En route pour ma première histoire ! Je voyageais seul dans un train de nuit. C’était la première fois pour moi. La couchette inconfortable m’empêchait de dormir et je me dis alors d’aller voir si des places étaient vacantes au niveau des voitures normales. Mon ordinateur sous le bras, je sors de ma cabine en évitant de faire trop de bruit pour ne pas réveiller les autres passagers. J’avance dans le couloir quand soudain j’entend des bruits suspects qui s’échappent d’une des cabines. Un couple fait l’amour ! Ayant la cabine à eux seuls, ils en profite. J’essaye alors de jeter un coup d’œil mais rien à faire, les rideaux sont trop bien tirés.C’est alors que le train freine brutalement et que ma tête heurte la vitre. Un peu étourdi, je retrouve vite mes esprits et reprend mon chemin en espérant que le couple n’a rien entendu… Je n’ai pas envie de passer pour un sale petit voyeur.J’avance de quelques mètres lorsque j’entend ne porte qui coulisse…-Eh toi, chuchote un homme. C’est toi qui a tapé à notre porte ?Je me retourne et découvre un grand blond bien musclé, le genre surfeur californien… D’ailleurs il est en boxer ce qui m’influence quelque peu dans cette image.-Le train a freiné subitement et ma main à malencontreusement heurté votre porte, répondis-je sans grande conviction, piètre menteur que je suis.-Bien sur… Arrête tes conneries et viens plutôt. J’ai un truc à te faire voir et ça va te plaire.Hésitant et un peu effrayé, l’excitation l’emporte et je me dirige vers l’homme qui me pousse dans la cabine. La porte se referme derrière moi et je me retrouve dans l’obscurité. Un déclic se fait entendre et un halo de lumière éclaire une jolie demoiselle entièrement nue, allongée sur la couchette du bas.Elle a des cheveux châtains qui lui tombent sur les épaules. Ses yeux sont verts. Elle a des seins absolument comme je les aime, ni trop gros, ni trop petits et bien ronds. Je distingue un piercing dans son nombril. Elle devait avoir à peine 30 ans.-Alors, qu’attend-tu ? Je ne suis pas à ton goût ? Approche…Sans réponse, je lui obéis. Elle s’assoie ses mains glissent vers ma braguette. En une fraction de seconde, je me retrouve le pantalon et caleçon sur les chevilles. Elle se jette comme une affamée sur mon sexe qu’elle gobe entièrement jusqu’à la garde. Elle maîtrise parfaitement la fellation alternant toute une batterie de coups de langue le long de mon membre ou sur mon gland, n’oubliant pas mes couilles qui sont gratifiées de caresses régulières. Lorsqu’elle sent le jus monter, elle s’arrête et me dit :— pas si vite… il ne faut pas gâcher. Et puis occupe toi un peu de moi…Elle se rallonge sur le lit et écarte les cuisses. Le message est passé. Je plonge tête la première vers son vagin et ma langue cherche à lui procurer autant de plaisir qu’elle m’en a donné. Ses mains se glissent dans mes cheveux et accompagnent mes mouvement de tête. Je tends les bras pour toucher sa poitrine et la malaxer. Ses tétons sont dures comme du roc.La belle inconnue frissonne et je reçois de la cyprine dans la bouche. Elle a jouis mais elle en veut plus. Elle me ressort la tête de ses cuisses et découvre qu’elle est couverte de transpiration.-Je n’en peux plus; Prend-moi, maintenant !-Je n’ai pas de capote… répondis-je en me levant et voyant déjà la fin malheureuse de mon érection.Mais qu’elle ne fut pas ma surprise quant elle s’est jetée sur moi, les bras autour du cou, les cuisses qui encerclèrent mon bassin. Je sentais son sexe humide sur ma virilité.-Prend-moi maintenant contre la porte.Ne maîtrisant plus mes pulsions et devant la fougue de ma partenaire, nous faisons un demi tour et je la plaque contre la porte et la pénètre sauvagement. Mes va-et-vient sont brutaux et la porte vibre à cause de mes coups de reins. Je la porte jusqu’à la couchette et nous nous écroulons sur le lit, elle sur moi. Mais rien ne l’arrête, elle se redresse et me chevauche comme un étalon. J’en profite une nouvelle fois pour lui masser les seins. Mes mains parcourent son corps, son ventre plat, ses cuisses. Je finis par les fesses.-Tu aimes mes fesses ?Tout en disant ça elle se relève pour se mettre à quatre pattes par terre, les coudes sur la couchette. Je me mets derrière elle et commence à la prendre en levrette , les mains posées sur ses fesses.— Tu fais quoi ? Me demande-t-elle en avançant suffisamment pour que ma queue sorte de sa chatte. Ne comprenant pas la question, elle me sourit, attrape mon sexe et pointe le gland sur son anus. Brutalement et dans un râle de plaisir, elle recule et s’enfonce la moitié de mon sexe dans le cul. Je prends un pied monstrueux et commence des aller-retour de plus en plus violents. Je me lâche totalement et attrape ses cheveux et les tire. Je commence à l’insulter ce qui à l’air de la motiver.Encore une fois elle s’avance, et mon sexe ressort. Elle s’allonge sur le dos, cuisses écartées et m’invite à la pénétrer. Je ne refuse pas et ma virilité se retrouve une nouvelle fois dans son sexe humide. Nous nous retrouvons les yeux dans les yeux ses lèvres se collent au miennes. Nos langues se mêlent et nous échangeons notre premier baiser. Mais quel baiser !C’est à cet instant que je sens mon sexe palpiter. Je suis sur le point de me retirer quand je sens ses jambes qui m’entourent, m’obligeant de me répandre au plus profond de ses entrailles. Une quantité immense la remplie et je vois un large sourire sur son visage.-Vu comment tu m’as remplie, j’espère vraiment tomber enceinte de toi.Elle glisse un doigt dans son vagin pour récupérer le sperme qui en ressort et elle le porte à sa bouche pour le sucer.Elle s’allonge sur la couchette en criant : « c’’est bon ! » Son compagnon entre, me regarde de la tête au pied. Je suis nu, debout. Il me tend mes vêtement et me dit en faisant un clin d’œil : « repasse quand tu veux, la nuit est longue… » Je me rhabille rapidement et sors de la cabine, heureux mais un peu perturbé par ce qui vient de se passer… Que vient-il de se passer ?Reprenant ma route la tête pleine de souvenir, je croise le contrôleur du train. Ou plutôt la contrôleuse du train … A suivre si vous le désirez…
