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La transformation de Kévin

Chapitre 10

Trash
Kévin était à quatre pattes dans la pièce d’un mètre carré avec le tube de crème dépilatoire dans une main et le pain de savon dans l’autre. Il ne comprenait pas où était le pommeau de douche ? Le robinet était une simple vanne et donc ne contenait que de l’eau froide. En cette période automnale, elle serait même très froide. Il comprit très vite qu’il devrait se laver à l’eau froide avec le tuyau d’arrosage dans ce cagibi d’un mètre carré qui n‘avait même pas de serrure ou de verrou.
— Attends-moi là une minute, je vais aller chercher de quoi t’essuyer dans l’armoire.
Kévin resta à quatre pattes en se demandant d’où provenait l’odeur nauséabonde des lieux. Il se rendit vite compte que cela provenait du trou au centre de la pièce. Il était incapable de bouger, il était figé comme une statue. Lorsque son Maître arriva, il le poussa violemment avec le pied en lui tendant une serpillère usagée.
— Dépêche-toi, nous n’avons pas la journée. Chaque jour, tu commenceras la journée en te nettoyant la chatte. De cette manière, elle sera à disposition dès le début de la journée. Intérieur et extérieur !!!— Oui Maître mais comment fais-je pour nettoyer l’intérieur ? — Tu mets le tuyau dans ta chatte et t’ouvres la vanne lorsque c’est plein, tu fermes la vanne et tu vas dehors te vider. C’est bien compris ? — Oui Maître.
Kévin se mit le tuyau dans l’anus et ouvrit doucement la vanne. L’eau était si froide qu’il la sentit pénétrer dans ses intestins et il pouvait savoir à tout moment jusqu’où l’eau était arrivée. Une vive douleur dans son ventre lui fit savoir que c’était plein. Il ferma alors la vanne et se leva pour se rendre dehors.
— Les autres jours, tu pourras y aller debout mais aujourd’hui, je veux que t’ailles jusque dehors à quatre pattes. — Oui Maître
Il marchait d’abord du mieux qu’il pouvait telle une chienne mais au cours du trajet, il sentait la pression sur son anus devenir de plus en plus importante. Il serra de plus en plus les fesses et accéléra le pas pour arriver dehors à temps. La montée de l’escalier dans ces conditions fut très laborieuse mais il parvint à se rendre au rez-de-chaussée sans fuite. Cependant, la pression était telle que cela devenait de plus en plus difficile. Il ressentait une douleur de plus en plus prononcée dans son ventre. Maxime, Jamal et Driss étaient toujours à table et riaient en voyant le pauvre Kévin se dandiner pour arriver dehors à temps. Il arriva à la porte vitrée et se rendit compte qu’elle était fermée à clé et que cette dernière n’était pas sur la serrure. Dans la surprise, il faillit relâcher son anus et laisser le liquide se répandre dans la cuisine. Dans un effort titanesque, il parvint à tout garder en lui. Il se retourna et vit Driss avec la clé en main.
— Tu veux la clé ? Moi je veux me faire sucer, c’est donnant-donnant.— Oui Maître.
Kévin se dépêcha, baissa le short de Driss et sortir la queue qui était déjà bien raide. Il suça du mieux qu’il put la queue de Driss en essayant de l’avaler le plus possible. Il jouait avec sa langue sur le gland de Driss qui arrêtait régulièrement la fellation pour frapper Kévin avec son immense queue. Kévin se dandinait dans tous les sens en taillant une pipe du mieux qu’il le pouvait. Lorsqu’il sentit la queue se raidir, il ne bougea pas sa tête. Il savait que s’il laissait Driss éjaculer par terre, il devrait nettoyer et cela prendrait du temps. Il sentit le sperme remplir sa bouche et avala le tout directement puis nettoya la queue avec sa langue pour gagner du temps.
— Putain, t’es une bonne chienne. Bientôt tu seras la reine de la pipe et tu nous rapporteras de l’argent. Comme promis, voici la clé.
Au moment de donner la clé, il fit semblant de la faire tomber et l’envoya à l’autre bout de la pièce. Kévin rampait alors plus qu’il ne marchait. Il attrapa la clé et se lança dans la dernière ligne droite avant de se vider. Il avançait le plus vite possible mais au milieu du chemin, il sentit un liquide couler sur sa jambe. Il se doutait que son intestin commençait lentement mais surement à se vider sur le carrelage de la cuisine. Il ouvrit la porte et se vida à quatre pattes dans la pelouse. Ses cuisses, ses jambes et ses pieds étaient couverts d’un liquide brun mais il se sentait tellement mieux. Il resta ainsi quelques instants pour profiter du moment même s’il ne faisait que quelques degrés dehors. Lorsque le froid prit le dessus, il décida de rentrer. A peine la porte fut-elle fermée qu’il entendit la voix de son Maître :
— Dépêche-toi de nettoyer les saloperies que tu as faites sur le sol et descends te laver !
Kévin vit une trainée brune sur environ trois mètres. Il baissa son visage et sentit l’horrible odeur qui en émanait. C’était trop pour lui. Il releva la tête et avant même d’avoir pu regarder ce qui se passait au-dessus de lui, il sentit la main de son Maître s’aplatir sur sa joue, le faisant tomber à la renverse. Il avait la joue en feu et se releva doucement et réessaya d’approche sa tête de la trainée brune. Il n’y arrivait toujours pas. Il sentit alors, la main de son Maître matraquer ses fesses à plus sieurs reprises lui arrachant quelques larmes au passage. Il sentit alors une main saisir sa cage et la tirer vers l’arrière de plus en plus fort. Kévin sentait ses couilles s’arracher.
— Au plus tu nettoies, au plus je relâche la pression. Dis-toi bien que je tirerai jusqu’à ce que tout soit propre, même si je dois tout arracher. Je pensais que tu avais compris qu’il te fallait obéir maintenant, tu n’as pas le choix !
La torture était tellement forte que Kévin sortit sa langue et lécha le tout énergiquement sans même prendre sa respiration. Au plus le sol était propre, au plus la tension dans ses couilles était relâchée. Une fois que tout fut nettoyé, il se laissa tomber sur le côté en tenant ses couilles en main tout en pleurant.
— La prochaine fois, tu obéiras directement et tu ne souffriras pas comme ça ! Maintenant, tu descends prendre ta douche.
Kévin se releva et descendit doucement jusqu’à sa salle de bain (si on pouvait appeler ça une salle de bain). Son Maître lui enleva la cage de chasteté pour pouvoir enlever les poils qu’elle couvrait.
— Je t’enlève ta cage mais tu n’as pas intérêt à te masturber sinon, tu le regretteras amèrement ! Je reste là pour m’assurer que tu ne te masturbes pas.
Kévin s’imagina bander comme un âne dès que la cage serait retirée. Cependant, cela prit bien 30 secondes et il avait connu sa queue plus raide que ça. Cette cage était vraiment odieuse, il avait vraiment l’impression qu’elle l’empêchait de bander. Il se demanda même si à terme, il serait encore capable de bander. Il alluma l’eau froide qui ne devait pas être à plus de dix degrés. Il se mouilla entièrement le corps tout en grelotant. Il se dépêcha de se frotter avec le pain de savon et essaya d’enlever les odeurs, le sperme séché et la merde qui était sur son corps. Le savon ne sentait pas très bon mais c’était mieux que son odeur d’avant. Il se rinça ensuite et enduit son corps de crème épilatoire et se rinça à nouveau. L’intégralité de son corps (sauf le visage) était lisse. Il prit la serpillère et s’essuya puis passa plusieurs fois ses mains sur son corps. C’était étrange, il n’avait pas l’habitude de se voir comme ça. La sensation de sa main sur son corps n’était pas désagréable, au contraire. Etrangement, cela faisait ressortir son côté féminin et se sentait un peu femme. Penser cela le troublait mais la sensation était tellement agréable qu’il se surprit à sourire et à continuer de passer ses mains sur son corps. Son Maître profita du froid de la douche pour remettre la cage sans aucune difficulté. D’ailleurs, il fallut un certain temps avant que la queue de Kévin de prenne tout l’espace disponible dans la cage.
— Au début, je pensais raser tes cheveux et te mettre une perruque mais finalement, tes cheveux sont beaux et on va les laisser pousser. T’es tout de suite plus attirante comme ça mais il faut raser ton visage absolument tous les jours. D’ailleurs, voici un rasoir et de la crème à raser. Ne t’écorche pas le visage, je veux que tu sois constamment séduisante. Voici une brosse à dents et du dentifrice. Je veux que tu te laves la bouche au moins trois fois par jour. Je ne veux pas fourrer ma queue dans un endroit qui sente la merde et me choper une infection. Rase-toi et lave-toi les dents de suite car j’entends la sonnette, on a de la visite.
Kévin paniqua à l’idée que d’autres personnes que ses kidnappeurs le verraient. Il se douta qu’aucune aide ne viendrait d’eux, au contraire. Il arrêta d’y penser et s’applique sur le rasage pour éviter de se couper. Sans miroir, ce n’était pas gagné. Néanmoins, il y parvint sans trop de difficultés.
— Ça y est, c’est beaucoup mieux. Bientôt, tu seras parfaite. On va remonter voir notre visiteur.
Kévin se demanda pourquoi son Maitre lui parlait au féminin. Il savait bien qu’il ressemblait de plus en plus à un homosexuel mais ce n’était pas une raison de parler de lui au féminin. D’un autre côté, sans aucun poil et sans pouvoir se servir de sa queue, il devenait de plus en plus femme. Il remonta et aperçut le visiteur qui était en réalité une femme. La jolie rousse qui était venue le voir lorsqu’il était dans la cave. Il ne fallut pas longtemps pour que Kévin affiche un grand sourire et sente sa queue monter. Le point positif, c’est qu’il était toujours capable de bander malgré la cage et en plus, cela lui faisait moins mal comme si elle était moins comprimée.
— Alors Salope, tu oublies la politesse avec les invités ?— Non Maître, excusez-moi.
Il se jeta aux pieds de la femme et lui embrassa plusieurs fois les chaussures.
— Je vois que tu as fait du bon travail avec ta chienne. Elle est devenue docile depuis la dernière fois. — Il y a toujours un peu de travail pour qu’elle soit parfaitement docile mais dans l’ensemble, ce n’est plutôt pas mal. J’ai encore dû sévir ce matin car elle ne voulait pas nettoyer les cochonneries qu’elle avait faites sur le sol. Elle a fini par le faire, heureusement mais j’espère que la prochaine fois, elle le fera spontanément et rapidement. Tu peux essayer pour voir. Elle a ordre de faire tout ce que je lui demande.
Elle s’assit et écarta les jambes. Elle n’avait pas de culotte, ce qui laissa à Kévin tout le loisir d’observer sa chatte. Il s’approcha à quatre pattes avec un grand sourire.
— Viens me lécher Salope !— Oui, Maitresse.
Il s’approcha de l’entrejambe de la femme qui était encore plus séduisante que dans ses souvenirs. Il approcha sa langue doucement et l’inséra entre ses cuisses. L’odeur était forte, elle avait dû être très excitée dernièrement on ne s’était pas encore lavée ce matin. Kévin était tellement excité qu’il n’y fit pas attention et pénétra l’espace entre les lèvres de la femme avec sa langue et remonta jusqu’à son clitoris. Il entendit la femme gémir, ce qui le motiva à continuer et mettre plus de cœur à l’ouvrage. Il continue de plus en plus vite et pénétrait de plus en plus profondément sa chatte avec sa langue. Par moment il faisait de mouvement rapide sur son clitoris en arrachant un grand soupir à la femme puis repartait à l’intérieur de sa chatte. Elle gémissait de plus en plus fort et de plus en plus rapidement. Elle allait bientôt exploser, il le sentait. Elle souleva alors ses jambes laissant apparaitre son anus.
— Maintenant fais la même chose avec mon petit trou.
Il n’aurait jamais imaginé faire cela, pas même en rêve. Cependant, il était tellement excité qu’il ne réfléchit même pas et s’exécuta rapidement. Son petit trou présentait également une forte odeur mais il était tellement excité que cela ne le dérangea pas. Il titilla d’abord le trou avec sa langue puis entreprit de faire de petit cercle puis entreprit d’enfoncer le plus profondément sa langue dans l’orifice et de faire des va-et-vient. Il entendit la femme continuer à gémir de plus en plus longuement. Elle entreprit de se masturber pendant l’anulingus de Kévin. Elle fut prise de spasmes et commença à crier en serrant ses cuisses autour du visage de Kévin qui continuait à faire aller sa langue. Une fois l’orgasme terminé, elle relâcha Kévin et referma ses jambes.
— C’est vrai que c’est une bonne chienne. Rendons-la plus présentable et désirable maintenant. Après tout, c’est pour ça que je suis venue... Bientôt, tout le monde voudra te passer dessus. Tu verras, on y arrivera si tu continues d’y mettre du tien comme maintenant.
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