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Le train des perversités

Chapitre 1

Hétéro
Je montais déjà dans le wagon à la recherche de ma cabine, c’était une vieille rame de train et il était dur de se croiser avec les autres voyageurs. J’ouvris la porte de mon compartiment, un homme était déjà nonchalamment assis. Je lui donnais 30 ans tout au plus mais il était certainement plus jeune, difficile de juger l’âge d’un coup d’œil. Il lisait le journal.-Hello !Il leva les yeux de sa lecture :-Bonjour dit il à son tourIl me scruta de haut en bas, j’étais en robe d’été très légère, bien que la saison soit fraîche j’avais voulu marquer le coup après un hiver très froid et malgré la température fraîche, j’abordai donc cette petite robe. Forcément, son regard s’était attardé sur ma robe et peut être avait-il repéré mes bas et porte-jarretelle sous ma robe. J’adorais porter des sous-vêtements très féminin et pour moi le porte jarretelle était le comble de la féminité.Je rangeais ma valise en haut du compartiment réservé à cet usage, je m’étirais pour arriver à rentrer la valise dans son logement, il en profita pour me scruter une fois de plus, il se pencha en avant pour regarder sous ma jupe, je le laissais faire après tout, le pauvre type. De toute façon, quel que soit le mec, je l’aurais laissé faire, j’adore me sentir désiré et jouer à celle qui n’a rien vu. Jusqu’au moment ou je me retournait violemment.-Tranquille, vous ! dis-je malicieusement.
-Oui, ça va répondit-il avec outrecuidance, nullement décontenancé par ma remarque et son attitude. « C’est très joli même, je tiens à dire, j’adore vos jambes ainsi que vos goûts en matière de bas.
Je n’arrivais pas à croire en tant de culot. J’étais verte, le souffle coupé, je ne lui répondit pas. Impossible de toute façon de s’éloigner de cet idiot, le train était bondé et impossible de quitter le compartiment pour trouver de la place ailleurs sous peine de rester debout tout le trajet.Je m’assis sur la banquette en face et le plus loin de lui quand une main frappa au carreau de la vitre, lui ne quitta pas sa lecture. C’était mon petit ami qui voulait me dire au revoir, je me levai et descendit la vitre.-Tu es bien installée, chérie ? me demanda t-il.-Oui ! C’est bon, il n’y a pratiquement personne dans le compartiment pour l’instant.-Cool ! tu sais, chérie, j’aurais pu t’emmener chez tes parents.-Oui je sais mais tu as largement autre chose à faire avec ton travail, que de me balader avec notre voiture alors je pars en train.Alors que je continuais à discutais avec mon mec, je sentis le passager indiscret ranger son journal et poser mon regard sur moi, je le vis du coin de l’œil. Il se rapprocha de moi, j’étais très angoissée mais aussi super excitée de parler à mon mec pendant que ce pervers me scrutait. De toute façon j’allais pas taper un scandale dans la gare parce qu’un inconnu bougeait dans le compartiment. Je continuais à discuter.
-Je compte rester peu de temps de toute façon : 3 jours tout au plus et dans tout les c..Mon souffle se coupa net, je sentais des mains sur ma robe, au niveau de mes hanches, mon mec largement en contrebas par rapport à la trame ne voyait rien du manège. Je ne voulu couper ma phrase :
..as je t’appelle pour te dire quand je rentre.Je ne bougeais plus, j’étais tétanisé entre me faire toucher par un autre mec en parlant avec mon officiel et crainte, on ne sait pas quoi les débiles peuvent faire de nos jours, ma tête tournait.Il descendit le long de mes cuisses à la rencontre de mes jambes nues, lorsqu’il les atteignit, il se mit alors à remonter, j’étais paniqué je ne bougeais plus, je ne devais absolument pas alerter mon mec un peu plus en bas dehors.Il remontait toujours ses mains sous ma jupe, déjà il était aux fixations de mes bas et continua à remonter de plus belle. Il courait désormais sur ma peau je frissonnai, en sentant ces mains d’inconnus me caresser. En atteignant ma culotte, il passa un doigt dans le creux de mes fesses, mon cour battait la chamade je l’entendis souffler.

-Putain de sa mère, quel cul ! Puis il ajouta, un ton de menace dans la voix.-Si tu ouvres ta gueule, ton mec saura que t’es une pure traînée qui se donne à des inconnus.

Je me mordis les lèvres lorsqu’il remonta ma jupe sur mes hanches ! J’avais alors mes fesses à nu à la vue de n’importe qui, qui pouvait se présenter dans le compartiment. Il me laissa un moment comme ça, je ne sentais plus rien. Je continuais à discuter avec mon petit copain. A mesure que l’excitation grandissait en moi, j’avais pris une décision. Plus jamais je ne serais la femme d’un seul homme j’étais bien trop excitée pour penser à être fidèle désormais.Il joua avec mon string puis l’écarta sur le côté. Je ne me contrôlais plus, je le laissais faire, j’étais à sa merci, mon sexe et mon petit trou était à sa vue offerte. Je mouillais comme une pucelle, je sentais les rigoles de cyprine me couler le long des cuisses, trempant le tissu de mes bas. Son doigt passait dans la raie de mon cul à nouveau. Au lieu de descendre vers mon sexe son doigt s’arrêta sur mon anus et commença à caresser le contour, là ou la peau est la plus sensible. Puis il commença à presser son doigt dessus, le sorti puis au bout d’un moment je le sentis à nouveau plus humide, je compris qu’il l’avait porté à sa bouche pour l’humecter. Il glissai maintenant très bien sur mon petit trou et avec son autre main il fit glisser mon string le long de mes jambes pour me l’enlever jusqu’au genoux, j’écartais les jambes pour l’empêcher d’aller plus loin. Il pressa de plus en plus son doigt et fini par l’introduire en entier dans mon trou du cul, je réprima un petit cri. Mon mec ne remarqua rien de spécial et continuait de me parler de son travail et de ses futures journées sans moi pendant que je jouais la parfaite petite épouse à l’écouter. Il fit des va et vient dans mon petit trou qui n’était pas du tout habitué par la pratique puisque mon mec préférait des actes plus conventionnels. L’intrus tordait son doigt dans mon corps, mon ventre se soulevait à chaque rotation de son majeur, j’étais sur le point de jouir comme une traînée !-Tu es superbe chérie me dit avec un ton suave mon mec.-Merci, mon chou lui mentit-je avec une conviction qui m’étonna.
L’autre continuait de me tripoter sans faillir à sa tache. Tout en continuant il porta ma chatte humide à sa bouche j’eus un mouvement de retrait, comme pour échapper à son emprise, il m’empoigna de plus belle en passant son bras le long de mes cuisses et me retint vers lui, je ne pouvais pas me dérober, il m’enfonça sa langue à l’intérieur de ma vulve brûlante d’envie et bu littéralement mon jus de femme. j’étais humide comme je ne l’avais jamais été j’en avais jusqu’aux cuisses. Son visage était dans mes fesses, il me léchait goulûment, tout en passant sa main libre depuis qu’il ne s’occupait plus de mon anus sur mon ventre au risque d’éveiller des soupçons vis à vis de mon mec qui pouvait alors voir ma robe se soulever.-Une seconde, darling dis-je à mon mec.Je rentrai alors la tête dans le compartiment et le repoussa de la main.-Non s’il te plaît je ne veux pas ça, ça craint trop.Je devais être très crédible de dire ça, déguisée en petite pute de train, la jupe remontée sur les hanches.— Ok c’est comme tu veux, continue à parler à ton mec, il se doute de rien, ce con. -C’est pas un con lui rétorquais-je, il m’a sauté avant que tu saches ce que c’est qu’est un vrai bon coup lui dis-je d’un ton arrogant.-Maintenant je sais dit-il.-J’espère que ça te plaît parce que dès que j’arrive en gare, je te fais coffrer.-Vraiment ? il me prit de force par les cheveux et m’embrassa. J’étais ivre de fureur, je soufflait un juron il me repoussa vers la fenêtre, mon mec était toujours là. Je repris la discussion avec lui, mine de rien. Toujours écartelée le cul à l’air je m’attendais, soumise, à sentir mon pervers me la mettre profond.Un appel du chef de gare sonna la fin de notre discussion, c’est le moment que choisi mon compagnon de voyage pour immiscer son sexe entre mes fesses, il s’était redressé derrière moi et avait ouvert son pantalon. J’étais en panique, je ne voulais pas de lui en moi mais en plus mon petit ami aurait pu le voir bien qu’en contrebas par rapport à nous deux. Malheureusement impossible de bouger, j’allais rentrer dans le compartiment, je devais dire au revoir à mon amour. Il ne tarda pas à trouver le chemin de mon vagin, j’étais tellement humide qu’il aurait pu y faire entrer le train tout entier. Je me penchais en avant pour atteindre mon copain pour l’embrasser ce qui eut pour effet d’ouvrir encore plus largement mes fesses, il accentua le geste en prenant à deux mains celles ci et en les forçant à s’ouvrir. Son sexe se promenait dans mes fesses entre mon anus et mon vagin. Il entra brutalement son pénis en entier en moi, mon ventre se creusa sous la soudaineté du geste, malgré la taille quelque peu chétive de son anatomie, je ne pu retenir un petit cri de surprise. Ce connard devait être très content de lui-même.-Un problème, chérie ? me demanda mon mec-Rien rien j’ai failli glisser en me penchant lui dis-jeLe train s’ébranla et commença à avancer. L’inconnu du compartiment s’ébranla aussi en moi avec un plaisir non feint, il me prit par les hanches pour bien se caler et chaque coup il restait bien au fond de ma petite chatte serrée comme pour en profiter au maximum, je l’entendais soupirer comme un animal en rut. « Exploite bien ta dernière foune, je te fais coffrer dès mon arrivée » me promis-je mentalement.-Donne moi de tes nouvelles rapidement.-Pas de problème ! Grosses bises chéri !-Je t’embrasse, à bientôt.L’autre continuait ses va et vient en moi, je sentais son sexe chaud en moi, le train avança, je me relevai et ferma la fenêtre, en regardant une dernière fois mon homme qui s’éloignait au loin. L’autre remonta ses mains sur ma robe pour peloter les nichons. Il fit tomber les bretelles de ma robe et de mon soutien gorge d’un geste expert, il découvrit mes seins, il les prit à deux mains assez violemment, le sang tapait dans mes tempes. J’avais de plus en plus de mal à retenir mes gémissements.Quand mon mec fut suffisamment loin, je soufflai à mon inconnu.-A..rrête ça..de suite...je ne veux pas... ma voix était entrecoupée de souffle sous ses coups de reins désormais franchement enthousiastes.-Oh vraiment ? me demanda t-il, ironiquement.-Oui arrête ! Il me donna un violent coup rein qui me coupa le souffle.
-Allez tu ne vas pas me faire le coup de la sainte nitouche maintenant que je sais que t’es une salope.
Il continua de me baiser et me plaqua contre la vitre du train,-C’est froid, espèce d’idiot !Sur le bord du quai, les voyageurs attardés ont du avoir un bien beau spectacle, le train allait encore suffisamment doucement pour que de nombreuses personnes interloquées détournent le regard sur moi. Mes seins à la vue de tous, écrasées contre la vitre, les mamelons irrités er les aréoles rougies par cette baise sauvage, débrayée, j’avais perdue la tête, j’étais folle, très excitée par cet inconnu qui me prenait au regard de tous sans délicatesse. Le train sorti enfin de la gare et le paysage se fit plus « tranquille ».J’en pouvais plus et je sentais qu’il n’en pouvait plus lui aussi.-Non ! Laisse moi tu m’as bien assez baisée comme ça, je me casse ! Décision qui a finalement du le surprendre car après tout je l’avais laissé aller jusque là, je ne voulais pas me retrouver avec son sperme en moi pour 2h de train encore. Mais il affirma sa prise sur mes hanches si fort que je sus que j’aurais des bleus et en même temps que j’entendis son râle de plaisir, je sentis en moi sa chaude semence se répandre dans mon utérus, je jouis immédiatement et j’eus honte d’éprouver pour ce salaud de la reconnaissance pour s’être lâché en moi, je me dégageais rapidement, je pris la valise et en 2 secondes j’étais sortie du compartiment, humide, sans mon string, quelque peu décoiffée, sentant le foutre brûlant de l’inconnu me couler de la chatte et se mélangeant à ma mouille répandue sur mes jambes.Je pris place dans un autre wagon, dans un compartiment vide je m’installai, me réarrangea un peu la coiffure et les vêtement , je restai sans string et la moule à l’air. J’allais pas défaire ma valise pour sortir un sous-vêtement. Au prochain arrêt, un bon nombre de passager monta dans le train, l’atmosphère devint alors rapidement suffocante. Ma tête me tournait depuis les assauts de l’autre je faillis m’évanouir plusieurs fois. Je pris la décision de sortir du compartiment en laissant ma valise à l’intérieur, pour respirer un peu l’air frais du couloir, maudit train des années 30 !
Au terminus, gare de Rennes, je me précipita vers un agent ferroviaire, les larmes aux yeux et lui raconta tout au sujet de mon aventure dans le train. Au début, il refusa de me croire mais quand je lui dis que mon string avait été gardé en trophée, il donna le signalement du passager et j’eu la satisfaction de voir mon "agresseur" aux bras de deux solides soldats français posté là dans le cadre du plan vigie-pirate et qui avaient sans doute décidé de jouer les renforts. Ça, c’est ce que j’appelle se faire baiser.-La SNCF poursuit ceux qui commettent des crimes dans ses transports, nous porterons plainte, quand à vous, laissez nous vos coordonnées, nous les remettrons aux forces de l’ordre en même temps, ils vous recontacterons par la suite, nom et prénom s’il vous plaît ?
-Maëlle, lui répondit-je,reconnaissante, je vais vous écrire mon nom de famille, ça sera plus facile.
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