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Train de nuit

Chapitre 1

Hétéro
Le récit que je vais vous raconter est né de mon imagination. J’ambitionne depuis maintenant quelques temps de me mettre à l’écriture. L’histoire « train de nuit », se déroule entre une ville du sud de la France et Paris.Je suis responsable d’une entreprise de la région Toulousaine. La cinquantaine, je suis célibataire, un peu fêtard et J’ai aussi un petit penchant, les femmes ont tout le temps exercé sur moi une attirance à laquelle je n’ai rien fait pour résister.Ce dimanche soir c’est la fête, comme tous les ans, notre bande de copains se regroupe. Notre petit comité, cercle de fidèles, pour le meilleur comme pour le pire, se rencontre depuis quelques temps régulièrement.Chez nous, le plaisir d’être ensemble s’exprime autour d’une bonne table, le repas est en principe excellent et le vin, bien sur, il est vieux et bon, le tout agrémenté par des discutions ou le ton s’élève quelque peu au fur et à mesure que la soirée avance. Les thèmes de discussions sont très variés, le travail de chacun, les commentaires sur les dernières rencontres sportives, un peu de politique, les histoires plus ou moins grivoises qui fusent par ci par là. Et comme d’habitude, au fil du repas, la gente féminine devient la cible privilégiée. Les traditionnelles anecdotes passent du grivois au très croustillant, les histoires anciennes reviennent et se mélangent aux nouvelles….. Est ce qu’ils en rajoutent ? Probablement. Mais peu importe je ne leur en veux pas, ils y mettent tant de cœur. Ce n’est que du plaisir ces retrouvailles. Dommage, J’en aurais presque oublié ce voyage…… Je suis aigre, après ce somptueux repas. Mais j’étais prévenu, je savais que je ne pourrais pas continuer la soirée avec eux. Elle va surement se terminer tard dans la nuit. J’étais prévenu, travail oblige. J’ai un train à prendre qu’il ne me faut pas rater, il me faut être impérativement demain à Paris. Il est 23h30, un des mes collègues me dépose à la gare, je prends dans son coffre de voiture ma valise ou toutes mes affaires sont réunies. Poignée de mains et au revoir, avec biens entendus les encouragements d’usage « surtout profitez bien »…. Les veinards, vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point ça me coûte, moi qui aime tant faire la fête.
Le contraste est saisissant, se retrouver tout seul sur le quai de la gare, dans le courant d’air, l’humidité de cette nuit de novembre, le haut parleur ou les annonces du chef de gare se succèdent et viennent rompre le silence. Dans ce hall, je me sens mal et triste en même temps, j’ai une boule sur l’estomac, peut être que le vin n’y est pas pour rien aussi. Je traverse les voies par les couloirs et gravis l’escalier pour rejoindre mon point de départ. M’y voila, patience encore 15 minutes, le train a du retard. Je m’assois sur un banc légèrement à l’abri, je déplie mon journal, je n’ai plus qu’à attendre.Je suis sur le bon quai et la voie correspond bien à ma destination sur l’écran lumineux. Des escaliers, montant du sous terrain, il me semble entendre puis peu à peu s’amplifier, un bruit sec et régulier de pas. Un petit sourire m’échappe, je ne rêve pas, il n’y a pas de doute! C’est une femme et en talons aiguilles svp. Dans cette soirée si triste, aurais-je la chance d’avoir une accompagnatrice?Mais, ne brulons pas les étapes, pas d’excitations prématurées. Toutes mes pensées sont accaparées par cet instant, et bizarrement je ne ressens plus le froid. Je ne peux m’empêcher de sourire à nouveau, il y a des jours avec et des jours sans.En un rien de temps deux problèmes à résoudre et les pas se font de plus en plus prés et je ne voie toujours personne……. Déjà, si cette dame est chaussée de talons hauts, c’est qu’elle est féminine. Comment va-t-elle être ? Porte t elle des bas ? Mon imagination va bon train, Il faut que j’arrête de délirer. Je n’y peux rien, mon cœur bat me semble t il un peu plus vite. Ces moments là sont très agréables ……. Il y a deux voies sur ce quai, sur l’autre voie tous les écrans sont éteints donc elle est obligatoirement passagère du même train que moi. Première énigme résolue. Deuxième énigme est bien c’est elle. Voyons si j’ai toujours de bonnes sensations, d’après ce que je pense, vu la cadence soutenu du pas, cette dame est très vive, elle ne doit pas avoir plus de quarante cinq ans ! Patience, elle n’est plus très loin, je vais enfin la découvrir …….J’abaisse légèrement le journal qui ne me sert en fait que de prétexte. J’ai une vue directe sur la sortie de l’escalier à une dizaine de mètres environ de moi. J’aperçois ses cheveux châtains, puis peu à peu son visage, son buste, sa taille et enfin ses jambes…… Quelle femme !!! Le genre qui me fait vibrer, des rondeurs certes mais ou il faut. Je croise son regard, j’esquisse un signe de la tête accompagné du traditionnel bonsoir, pas de réponse. Bien me dis je, cette dame, apparemment, ne partage pas la même satisfaction que moi ou bien est elle encore dans ses pensées….. J’ai eu le temps de mémoriser sa silhouette qui est comme je l’imaginais : très féminine. Elle n’est pas très grande, elle mesure environ 1.60m à 1.65m sur ses talons. Elle est habillé d’un tailleur sombre sur une jupe étroite finement fendue sur le coté, la longueur est juste au dessous du genou. Elle a des formes que je qualifierais de très sympathiques….. La poitrine doit être très mignonne, les jambes sont effectivement gainées de nylon couleur chair, trop tôt pour dire si ce sont des collants ou bien des bas. Je constate que mais sensations sont bonnes, elle doit avoir 45 ans à peine. J’ai pu la suivre du regard discrètement, sa silhouette est parfaite et tout à fait à mon gout. Je sens que je vais avoir acheté mon journal pour rien, enfin si, mais je risque de ne pas lire beaucoup.--A cette heure, il doit y avoir de la place dans ce train, je vais la laisser monter en premier ça me permettra de choisir une place, positionnée de telle manière que je puisse la regarder à l’insu de son plein grès…….Le train est enfin annoncé. Je l’aperçois, de loin il ressemble à un serpent lumineux, ma vision aussi a changée aussi, tout à l’heure tout était austère et maintenant je trouve ce train sympa. Je me lève de sur mon banc et je constate que mon accompagnatrice fait de même. Le train nous passe devant et commence à ralentir puis s’immobilise dans un crissement de frein. Quelle chance, tout le train rien que pour nous. De ce que j’ai pu voir au fur et à mesure que les wagons ont défilés devant moi Il n’y a personne ou quasiment personne. Le haut parleur annonce dix minutes d’arrêt. L’ambiance va t être rétro, les chemins de fer font circuler des anciens wagons, compartimentés intérieurement et accessibles par une porte coulissante. Je crois rêver, je me régale, mon plan semble se déroulé mieux que prévu pour l’instant.La dame est sur ma droite et progresse vers la porte d’accès du wagon, elle s’avance, s’étire sur la pointe des pieds pour lever le loquet, pose son bagage sur le haut de l’escalier. Première épreuve pour elle, les escaliers sont tellement abruptes, elle n’a pas d’autre solution que de faire glisser sa jupe vers le haut pour avoir un peu plus d’aisance. Je me tiens très poliment à l’écart, j’imagine une certaine gène chez cette personne, obligé de s’exhiber devant quelqu’un, qui plus est du sexe opposé, en pleine nuit sur un quai de gare!!! De ma position, je ne perds rien du spectacle. Elle lève la jambe droite pour mettre le pied sur la marche, la malheureuse me dévoile malgré elle bien plus que ce qu’elle avait découvert. Maintenant je peux dire que ce sont des bas qui décorent ses jambes, leur galbe est magnifique.Très joli, un motif de broderie orne le haut, elle a très bon gout. Je trouve ce moment très sensuel. J’ai très envie de lui donner un coup de main, mais comment puis je le faire, je vais encore passer pour un pervers…… De temps en temps elle regarde dans ma direction, elle se doute de la raison pour laquelle j’attends derrière elle au lieu de monter dans ce wagon par une autre porte de libre.Intérieurement je souri en pensant à ma bande de compères que j’ai laissé toute à l’heure. Une nouvelle histoire pour agrémenter une prochaine soirée, de plus j’ai le sentiment que celle-ci ne fait que débuter. Le déhanchement provoqué par la montée des marches fait ressortir son postérieur et la jupe est encore plus relevée. Je peux discrètement voir la lisière des deux bas ainsi que les attaches de portes jarretelles. Le contraste entre la broderie et la blancheur de la peau est exquis. Ne voulant rien perdre du spectacle, j’accompagne des yeux la montée de la dernière marche. Elle récupère son sac. Et là, la belle me fait volte face. Son regard exprime toute son impuissance et sa colère. Son visage m’apparaît alors, est ce la situation qui accentue ses traits ? Toujours est-il que je la trouve ravissante. Elle sait que je me suis rincé l’œil. J’ai honte mais ravi en même temps, vais-je oser aller m’installer en face d’elle ? Tant pis il faut y aller, d’un seul coup j’ai très chaud. A mon tour de monter, je sais qu’il ne va pas falloir se louper, je la suis un peu en retrait……. Elle pénètre à l’intérieur d’un compartiment, Il va falloir oser, je la laisse s’installer….. Elle prend place à coté de la vitre puis ouvre sur ses genoux une revue féminine. Je n’aime pas trop voyager en sens inverse de la marche mais je ne vais pas non plus faire le difficile.
 Est-ce que je peux vous proposer ma compagnie ? Je me trouve très gonflé, de plus pas de réponse……. Je fais comme si de rien n’était, je m’installe à mon tour, je range mon bagage sur l’étagère au dessus de mon siège. Je referme la porte, je reprends mon journal. Le haut parleur de la gare égrène quelques notes suivi d’une annonce qui, une fois de plus, m’arrange bien, un seul arrêt d’annoncé entre Toulouse et Paris : Vierzon. A cet instant j’ai peur que ma satisfaction soit perceptible, je me tourne légèrement sur le coté pour me cacher un peu. Je peux voir dans le reflet de la glace, ma tête souriante et ma jolie compagne qui a croisé ses jambes. Le chef de gare siffle, le train commence à rouler, notre voyage commence. Nous traversons la ville. Quelques lumières ça et là dénoncent le peu d’activité que les habitants peuvent avoir ce dimanche soir. Les derniers quartiers et les dernières maisons sont traversés à vive allure. Si le chauffage pouvait monter d’un cran, ce n’est pas qu’il fasse froid, mais ça nous permettraient de nous mettre à l’aise.Je retourne la tête vers ma voisine, nos regards se croisent. Tiens donc, elle se serait aperçue de ma présence.Un petit frisson me parcours l’échine, cette femme est sure d’elle, ses regards sont francs et ne laissent rien paraitre. Je constate qu’elle a défait les boutons de son tailleur. L’espace entre chaque bouton dénote qu’elle est à l’étroit dans son chemisier. Je continu à faire semblant de lire. Je me rends compte qu’elle doit être plongée dans sa lecture. Les secousses et le fait qu’elle croise et décroise ses jambes ont fait remonter sa jupe, elle n’a pas le réflexe de la rebaisser. Je trouve bizarre mais en même temps très beau. Ou bien aurait elle changé d’avis et aurait elle envie de jouer, elle aussi ? L’instant est magique, pas de précipitation qui pourrait la mettre en colère, nous avons encore quatre voir cinq heures au moins devant nous. Si le contrôleur pouvait passer ce serait un souci de moins. Je n’ai pas fini de penser ça que le voila qui frappe à la porte, un salut de la main puis le : Vos billets s’il vous plaitNous nous levons pour les chercher, l’un après l’autre nous les lui tendons. Après les avoir poinçonnés le représentant de l’ordre nous salut puis en nous quittant se tourne vers moi et me glisse un clin d’œil accompagné d’un petit sourire qui en dit long. Je soupçonnerais que ce garçon préfèrerait être à ma place . Je me rassois et me rend compte que la dame a profité du passage du contrôleur pour poser sa veste. Effectivement il semble que le chauffage se soit enclenché. Il serait bien que je fasse pareil. J’enlève ma veste de costume la pose là ou j’étais assis ce qui me permet de me recentrer un peu sur la banquette. Je suis plus prés et presque en face d’elle. Est-ce cette nouvelle proximité qui là gène, a-t-elle peur de m’offrir une vision trop subjective, toujours est il qu’elle croise beaucoup moins ses jambes et tire trop souvent sa jupe pour couvrir ses genoux. La transparence de son chemisier me permet de deviner la forme et la couleur de son soutien gorge. Le frêle balconnet blanc maintient avec difficulté ses seins, leurs auréoles sont presque devinables. Comment faire pour casser la glace ? Comment faire fondre cette citadelle ? Elle semble glaciale, et très attirante en même temps. Cette femme dégage tellement de sensualité. Elle me fait de l’effet c’est sur, je me sens de plus en plus à l’étroit! Je dois agir avec malice pour essayer de masquer la bosse qui déforme mon pantalon. Pourtant, d’habitude ça ne me gène d’aucune manière qu’une femme se rende compte qu’elle me fait de l’effet, bien au contraire, mais là, ma pudeur me trouble. Et si elle s’en apercevait ? Reprenons la lecture, j’éprouve des difficultés pour comprendre ce que je lis, pourtant d’habitude la lecture m’occupe une bonne partie du trajet. Je n’arrive pas à me concentrer, je suis incapable de lire deux lignes, je ne peux m’empêcher de la mater. Elle est légèrement tournée, ses yeux sont maintenant plus visibles. J’y crois pas, elle me regarde discrètement, elle a remarqué la déformation de mon pantalon, Aurait elle a du mal à lire elle aussi ?….. J’aimerais lui parler, en savoir plus sur elle. Brusquement, elle se lève, prends son sac et me dit : Pardon……La voila qui file dans le couloir…. En passant devant moi j’ai pu apprécier son parfum. Très en accord avec son style, il reflète toute sa personnalité, un mélange suave de senteurs de savane pour la discrétion et d’odeurs de l’océan pour la puissance. Il faut que je me calme. J’en profite pour me lever et me réajuster un peu. Ca n’empêche rien, il me faut me rendre à l’évidence, je bande,la bosse est visible. Rapidement, j’ai réussi à positionner mon sexe en travers, sur le coté, cet endroit est moins douloureux. Revoilà ma compagne d’un soir, elle s’est refait une beauté et a réordonné sa tenue. Elle se rassoit, reprend son magasine et là Oh ! Surprise, elle a aussi remis du rouge à lèvre. Tiens ! Ce n’est plus pareil, il y a quelque chose de changer dans son comportement, se serait elle rendu compte de l’effet quelle me fait……  Si vous vouliez fumer une cigarette discrètement, vous le feriez à quel endroit ? me dit-elle.Je saute sur l’occasion, et lui rétorque : Je viens d’avoir la même besoin, donc je me posais la même question ! Le contrôleur est passé je ne pense pas que nous attirerons des ennuis avec nos voisins, je vous propose d’ouvrir légèrement la fenêtre et nous pourrons en griller une en toute discrétion, je vous promets de ne le rapporter à personne. Sautant comme des mort de faim sur nos paquets de cigarettes, je lui propose du feu quelle accepte en me remerciant d’un sourire complice. La brèche est ouverte pensais je ! Je me rapproche de la fenêtre et pour garder une distance convenable, je mets un genou sur la banquette.  Comment se fait il qu’une femme seule comme vous se retrouve obligé de voyager en train et de plus à une heure aussi tardive ? Je suis bien d’accord avec vous mais je n’avais pas d’autre possibilité, j’ai besoin d’être à Paris demain matin à la première heure et j’ai voulu quitter ma famille à Toulouse le plus tard possible. Je suis tout prés d’elle, mon épaule touche de temps en temps son épaule. Je sens au travers des vêtements la chaleur qu’elle dégage. Rien qui m’arrange vraiment, mon érection se fait de plus en plus présente….. J’ai envie de l’attraper de la serrer dans mes bras, je suis complètement fou….. Je reprends la conversation et lui dit en me tournant vers elle : Ce n’est pas pour vous effrayer mais il arrive tellement d’agression.  Vous êtes très jolie….Je peux voir son visage de très prés maintenant. Ces pommettes rosirent. Elle réfléchit un instant et me répond :  Effectivement, j’avais un peu d’appréhension et même peur de faire ce voyage ! Mais comme je vous l’ai expliqué ce déplacement et très important pour mon avenir. Si vous me permettez, je vous propose de vous accompagner jusqu’à Paris ! (Le tout accompagné d’un petit sourire….. si elle savait la garde de son corps que j’aimerais lui prodiguer) J’aime bien la compagnie de gens comme vous, d’âge que l’on dit mûr. Et puis nous donnons l’impression d’être un couple. Ouah c’est moi qui frissonne…..Bon !!! Elle n’a pas l’air trop farouche. Nous écrasons réciproquement nos cigarettes, puis nous retournons nous asseoir. L’atmosphère c’est détendue. J’en profite pour continuer la conversation : Vous êtes splendide !!! votre ensemble vous va à merveille …. Je suis hôtesse, cette façon de m’habiller et une habitude pour moi, j’aime être attentive à mon image….. Ne changez rien !.... J’ai l’impression que mes paroles font mouches, la dame semble flattée. Plus ça va et plus ses sourires sont directs et francs. La discussion se poursuit de façon plutôt sympathique, elle m’apprend qu’elle est divorcée et vit seule. A sa façon de s’exprimer je sens bien que cette situation ne la satisfait pas pleinement. Nous en profitons pour débattre sur les avantages du célibat. Ces genoux touchent presque les miens, elle ne croise pas ses jambes, j’ai très envie de poser ma main dessus, ce doit être doux et agréable...Je ne peux m’empêcher de la flatter, je la félicite sur la façon de se vêtir, et j’ose : Vos bas vous font des jambes splendides… Et là elle me rétorque, droit dans les yeux avec un petit sourire: Ce sont mes bas qui vous ont fait cet effet tout à l’heure ?Devant mon air de petit garçon pris au piège, elle rajoute : J’avoue que vous ne m’êtes pas indifférent…Sur ce, elle se lève, va tirer les rideaux coté couloir et en revenant elle éteint la lumière principale… Le compartiment n’est plus qu’éclairé que par la veilleuse issue de secours. Elle reprend place en face de moi et me dit : Si nous arrivons à dormir un petit peu, le chemin en serait plus court et nous serions en meilleure forme pour la journée de travail qui nous attend.Elle appuie sa tête contre le repose tête et ferme les yeux. Je n’ai eu le temps de rien faire, de ne rien dire… Elle ne pense pas s’en sortir comme ça !!! Je pose ma main sur son genou, le contact des bas et la tiédeur de la peau sont très agréables. Pas de réaction… Je m’ enhardi, mon autre main vient rejoindre la première. Je caresse maintenant l’intérieur de sa cuisse, humm… je me régale et en même temps je m’attends au pire. A cet instant la belle ouvre les yeux, son regard est différent, elle avance la main et sans perdre de temps vient me caresser à travers mon pantalon. Tout doucement, elle apprécie les contours, visiblement elle veut savoir. Sans être un monstre de la nature, je pense avoir été plutôt bien servi. D’un seul coup, précipitamment, elle veut la palper, la sentir. Elle me fait comprendre que mes vêtements sont de trop. Je me redresse, défait ma ceinture et baisse rapidement mon pantalon. Je me rassois à ses cotés, et la, comme si le temps était compté, elle se penche, ouvre ses lèvres et sans aucun complexe entreprend une fellation… Houa j’ai des frissons partout, que du plaisir. Je pense à ce moment là que son envie égalé la mienne. Mes mains parcours son corps à travers ses vêtements. Sa position me permet d’aller plus loin, entre ses jambes, mes doigts caressent maintenant sa lingerie. J’écarte sans voir le fin tissu. Effectivement, elle apprécie, elle mouille de façon impressionnante. Mes doigts vagabondent, effleurent le clitoris, repartent, délaissent, reviennent, je la sens vibrer, elle me fait comprendre le plaisir qu’elle éprouve. Des sons, des paroles viennent m’encourager à aller plus loin. J’ai envie de gouter à mon tour, boire à sa source, sans forcer beaucoup je me retrouve en position du ying et du yang. De son coté elle n’a rien arrêté, sa langue continue sa sarabande, sa salive me dégouline autour de mes couilles, la dame y met beaucoup de cœur, l’effet est extraordinaire, magistrale, je pensais avoir connu le maximum mais là j’avoue ne pas trouver les mots. A mon tour de lui prodiguer le meilleur. Quel plaisir, mes mains de part et d’autre écarte sa chatte en feu. Ma langue se promène, visite, la pénètre. Son parfum m’excite et m’enivre en même temps. Petit à petit son clitoris concentre mon attention, il se dresse et réclame. J’en fais le tour de plus en plus vite, je sens que la dame se raidie, râle plus fort. Elle bouge de plus en plus, je suis obligé de la maintenir, elle éclate, crie, hurle, me supplie, elle jouit. Son jus m’inonde, je bois, je me délecte, un régal. J’ai envie de la pénétrée. Comme si elle avait deviné, elle se redresse, fait glisser son string et se met à genou sur la banquette, sa jupe est remontée très haut, comme une chienne sans pudeur et avec beaucoup de sensualité elle me présente sa croupe, légèrement blanchâtre dans cette lumière diffuse. Elle écarte légèrement les cuisses. Je présente mon gland, je le frotte à l’entrée de son vagin, je fais durée le plaisir, je la sens impatiente, je retarde la pénétration et d’un seul coup je m’enfonce en elle jusqu’à la garde. Elle laisse échapper un « ho », elle est trempée, quelle douceur, je commence mes va et vient. Mes couilles à chacun de mes mouvements viennent taper l’intérieur de ses cuisses. J’alterne les cadences. J’écarte avec mes doigts ses rondeurs et mon pouce effleure son petit anneau, cette nouvelle caresse la fait réagir et m’encourage. J’humecte de salive mes doigts et par des titillements j’essaie de la détendre, mon pouce entre en elle avec facilité. Je la sens de plus en plus remuante elle m’encourage du bassin à la chevaucher de plus en plus fort. Ses cris, ses paroles dénotent du plaisir quelle éprouve. Cette femme est une perle, elle m’excite comme c’est pas possible, elle est débordante de sensualité. J’éprouve beaucoup de plaisirs. C’est un effet dévastateur, habituellement je maitrise très bien. J’arrive à retarder mon éjaculation. Mais la je me sens tout petit et je fonds, je suis incapable de retenir quoi que ce soit, le plaisir monte, ma jouissance est proche, j’éclate, je me répand en elle, je lui rempli la chatte de mon sperme. Rapidement et avec beaucoup de délicatesse elle me fait volte face, visiblement je lui ai donné du plaisir son maquillage à fondu. Elle me reprend en bouche, hummm… je n’en demandais pas tant. Elle me suce, m’aspire, lèche et me nettoie d’une langue habile et gourmande les goutes restantes.Je ne connais même pas son prénom et elle ne connaît pas le mien. Nous n’avons pas gouté nos lèvres. Ma langue n’a pas joué avec sa langue. Nous rajustons nos vêtements et reprenons nos places respectives. Nous n’avons pas réalisé ce que nous avons vécus. Sans un mot nous allumons une cigarette, face à la fenêtre, là je ne tiens plus, je jette ma cigarette et je l’enlace en la caressant de partout. Je l’embrasse en même temps dans le cou. L’effet est immédiat, elle se retourne, nos bouches se trouvent, nos langues se mêlent, les sensations sont extrêmes. Nous nous asseyons l’un à coté de l’autre, je l’enserre de mes bras.Le reste du voyage se passe par des échanges de caresses, de câlins entrecoupés de petites siestes.Une fois arrivé nous nous quittons sur le quai.Nous avons respectivement échangé nos numéros de téléphone. Je pense que nous nous reverrons
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