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Tranche de vie à la fac

Chapitre 4

Hétéro
Dès le début de leur relation, Julie avait avertis Séb, elle voulait être un couple libre, pouvoir continuer à faire comme avant, tout en ayant une relation de confiance. Sébastien n’avait pas vu d’inconvénient au début, pensant que leurs relations allaient changer par la suite. Jamais Sébastien n’avait trompé Julie, ce qui réciproquement n’était pas vrai. Plutôt coquine, Julie aimait collectionner les hommes et garder d’étroites relations avec ceux qui la faisaient grimper aux rideaux…
Le mois de mai et les jours fériés sont propices pour faire de grands weekends. Dans cette optique, Thibault avait offert à une de ses amis, Mei, un voyage de 3 jours dans un hôtel avec spa et massage en plein cœur des Vosges. L’hôtel avait beaucoup de charme, les chambres étaient spacieuses, et le personnel sympathique. Il espérait ainsi se rapprocher de cette fille. Il ne comptait plus le nombre de jours depuis la dernière fois qu’il avait fait l’amour tant cela lui paraissait loin. Sa dernière conquête remontait à janvier, et depuis, seuls quelques fellations l’avaient dépanné…. Dans tous les cas, il espérait bien profiter de ce weekend en amoureux pour la posséder. Le premier jour fût calme, ils en profitèrent pour se balader dans les environs. Le soir venu, malgré l’envie de Thibault, Mei resta insensible. Ce soir encore, il s’endormit sur la béquille. Le lendemain matin, il flâna dans le parc de l’hôtel, déjeuna avec Mei et décida d’aller se faire masser. Mei avait prévu de visiter un musée dans l’arrière-pays, et ils s’en allèrent donc chacun de leur côté. Arrivé à la cabine de massage, il se déshabilla et passa une serviette. La masseuse était une jeune fille de vingt ans à peine, qui se nommait Fanny. Son visage était une vraie beauté avec un grain de peau très fin. Il la dévisagea de haut en bas, elle était vraiment parfaite. Il se sentit rougir. Sous la demande de Fanny, il s’allongea sur le ventre. Il voyait ses pieds. Ses mains étaient douces. D’un seul coup, il sentit son sexe commencer à durcir. Oui il la désirait. Mais comment lui faire comprendre. Et puis, peut-être qu’elle était déjà en couple, qu’il était trop vieux ? Mais toutes ces questions n’arrivaient pas à le calmer, le massage lui faisait trop de bien. Lorsque la fille lui demanda de se retourner, elle fut surprise par la bosse sous la serviette, mais avant que Thibault ne puisse réagir, celle-ci passa sa main sous la serviette, caressant au passage ses couilles et sa bite. Retirant doucement la serviette, elle fut d’abord surprise par la taille de sa queue, puis le félicita pour sa virilité. Un peu hésitante, elle prit sa verge en main et commença à le branler, puis le prit en bouche. Machinalement, Thibault posa sa main sur sa tête, lui donnant le rythme. Jamais une fille ne lui avait fait une fellation aussi délicatement. Tout en le suçant, elle continuait de le branler à un bon rythme. Enfin, sentant qu’il allait jouir, Thibaut lui demanda de se retirer, mais elle préféra continuer. D’abord surpris, il s’en accommoda rapidement et une minute après de puissants jets de sperme remplissaient la bouche de Fanny. Celle-ci était un peu intimidée, mais aussi excitée, et avala toute cette semence. Se relevant, elle lui dit de le rejoindre le soir venu dans sa chambre. Elle était encore vierge mais avait envie de perdre son pucelage ce soir avec cet homme.
Le soir venu, il s’excusa auprès de Mei de ne pouvoir rester avec elle, se lava soigneusement et alla rejoindre cette jeune fille dans sa chambre de bonne, au dernier étage de l’hôtel. La patronne lui louait cette chambre une bouchée de pain. Si ce n’était pas très grand, la chambre était arrangée avec goût. Fanny était allongée sur le lit en nuisette. Thibault s’approcha, l’embrassa tout en la serrant dans ses bras. Il la sentit frémir sous ses mains. Il se déshabilla rapidement et s’approcha du lit, le sexe raide. Elle recommença à le sucer, mais ce coup-ci Thibault l’interrompis rapidement, l’allongeant sur le dos, il lui retira sa nuisette et sa culotte, dévoilant un sexe fin légèrement poilu. S’enfonçant dans son intimité, il la caressa, passant la langue dans le moindre recoin. Il se releva enfin, saisissant son jean, il sortit une capote de la poche arrière. Elle l’arrêta d’un geste, lui disant que c’était inutile car elle était vierge. Mais Thibault ne l’écouta pas : on était jamais trop prudent, et ouvrant l’emballage, enfila la capote. Fanny fit la moue, en effet, elle était vierge mais elle n’aimait pas les hommes ; ce qu’elle venait chercher ce soir c’était un enfant. A contre cœur, elle ne protesta pas et Thibault la pénétra doucement. Quand, au hasard d’un mouvement, il ressortit son sexe, quelques traces de sang maculaient la capote. Elle n’avait pas menti, elle venait de lui offrir son pucelage. Excité par cette idée, il reprit sa pénétration et s’appliqua à ne pas aller trop vite. Mais la pression était trop forte, et d’un coup il se sentit jouir dans la capote. Il se retira alors, la capote pleine de jus pendouillant au bout de son sexe. Il la retira, puis s’allongea à côté de la fille. Ils parlèrent longtemps. Alors qu’ils se caressaient comme deux amoureux, Thibault lui demanda si elle en avait encore envie, montrant en même temps sa verge à nouveau dure. Faisant oui de la tête, elle eut alors une idée. L’allongeant sur le lit, elle lui demanda la faveur de « guider » les opérations. Prenant des petits bouts de ficelle, elle l’attacha au lit au niveau des mains et des chevilles, lui laissant ainsi le champ libre. Elle commença alors à le sucer. Son gland était encore maculé de sperme et déjà il avait retrouvé toute sa vigueur. Le chevauchant, elle vint s’asseoir sur le membre viril fièrement dressé. Thibault protesta, lui disant de lui mettre une capote, mais elle réussit à le faire taire en accélérant un peu la cadence. Totalement soumis à sa partenaire, Thibault s’abandonna complètement, se laissant faire. Fanny joua longtemps ainsi, s’arrêtant voire se retirant lorsqu’elle le sentait près à jouir. Thibault se retenait aussi, ne voulant pas jouir à l’intérieur d’elle, même si l’idée de la féconder l’excitait encore plus que l’acte physique. Bientôt, ne pouvant se retenir plus longtemps, Thibault éjacula à l’intérieur de sa partenaire. Il imaginait son sperme envahir sa chatte. Elle continua ses va-et-vients quelques temps. Du sperme ressortait et s’écoulait, mouillant et collant les poils des deux partenaires. Puis elle se retira et resta étendue à côté de Thibault, enfin libéré. Elle le détacha ensuite. Jamais il n’avait éprouvé un tel orgasme. Il se leva et alla se doucher. Elle le regarda longuement prendre sa douche, cette homme serait peut-être le père de son enfant.De retour à la fac, Thibault raconta son aventure à son pote Sébastien qui lui reprocha sa prise de risque et l’invita à faire un test. De son côté sa relation avec Julie était terminée, ils s’étaient séparés quelques jours avant, Sébastien ayant surpris sa copine dans son lit avec un autre mec. Un peu démoralisé, il n’avait pas vu qu’Amandine était dans l’ombre. Un soir, elle lui proposa d’aller courir. Il accepta, trouvant l’idée excellente, n’ayant plus fait de sport depuis quelques semaines. Après une heure de course, où Amandine en retrait n’avait pas cessé de mater le cul de son partenaire, ils rentrèrent à l’appartement. Alors qu’elle se désaltérait, Sébastien la vit d’un seul coup différemment. Oui il était évident qu’elle l’aimait. S’approchant d’elle doucement, il vint l’embrasser. Elle lui rendit un baiser fougueux, passionné. Se retirant, il s’excusa. Mais elle ne lui laissa pas le temps de terminer sa phrase et l’embrassa de nouveau, de façon à ne laisser aucun doute. Ses mains tenaient son dos et descendirent doucement sur ses fesses. Elle n’en revenait pas, elle touchait les fesses du mec sur lequel elle fantasmait depuis plusieurs mois. Elle sentait son corps ferme, l’odeur de la sueur l’excitait. C’était l’odeur de son homme, de son mâle. 4 mois s’était écoulés depuis sa dernière relation sexuelle avec Antonio, autant dire qu’elle était très excitée. Lui non plus n’était pas insensible. Ses mains caressaient son dos, et descendaient vers le bas du dos, mais surtout, elle sentait son sexe qui durcissait à travers son short. Ils se dirigèrent vers la salle de bain, et se déshabillèrent mutuellement. Sébastien la déshabilla rapidement, tandis qu’il fallut plus de temps à Amandine. Elle était un peu gênée par la bosse qui s’était formée. Faisant coulisser son short, elle découvrit un boxer noir avec une ceinture de couleur, déformé par la verge de Sébastien. Prenant ses deux mains, elle fit descendre lentement le bout de tissu, jusqu’à libérer la bite du jeune homme. Amandine n’avait eu que deux hommes dans sa vie. Un mec au lycée pour sa première fois et Antonio. Jamais elle n’avait vu un sexe aussi impressionnant en érection. D’une belle longueur, il était surtout gros et bien formé, agréable à regarder. Elle se releva, le branlant doucement puis ils passèrent dans la douche qui était assez grande pour eux deux. Sous l’eau ruisselante, ils s’embrassèrent à pleine bouche, leurs corps serrés l’un contre l’autre. Ils se savonnèrent puis se rincèrent. Amandine se mit à genou. Le sexe du mec sentait bon, elle le prit en bouche et essaya d’en rentrer le plus possible. Le branlant avec sa main gauche, elle le suçait également, tandis que sa main droite tenait ses fesses. Elle s’appliquait, elle l’aimait et voulait faire de ce moment un souvenir magique. Au bout de longues minutes, il la fit se relever, et s’embrassèrent à nouveau avant d’aller dans la chambre. Ils s’allongèrent sur le lit, et Sébastien écartant les jambes d’Amandine entreprit un long cunnilingus. Il adorait ça. Passant sa langue sur les grandes lèvres puis les petites, il la faisait tournoyer autour de son clitoris avant de revenir. Les deux doigts de sa main droite la pénétraient, et il la sentait de plus en plus humide. Bientôt, n’y tenant plus, elle le pria de venir. Il prit une capote dans son chevet de lit, la déroula sur sa verge, et se présenta à l’entrée de sa vulve. Il voyait ses lèvres gonflées et rougis. Faisant glisser délicatement son sexe dessus, il continua le supplice puis se décida à s’enfoncer. Par un mouvement de bassin, il rentra presque entièrement, resta un peu comme ça puis commença à la limer. Son sexe était beaucoup plus humide que celui de Julie et favorisait une pénétration profonde. Amandine s’abandonnait totalement à cet homme. Quand elle ouvrait les yeux, elle voyait son torse et son corps musclé, tendu, en plein exercice. Quand elle regardait son propre sexe, elle voyait la verge de Sébastien s’enfoncer en elle. Elle le sentait au plus profond d’elle et était parcourue de frissons à chaque va et vient. Revenant un peu à elle, elle entendait le lit craquer régulièrement, ne laissant aucun doute sur les activités pratiquées. D’un coup Sébastien se retira. Elle pensa d’abord qu’il avait jouis, ce qui ne l’aurait pas surpris, l’acte ayant déjà duré 3 fois plus longtemps qu’avec Antonio… mais en fait, il souhaitait changer de position. Elle s’installa à 4 pattes, tournée vers l’armoire. Sébastien revint derrière elle et la prit ainsi en levrette. Les deux amoureux se voyaient dans les glaces de l’armoire, qui reflétaient leurs corps. Elle le voyait aller et venir, son torse, une partie de son ventre, ses cuisses fortes et poilues, ses couilles qui se balançaient en rythme… la pénétration était profonde et royale, et Amandine eu enfin son premier orgasme. Elle n’avait jamais eu rien de tel. Excité par ses gémissements, Sébastien accéléra ses mouvements jusqu’à sentir lui aussi monter la jouissance. Enfin, il éjacula, s’enfonçant du même coup au plus profond qu’il put. Epuisé, vidé, il se retira avant de perdre son érection et s’étendit à côté d’Amandine. …Elle le regarda longuement, jamais elle n’avait été aussi heureuse. Enfin, elle avait eu ce qu’elle désirait depuis fort longtemps…
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