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La transformation de Kévin

Chapitre 2

Trash
Chapitre 2
Le tranquillisant faisait son effet et Kévin n’avait plus aucune force en lui. Si les deux hommes ne le tenaient pas, il se serait écroulé sur le sol. De plus, le peu de force qu’il lui restait s’était évanoui lorsqu’il avait réalisé ce qui lui arrivait. Alors qu’il tentait de défendre la jeune femme tel le chevalier blanc qui sauve la princesse, c’est d’elle qu’était venue la trahison et c’est elle qui l’avait mis dans cette situation. Pendant un court instant, son corps ne répondait plus à son cerveau à cause du tranquillisant mais il était tellement abattu qu’il n’arrivait plus à se reprendre et à essayer de trouver une solution.
Il regardait la voiture s’éloigner et les deux autres hommes arriver à sa hauteur. Sa vision était un peu troublée mais il distinguait clairement le visage des deux hommes qui arrivaient vers lui. Le premier était un jeune d’une vingtaine d’année, blond aux yeux bleus et très mince. Il était habillé d’un jean, d’un tee-shirt et d’une paire de baskets. Il était plutôt quelconque et habillé de façon sobre. Le second était quant à lui beaucoup plus âgé, proches des 50 ans. Il avait des cheveux gris, coupés court et était habillé avec des chaussures en cuir noir, un pantalon de costard et une chemise avec les deux premiers boutons ouverts. Il était très classe, mince mais paraissait plutôt musclé à voir comment sa chemise était tendue. Il ressemblait un peu à George Clooney et dégageait une certaine assurance. Tous deux avançaient lentement vers Kévin, presque d’un pas nonchalant.
Peu avant qu’ils n’arrivent à sa hauteur, Kévin se rendit compte qu’ils ne portaient pas de masques. Tout le monde sait que la première chose qu’il ferait en étant libéré serait d’aller au commissariat de police le plus proche pour porter plainte avec une description complète de chaque individu. Cela ne signifiait qu’une chose, c’est qu’il ne survivrait pas à son agression. A ce moment, Kévin retrouva ses moyens et se remit à réfléchir. Il avait les deux pieds à terre et il savait que l’adrénaline pouvait faire des miracles. Les deux hommes qui lui tenaient les épaules ne se doutait pas qu’il essaierait quelque chose et s’il poussait d’un coup sur ses jambes et se sauver en courant vers la gare et en appelant à l’aide.
Dans un effort surhumain, il poussa sur ses jambes, se libéra de l’étreinte des deux hommes et fit deux pas avant que son corps ne cesse de répondre. Il tomba de tout son long sur le ventre avec le visage sur le sol sans parvenir à articuler un mot compréhensible. Son visage était maintenant à quelques centimètres des chaussures en cuir de l’homme face à lui. Ce dernier lui dit sur un ton calme et posé, sans hausser le ton :
-    Tu es un bagarreur toi. Ça tombe bien, c’est pour cela qu’on t’a choisi. On aurait pu sélectionner un homme qui aurait directement coopéré ou même qui aurait choisi de nous suivre mais cela ne m’intéresse pas. Parmi l’ensemble des hommes qui prennent ce train le soir, tu nous as paru être celui qui nous poserait le plus de problèmes. Depuis quelques semaines, nous avons examiné les différents voyageurs. Nous avons vu dans ton portefeuille les photos de ta femme et de tes enfants. Nous savons que dans ton travail tu es du genre à dominer les gens et à les faire obéir. Nous avons vu comment tu regardais les jolies femmes, démontrant ton caractère macho. C’est ce qui nous a plu chez toi. Nous voulions voir en combien de temps nous étions capable de briser la volonté de quelqu’un et d’en faire exactement ce que nous voulions. Tu verras, dans quelque temps, tu ne seras même plus capable de réfléchir par toi-même mais tu ne feras que ce que nous te dirons de faire et absolument tout ce que nous te dirons de faire.
Les deux hommes reprirent Kévin par les épaules et le conduisirent jusque dans la camionnette après lui avoir attaché les mains dans le dos. Il n’opposa aucune résistance à ses agresseurs lorsqu’ils l’attachèrent, sa tentative de fuite ainsi que le tranquillisant lui avaient enlevé l’intégralité de ses forces. Il resta à l’arrière de la camionnette, dans le noir pendant un laps de temps qui lui parut une éternité. Cela devait être long car in commençait à retrouver des forces. Lorsque la camionnette s’ouvra, ils étaient dans un garage sombre. Ils le portèrent jusqu’à une pièce entièrement peinte en blanc avec uniquement du béton au sol et une couverture dans le coin de la pièce ainsi que deux écuelles vide en métal. Sans doute était-ce la place du chien de la maison. Ils le jetèrent sans ménagement sur le sol de la pièce.
-    Voilà ton nouveau chez toi, j’espère que cela te plait.
Kévin sentait que sa langue répondait à nouveau ainsi que l’ensemble de ses muscles. Il essaya plusieurs fois de se lever avec les mains dans le dos, tituba de retomba au sol, tête première. Il essaya de crier au secours de toute ses forces.
-    Tu peux crier autant que tu veux, il n’y a pas de voisins avant plusieurs kilomètres à la ronde et toute la propriété est grillagée et surveillée par des caméras. Personne ne peut y entrer, n’y en sortir sans que nous soyons au courant. Si nous avions la moindre crainte, nous t’aurions bâillonné. Cependant, t’entendre crier me fait mal aux oreilles et si tu n’arrêtes pas, je devrai être violent avec toi, ce que je ne veux pas.
Kévin se rendit compte qu’effectivement, s’il n’était pas bâillonné, il devait y avoir une raison alors autant économiser sa voix. Essayer de se sauver semblait impossible également alors autant se calmer et voir ce qui va arriver jusqu’à ce qu’une occasion de se sauver se présente. Kévin était toujours habillé avec un jean, une chemise et des chaussures en cuir. A force se tomber à terre ils étaient abimés et présentaient des trous. Dans sa vaine lutte pour se sauver, il était couvert d’écorchures, de bleus et de bave qui avait coulé jusqu’à son cou. Il ne ressemblait plus à grand-chose. L’homme que Kévin appelait George Clooney dans sa tête sortit un couteau avec une lame d’une vingtaine de centimètres qu’il vint placer près du visage de Kévin qui se tétanisa et ne bougea plus. Il plaça la pointe de la lame sur la tempe de Kévin et la fit promener le long de sa joue puis de sa gorge pour arriver à l’encolure de la chemise. Kévin sentait le froid de la lame et trembla. Entre la peur et le froid, Kévin frissonna et avait la chair de poule.
-    Voyons voir ce qui se cache sous ces habits.
Il coupa chaque bouton de la chemise un à un avec une facilité déconcertante. Cette lame était affutée comme un rasoir. Une fois chaque bouton coupé, la chemise s’ouvra et laissa apparaître le torse de Kévin légèrement poilu. Il coupa la chemise au niveau des manches, toujours avec la même facilité et la chemise tomba par terre laissant Kévin torse nu. Il sentit alors qu’on le relevait, toujours par ses épaules.
-    Plutôt musclé même si ces poils sont disgracieux. Voyons voir ce qui se cache plus bas. Tu as vu à quel point cette lame est tranchante. Je sais que tu as retrouvé tes forces dans les jambes mais si tu tentes quoi que ce soit, tu le regretteras. Ne t’en fait pas, nous ne t’égorgerons pas, cela serait trop facile mais on peut très bien vivre sans couilles ou défiguré. Confirme-moi que tu ne tenteras rien de stupide !
-    Ok, ne me faites rien. Je ne bougerai pas.
La lame trancha les lacets des chaussures qui s’enlevèrent presque d’elles-mêmes. Ensuite, elle trancha le bouton du jean qui tomba tout seul également. Kévin se retrouva donc en slip, les mains attachées dans le dos, incapable de bouger.
-    Faisons tomber le dernier morceau de tissus pour voir ce qui se cache à l’intérieur
Kévin avait toujours été d’un naturel très pudique et ne s’était que rarement montré nu et surtout jamais à d’autres hommes. Il était donc très gêné lorsque les élastiques de son slip furent coupés et qu’il se retrouva totalement nu devant ses agresseurs. Il sentit à nouveau la lame se promener sur son corps jusqu’à arriver sur sa queue. Il sentait la gêne monter en lui alors qu’il regardait son agresseur dans les yeux tout en sachant que 4 hommes le regardaient nu et qu’il sentait un point froid sur sa queue. Cette situation semblait s’éterniser et devenait de plus en plus inconfortable. Alors qu’il tremblait dans un mélange de sentiment de froid, de peur et d’impuissance, il sentait sa queue commencer à durcir…
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