Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 8 J'aime
  • 4 Commentaires

Transportés de plaisirs

Chapitre 5

Erotique
Eprouvante promenade
La nuit a été des plus agréables. Délicieux mélange de caresses, étreintes, confidences et repos, enlacés dans les bras l’un de l’autre ou collés l’un à l’autre, suite logique de la soirée toute en sensualité passée la veille. Nous avons pu ainsi faire encore plus ample connaissance et confirmer les nombreux points d’intérêts que nous partageons, complément à nos échanges par téléphone ou internet.
Après m’être réveillé, malgré la tentation de m’occuper de ma charmante compagne, j’ai préféré la laisser se reposer encore et, après l’avoir observé tendrement, je me suis assoupi à nouveau, collée à elle. Somnolent, je la sens bouger. Elle se lève puis revient se glisser près de moi. Elle pose sa tête sur ma poitrine et promène doucement sa main sur mon torse. Je ne bouge pas. Je la laisse faire. Je me laisse faire et je savoure. Elle frôle mes tétons pour s’en amuser puis glisse sa main sur mon flanc pour le griffer légèrement. Je ne peux retenir un soupir. Je garde les yeux fermés pour ne pas qu’elle s’arrête. Sa main vient sur mon ventre et descend vers l’aine puis la cuisse. En même temps, elle commence à déposer de doux baisers sur mon visage puis sur mon torse. Sa bouche vient à son tour jouer avec mes tétons. La belle est taquine et elle mordille avec délicatesse ma poitrine. Délicieuse sensation qui me fait vibrer et frissonner. Sa main continue son exploration et atteint mon pubis. Elle caresse doucement ma toison puis, lentement, vient se poser sur mon sexe que ces douces caresses ont déjà éveillé. La tête de ma brune est posée sur mon ventre. Son souffle me laisse comprendre qu’elle regarde ses doigts se promener, qu’elle les guide. Sa douce main attrape mon pénis durci et le caresse d’un délicat mouvement de va et vient. Avec son pouce elle joue à taquiner mon gland découvert. Coquine et mutine elle se joue de moi et je m’en régale. Je soupire à nouveau, incapable de me contenir. Ses lèvres parcourent à présent mon ventre et continuent à descendre plus bas, explorant mon pubis. Elle dépose de tendres bises à la base de mon sexe, soufflant légèrement sur mes bourses. Ces doux baisers remontent vers la tête de mon pénis et elle entame un va et vient délicieux de bises appuyées. Soudain, elle pose sa bouche sur mon gland et s’en amuse avec sa langue un instant. Impossible de retenir un gémissement. Mes mains se posent sur les épaules de ma brune. Ses lèvres s’ouvrent, et, habilement, s’aidant de la langue elle me prend en bouche. Mes doigts se crispent légèrement et griffent un peu son dos. Ce réveil en douceur est un pur délice. Etre son jouet est un plaisir. Je m’abandonne un moment à la douce caresse de sa bouche mais je ne la laisserai pas arriver à ses fins et assouvir sa faim, sa soif. Délicatement, je la repousse et échappe à sa bouche gourmande. Elle gémit sa déception. Je me coule contre elle et, tout en l’embrassant tendrement et fougueusement, je l’allonge sur le dos avant de me glisser sur elle et entre ses jambes. Mon sexe tendu ne tarde pas à trouver l’entrée de son ventre brulant, déjà inondé par le désir, l’envie. Avec douceur je pénètre ma belle coquine en lui murmurant des paroles tendres pour apaiser sa fougue. Je lui demande de suivre mon rythme, de l’accompagner. Alors, lentement, tendrement, nous faisons l’amour. Pas à pas, ondulant de concert, nous approchons d’un orgasme intense et profond qui nous saisit en même temps. Unis par ce plaisir attendu nous restons soudés l’un à l’autre. Nous profitons de la douceur du moment et laissons le calme regagner nos corps. Après quelques minutes de répit, collés l’un à l’autre, ma compagne se lève, pose un baiser sur mon front et sort de la chambre. Elle revient, simplement vêtue d’un peignoir et en dépose un second sur le lit, en m’expliquant que c’est un simple cadeau de bienvenue qui me sera toujours utile lors de mes visites. Elle quitte la chambre en me demandant ce que je préfère pour ce petit déjeuner tardif et s’en va le préparer. Je me lève, passe le peignoir qui me va parfaitement et la rejoins. Appuyé au chambranle de la porte je la regarde s’activer.
« - Tu sais ? Tu me suffirais tout à fait en guise de petit déjeuner. Mais, vu l’heure avancée, je pense que tu as raison et que nous restaurer maintenant nous permettra de tenir jusqu’à ce soir. Pour ce qui est de nourriture tout au moins. Je vais me raser rapidement. Ne te presse pas ! »Elle se tourne vers moi et me renvoie le sourire coquin que j’affiche.« - Merci pour ce peignoir jolie dame ! Tu as fait un bon choix et j’en suis ravi. Et il me sera effectivement très utile. »Alors qu’elle finit ses préparatifs je m’approche d’elle, l’attrape par la taille et l’embrasse dans le cou. Je la relâche et lui apporte mon aide. Une fois tout installé sur la table nous nous installons en tête à tête. Nous continuons nos discussions, ne maquant pas une occasion de sourire et rire, totalement détendus. Elle me confirme qu’elle souhaite que nous allions nous promener en ville pour profiter du temps agréable de cette journée. Elle me précise qu’elle n’a pas de but précis mais qu’elle veut simplement profiter de ma présence. Je ne peux que lui répondre qu’une fois de plus elle a raison et que je rejoins son avis. Elle se lève pour débarrasser et quand elle passe près de moi, j’attrape sa ceinture qui se dénoue et tombe. Amusée, elle rit en me traitant de vilain coquin. Je me lève pour l’aider. Dès que tout est rangé, je l’attrape par la taille et la retourne face à moi. Je passe mes mains sous les pans ouverts du peignoir et les pose sur ses hanches. En me collant à elle, je la pousse contre le meuble de la cuisine. Je dois lui avouer qu’elle m’attire et éveille mes envies au-delà du raisonnable. En passant ses mains autour de mon cou, elle me répond qu’elle est confrontée au même problème et qu’en plus, elle se sent particulièrement bien avec moi. Tout comme moi lui dis-je.Je l’attrape plus fermement et me plaque contre elle. Un regard échangé nous permet de nous comprendre et nos bouches se soudent dans un baiser délicieux. Rien à faire. Il semble impossible de résister aux désirs qui nous consument, qui nous embrasent. D’un geste habile elle dénoue ma ceinture et ouvre mon peignoir. Nous nous collons l’un à l’autre sans cesser de nous embrasser. Nos lèvres survolent nos visages pour se retrouver et s’unir passionnément. Le feu du désir attisé par ces contacts sensuels nous fait perdre toute retenue. Je laisse glisser mes mains sur ses fesses et l’attire un peu plus à moi afin qu’elle sente mon désir. Elle gémit. Je la saisis par la taille et la soulève pour l’assoir sur le plan de travail. Je plonge ma tête entre ses seins et je commence à les embrasser avant de jouer avec ses tétons sensibles. Elle s’accroche à mes épaules et enfouit sa tête au creux de mon cou. Je l’attire au bord du meuble puis passe mes mains sous ses cuisses pour les relever. Ses jambes se referment sur mes hanches. Mon sexe effleure le sien et cela la fait frémir. Dans un souffle elle me demande : « - Viens ! » Je ne comptais pas patiente plus et me guide habilement à l‘entrée de sa grotte. Doucement, je pousse et m’introduis dans la chaleur de son antre. Elle referme ses bras autour de mon cou. Elle gémit, m’invitant à atteindre son but. D’un coup de rein, je la possède complètement. Encouragé par ses murmures et gémissements, je lui fais d’abord l’amour lentement. Emporté par le plaisir qui monte en nous, je deviens sauvage et notre étreinte devient presque violente. Il ne faut guère de temps pour que l’orgasme nous achève. Dans une plainte étouffée, elle s’effondre contre moi, à bout de souffle. Je lui dis de bien serrer ses jambes autour de moi puis je la soulève en passant mes mains sous ses fesses. Elle colle sa tête au creux de mon cou et je la porte jusqu’au lit où je la dépose délicatement avant de m’étendre auprès d’elle et de la prendre dans mes bras. « - Reprenons notre souffle ma belle ! »Nous restons ainsi, enlacés, quelques minutes, silencieux, profitant simplement de l’instant.
Je m’écarte d’elle doucement puis m’installe sur le côté, en appui sur mon coude pour la regarder. Je l’observe, je l’admire. Elle me voit sourire et me demande ce qui me fait sourire ainsi. Je me tourne vers elle et ne peut que répondre que ce sont le bien-être, le plaisir d’être là, invité à profiter de ses charmes et de sa douceur qui me font cet effet. Je suis bien et pourquoi le cacherais-je. Elle sourit et caresse mon visage. J’embrasse sa main au passage. Puis, je me penche pour embrasser son visage et nos bouches se retrouvent. Après ce doux baiser, je me lève.« - Je vais aller prendre une douche et je me préparerai. J’espère être à ton goût pour notre promenade belle dame. »« - Je suis sure que tu me plairas bel homme. Comment veux-tu que je m’habille ? »« - Je fais entièrement confiance à ton choix. Je sais que tu as bon goût et que tu sais me plaire. Cependant, pose tous les vêtements que tu penses porter aujourd’hui et je te donnerai mon aval en sortant de la douche. D’accord ? »Elle me regarde avec un regard à demi surpris et m’adresse un charmant sourire de petite fille.« - Bien sûr Monsieur ! Comme il vous plaira. »Avant de filer vers la salle de bain je lui lance un clin d’œil et un sourire.Lorsque je sors de la douche la belle est là, m’attendant, une serviette à la main.
« - J’ai fait mon choix Monsieur. Tout est sur le lit pour votre approbation. Laissez-moi vous sécher puis je prendrai la place. Vous aurez le temps d’étudier ma tenue pendant que je me douche. »Je me laisse faire avec délice et m’interroge sur la tenue choisie par la belle. Je sais qu’elle sera désirable, tentatrice et raffinée. La vulgarité n’est pas de mise avec elle. Je suis presque impatient de découvrir sa sélection.Elle en a terminé.« - Merci beaucoup de prendre si bien soin de moi ! »« - De rien Monsieur ! C’est un plaisir pour moi de vous être agréable. Et je dois vous remercier pour les découvertes que vous m’offrez. »Elle rougit en finissant sa phrase et se cache dans la douche.
Alors que l’eau commence à couler je sors et me rends vers la chambre. Au pied du lit de délicats escarpins noirs à lanière sont posés. Talons aiguilles qui rendront la belle fragile en marchant et galberont d’une façon délicieuse ses mollets. Sur le lit, je trouve le reste de sa tenue. Elle a choisi de simples bas noirs à couture pour gainer ses charmantes jambes. Pour retenir les bas, un porte-jarretelles serre-taille noir et rouge avec un délicat laçage. Complément à cet assemblage de dentelle et de satin, je trouve un string et un soutien-gorge pigeonnant qui me prouvent, si besoin était, que ma compagne sait me plaire. Pour dissimuler tous ces charmants atours, la dame a choisi une robe-pull rouge et noire agrémentée d’une ceinture de cuir noir. Je commence à m’habiller en imaginant déjà la belle ainsi habillée. Désirable en diable.Je termine de me préparer quand elle sort de la salle de bains. Le peignoir ouvert, appuyée contre la porte elle me regarde.« - Tu me plais ! »« - Je n’ai rien de particulier et mes vêtements sont simples et pratiques pourrais-je dire. »« - Tu es toi. Et cela me plait ! »Je souris devant ce compliment sincère.« - Ai-je bien choisi ma tenue Monsieur ? »Je m’approche du lit, observe les vêtements, puis me tourne vers elle en souriant.« - Tu seras parfaite comme à ton habitude ma belle ! Ton choix est excellent et cela ne faisait aucun doute pour moi. »Elle sourit et entre dans la chambre. « - Cependant, tu as choisi de porter un string. Il est très joli. Mais tu le mettras plus tard. Tu n’en as pas besoin pour le moment. »Je me penche, ramasse le string et le glisse dans ma poche. « - Je te le donnerai au moment voulu. »Elle s’est arrêtée à l’entrée de la chambre. Elle est apparemment très surprise par mes paroles. Je lui souris pour la rassurer.« - N’aies pas peur. Fais-moi confiance. Laisse-toi encore te guider sur mes chemins! »Elle semble réfléchir un instant puis s’abandonne.« - D’accord Monsieur ! Je vous fais confiance ! »« - A la bonne heure ! Je te laisse te préparer. Je vais t’attendre dans le salon. »Je laisse la belle dans la chambre. Avant de sortir, je la regarde et lui souris. Elle me regarde à son tour et me semble inquiète et impatiente. Mélange d’émotions perceptible qui me laisse deviner son trouble. Je souris intérieurement.Je me rends dans le salon et m’installe dans le fauteuil pour attendre que ma charmante compagne me rejoigne. Je profite de l’attente pour imaginer la suite et le déroulement de notre promenade. De nombreuses idées toutes plus coquines les unes que les autres me viennent à l’esprit. Et toujours un seul but : le plaisir de ma brune. Elle arrive enfin dans le salon. Elle est superbe. Je lui fais signe de s’approcher et de tourner sur elle-même. Je l’observe. Elle me fait tourner la tête.
« - Tu es superbe et je suis flatté d’être ton compagnon de promenade. Je ferai des jaloux, des envieux, et j’en suis ravi. »Je prends sa main et la guide à droite du fauteuil. Je pose ma main droite sur sa hanche, et, négligemment, je la laisse glisser le long de sa cuisse. Délicieuse courbe que je frôle. Ma main atteint le bas de la jupe et caresse le bas. Je glisse ma main sous la robe et commence à la remonter. Elle arrive à la douce rondeur de sa fesse et s’y attarde. La belle frémit et soupire. Je redescends ma main et l’aventure furtivement entre ses cuisses qui s’entrouvrent légèrement. Le tranchant de ma main effleure son sexe et ses cuisses se ferment. Je lève les yeux vers elle et je croise son regard. Elle s’abandonne à mon désir et semble supplier, réclamer, une étreinte, des caresses. Je retire ma main de ce doux et chaud refuge. Je me lève et l’attrape par la taille pour l’attirer à moi. Je pose ma bouche au creux de son cou et dépose un baiser. « - Je pense que nous pouvons y aller ma belle dame. Je te laisse conduire. Tu connais mieux ta ville que moi. »« - Où veux-tu aller ? »« - Allons au centre ville. Il y a un centre commercial avec un grand parking souterrain et il est à deux pas des rues piétonnes. Nous aurons ainsi l’embarras du choix pour nous promener. »Je passe ma veste et, elle, son manteau léger. Nous quittons l’appartement et empruntons l’ascenseur. A l’abri de ses portes, au cours de la descente, je prends ma compagne dans les bras et l’embrasse tendrement. Elle se blottit contre moi, détendue. La cabine s’arrête eu niveau de son garage et nous nous dirigeons vers sa voiture. Je l’aide à retirer sa veste et la dépose avec ma veste sur le siège arrière. Elle s’installe au volant et, de ma place, je me régale de promener mon regard sur ses jambes gainées de noir. Elle s’en aperçoit, me regarde et sourit. Elle démarre et nous conduit hors de la résidence où elle habite. Au premier feu rouge, je ne peux résister plus longtemps et pose ma main sur sa cuisse que je caresse avec délicatesse.« - Essaie de ne pas trop me distraire ! Ce n’est pas dans un lit d’hôpital que nous pourrons nous abandonner l’un à l’autre. »« - Je serai prudent, je te le promets. »Je laisse ma main sur sa jambe, caressant légèrement. A chaque feu rouge ma caresse se fait plus précise, plus sensible. Je joue et ma compagne se prête au jeu avec délice. Devant nous, un feu tricolore, plus long que les autres, a provoqué un embouteillage et nous progressons lentement. Ma main en profite pour progresser également. Pas à pas, elle se glisse et vient frôler les douces lèvres du sourire vertical de ma brune. Je n’appuie pas ma caresse mais cet effleurement suffit à faire soupirer la dame. Je l’observe. Son souffle est court et elle se mord la lèvre. Je cesse cette torture et repose ma main sagement sur sa jambe. Elle reprend son souffle dans une grande inspiration. Nous continuons notre route et nous arrivons à destination. Je la laisse entrer dans le parking souterrain et lui précise que je lui dirai quand nous pourrons nous garer. Nous passons deux niveaux puis, au troisième, je la dirige vers une place libre dans un coin un peu à l’écart et moins bien éclairé.« - Gare-toi là ! Ce sera parfait ! »
Elle se range à la place de parking, met le frein à main et coupe le moteur. Elle s’apprête à ouvrir la porte mais d’une pression sur sa cuisse je lui fais comprendre que nous pouvons patienter. Je m’approche d’elle et pose ma main sur sa joue pour guider son visage vers le mien. Nos bouches se soudent. Nos langues s’emmêlent. Ma main caresse sa jambe et vient s’égarer entre ses cuisses. Délicatement, je commence à caresser son sexe offert sans barrière de tissu. Il est déjà chaud, humide. Elle gémit légèrement. Notre baiser se fait plus profond, passionné. Ses jambes s’ouvrent un peu plus pour me laisser le passage. Habilement, je recule son siège. Je glisse ma main sous ses fesses et l’attire au bord du siège. Ainsi, ma caresse peut se faire plus précise. Ses cuisses s’ouvrent largement et son souffle s’affole alors que le bout de mes doigts explore les replis de ses lèvres à la recherche de son bouton de rose. Je glisse mon majeur à l’orée de son vagin. Elle est fondante et ruisselle. Je fais pénétrer mon doigt petit à petit. Nos bouches se perdent, se cherchent, se retrouvent. Je joue avec mon doigt et je la sens se tortiller, frémir. Je retire ma main et me recule. Elle me regarde, ne comprenant pas. Je lui souris. Ma main se dirige vers ma poche et en ressort avec le string.« - Tu voulais porter ce string ma jolie. Je vais te le mettre. Laisse-moi faire ! Laisse-toi faire ! »« - Mais, Monsieur ! »« - Fais-moi confiance et laisse-moi te guider dans mon univers sensuel ! Je ne veux que ton plaisir et qu’il soit intense et inattendu. »« - Je vous crois monsieur ! Je m’abandonne à vous ! »Elle ferme les yeux et bascule la tête en arrière. Je place la boule de tissu entre ses cuisses et doucement, délicatement, je commence à glisser le string, petit à petit, dans son vagin offert. Je joue avec son clitoris érigé en même temps. Je veux qu’elle mouille suffisamment. Je ne veux pas la blesser. Elle s’accroche au siège en soufflant. J’ai presque achevé mon introduction. En glissant mon index et mon majeur réunis je peaufine mon œuvre. Elle pousse un bref gémissement et je colle ma bouche à la sienne. Nous échangeons un baiser torride et elle s’agrippe à mon bras.« - Que me fais-tu faire ? Je ne me reconnais pas ! »« - Je te fais explorer et découvrir tes désirs, tes possibilités. Mais tu es libre de refuser. A tout moment. »« - J’y ai pensé mais tout me semble si naturel avec toi. Je ne comprends pas et en même temps je pense que je te comprends et je te fais confiance. C’est fou ! »« - Je prendrai soin de ne pas te blesser d’une façon ou d’une autre. Seul le plaisir doit nous guider et nous unir. Allons nous promener maintenant ! Je viens t’ouvrir »Je sors et fais le tour de la voiture. J’ouvre sa portière et lui tends la main. Je l’aide à sortir puis attrape nos vestes. Je l’aide à passer son manteau, enfile ma veste. Nous fermons la voiture et commençons à marcher. Elle s’accroche à mon bras. Les talons aiguilles et le string rendent sa démarche mal assurée. Je me sens protecteur de cette manière. Nous marchons lentement vers la sortie piétonne. Nous arrivons aux escalators et entamons l’ascension vers le centre commercial. Nous sommes collés l’un à l’autre. Je la sens frémir par moment. Fragile et délicate je la tiens pour la protéger. Nous commençons à nous promener dans le centre commercial. Nous flânons, nous attardant devant certaines vitrines. J’observe notre reflet et me rends compte qu’elle semble heureuse d’être ainsi accrochée à mon bras. Je l’embrasse dans le cou et lui demande si tout va bien. Elle me répond en rougissant un peu qu’elle se sent bien à mon bras mais aussi que son ventre s’embrase peu à peu. Une sensation sourde qui grandit petit à petit. Une délicieuse torture me murmure-t-elle. Cette promenade est également pour moi un moment très agréable. Je profite de l’abandon de ma belle tout en la protégeant. Je lui propose de sortir prendre un café en terrasse dans un bar proche.« - Un peu d’air frais te fera du bien ma douce ! »Nous nous installons donc à la terrasse d’un bar. Nous restons collés l’un à l’autre. Elle ne lâche pas mon bras. Comme si c’était le seul moyen de ne pas se laisser emporter. Nous profitons de l’air frais de cet après-midi. Je pose ma main sur sa cuisse et appuie un peu mon geste. Elle serre mon bras.« - Comment vas-tu ? »« - Je vais bien Monsieur. Je me consume pour vous. Je bouillonne, je fonds. Mon ventre m’affole. Je suis encore capable de me contenir mais c’est une sensation terriblement excitante. Et savoir que nous sommes les seuls à savoir en rajoute encore. »Nous buvons en discutant tranquillement. Je lui explique que je souhaite encore voir la devanture d’une boutique de chaussures dans la rue piétonne proche d’ici. Je pense y trouver un modèle qui lui ira à ravir. Mais si elle veut rentrer nous reviendrons. Elle soutient mon regard et me dit qu’elle se laissera guider jusqu’au bout et qu’il n’appartient qu’à moi de décider. Je l’embrasse pour la remercier de cet accord. Nous finissons nos boissons et nous reprenons notre marche. Je passe un bras autour de sa taille pour la soutenir un peu et elle se colle à moi. Je surprends les regards de passants qui semblent amusés en nous croisant. Je souris intérieurement en pensant à leurs réactions s’ils savaient se qui se passe sous leurs yeux. Nous arrivons à la boutique que je souhaitais voir. J’observe la vitrine et montre quelques modèles à ma compagne. Il y a ici des modèles très sexy et raffinés. Elle acquiesce et je lui propose d’entrer un instant. A l’intérieur, une vendeuse nous accueille mais je lui indique que nous regardons pour le moment. Elle se met à l’écart. Je demande à ma brune si un modèle lui plait et si elle souhaite essayer quelque chose. Elle me dit de décider pour elle. Je lui dit de s’assoir un instant pendant que je vais poser une question à la vendeuse qui attend à la caisse. C’est une femme de notre âge. Blonde aux cheveux courts, elle est séduisante. Je m’approche et lui décris le modèle que je recherche pour ma compagne assise là-bas. Elle suit mon regard et quand je la regarde à nouveau je crois voir une lueur de gourmandise dans ses yeux. Hélas, le modèle qui m’intéresserait devrait arriver sous peu. Nous reviendrons. La vendeuse m’accompagne jusqu’à la chaise où patiente ma belle. Elle me surprend en tendant la main à ma compagne pour l’aider à se lever. Elle lui dit, directe, que j’ai très bon goût et que le modèle de bottes que je cherche lui ira très bien. Les yeux brillants elle ajoute qu’elle attendra notre visite avec impatience. Nous la remercions et elle nous conduit vers la sortie sans lâcher la main de ma brune. Nous retournons vers le centre commercial.« - Je pense que la vendeuse a flashé sur toi ma douce. Elle te dévorait des yeux. J’ai été impressionné. »« - Quand elle a pris ma main, elle a été très douce et me caressait littéralement la paume avec son pouce. J’en ai été un peu électrisé. »« - C’était désagréable ? »« - Non, pas du tout. Mais surprenant, troublant. »« - Nous reviendrons… pour les bottes que je veux t’offrir. »
Nous sommes presque arrivés au centre commercial. Une dernière rue à traverser. Nous attendons au feu. Soudain, ma compagne s’accroche à moi et je la sens à la limite de défaillir. Je la prends dans mes bras et la serre contre moi.« - Que se passe-t-il ? Ça ne va pas ? »« - Ce n’est rien, rassure-toi. Juste mon ventre qui est en feu et la sensation de recevoir des décharges électriques délicieuses. Je suis au bord de l’orgasme. C’est incroyable ! »« - Accroche-toi à moi. Je te libèrerai dès que nous serons à la voiture. »Elle me saute au cou et m’embrasse à pleine bouche. Le feu passe au rouge et nous pouvons traverser. Sa démarche est quelque peu chancelante et je dois la soutenir légèrement. Elle soupire fréquemment. Arrivés à l’escalator je la colle à moi. Ses jambes tremblent. Moi, je suis tout aussi excité par la situation et ses réactions. Mon sexe tendu en est la preuve.« - C’est de la folie ! Tu me rends folle ! Et j’adore ça ! »Je la guide jusqu’à notre place de parking. La voiture est isolée et je me félicite d’avoir choisi ce coin sombre. J’attire ma belle de l’autre côté de la voiture, à l’abri d’éventuels regards. J’ouvre la voiture, retire son manteau et ma veste que je pose dans la voiture. Je me colle derrière ma brune et la tiens serrée contre moi. Elle sent mon membre durci contre ses fesses. Elle soupire, le souffle court. Je pose ses mains sur le haut de la portière et la penche en avant. Ma main se glisse sous sa robe et va fouiller entre ses cuisses qu’elle ouvre. Son sexe est trempé. Elle ruisselle. J’effleure son clitoris et elle gémit doucement. Elle me supplie de la libérer. Je glisse mes doigts en elle et attrape le string. Doucement, délicatement, je me retire. Elle se penche un peu plus en avant et gémit encore.« - Prends-moi je t’en prie ! Tant pis si tu me fais hurler mon plaisir ! »« - Je ne peux plus attendre moi aussi ! »Je finis de retirer le string, lui arrachant un petit cri et relève la robe. Je me déboutonne rapidement, me place derrière elle et guide mon sexe à l’orée de son ventre. Je fais une boule du string et le glisse entre ses lèvres.« - Mords-le ! Pour étouffer tes cris ! »D’un puissant coup de rein je m’enfonce en elle. Elle se met à trembler de tout son être en secouant la tête. Le plaisir la prend déjà. Je m’accroche à ses hanches et la besogne un instant avec d’amples mouvements. Son ventre est un brasier et un tourbillon de chair palpitant qui m’entraine avec elle dans un orgasme fulgurant qui me foudroie en même temps qu’une seconde vague de plaisir l’immobilise. Je retire son bâillon improvisé pour lui permettre de reprendre son souffle. Nous haletons tous les deux. Fort heureusement, personne n’a été témoin de notre étreinte. Je me retire doucement et avant de m’éloigner d’elle, je replace le string dans la chaleur de son vagin palpitant. Je la retourne et la prends dans mes bras en l’embrassant. J’ouvre la portière passager et l’aide à s’installer.« - Ne bouge plus. Savoure ! Profite ! Et reprends tes esprits. Je te reconduis et nous nous reposerons. »Nous échangeons un baiser passionné et je vais m’installer au volant. Elle murmure un merci Monsieur.« - Merci à toi de m’accorder ta confiance et de me suivre sur ces chemins de plaisirs. »Je démarre et nous conduis au logis de ma belle. En chemin, je pose ma main de temps en temps sur la cuisse de ma brune et la caresse légèrement. Elle a les yeux fermés et gémit. Ses jambes s’ouvrent et se ferment, incontrôlées. « - J’ai l’impression de t’avoir encore au fond de moi. C’est dément. Je suis encore à la limite de l’extase. Arrivons vite ! Je veux jouir librement ! »Je gare la voiture et j’aide la belle à sortir. Je la soutiens jusqu’à l’ascenseur. Elle ne cesse de gémir doucement. Dans la cabine, elle se blottit contre moi. La tête au creux de mon épaule elle murmure.« - Fais-moi jouir encore ! Fais-moi l’amour ! »Nous arrivons à son étage et je la guide jusqu’à sa porte. J’ouvre et nous entrons. Elle s’accroche à mon cou ; pendant que je referme derrière nous. Je la pousse vers le fauteuil, la penche en appui dessus. Elle s’y accroche. Je retrousse sa robe. D’une main, je caresse ses fesses avec délicatesse et de l’autre j’ouvre mon pantalon qui tombe sur mes chevilles. Elle me supplie de la prendre. Elle ne peut plus attendre. Je retire le string qui la torturait encore. J’attrape ses hanches fermement et sans avoir besoin de me guider, je la pénètre d’un coup, mon ventre venant claquer sur ses fesses. Elle pousse un premier cri de jouissance et je commence à la pilonner, emporté par l’excitation contenue. Ma belle s’accroche au fauteuil comme un naufragé à une bouée et crie encore et encore à chaque déferlement de plaisir. Elle enchaine ainsi plusieurs orgasmes brefs mais ravageurs. Je la rejoins dans une extase foudroyante. L’intensité du plaisir est si forte que nous nous effondrons unis sur le fauteuil. Ma belle semble prête à défaillir. Je me retire et dans un ultime effort je la porte jusqu’au lit où nous tombons dans les bras l’un de l’autre, épuisés, et nous assoupissons. Je ne pensais pas que nous atteindrions de tels sommets. Notre relation promet encore de magnifiques moments.
Diffuse en direct !
Regarder son live