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un transport VIP inattendu.

Chapitre 2

Hétéro
Après être sortie de la douche, Nathalie était retournée dans sa chambre pour s’habiller. Nous devions aller dîner. Elle avait laissé la porte communicante entre les deux chambres ouverte. J’en profitai pour passer un polo bleu marine et un pantalon de toile grise. Je pris mon portefeuille et je passai dans la chambre de ma compagne.
Elle avait passé une jupe de toile blanche, fendue à l’arrière, assez étroite, lui moulant les hanches comme une gaine ; c’était une femme qui savait s’habiller, qui savait comment mettre en valeur sa beauté naturelle. Elle se tenait devant le miroir, en train de se passer du fond de teint sous les yeux afin de cacher les cernes que notre équipée amoureuse lui avait laissés. Elle avait peint ses lèvres d’un rouge gloss de couleur cerise. Ses beaux cheveux tombaient librement sur ses épaules. Elle n’avait pas encore passé de chemisier ; elle était torse-nu, les seins libres de toute entrave. Elle me vit arriver dans le reflet du miroir.
— Juste une minute, mon cœur, j’arrive.— Prends ton temps, on n’est pas pressé...
Nathalie s’est levée de son siège, s’est retournée face à moi, et un sourire « mort subite » aux lèvres elle me demanda :
— Je vous plais ainsi, mon Commandant ?— Trop ! Tu as de la chance...— De la chance ? Pourquoi ?— Que la machine ait besoin de repos, car...
Elle éclata de rire. Elle se dirigea vers sa mallette pour en sortir un chemisier noir qu’elle passa à même la peau, sans soutien-gorge ni brassière.
Ouf ! Elle me laissait totalement subjugué. Cette femme savait s’habiller. Son regard, son corps, ses gestes faisaient un tout, transpirant la sensualité et l’érotisme. Elle chaussa des escarpins blancs à hauts talons et s’approcha de moi en tournoyant comme un mannequin de haute couture. Remarquant mon regard, elle me demanda :
— Tu as un problème, mon chéri ?— Non : c’est toi qui vas avoir un problème si on reste seulement ici une minute de plus !— Chic, alors ! Méfie-toi que je risque de te le rappeler un de ces jours... Allez viens, on se sauve.

Depuis que nous étions arrivés à l’hôtel, la pluie avait cessé. Puerto de la Cruz étant situé au niveau de la mer, depuis l’aéroport nous étions descendus de 633 mètres. Non seulement il ne pleuvait plus, mais la température affichait 22° alors qu’à 18 heures, à San Cristobal de la Laguna où est implanté l’aéroport Nord, le thermomètre affichait 17°. Cette différence se faisait sentir ; je fus surpris de constater une température si douce, surtout que je n’avais sur le dos qu’un polo d’été.
Nathalie s’est arrêtée dans l’une des boutiques situées dans le hall de réception du gigantesque hôtel touristique afin d’acheter un gilet un peu plus chaud que celui qu’elle avait, fixant son choix sur un petit vêtement en laine angora qui d’ailleurs lui allait à merveille. Ensuite, nous nous sommes promenés, bras dessus bras dessous comme un vieux couple sur l’avenida de Colon, une allée bordée de toutes sortes de boutiques sur la gauche et d’une rangée de palmiers longeant le muret qui surplombe la grève de rochers où venaient se briser les vagues. De temps en temps elle se rapprochait de moi, collant sa cuisse à la mienne, s’obligeant à ne pas marcher au pas. C’était marrant. Elle riait comme une gamine toutes les fois qu’elle se trompait.
Le temps passait à vitesse grand « V ». Vers les 22 heures 30 on entra dans un petit restaurant-bodega construit dans un décor de grotte artificielle. Dehors sur le trottoir bondé de touristes, un groupe de mariachi nous poussait la sempiternelle « Coucouroucoucou Paloma ». À croire que leur répertoire ne se limitait qu’à cette chanson. Un serveur habillé de blanc avec une écharpe rouge autour de la taille nous guida vers une table pour deux au fond de la grotte. Avait-il compris que nous voulions être seuls ? Sur la table trônait un pichet de sangria sur lequel la buée s’écoulait en grosses gouttes de condensation.
Nathalie était assise en face de moi. Elle avait croisé ses mains sous le menton. Elle me regardait. Ses lèvres me souriaient. Elle rayonnait le bonheur. Quant à moi, je ne savais pas quelle attitude adopter. Je m’imaginais que les gens nous regardaient, nous fixaient, nous jugeaient. Je ne pouvais décemment pas me comporter comme un collégien à son premier rendez-vous : j’avais 68 ans, et la ravissante jeune femme en face de moi, celle qui depuis quelques heures s’était donnée à moi, avait 43 ans.
Autour de nous, on parlait allemand, néerlandais, anglais, et même suédois. On aurait dit que nous étions les seuls Français dans ce restaurant... Il est vrai que certains Français, de par leur comportement, ont tout fait pour se faire détester. Dans les îles Canaries – et plus particulièrement à Tenerife – il vaut mieux être Allemand ou Suédois que Français ou Anglais, qui ont eux aussi une réputation quelque peu sulfureuse... mais méritée.
Je commandai une « vieja con papas arrugadas et mojo picon », poisson perroquet du littoral fraîchement pêché et cuit au court-bouillon, accompagné de pommes de terre en robe des champs en croûte de sel, cuites à l’eau de mer, spécialité des îles Canaries, et le tout agrémenté d’une sauce piquante au cumin, coriandre et piments rouges. Pour celui qui aime, un délice que l’on ne trouve nulle part en dehors de l’archipel. Nathalie avait choisi une salade variée aux avocats et des sépions farcis à la plancha (petites sèches farcies). Nous arrosâmes tout cela avec de l’eau gazeuse car moi, je ne buvais pas d’alcool et ma compagne avait préféré prendre elle aussi de l’eau, sans doute pour faire comme moi.
Durant le repas, un Hindou coiffé du turban des Sikhs était passé entre les tables pour y déposer une belle rose baccara, et lorsqu il eut terminé sa distribution, il fit le tour des tables en sens inverse pour encaisser ses 10 ¬ . Lorsqu il arriva à la hauteur de la nôtre, Nathalie posa sa main toute fraîche et menue sur la mienne :
— Ne fais pas de frais, chéri : c’est du vol ! Dix euros pour une fleur qu’il achète 50 centimes pièce en gros... Il prend vraiment les touristes pour des vaches à lait !— S’il n’y avait que lui ! De quoi veux-tu qu’ils vivent, sans les touristes ? Alors ils en profitent : ce n’est pas leurs plantations de tomates, de bananes et d’orchidées qui les feraient vivre. De toute manière, j’ai envie de t’offrir cette fleur, ma puce.— T’es un amour... Te quiero, amor!
Je filai un billet de 10 ¬ au vendeur qui me remercia en oscillant du buste en avant comme un Juif en train de prier et en joignant les mains. Nathalie huma profondément la rose, la baisa, et après l avoir raccourcie, la cala dans ses cheveux, du côté gauche ; à Tahiti, cela signifie « cœur pris ».
Dans le restaurant, un duo de musiciens faisait danser ceux qui en avaient envie. L’un, au clavier, chantait assez bien ; et le jeune, aux percussions, devait être son fils car ils se ressemblaient beaucoup. Des tubes sud-américains, des boléros et rumbas nostalgiques appelaient à la danse. J’invitai Nathalie à danser.
Nous étions sur la petite piste à essayer de nous mouvoir au rythme de la musique. La piste était pleine ; on faisait du sur-place. Nathalie se collait à moi, les deux bras passés autour de ma nuque et la tête collée à la mienne. Mes mains reposaient sur son dos ; l’une, même, reposait sur le bas de son dos, juste au renflement de son fessier. On essayait tant bien que mal de nous bouger au tempo de la mélodie. Nos ventres se frottaient, et Nathalie en profitait pour incruster le sien étroitement au mien. Les effets de ce traitement ne se firent pas attendre, et ma compagne me souffla à l’oreille :
— Hum... C’est bon ce que je sens, là, tout contre mon ventre...
Je bandais, et bien entendu elle le sentait.Nous terminâmes la danse, je payai notre facture et nous quittâmes le restaurant. Nathalie avait passé son bras sous le mien et marchait en frottant sa hanche contre la mienne. Le chemin pour arriver à l’hôtel nous parut long... très long ! Enfin on arrivait. L’ascenseur nous avala et nous projeta vitesse grand V au dix-huitième étage. Nathalie introduisit sa carte dans la serrure électronique et on entra.
Sitôt à l’intérieur, mon hôtesse de l’air très particulière vint se blottir contre moi pour m’entraîner dans un baiser des plus tendres et violents à la fois. Tout en l’embrassant, je passai ma main dans son dos, sous son chemisier. Sa langue s’enroulait autour de la mienne dans une sarabande mimant une danse païenne.
— Déshabille-moi... réussit-elle à me dire en reprenant son souffle.
Elle s’était reculée, séparant son corps du mien. Ses mains s’affairaient sur ma ceinture. J’enlevai son dernier bouton. Elle leva les bras au ciel pour me faciliter la tâche. Je jetai son chemisier sur le lit et m’attaquai à sa jupe taille-basse fermée derrière, dans son dos, par une fermeture à glissière. Elle entama avec son bassin une sorte de danse polynésienne afin de faciliter la descente de sa jupe qui tomba à ses pieds sur la moquette.
Dessous, elle ne portait rien, pas même une culotte ou un string. Elle était là devant moi, toute nue. Pour vêtement, elle n’avait que ses escarpins aux hauts talons qui faisaient de ses jambes une œuvre d’art des plus érotiques... du moins, pour mon goût personnel. Jamais je n’avais vu ni possédé un si joli corps. Pas un seul bourrelet de cellulite malgré ses 43 ans, un grain fin de peau qui se transformait sous le passage de mes doigts. Le dos partagé par le léger sillon de sa colonne vertébrale venait mourir sur le haut de ses fesses rondes, fermes, d’une forme parfaite. Comment un homme normalement constitué, sain de corps et d’esprit, pouvait-il rester insensible devant une telle femme ? Moi, je n’étais pas insensible, et Nathalie s’en était rendu compte en descendant mon pantalon et mon caleçon qu’en deux mouvements des jambes je me libérai.
Elle m’attira vers son lit où elle s’assit, me laissant debout devant elle. D’une main, elle se saisit de ma verge comme si elle voulait cueillir son fruit préféré. Elle approcha ses lèvres et déposa un baiser sur le gland qui était devenu dur et brillant. Elle la souleva pour la plaquer contre mon ventre, et de l’autre main elle emprisonna mes bourses. Sa bouche descendit encore, et d’un mouvement délicat de la langue elle lapa le corps de mon sexe de tout son long. Ses lèvres emprisonnèrent un testicule qu’elles aspirèrent délicatement jusqu’à le faire disparaître entièrement dans sa bouche.
Mes mains se retrouvèrent sur sa tête, dans ses cheveux que je caressai tendrement. Elle libéra ma glande de reproduction pour s’occuper de l’autre à laquelle elle réserva le même traitement. C’était sublime ! Cette femme était la déesse de l’amour avec un grand « A » majuscule, la déesse de la sensualité... Elle devait être la réincarnation de l’une de ces déesses tentatrices qui, dans l’Iliade et l’Odyssée d’Homère, tentèrent de retenir Hercule dans leur île lors de son grand voyage de retour.
Je ne me rendais pas compte de mon ridicule dans cette position, debout en chaussettes devant cette beauté qui me choyait, qui me goûtait tout en prenant son temps ! Elle s’amusait à présent avec mon gland qui frémissait à chaque contact avec sa langue. Sur l’orifice du méat une goutte apparut ; la langue de ma déesse s’en empara et la fit disparaître avant d’aller s’attarder sur le frein, sur la couronne... Je n’en pouvais plus ! Il fallait qu’elle prenne ma verge dans sa bouche, qu’elle la suce...
Était-elle extralucide ? Lisait-elle dans mes pensées ? Il faut croire que c’était le cas car je n’avais pas fini de définir mon, mes envies que mon gland disparut dans cette bouche chaude, emprisonné par ces lèvres si douces. Elle me regardait tout en enfonçant ma verge plus profondément dans sa bouche. Je sentais sa langue jouer avec mon gland, le masser. Son regard traduisait toute sa sensualité, toute son envie de goûter aux plaisirs qu’elle avait imaginés dans ses fantasmes et qu’elle était en train de réaliser.
De ses doigts, elle tira un peu la peau de ma verge en arrière pour mieux faire ressortir le gland. De l’autre main passée sous mes bourses, elle me caressait les testicules et la zone qui les séparait de mon anus. Elle prit encore plus profondément mon sexe dans sa bouche, déglutit quelques fois comme si elle voulait l’avaler, puis d’un seul coup elle débuta de lents et doux mouvements d’aller et retour avec ses lèvres. Ses mains avaient abandonné leurs caresses pour venir se poser sur mes fesses, comme pour m’empêcher de me retirer, comme si elle avait peur que je lui enlève son « sucre d’orge » qu’elle était en train de déguster, de lécher et de sucer.
Ce traitement eut raison de ma résistance. Je sentis cette sensation forte et étrange, violente et douce me monter de dessous les bourses, et je me libérai, inondant (je crois) sa gorge d’un jet puissant qu’elle avala aussitôt afin de pouvoir recevoir le prochain qui était moins fort. Elle garda ma semence en bouche tout en aspirant, essayant ainsi de me vider de mon sperme. J’eus encore un léger orgasme, et je sentis que plus rien ne viendrait, que j’étais vidé ; que Nathalie m’avait vidé. Que j’étais tari, que j’étais mis à sec. Elle sentit que ma verge perdait de sa consistance. Après un dernier suçon sur la pointe du gland, elle me libéra.
— Tu as aimé, chéri ?— Quelle question... Tu ne t’en es pas rendu compte ?— Oh si ! me répondit-elle en souriant et en se relevant. J’aime la saveur de ton sperme, j’aime sa texture...— Qu’est-ce que tu trouves de particulier à mon sperme ?— Il est épais, légèrement salé... d’un goût qui fait penser à celui du champignon cru, et on sent qu’il est granuleux. La qualité a remplacé la quantité qui bien souvent à part d’être salée et visqueuse, n’a aucune saveur, si ce n’est celui du blanc d’œuf cru. J’aime ton sperme, mon cœur !— Viens avec moi, lui dis-je en la prenant par la main.
Je conduisis Nathalie dans ma chambre et la poussai légèrement vers le lit. Elle comprit mes intentions car elle s’assit dessus tout en gardant les jambes en dehors. Voyant que je me mettais à genoux devant elle, elle remonta ses jambes sur sa poitrine et écarta les cuisses afin de former un angle de 120 degrés me dévoilant ainsi sa chatte totalement ouverte, les grandes lèvres écartées et les petites lèvres d’un rose intense qu’elle avait courtes et fines. En haut, sous son capuchon apparaissait le clitoris à la tête ronde et brillante comme une groseille : une invite à la dégustation sexuelle.
J’approchai ma bouche de ce fruit de la tentation. Une odeur de moule fraîche captiva mon odorat ; je comprenais à présent pour quelle raison on appelle souvent, dans le langage populaire, le sexe d’une femme une moule. Il en avait toute la ressemblance et le parfum.
La vulve de Nathalie baignait dans sa cyprine. Elle mouillait abondamment. Tout brillait : son clitoris, ses petites lèvres, son capuchon. L’entrée du vagin semblait être la source de cette liqueur du bonheur. De ma langue j’allai cueillir à la source ce précieux nectar. Nathalie sursauta, et lorsqu’avec ma langue je remontai, caressant au passage l’orifice de l’urètre pour saisir de mes lèvres affamées le fruit mûr de désir, elle poussa un petit cri de surprise. De mes deux mains je tenais les grandes lèvres écartées. Ma langue avait entrepris un massage en règle du clitoris, dans tous les sens. De temps en temps je le prenais entre mes lèvres pour le sucer, comme pour le faire grandir dans ma bouche.
Nathalie respirait de plus en plus fort et rapidement ; une plainte sourde sortait de sa gorge, puis d’un seul coup, plus rien. Elle se crispa de tout son corps, se retenant, puis saisissant ma tête de ses deux mains afin de la plaquer encore plus étroitement à sa chatte, elle poussa un cri.
— Mon Dieu... Oui ! Continue... Ouiii !... Chéri, que c’est bon... J’en peux plus !
Elle jouissait sans retenue. Elle vivait son orgasme qui la transfigurait...
— Tu es en train de me rendre folle ! Réussit-elle à me dire entre deux râles de plaisir.
Vu que mes parents m’ont toujours dit qu’il était impoli de parler la bouche pleine – surtout à une dame – je ne lui répondis donc pas. Je venais de faire pénétrer une partie de mon index dans son vagin tandis que ma langue continuait sa douce torture sur son clitoris. Tout baignait dans la cyprine. C’était visqueux à souhait, à un tel point qu’il me vint une idée (ou suivais-je mon instinct de mâle toujours insatisfait de l’instant présent pour chercher toujours mieux ?) : je fis rejoindre mon index par le pouce qui se fraya un passage facilement pendant que les soupirs de ma « victime » se faisaient de plus en plus audibles et rapides. Au bout d’un instant d’intenses massages intra-vaginaux, je sortis mon index tout trempé pendant que mon pouce, se prenant pour un mini-pénis, taquinait les parois du couloir d’amour par des petits va-et-vient pour le conduire vers le petit trou juste plus haut. Mon doigt enduisit de cyprine cet anus encore vierge en des mouvements circulaires.
— Tu aimes ? Demandai-je par acquis de conscience.— Oh oui ! Tu me rends dingue, mon bel homme... d’amour.
Je plaçai mon index à l’entrée de la petite porte. Je sentis Nathalie frémir. Je poussai mon doigt, et après une résistance qui me parut « de principe », il se fraya un passage à travers cette rosette d’amour. La longueur d’une phalange introduite, je m’arrêtai et ne bougeai plus, attentif aux réactions de ma compagne. Au bout d’un instant, je commençai à faire bouger mon doigt à l’intérieur du rectum en de petits mouvements circulaires.
— Fais attention, mon amour... Je n’ai pris aucune précaution d’hygiène : j’ai peur d’un accident. Demain matin j’irai à la pharmacie. Viens dans mes bras ; je veux te sentir sur moi, en moi.
Je dégageai mon doigt délicatement ; il n’avait pas ramené de passagers clandestins. J’allai m’allonger à côté de Nathalie sur le côté, face à elle. Elle se colla littéralement à moi, plaquant ses seins dont je sentais la dureté des tétons contre mon torse, passant sa cuisse au-dessus de la mienne en la positionnant très haut, collant son pubis au mien. Elle était toute moite de sueur. Elle sentait la femme.
De sa main gauche, elle prit délicatement ma verge qui était dans un garde-à-vous impeccable et l’approcha de sa fente. Sur mon gland, je sentais la viscosité de sa cyprine. Je tentai d’un mouvement de bassin de l’introduire dans son vagin, mais j’avais un peu d’embonpoint, et mon ventre m’empêchait d’avancer mon sexe comme je le désirais dans sa grotte d’amour qui l’attendait avec impatience.
— Mets-toi sur le dos, chéri ; c’est moi qui vais venir sur toi. Ainsi, tu pourras te reposer.— Bonne idée, mon cœur... Viens, et empale-toi à fond sur moi— J’y compte bien ! Laisse-moi faire.
Elle enjamba mon corps et se positionna assise sur le haut de mes cuisses, ses jambes repliées de part et d’autres des miennes. Elle se pencha pour unir ses lèvres aux miennes dans un baiser ardent et langoureux à la fois. Elle laissa ses seins libres pendre, se soulevant suffisamment pour que ses tétons puissent caresser mon buste. De mes mains passées sous son fessier, je l’attirai à moi jusqu’à avoir les deux globes au niveau de ma bouche. L’un après l’autre je suçais ses tétons, taquinais avec ma langue ses aréoles pendant que mes mains caressaient et parfois malaxaient doucement ses seins parfaits. La respiration de Nathalie se faisait plus rapide, elle avait les lèvres entrouvertes et fermait les yeux. Son bassin commença à effectuer des mouvements de va-et-vient, frottant ainsi son clitoris sur mon ventre ; mon sexe se dressait de toute sa longueur et venait buter contre la raie des fesses de mon Amazone.
Au bout d’un certain temps, ne supportant sans doute plus mon traitement buccal ou impatiente de me sentir en elle, elle redressa sa poitrine, recula son bassin, se souleva un peu sur ses jambes. D’une main passée sous elle, elle se saisit délicatement de ma verge pour la guider à l’entrée de son vagin. Une fois certaine que mon gland était bien placé, elle se laissa glisser d’un seul coup, m’introduisant en elle à fond en poussant un « Humm... » de bien-être, les deux mains posées sur ma poitrine.
C’était bon, c’était chaud. Je sentais comme mon sexe glissait en elle, dans ce vagin baigné de sa liqueur de plaisir et d’envie. Ses mouvements de bassin me donnaient une impression impossible à décrire tellement ils me procuraient des sensations de vertige, de plaisir profond. Parfois, elle se soulevait un peu jusqu’à ne laisser que le gland à l’intérieur d’elle pour retomber de tout son poids sur mon pubis. Elle n’était pas profonde. Je sentais mon gland buter au fond de son vagin contre quelque chose que je pensai être l’entrée de son col de l’utérus. Elle était très étroite. Son vagin habillait ma verge entièrement comme un préservatif un peu juste. Je l’accompagnais dans sa course au plaisir par des coups de bassin que j’essayais de synchroniser avec les siens. Je profitai de la position avantageuse de ma compagne pour lui caresser les seins, pour saisir ses mamelons tout durs que je faisais rouler entre mes pouces et index.
Nathalie changea de position ; elle se cambra en arrière, les bras posés derrière elle sur le bas de mes cuisses. Les mouvements de son bassin étaient plus amples et rapides. Je suivais le rythme qu’elle me donnait. Elle avait fermé ses yeux, et ses cheveux dénoués tombés dans son dos commencèrent à suivre les mouvements de sa tête, de droite à gauche. Sa respiration devenait de plus en plus bruyante et elle commençait à geindre de plus en plus fort. Ses mains se crispaient sur ma jambe, et moi je sentais un orgasme m’envahir. Au moment où j’éjaculai, Nathalie poussa un cri :
— Ouiiii, mon chéri... Continue... Donne-moi tout ! J’arriiiiive !
Sur ces mots d’avertissement, elle se laissa tomber sur ma poitrine en s’agrippant à mon corps. Elle tremblait de tout son corps pendant que j’avais l’impression de me vider en elle, de vider des « litres » de sperme. Quelques secondes plus tard, après la dernière secousse sismique en mon corps, je lâchai prise, restant confortablement au chaud en elle. Nathalie était allongée sur moi. Elle avait remonté ses jambes sur les miennes et les serrait les unes contre les autres afin d’empêcher ma verge de sortir. Elle voulait me garder en elle entièrement, le sperme ainsi que son « robinet ».Sa respiration reprit son rythme normal.
— Mon Dieu, que c’était bon ! Tu m’as réellement fait décoller pour le paradis, mon amour, et deux fois de suite ! Je t’aime...— Ne dis pas des mots comme ça, ma puce.— Je t’aime. Je le sais maintenant, je le sens de toute mon âme, de tout mon corps.— Mais non, chérie : tu as l’illusion de m’aimer. Tu avais envie de moi. Tu étais en manque, tu te sentais délaissée par ton mari...— Parce que tu crois que je vais au lit avec n’importe qui ? Écoute ! Je vais te dire une chose. J’ai rencontré des hommes qui m’ont plu physiquement, mais après deux minutes de conversation, je suis partie en courant. Pour faire une entorse à mon contrat de mariage, il me faut de nombreux facteurs, et tu es celui qui réunit le plus de points essentiels dans mes paramètres. Quand je t’ai vu la première fois, comme homme et personne, tu m’as plu. Avec le temps, je suis tombée amoureuse de toi. Je suis allée même, lorsque de temps en temps mon mari daignait me baiser – car il ne me faisait pas l’amour – à imaginer que c’était toi qui me faisais l’amour. Et aujourd’hui que mon rêve s’est réalisé, je sais que la réalité a dépassé mes fantasmes : que je t’aime. Je n’exige rien de toi... même pas que tu m’aimes. Je te demande seulement que tu me laisses t’aimer.
Que vouliez vous que j’oppose à de tels arguments ? Je voulais tout de même mettre la configuration de cette nouvelle situation au clair.
— Comment vois-tu notre relation, Nathalie ? Tu sais que jamais je n’abandonnerai ma compagne, même si nous n’avons plus de vie sexuelle ensemble. Mon amour pour elle a subi une mutation : d’amour normal comme en ont un homme et une femme, cela fait cinq années qu’il n’y a plus rien. Elle est invalide à 90%. Elle est incapable de bouger son corps ; même ses jambes refusent de bouger. Alors voilà la situation. Par contre, elle, elle m’aime et ne vit que pour moi. Elle passe sa vie dans son lit médicalisé ou dans son fauteuil électrique. Parfois, lorsqu’elle souffre moins et que le temps le permet, je la sors car j’ai un véhicule aménagé. Une personne vient à la maison pour faire le ménage deux fois par semaine. Durant mes absences, nous avons un interphone, et ma petite voisine vient lui tenir compagnie, la lever avec un lève-malade pour ses besoins naturels. J’aime toujours ma compagne... plus comme un homme aime une femme, mais comme un frère aime sa sœur.— Et elle n’a plus aucune envie sexuelle ?— Bien sûr qu’elle en a, et elle ne manque pas de me le faire savoir ; mais moi, je m’en sens incapable. Une fois, j’ai voulu essayer. J’ai eu toutes les peines du monde à avoir une érection que j’ai perdue avant que je puisse essayer de la pénétrer... même en prenant une de ces fameuses pilules bleues ! Mais devant la difficulté de la position de son corps qui est celui d’une poupée de chiffon, de son vagin qui est tout dilaté car ses sphincters ne ferment plus rien... j’ai débandé.— Même avec la bouche, elle ne peut pas te soulager ?— Si. Mais pour cela, il faudrait que je bande ; et devant elle, je ne peux plus bander et... je refuse de m’en servir comme réceptacle à sperme. J’ai trop de respect pour elle car elle est un petit bout de bonne femme exceptionnelle. D’ailleurs, je lui fais croire que je suis devenu impuissant à cause des cigarettes que j’ai fumées dans ma vie...— Et elle le croit ?— Bien obligée ! Je lui ai même proposé de lui offrir certains jouets sexuels pour qu’elle puisse assouvir ses envies ; elle a refusé tout net. Elle m’a rétorqué que puisque je ne pouvais plus la contenter, elle n’avait pas besoin de cela, elle s’en passerait.— Cela doit être terrible pour elle...— C’est certain, mais je ne peux pas lui faire l’amour, au même titre que je suis incapable de baiser une poupée gonflable.— Oui, je te comprends. Et pendant cinq années tu n’as eu aucune relation sexuelle ? Tu n’avais plus aucune érection ? Je n’arrive pas à le croire ! De temps en temps, tu devais bien avoir des envies, non ?— Bien entendu ; je ne crois pas être impuissant...— Ça, je le confirme, mon amour !— Mais je suis impuissant lorsque je suis face à Françoise.— Et comment fais-tu lorsque tu te sens en manque ? Tu as une maîtresse ? Tu vas chercher un coup facile ?— Même pas. Je n’ai aucune maîtresse, et je ne vais pas baiser à droite ou à gauche.— Alors ?— La solution manuelle sous la douche.— Quelle perte d’énergie et de bonnes choses ! Mais à présent on est ensemble, alors tu n’auras plus besoin d’en arriver à cette extrémité quelque peu frustrante pour toi. Je serai là pour te donner toute la tendresse dont tu as besoin. Mon cœur en est rempli... Bien sûr, si tu le veux.— J’apprécie beaucoup, chérie, mais je crains de ne pas être en mesure de te donner tout ce que tu mérites, tout ce dont tu peux être en attente de moi.— Je sais, mon cœur : tu n’es pas amoureux de moi. Je te plais, et cela vois-tu, c’est le principal pour ne pas dire un début. Peut-être un jour m’aimeras-tu un tout petit peu... En ce qui me concerne, j’ai de l’amour pour deux.
Nathalie s’était blottie dans le creux de mon bras, la tête posée sur ma poitrine, les lèvres à proximité de mon sein. Son bras gauche était posé sur mon ventre, et elle avait emprisonné ma verge pour la tenir bien au chaud dans le creux de sa main comme dans une cage, de peur sans doute qu’elle disparaisse.
— Et comment envisages-tu la suite, Nathalie ?— D’abord, acceptes-tu une suite à notre conte de fée ?— Si tu le veux ; avec grand plaisir, chérie. Ce soir tu m’as fait revivre ; tu as réveillé l’homme à part entière auquel il manquait une chose.
Nathalie se blottit encore plus étroitement contre moi qui étais allongé sur le dos dans ce lit témoin de nos ébats. Elle avait toujours cette main protectrice sur mon sexe, comme si elle craignait qu’un vilain lutin jaloux vienne le lui ravir, et une cuisse par-dessus les miennes. Je sentais son souffle chaud dans mon cou, et parfois un léger tressaillement dans sa main.
— Tu veux, mon cœur, que nous dormions dans le même lit cette nuit ? me demanda-t-elle.— Mais bien entendu. Pourquoi ? Tu préfères dormir seule ? — Non, sûrement pas ! Ce que j’en disais, c’était pour toi, Adam, vu que tu es habitué à dormir seul depuis si longtemps...— Tu es sérieuse ?— Devine ? me répondit-elle en se moquant de moi.
Nathalie se leva après m’avoir déposé un baiser de papillon sur les lèvres et passa dans sa chambre.
— Tu vas où, chérie ?— Dans la salle de bain prendre une douche, mon amour.— Je peux venir ?— Non, surtout pas ! Je veux seulement faire une toilette avant d’aller dormir dans tes bras. Si tu viens, on va recommencer... De plus, je suis HS, et toi aussi. Il nous faut reprendre des forces pour demain... plutôt pour plus tard. Tu as vu l’heure qu’il est ?
En effet, il était presque deux heures du matin. J’avais un rendez-vous téléphonique avec la compagnie à 10 heures françaises, soit 9 heures locales : il était temps que l’on arrête le « sport » et que je me repose si je voulais être en forme pour le prochain décollage. On aurait tout de même – même si on revenait à vide – quatre heures de vol. Je remontai le drap sur ma poitrine et me tournai sur le côté gauche, mon côté préféré pour dormir. Je fermais les yeux quand...
— Tu dors, mon cœur ?— Je me préparais à aller rejoindre les bras de Morphée.— Il n’y a pas 24 heures que nous sommes ensemble que déjà tu me trompes ?— Alors viens vite te blottir contre moi...
Nathalie était venue dans le lit sur ma gauche, là où il y avait une place. Elle était toute nue, avec pour seul vêtement un drap de bain de l’hôtel au-dessus de sa poitrine. Elle avait encore le corps tout humide. Çà et là quelques gouttes subsistaient, que le drap de douche n’avait pas réussi à sécher. Elle posa ses lèvres fraîches sur les miennes en un chaste baiser puis, voyant ma position ainsi que mon intention de dormir, elle s’allongea comme moi tout contre moi, m’offrant son dos et ses fesses qu’elle recouvrit du drap. Mon bras droit s’allongea, et comme par enchantement ma main vint se poser sur l’un de ses seins. Elle se rapprocha de moi en se reculant un peu, plaçant ses fesses tout contre mon sexe qui venait de se réveiller ; il alla de lui-même se placer dans la raie des fesses de ma compagne. Immédiatement, je sentis qu’il venait de passer les grandes lèvres et frappait à la porte d’entrée du vagin car je ressentais une sensation de mouillé et de visqueux.
— Tu n’es donc jamais fatigué, toi ? Ce n’est pas possible ! Toutes ses années de privation ressurgissent d’un seul coup ! Je ne suis pas une machine, moi...— C’est de ta faute aussi !— Quoi, ma faute ? Que veux-tu dire ?— Quand on est canon comme toi... Tu es une invitation permanente ! Un appel à l’amour.— Alors on va passer un marché tous les deux, si tu es d’accord.— Moi, je veux bien ; je t’écoute.— Je vais me mettre dans la bonne position. Tu la rentres, tu la mets bien au fond, et on ne bouge plus. On dort dans cette position.— Tu es sérieuse, là ? Tu y crois, toi ?— Non, me répondit-elle en riant.
Elle se saisit de ma verge pour l’aider à la pénétrer. Un coup du bassin en arrière, et j’étais totalement en elle, mon pubis contre ses fesses.
— Ne bouge pas ; tiens-toi avec tes mains sur mes hanches, et tu me laisses faire, quoi que je fasse.
Je fis ce que Nathalie m’avait dit de faire ; je laissai mon ventre plaqué contre ses fesses et une main sur sa hanche. Elle se courba en avant, accentuant l’angle entre son corps et ses jambes. J’avais l’impression d’être encore plus profond en elle. Je sentis une contraction dans son vagin, puis un mouvement pendulaire de va-et-vient avec son bassin : elle me faisait l’amour en « levrette couchée ». Ma main avait quitté sa hanche et était remontée vers sa poitrine pour se saisir d’un sein. C’était bon... J’avais l’impression de me trouver dans un nuage de mousse, passant par toutes les étapes : l’impression d’arriver à l’orgasme, puis la retombée. D’un seul coup, Nathalie s’exclama :
— Ça y est, mon chériii... Je viens... Ouiiii !...
À ce moment-là, un fluide chaud me remonta de l’entrejambe et mon orgasme arriva comme un coup de tonnerre ; je passais le mur du son. J’entendis un « Bang ! » dans mes oreilles ; un voile noir m’obscurcit la vue et je me déversai dans Nathalie en une seule et rapide jouissance.Au bout de quelques secondes, sans se retourner, elle me dit :
— Ne sors pas ; reste à l’intérieur et essaie de dormir, mon trésor. Je t’aime. — Moi aussi. Tu crois qu’elle va y rester ? Ça m’étonnerait.— Elle restera le temps qu’elle voudra, et lorsqu’elle sortira je viendrai me blottir contre toi. Tu veux bien, dis ?— Mais bien sûr que je veux, ma puce…

Mes yeux se fermaient ; je n’allais pas tarder à m’envoler pour le pays des songes. 

(La suite au prochain numéro si vous le voulez bien.)
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