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Traité de paix

Chapitre 1

Divers
Je suis Thuringwethil, la fille du clan des Elfes de la forêt, et Adûnakhôr , mon père, le chef du clan doit finaliser une alliance avec les humains pour la paix et la prospérité dans notre monde. Il est coutume que la fille du chef soit également présente lors des négociations, pour des raisons que j’ignore encore.
Ainsi donc je me préparai, revêtis une longue robe blanche symbole de pureté et de paix, laissant mon arc et mon esprit de guerrière de côté pour ne pas donner de fausses impressions. En me dirigeant vers la salle où la réunion devait avoir lieu, mon père m’arrêta et m’annonça une chose importante en rapport avec ce traité. Il me dit qu’il a toujours été coutume que lors d’un traité, la fille du chef doit accepter de coucher avec le roi ou un parent de ce dernier. Si la coutume de ce traité n’était pas respectée, une guerre de royaumes risquait d’arriver.
Même si je suis une Elfe, j’aime le sexe et j’ai passé déjà beaucoup de nuits avec différents Elfes mâles du village, voire plusieurs à la fois ; mais ça, personne ne le sait à part mes amants. Donc je fis l’Elfe surprise et réagis mal au vu du chef, puis acceptai finalement la coutume parce que je voulais savoir ce que ça faisait de se faire prendre bien intensément par un homme, pour changer.
En entrant dans la salle, je vis Aeglos, le roi, accompagné d’Aegnor, son prince, et de Maedhros, le commandant de son armée. Les discussions commencèrent et durèrent des heures. Pendant tout ce temps, je n’arrêtais pas de fixer du regard le fils du roi, pour le chauffer et tenter de lui dire du regard que j’avais hâte d’être au moment où il fallait baiser, me mordillant les lèvres pour lui faire comprendre mes envies.
La fin de la réunion arriva. Les deux parties se saluèrent d’une poignée de mains concluant cet accord, et mon père annonça la coutume aux hommes, du moins au roi. Il me donna le choix de la personne avec qui je devrai m’envoyer en l’air et partit. Les trois hommes, encore sous le choc de cette nouvelle, furent surpris et attendirent le choix que j’allais faire. Mais dans ma tête, celui-ci était fait depuis bien longtemps !
— Je vous choisis tous les trois ! dis-je sur un ton certain et désireux.
Les trois hommes se regardèrent et réagirent de suite :
- Pardon ?— Vous avez très bien entendu : j’ai dit que je vous veux tous les trois en même temps. Mon père n’en sait rien, mais je suis une Elfe salope et cochonne qui aime le sexe et la baise, et j’ai envie de goûter au plaisir que vous, les humains, savez procurer et donner à vos femmes humaines.
Le prince étant le plus jeune de tous et donc le plus timide recula, laissant les deux autres s’approcher de moi pour me toucher et me caresser le corps. Je sentis leurs mains baladeuses se promener sur tout mon corps, ce qui me procura vite du plaisir et de l’envie. Les mains du roi étaient sur mes seins, et il me les massait et les malaxait à travers ma robe. Il comprit vite que je réagissais comme une mi-Elfe / mi-humaine ; mes tétons pointèrent rapidement.
Alors que le roi jouait avec ma poitrine, le commandant, lui, sortit son engin que je pris en main. Je commençai à le masturber, sortant son gland bien gonflé avant de venir le prendre en bouche, toujours en fixant du regard le prince qui restait toujours à l’écart ; mais je voyais, à la bosse dans son entrejambe, que cette scène l’excitait et que je lui donnais quand même envie. Je suçai fortement cette queue, aspirant bien le gland tout en passant une main sur ses boules pour les titiller et les masser, puis je les léchai et les gobai tout en masturbant bien de haut en bas cette belle longue tige.
Le roi m’ordonna de me mettre à genoux sur le sol ; il sortit également sa queue, et je me retrouvai ainsi avec deux bites à m’occuper. Cela m’excitait bien, mais pas assez car au loin le prince, toujours timide, ne se lançait pas, même si je le voyais en train de se toucher la queue devant mes yeux. Les deux autre hommes l’attrapèrent et l’amenèrent jusqu’à moi.
— Prince, arrêtez de faire votre puceau et agissez en tant qu’homme ! rugit le commandant.— Hum, laissez-moi faire : il ne sera plus timide lorsque je me serai occupée de lui ; je suis douée pour ça, une bonne Elfe salope et chaude !
Je glissai ma main dans son pantalon, attrapai sa bite et me mis à la sucer goulûment, léchant bien son gland de haut en bas tout en masturbant les autres pour ne pas faire de jaloux. Le prince prit vite goût à ce plaisir, et doucement approcha ses mains de ma tête pour venir enfoncer sa queue dans ma gorge, puis il se mit à baiser ma bouche de plus en plus vite, prenant confiance en lui.Pendant ce temps, je tentais de masturber les deux autres alors que ma tête allait dans tous les sens. Le roi le sortit et prit sa place. Ils tournèrent ainsi pendant quelque temps ; les trois queues me défoncèrent la bouche, ma salive coulait, des filets de bave ressortaient, liant ma bouche aux trois glands.
Dans son élan, le prince arracha ma robe, laissant apparaître mon corps nu, doux et soyeux ; il me souleva et me porta jusqu’à la table. Là, il écarta mes cuisses, et dans un élan de confiance se jeta sur ma chatte lisse, rose et bien humide pour me la lécher, laissant ma bouche à ces deux hommes pervers et chauds. Je sentais sa langue lécher mon clito, le sucer et le mordiller. Ses doigts qui me pénétraient faisaient de longs va-et-vient en moi et me fouillaient bien la chatte, me faisant mouiller comme une folle, mais je ne pouvais pas gémir à cause des queues que je suçais fortement.
Puis le roi me fit mettre à quatre pattes comme une vulgaire chienne et m’enfila en levrette d’un coup sec et puissant, ce qui me fit hurler et gémir. Je sentais bien cette grosse queue bien dure me limer la chatte trempée précédemment par les soins du prince, alors que ce dernier revenait devant ma bouche pour me faire taire en me la baisant sauvagement. Le commandant, quant à lui, se glissa sous moi pour maltraiter mes seins qui dansaient au rythme des coups de reins que le roi me mettait bien sauvagement ; ses couilles claquaient contre moi, je les sentais et ça m’excitait encore plus. Il se mit à me mettre des fessées, et il en profita pour titiller mon cul afin de le préparer pour plus tard.
Sentant son pouce forcer mon petit trou de salope, je ne pus me retenir de hurler et gémir, même avec la bite du prince dans ma bouche. Alors que je me faisais déjà bien tringler, je sentis un autre gland forcer ma chatte : le commandant et le roi se mirent à me prendre en double, à me défoncer et ouvrir ma chatte encore plus qu’elle ne l’était déjà. Je sentais ces deux bites aller et venir profondément en moi en alternance, parfois à la même cadence. Quand cela se produisait, je ne tenais plus sur mes bras et je hurlais comme une chienne.
Par la suite, le roi sortit. Le prince prit sa place et, sans réfléchir, enfonça d’un trait sa queue dans mon cul et me sodomisa bien sauvagement. Sa queue épaisse ouvrait et dilatait bien mon cul de la salope d’Elfe que je suis, alors que le commandant continuait à me perforer la chatte pendant que le roi me défonçait la bouche. Mes trous pris, je me sentais vraiment salope et excitée au plus haut point. Ils me remplissaient bien les trous avec leurs grosses queues raides. Les Elfes mâles ne faisaient pas le poids à côté de ces trois humains ! Le roi, qui avait fait déjà un gros travail, me baisa la bouche comme un malade avant d’en ressortir pour venir décharger sa semence sur mon visage et mes cheveux. Mon visage souillé par le jus du roi, je repris sa queue en bouche pour tout aspirer et nettoyer son engin pendant que les deux autres me limaient encore bien comme il faut les trous du bas.
Le commandant demanda au prince de s’allonger, et je vins m’empaler sur ces piques tendues. J’étais comme folle avec ces queues qui me limaient de plus en plus fort, une dans mon cul et l’autre dans ma chatte dégoulinante de mouille ; j’enchaînais les jouissances, je hurlais de plaisir et de bonheur grâce à eux. Celui qui baisait ma chatte attrapa mes seins et se mit à les malaxer fortement, à les empoigner à m’en faire mal, pinçant mes tétons tout durs d’excitation et de désir. Quand il les tirait, j’en hurlais, mais il s’en moquait royalement. Je me faisais défoncer comme jamais je ne l’avais été auparavant.
Le commandant qui m’enculait ne tenait plus ; il finit par gicler lui aussi, mais dans mon cul, ce qui me fit jouir à mon tour. Je fis comme pour le roi : je chopai sa queue et la suçai pour nettoyer cette belle bite. Seul le prince continuait de me baiser, vu qu’il restait plus que lui ; je jouissais moins, mais il tenait le coup et continua dans diverses positions. Il me plaqua contre un mur, me prit en cuillère, en brouette, aussi bien dans ma chatte que dans mon cul avant qu’il ne puisse plus tenir lui aussi... Mais là, je tenais à goûter à la semence des hommes. Direct je me retournai et me mis à sucer sa queue goulûment et sauvagement après qu’il ait réussi à me faire jouir une dernière fois. Mon corps avait du mal à me répondre après ce que je venais d’endurer grâce à eux trois. Je le suçai fortement ; je vis qu’il ne pouvait plus tenir, et il se mit à lâcher tout son jus dans ma bouche et sur mon menton. Je pris sa queue et étalai sa semence et celle de son père sur mes seins et mon visage souillé de salope avant de venir tout récolter et de goûter à ce nectar.
Je compris que les Elfes ne savaient en fait pas y faire en matière de sexe, et une fois ce traité conclu complètement, je décidai de partir avec les hommes pour continuer à apprendre avec eux, et surtout continuer à me faire démonter, baiser telle la salope que je suis et que je suis devenue grâce à ces trois hommes.Je devins la première Elfe salope dans le royaume des hommes.
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