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La transformation de Kévin

Chapitre 7

Trash
Kévin ne comprenait pas où l’homme voulait en venir en lui disant qu’il jouirait comme une femelle ? Y avait-il d’autres façon de jouir que d’éjaculer et de se vider les couilles ? Il ne comprenait pas mais se sentait terrifié de se retrouver nu et seul devant ces 4 hommes. Ses mains étaient libres et ses poignets commençaient à aller mieux. Il était tellement terrorisé qu’il ne pensa même pas à essayer de s’échapper maintenant qu’il avait les mains libres. De toute façon, quelles chances avait-il de réussir ? 
•    Tu es prêt à devenir une vraie femelle ? •    Oui, Maître
Il ne comprenait absolument pas où cet homme voulait en venir mais il savait qu’en répondant ainsi, il ne serait pas puni. Il vit deux des hommes sortir de la pièce et revenir avec une table basse. Cette dernière paraissait lourde et solide. Kévin était toujours à 4 pattes et ne voyait pas bien ce que c’était. Les deux hommes déposèrent la table au milieu de la pièce et se reculèrent.
•    Vas-y, tu as la permission de te relever et de t’approcher pour regarder. Je me doute que tu te demandes ce que c’est et à quoi cela va servir.
Kévin s’approcha de la table basse et vit qu’effectivement, elle paraissait très solide et expliqua pourquoi les deux hommes, même s’ils étaient costauds avaient du mal à la déplacer. Ce qui était étrange, c’est qu’il y avait 8 anneaux en acier solidement fixés à des charnières. Kévin s’approcha, attrapa un des anneaux et le fit bouger sur sa charnière. Sans comprendre à quoi cela servait, il comprit que c’était un instrument de torture. Il se retourna, prit de panique et les larmes aux yeux. Durant un instant, il aurait voulu se sauver mais il savait que ce n’était pas possible. Sans s’en apercevoir, il avait fait quelques pas en arrière.
•    N’aies pas peur. Tu verras, tu y prendras beaucoup de plaisir, comme pour tout le reste d’ailleurs. Plus tard, nous n’aurons plus besoin de cet engin mais pour aujourd’hui, je préfère l’utiliser. Maintenant, tu vas monter sur la table et te mettre à 4 pattes dessus.
Kévin ne voulait pas le faire mais il se rendit vite compte qu’il n’avait pas d’autres options. Il savait que s’il ne le faisait pas, il y aurait des répercussions. Il avait pris la décision de se soumettre pour ne plus endurer ce qu’il avait subi précédemment. De plus, cela serait peut-être agréable. Jusqu’à présent, tout ce qu’il avait subi contre son gré lui avait plu au final. De toute façon, il savait qu’il finirait par le faire, comme tout le reste. Lentement, il fit un pas en avant puis un second et ainsi de suite jusqu’à arriver à la table. Il monta lentement sur cette dernière et se mit à 4 pattes comme demandé. Il ne réfléchissait plus et ne pensait plus à rien. L’homme passa derrière Kévin et laissa promener sa main sur le corps nu et tremblant de ce dernier. Il referma les premiers anneaux autour des chevilles de Kévin dans un petit grincement métallique et ferma les deux premiers cadenas pour les empêcher de s’ouvrir. Kévin commençait à stresser et à essayer lentement de bouger des pieds qui étaient maintenant solidement attachés à la table. L’homme referma rapidement les deux anneaux suivants en haut de chaque mollet sous le genou. Le même bruit métallique et les petits cliquetis des cadenas qui se referment amplifièrent le stress de Kévin qui ne pouvait absolument plus bouger ses jambes. Pris dans un élan de panique, il essaya de se redresser. L’homme lui assena une gifle en pleine figure puis appuya sur son dos pour le remettre à quatre pattes. Kévin était sonné et avant qu’il ne put réagir les deux anneaux se refermèrent autour de ses poignets et furent également fixés avec des cadenas. Dans la foulée, les deux derniers anneaux se fixèrent au niveau des coudes. Kévin était incapable de bouger les jambes ou les bras. Il était complètement paniqué.
•    Ça ne sert à rien d’essayer de bouger, tu te feras plus mal qu’autre chose. En plus, je t’ai dit que tu devais obéir et tu continues à essayer de résister. •    Excusez-moi Maître mais j’ai peur et…
Une nouvelle gifle vint s’imprimer sur la joue de Kévin. Une trace rouge vif vint s’imprimer sur le visage de Kévin qui laissa perler une petite goutte du coin de l’œil.
•    Tu ne t’adresses à moi que lorsque je t’y autorise. Autrement, tu m’obéis en disant oui Maître !!! C’est compris ?•    Oui Maitre. •    C’est bien mais je veux m’assurer que tu retiennes la leçon. Mon ami Jamal va s’en charger et je veux que tu me regardes bien dans les yeux pendant qu’il s’assure que tu retiennes la leçon.•    Oui Maître.
Le magrébins qui devait faire plus de 100 kg sur la balance marcha lentement vers Kévin et fit le tour pour se placer derrière Kévin. Il se demandait ce qui allait se produire mais ne pouvait de toute façon pas bouger et certainement pas voir ce qui se passait derrière lui. Il comprit rapidement lorsqu’une première fessée vint lui heurter la fesse droite. Le choc avait été tellement violent que s’il n’avait pas été attaché, il serait passé par-dessus la table.
•    Tu vois, c’est la première d’une série de 5 sur chaque fesse. A chaque fois que tu désobéiras, il y aura des conséquences. J’espère que cela finira par te faire comprendre les règles. Je ne veux pas t’entendre crier, sinon, notre ami t’infligera 10 coups supplémentaires.
Jamal ne se retint pas et heurta 5 fois chaque fesse avec violence. Kévin encaissa les coups en pleurant mais sans jamais pousser un cri. Il avait trop peur des conséquences. Il s’en voulait d’avoir essayé d’argumenter. Il y a quelques jours, il en aurait voulu à son geôlier ou à Jamal et les aurait insultés. En ce moment, il s’en voulait à lui et se disait qu’il allait faire tout son possible pour leur plaire et qu’ils seraient contents de lui. Ses fesses devaient être couvertes de bleus et lui faisaient horriblement mal.
•    Tu es content que l’on t’ait corrigé ? •    Oui Maître. Merci.
L’homme fit le tour de Kévin en l’observant et s’arrêta derrière lui.
•    Tous ces poils, c’est horrible. Tu devras corriger cela, surtout au niveau de ta chatte. Pour aujourd’hui, on s’en contentera mais plus tard, tu devras faire des efforts !
Kévin ne comprenait pas. De quelle chatte parlait-il ? Un homme n’a pas de chatte alors en plus devoir l’entretenir, il ne voyait pas ce qu’on lui voulait. De plus, enfermé dans sa pièce comme il l’était, comment pouvait-il corriger le fait d’avoir des poils ? Il n’allait pas se raser comme une femme quand même ? Il hésita à faire part de toute ses interrogations à haute voix mais il n’osa pas et ne voulut pas recevoir une nouvelle correction.
•    Tu sais ce qui t’attend ?•    Non Maître.•    Tu verras, tu vas adorer. D’ailleurs, tu ne pourras bientôt plus t’en passer.
Kévin entendait un bruit de plastic, comme un gel douche qu’on ouvre. Il sentit ensuite un liquide froid et visqueux couler dans la raie de ses fesses et mouiller son anus. Il eut un mouvement de recul mais ne pouvait pas bouger. Il sentit ensuite un doigt se promener sur son dos puis descendre le long de la raie de ses fesses et descendre jusqu’à son anus. Le doigt commença à titiller sa petite rondelle pour essayer d’y pénétrer. Kévin eut le réflexe de serrer les fesses pour bloquer l’accès.
•    Desserre les fesses, ce sera pire sinon. De toute façon, tu te prendras une queue entre les fesses. Si tu résistes, non seulement, on devra défoncer ta chatte pour y entrer mais je laisse Jamal ou Driss s’en occuper. Tu comprendras alors que la réputation des magrébins ou des blacks n’est pas usurpées. Je préfère m’en occuper moi-même pour la première fois et faire les choses en douceurs mais c’est toi qui décides.
A ce moment-là, Kévin comprit beaucoup de choses. Ils voulaient le sodomiser comme un de ces homosexuels qu’il méprisait tant. Il avait toujours trouvé cela dégoutant et était le premier à les insulter lorsqu’il en croisait en rue. Même si c’était contre son gré, il allait devenir comme eux. Cette pensée le désespéra et il dut réprimer un sanglot. Cependant, il savait qu’ils étaient sérieux et qu’ils le défonceraient de toute façon. Autant que cela se fasse le plus doucement possible. Il relâcha ses fesses ainsi que son anus alors que des larmes perlaient de ses yeux. Après tout, il n’aurait jamais pensé sucer une queue de sa vie mais il avait adoré ça et se surprit même à avoir envie de recommencer. Peut-être que la sodomie lui ferait ressentir la même chose ? Il s’accrocha à cette idée même s’il n‘y croyait guère.
•    Oui Maître.•    Bien, comme je vois que tu y mets du tien, je vais y aller en douceur pour ne pas trop te faire mal.
L’homme enfonça doucement son index jusqu’à ce que son ongle disparaisse. Il le retira et recommença plusieurs fois puis l’enfonça jusqu’à la première phalange. Il recommença encore quelques fois puis repris un peu de lubrifiant et recommença le va et vient. Il enfonça ensuite la seconde phalange qui disparut dans sa rondelle. Il recommença le mouvement en accélérant la cadence. Il entendait la respiration de Kévin devenir de plus en plus lourde. Il entreprit alors d’enfoncer alors un second doigt. Il recommença à entrer la longueur d’un ongle puis une phalange et une seconde. Il remit un peu de lubrifiant et continua de limer son anus avec deux doigt. Il lui sembla alors entendre Kévin gémir doucement et d’une voix à peine audible.
Kévin avait relâché toute tension dans son anus pour éviter d’avoir mal. La première sensation n’avait pas été agréable et se sentait violer (en fait, c’était vraiment le cas. Il se faisait violer). Il voulait que cela finisse vite puisqu’il n’avait pas le choix. Au fur et à mesure, il se décontracta et sentait le doigt de son agresseur faire des allers et retours de plus en plus vite. Soudain la sensation devint plus agréable et il se décrispa totalement et se laissa aller. Il se vida complètement l’esprit et se retrouva incapable de penser à quoi que ce soit. Il commença à ressentir du plaisir. Il avait maintenant deux doigts dans l’anus et commençait à ressentir des frissons dans son bas ventre. La cadence accéléra, de même que les frissons dans son bas ventre. Il ne réalisait plus ce qui se passait et essayait de se concentrer sur ce qu’il ressentait. Il n’avait jamais ressenti cette sensation. Lorsque les doigts ressortirent, laissant un vide en lui, il se rendit compte qu’il était en train de gémir et de prendre du plaisir. Il était honteux mais n’avait pas envie que cela s’arrête.
•    La voie est bien préparée et je vois que cela ne t’a pas déplu. En plus de tes gémissements, ta queue n’a jamais été aussi raide. Veux-tu de ma queue dans ta chatte ? Veux-tu que je continue ? •    Oui Maître, continuez. •    A quel point veux-tu que je continue ? •    Je vous en supplie prenez-moi, s’il vous plait.
Il fit tomber son pantalon et présenta d’abord sa queue devant la bouche de Kévin. Kévin avait tellement été chauffé par les doigts dans sa chatte qu’il était excitée. Il ne pouvait plus réfléchir et avait envie de ressentir la fièvre qui l’avait envahi lors de sa dernière fellation. Il ouvrit donc goulument sa bouche pour accueillir la queue de son Maître encore molle qu’il suça avec passion. La queue devint alors dure et raide. Son Maître attrapa la tête de Kévin dans ses mains et commença des allers et retours dans sa bouche. Kévin bavait abondamment mais était heureux d’avoir ce goût salé dans sa bouche tout en entendant son Maître gémir. Ce dernier sortit alors de la bouche de Kévin qui resta tristement vide. Il se positionna derrière Kévin et vint mettre son gland contre la chatte de Kévin.
•    Veux-tu que j’entre ?•    Oui Maître. S’il vous plait, prenez-moi.
Lentement, il appuya son gland contre le trou de Kévin et entra, millimètre par millimètre. Kévin sentit un petit déchirement qui lui fit pousser un petit cri de douleur. L’homme se retira puis entra à nouveau et ainsi de suite. Cette sodomie était moins agréable que les doigts. Il se sentait déchiré et avait mal. Le gland n’était même pas encore totalement entré. La queue entière ne pourrait pas entrer. Il avait envie de dire stop mais savait qu’il ne pouvait pas. Il se contenta de serrer les dents et se laissa faire. Petit à petit, le gland entra puis un centimètre, puis un de plus jusqu’à ce que toute la queue soit entrée et que les couilles de l’homme claquèrent sur les fesses de Kévin. Kévin avait très mal et se sentait complètement transpercé. L’homme s’arrêta un moment ainsi.
•    Je sais qu’au début, ça fait mal mais tu verras, ça ira mieux petit à petit.
Il ressorti doucement puis entra à nouveau, toujours aussi doucement et recommença plusieurs fois. Petit à petit, il accéléra le mouvement. La sensation de brulure de Kévin se transforma en chaleur et laissa place à un réel plaisir. Le frisson dans son ventre se transforma en ouragan. Il sentait une boule de chaleur dans son ventre qui grandissait de plus en plus. Il n’avait jamais ressenti cette sensation avec une femme. Sa respiration devenait de plus en plus rapide et saccadée. Alors que son Maître le pilonnait alors à pleine vitesse, il ne pouvait retenir ses gémissements. La boule de chaleur dans le ventre commença à le submerger et il ne put alors plus contrôler son corps. En fait, il n’était plus capable de contrôler quoi que ce soit.
•    Oh oui, continuez. Oh oui, s’il vous plait.
Il sentit la queue durcir d’un coup et il ressenti des spasmes dans ses intestins. Son corps n’était plus que fièvre et il explosa dans un grand râle. L’homme resta quelques secondes ainsi avec sa queue enfoncée dans les entrailles de Kévin qui venait d’avoir son premier orgasme par sodomie. L’homme se retira et vint se placer à nouveau devant Kévin. Ce dernier commençait à reprendre ses esprits et se rendit compte qu’il avait totalement perdu le contrôle et qu’il s’était comporté comme une pute homosexuelle. Il sentait un liquide couler le long de sa jambe, probablement le sperme de son Maître. Il tremblait à cause de l’orgasme qu’il venait d’avoir. Même s’il avait honte d’être une pute homosexuelle, il se rendit compte qu’il avait pris plus de plaisir qu’avec n’importe quelle femme auparavant. Il regardait la queue de son Maître, maintenant à demi-molle et n’attendit pas qu’on lui demande pour la laver. Il la prit en bouche et la suça pour la rendre propre. Elle ne sentait pas très bon et avait un goût fort mais il était tellement excité qu’il la nettoya parfaitement tout en sentant le sperme continuer à couler le long de sa jambe.
•    C’est bien ma chienne, je suis fier de toit. Cela t’a plu ?•    Oui Maître, Merci.•    Tu aimerais bien recommencer ?•    Oui Maître. S’il vous plait.
Il ne disait plus ça par obligation mais il avait vraiment envie de se refaire sodomiser pour sentir à nouveau ce picotement et toutes ces nouvelles sensations extraordinaires. Il n’avait qu’une envie, maintenant qu’il avait les mains libres, c’était de se masturber. Après ce qu’il avait vécu, il était comme sur des charbons ardent et n’avait plus que ça en tête. Dès que ses agresseurs seraient partis, ils se masturberait pour évacuer cette tension sexuelle.
•    La prochaine fois, nous ne t’attacherons pas. Tu verras, tu ressentiras encore plus de plaisir. Avant de te détacher et de te libérer, j’ai un cadeau pour toi.
Il vint se placer devant Kévin et ouvrit une petite sacoche noire. Il en sortit un cylindre métallique qui ressemblait à un pénis, quelques anneaux et un cadenas. Kévin se demandait ce qu’était ce gadget.
•    Tu te demandes probablement ce que c’est ?•    Oui Maître.•    C’est une cage de chasteté. Comme je te l’ai dit, plus jamais tu ne prendras de plaisir avec ta queue et nous devons nous assurer que tu ne te masturbes plus. C’est ce à quoi elle va servir.
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