ma mère en la dévorant des yeux. Ses longs cheveux noirs, son ventre, sa taille svelte, ses hanches, ses jambes et enfin son vagin : l’endroit d’où je viens. Je découvris que ma mère était rasée en ticket de métro. Elle me fixait pour voir si j’appréciais le spectacle, tout en gardant ce sourire coquin au coin des lèvres, celui qui aujourd’hui encore me rend fou.— Comment tu trouves ta maman, me demanda-t-elle.— Tu es tout simplement sublime !Sur le coup, ne pensant pas qu’il y aurait de suite, je me suis même dit : "Je sais sur quelle image en tête je vais me branler ce soir !"— Il te plait vraiment ? Insista ma mère.— Oh oui… Tu es la plus belle femme que j’ai jamais vue.Elle rougit et reprit :— Et bien, il est tout à toi.— Comment ça ?— Je dois vraiment te faire un dessin ?Elle s’approcha, prit mes mains et les mit sur sa poitrine. Je bandais comme jamais, cela me faisait presque mal et quelques petites gouttes de liquide séminal étaient sorties toutes seules de mon sexe. Je massais ses seins doucement, je déposai même un léger bisou sur son mamelon qui la fit frétiller de plaisir. Je caressais tout son corps, c’était une œuvre d’art. Son ventre, ses cuisses, son dos : mes mains passaient partout. Nos deux corps brûlant de désir qui entraient en contact comme ça, je ne vous raconte pas à quel point l’ambiance était chaude. Ma mère prit mes mains, comme pour dire d’arrêter un instant :— Tu veux aller plus loin ?— Oui, j’adorerais…— Tu n’auras pas de regret de faire ça avec ta maman ?— Quand je vois la femme qu’elle est, je suis sûr de ne jamais le regretter.Comme s’il s’agissait d’un mot de passe pour accéder au niveau supérieur, ma mère me fit m’allonger sur son lit, et d’une main me déboutonna le pantalon et passa l’autre sous ma chemise pour me toucher le torse. En enlevant le pantalon, elle remarqua mon gland qui dépassait de mon boxer.— Je vois que je te fais de l’effet.— Tu ferais de l’effet à n’importe quel homme.— Oui, mais pour l’instant c’est toi que je veux.Elle enleva mon boxer et le jeta par terre. Elle commença alors à me masturber et me sucer. J’adorais, et encore maintenant, sentir ses doigts glisser le long de ma verge, les sentir frotter les bords de mon gland. J’aime aussi quand sa langue me caresse. De bas en haut ou juste le bout du gland. C’est un régal. Puis elle s’occupe un peu de mes testicules. Elle les masse, les lèche toujours en me masturbant. J’ai même sentit un coup de langue au niveau de mon anus, c’est sûrement cela l’excitation de trop Je sens que je vais déjà jouir, c’est comme si ma bite allait exploser.— Maman… Je… Bredouillai-je.Mais ma mère continua, au contraire, elle voulait que je jouisse là maintenant. Je ne pus me retenir plus longtemps. Je sentais la sève monter puis jaillir tel un geyser. Ma mère me masturba frénétiquement pour en faire sortir le maximum. Il y en avait partout ! Son joli minois en reçut quelques jets, sa langue aussi, ainsi que ses cheveux. Le drap était parsemé de gouttes de ma semence. Surprise par la force de mon éjaculation, ma mère commença à rire.— Oh tu es vraiment un malpropre, tu en as mis partout !Elle prit avec ses doigts le sperme qui lui recouvrait le visage, et les mit en bouche. Elle lécha aussi les parties du drap où il y avait les plus grosses gouttes. Ce spectacle qui se passait devant mes yeux me redonna la trique. Et ma mère le remarqua.— Tu en veux plus apparemment…— Oui… Mais pour l’instant, c’est à moi de te donner du plaisir.Comme elle l’avait pour moi donc, je la couchai sur le lit. Elle écarta les jambes et ce fut à mon tour de la dévorer. Je caressai d’abord ses seins pour descendre tout doucement le long de son corps. Je commençai par des petits bisous sur le pubis et l’intérieur de la cuisse tout en évitant le clitoris. Mes mains arrivèrent devant son sexe. Je lui massais les grandes lèvres puis avec mes deux pouces je remontais tout doucement vers le clitoris. A entendre sa respiration qui se faisait de plus en plus bruyante, je savais que ça lui faisait du bien. Ca y est, je lui caresse le clitoris, elle laisse échapper un petit cri de plaisir et je vois son ventre bouger. Je lui lèche la vulve, puis viens sucer son clitoris. Elle laisse échapper un second "oh !" aigu. Elle me tient d’une main par les cheveux comme pour me dire : "continue, ne t’arrête surtout pas !" Je vois des contractions au niveau de son périnée et de son anus. J’entre délicatement un doigt dans son vagin, que j’ai préalablement sucé afin d’y mettre de la salive puis le fait ressortir aussitôt. Je la regarde d’un air malicieux signifiant : "tu le veux mon doigt ?" Elle se mord les lèvres. La voir prendre du plaisir comme ça me fait bander encore plus. J’entre cette fois deux doigts dans l’exploration de son sexe, j’insiste bien au passage du point G, j’y repasse même plusieurs fois. Maman mouille comme pas possible, plus besoin de salive comme lubrifiant. Maintenant, tout en massant son point G, je lui suce le clitoris. Elle n’en peut plus. Elle crie, elle balance sa tête en arrière pour s’abandonner à ce plaisir tabou chez les autres gens. Et puis là : révélation ! Quelque chose pousse mes doigts hors de son sexe, je retire mes doigts et un jet de cyprine sort. Ma mère est une femme fontaine ! Le fluide qu’elle a secrété est assez important : une grosse tache ronde de mouille remplit la moitié du lit. Le corps de ma mère tremble, elle a des spasmes. Sur le coup, je suis surpris de voir une telle réaction mais je vois dans les yeux de maman un plaisir et une satisfaction absolus, elle me tire vers elle et m’embrasse fougueusement avec la langue. Wow, comme c’était chaud ! Ma bite me faisait mal tellement je bandais fort. Tout en m’embrassant, maman me masturbais.— J’ai envie que tu viennes en moi.— Moi aussi…Elle se remit en position avec un sourire aux lèvres, celui qui me fait craquer et d’un coup je rentrais en elle. Elle cria.— C’est trop bon ! J’attends ce moment depuis des années !Entendre ma mère qui me désire depuis tant de temps me rend complètement fou. Je commence a faire des va-et-vient rapides et profonds. Je baisais ces entrailles qui m’avaient porté durant 9 mois. C’était bon, chaud, serré. Je sentais les contractions musculaires du vagin de maman sur mon engin qui fonctionnait tels des pompes pour me vider de tout mon sperme. Cela faisait à peine trois minutes que mon sexe était dedans que j’allais déjà éjaculer. Or je voulais que cet instant dure éternellement. Je me retirai.— Changeons de position, sinon je vais déjà jouir.Ma mère sourit :— T’aimes ça le petit minou de ta maman, hein ?— Je vais tellement te le bourrer que demain tu pourras plus marcher !— Humm !Je la retournai afin de la prendre en levrette. Je léchai ma main et caressa son sexe pour l’humidifier. Elle n’en avait pas du tout besoin vu son état d’excitation, mais j’avais envie de lui toucher le clitoris encore une fois. Puis je la pénétrai. J’allais le plus loin que je pouvais, allant même jusqu’à toucher l’entrée de son utérus. Son joli petit cul me touchait le pubis, je ne voyais plus rien de mon sexe. Je la pris par les hanches et commençai à la bourriner. Plus elle criait comme une folle, plus j’y allais fort, et plus j’y allais fort plus elle criait.— Encore ! Encore ! Encore ! Je t’aime, Quentin !— Je t’aime aussi maman ! Je veux pas que ce moment s’arrête, c’est trop bon.— T’inquiète pas, ce sera pas la dernière fois. Ta bite est beaucoup trop bonne ! Je la veux matin, midi, soir et entre deux tous les jours.En sachant cela, j’avais envie de jouir. J’y allais donc plus rapidement.— Oh mon chéri, tu me fais tellement jouir. Ca doit être le quatrième orgasme que j’ai !— Je vais éjaculer, maman !— Vas-y mon fils, inonde mon minou, il est rien qu’à toi.Sur ces encouragements, je lâche tout et me déverse à l’intérieur de ma mère. C’est comme ci je sentais ma prostate envoyer à chaque spasme la dose de sperme. Ma semence qui pour une deuxième éjaculation est quand même conséquente, tapisse les parois vaginales de maman. Elle jouit une dernière fois sentant son propre fils se vider en elle. Le sperme coule le long de sa vulve et retombe sur le lit. Ma mère et moi regardons l’état du drap et rigolons :— Va falloir laver ça. Dit ma mère— C’est clair, et peut-être aérer aussi, parce qu’il y a une odeur… bestiale dans l’air. Ajoutai-je— Mais c’est cette odeur bestiale qui m’excite.Elle s’approche de moi, vient au creux de mon cou, me sent et y dépose un baiser. Sa main glisse doucement le long de ma jambe pour finir jusqu’à mon pénis, qu’elle recommence à masturber.— Ton engin aussi a besoin d’être nettoyé, je vais m’en occuper.Elle descend jusqu’à celui-ci et le suce. Mais différemment qu’au début, cette fois elle n’hésite pas à y aller plus profondément et à se servir de sa gorge. Ca fait un bien fou, tellement que je rebande déjà. Aucune femme ne m’avait fait bander à ce point. Elle embrasse mes testicules, et se sert de la salive qu’elle a déposé sur mon gland comme lubrifiant et me masturbe. Elle s’approche de mon visage, et me regarde droit dans les yeux tout en continuant ses va-et-vient. Sa langue dépasse sur sa lèvre supérieure. Quelle cochonne ! Je l’embrasse à mon tour tout en lui empoignant les seins. Je passe ma main dans ses longs cheveux noirs. On s’installe confortablement dans le lit, entrelacés, nus comme des vers. Nos corps trempent dans nos fluides corporels : sperme, cyprine, salive. Je pose ma tête sur l’épaule de maman, et je fais le tour de ses mamelons avec mon doigt.— Ca t’a plu ? Me demande ma mère.— Complètement ! J’espère qu’on recommencera !— Oui, ne t’inquiète pas. Tu fais partie du Cercle fermé de notre famille maintenant.— C’est-à-dire ? Demandai-je— Dans notre famille, le sexe n’est pas un tabou. Au contraire, c’est une énorme et inépuisable source de plaisirs qui endurcit les liens entre nous. C’est pourquoi depuis très longtemps maintenant, nos ancêtres le faisaient déjà, on accepte d’avoir des rapports sexuels intrafamiliaux.— Ca veut dire que je peux faire l’amour avec…— Oui, tout les membres de notre famille.— Même Lisa ?— Non ! Pas encore ! Ta sœur n’est pas majeure et ne fait donc pas partie du Cercle. Tu vas devoir attendre deux ans avant de pouvoir te vider dedans.— D’accord, tant que je peux te faire l’amour.— J’y compte bien !
Quelques heures plus tard, mon père revint à la maison. Evidemment, il était de mèche puisqu’il faisait partie du Cercle.— Alors fiston, ça a été aujourd’hui ?— Oui, c’était une super journée.— Bienvenue dans le Cercle de notre famille alors. Me dit-il avec un clin d’œil. Tu lui as déjà pris son petit cul ?— Non pas encore, mais il me fait trop envie.— T’inquiète pas, fils, tu vas avoir plein d’occasion de le défourailler.Mon père s’approcha de ma mère et l’embrassa.— Et toi ma chérie, il t’a bien fait jouir ?— Et comment ! Il tient ça de son père. J’ai les deux meilleures bites de la Terre.
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