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Un travail parfait ?

Chapitre 2

Travesti / Trans
2.
Je passais l’après-midi avec Gérard, qui me présenta au personnel, et me fit une visite complète des lieux. Nous nous arrêtâmes à chaque étage, et je rencontrai quasi tous les travailleurs présents ce jour. Ce qui faisait beaucoup de monde… et qui n’était rien comparé aux milliers d’employés ou ouvriers qui travaillaient dans les entreprises possédés par la famille Posseis… Si l’accueil était agréable, je sentis néanmoins bien que les gens se méfiaient. J’étais du côté des « patrons », et de plus je sentais une certaine méfiance envers la famille Posseis. Il vivait dans le luxe avec une telle ostentation que cela ne pouvait que créer jalousie et frustration. Sans oublier que les sœurs avaient réputations d’être hautaine, voire parfois méprisante.
Au 45e étage, où je travaillais, il n’y avait pas beaucoup d’autres bureaux. Il y avait le bureau de Stéphanie, une jolie brunette qui s’occupait du calcul des salaires, et le bureau d’Andrea, une blonde qui s’occupait des aspects juridiques et sociaux. J’avais des contacts professionnels avec elles, mais ne les voyait pas beaucoup, chacune étant plongés dans son boulot. Et elles étaient tellement discrète que je ne les voyais ni arriver ni quitter le bureau. Il y avait encore deux bureaux vides, les mêmes toilettes et cagibis que dans tous les immeubles de bureaux, et enfin le bureau de Nancy et le mien.
Après avoir remercié Gérard pour la visite, je rattrapais le retard niveau travail de cette après-midi, et n’eus fini que vers 20h30… Je pensais être le seul dans le bureau. Je venais de mettre ma veste lorsque j’entendis des sons venant du couloir. Les bureaux semblaient pourtant désert ? Je m’avançais jusqu’à un petit cagibi. Le son venait de là. La porte était ouverte. Je jetais un œil.
C’était un minuscule bureau, sans fenêtre. Il y avait juste la place pour une table, posé au fond, contre le mur, la table faisant toute la largeur de la pièce, une chaise et un ordi… la porte ouverte cognait contre la chaise, tellement la pièce était petite. J’espérais que personne ne travaillais ici ! Soudain, mon attention fut attirée par l’écran. L’ordi était allumé, et c’est un film porno qui passait ! Un type, nu, avec juste un collier de cuir autour du cou était à quatre pattes au sol. Une jolie femme se tenait assise, face à lui. Une blonde, avec de gros seins et un gros… pénis ! Une transsexuelle ! Une de ses mains triturait un de ses tétons, tandis que l’autre astiquait doucement son gros membre… le gland suintait de pré-sperme… pourquoi cela me faisait-il bander comme un fou ? Elle décalotta tout à fait son gland, et le présenta au type, qui s’avança pour le lécher… elle enfonça soudain son sexe bandé dans la bouche du type, qui commença à la sucer avec un plaisir évident ! Une seconde femme apparut alors à l’écran. Elle avait les cheveux noirs, et avait aussi un pénis bandé, mais plus petit que celui de la blonde, plutôt de la taille du mien. Elle et la blonde s’embrassèrent fougueusement, puis celle avec les cheveux noirs vint derrière le type. Elle donna une ou deux claques sur ses fesses, puis sortit une sorte de jouet en plastique noir, une suite de boules en plastique, de plus en plus grosses… Elle écarta les fesses du gars, qui continuait lui à sucer la blonde, montrant bien son anus à la caméra… puis elle suça les boules quelques instant avant de présenter le jouet en plastique face à l’anus du gars… elle pressa et les lui enfila les unes après les autres, centimètres par centimètres… A chaque boule, son anus semblait les gober, de la plus petite à la plus grosse… Elle retira le jouet boule par boule, avant de recommencer… Le gars éjacula sur le sol… la fille donna alors une claque sur les fesses du gars… elle retira le jouet, et présenta son sexe contre l’anus du gars, puis s’enfonça en lui d’un seul coup ! Je le vis soupirer de plaisir, continuant à sucer la blonde, jusqu’à ce qu’elle vienne dans sa bouche… Elle attend qu’il avale tout, face à la caméra, puis lui fait alors lécher son propre sperme, sur le sol, tandis que l’autre fille se vide dans son cul. Nouveau gros plan sur son anus au moment où elle retire son pénis, l’anus du gars palpite et un peu de sperme en coule… Je n’avais jamais rien vu de tel ! C’était dégradant, pour le gars, mais en même temps c’était vraiment excitant… je bandais comme un fou !
L’écran devint noir, puis un nouveau film recommença, toutes des images qui se suivaient de transsexuelles ou de gars habillés en sous-vêtement féminin qui sucent des queues ou se font prendre dans le cul… du sperme qui coule dans la bouche, sur le visage, des anus qui en débordent… Je suis proche de l’éjaculation rien qu’à regarder ces films porno quand soudain je crus entendre un bruit… ayant peur de me faire surprendre à regarder ce genre de vidéo, je n’eus qu’un recours : m’encourir ! Je passais vite prendre mon manteau et ma serviette dans mon bureau et rentrais en vitesse chez moi. C’est à l’arrêt de tram que je me rendis compte que j’étais resté plus d’une heure et demie scotché devant ces vidéos ! Je n’avais vraiment pas vu le temps passer ! Inutile de dire que pour pouvoir m’endormir, je dus me branler, pour me calmer…

Le lendemain je pus récupérer de ma première semaine de travail en faisant une grasse matinée. Puis j’allais comme chaque semaine à mon club de fitness, pour une heure d’exercices, et après une bonne douche, je me rendis au boulot. A part le garde à l’entrée, je ne vis personne. En sortant de l’ascenseur, je jetais un regard vers le cagibi, mais la porte était fermée. J’entrais dans mon bureau, et vit par la porte communicante ouverte que Nancy n’était pas là, elle non plus. Par contre, sur mon bureau, se trouvait des dossiers et une note pour expliquer comment les archiver… je restais un peu interdit devant la note. Elle me faisait venir un samedi… pour archiver des dossiers ? C’était une blague ? Ou bien me montrait-elle qu’elle était la boss et faisait ce qu’elle voulait ? Ou alors me testait-elle pour voir si j’obéirais ?
Toujours est-il qu’au lieu de m’insurger et de rentrer chez moi, je m’assis et commençais à travailler. Était-ce pour le salaire ? Parce que je pensais à elle ? Je ne saurais le dire… J’avais quasiment terminé lorsque elle arriva.
— Pierre ! Que je suis contente de vous voir ici, en plein travail ! Merci ! Votre aide m’aura été précieuse…
Elle portait une robe noire, très moulante, qui mettait sa poitrine en valeur, avec un joli décolleté, la robe s’arrêtait à mi-cuisse, des bas noirs gainant ses jolies jambes, des talons aiguilles rehaussant sa taille… elle était superbe, j’avais envie de me lever, de l’embrasser… c’est à ce moment que le type entra. Sa tête me disait quelque chose, je l’avais déjà vu à la TV… c’était un homme politique connu dans la région, mais je ne me souvenais pas de son nom. Il reluquait sans vergogne le cul de Nancy, tandis qu’elle me demanda de descendre les archives à l’endroit prévu, et que je pouvais ensuite rentrer chez moi… Puis elle entra dans son bureau avec le gars et ferma la porte.
Je me sentais utilisé et rejeté ! J’allais chercher un petit chariot métallique, pour déposer les dossiers, puis poussais en râlant le chariot remplit de dossier vers l’ascenseur. Je descendis jusqu’au -1, l’étage où se trouvait les archives. Je poussais mon chariot jusqu’à la porte du local, et c’est là que je me rendis compte que j’avais oublié mon badge dans mon bureau… pestant, râlant de plus belle, je laissais le chariot là (il n’y avait quand même personne dans les couloirs) et repris l’ascenseur jusqu’au 45e… Je vis tout de suite mon badge sur mon bureau… pourtant ce n’est plus à lui que je pensais… Les bruits qui venaient du bureau d’à côté étaient sans ambages, ils s’envoyaient en l’air ! Et si je l’entendais si bien, c’est que la porte communicante était ouverte… ou du moins fort entrebâillée… Bon, je devais prendre mon badge et retourner aux archives… un râle de plaisir de ma patronne me cloua sur place… je voulais voir, je voulais la voir…
Je m’approchais doucement de la porte et jetais un rapide regard… Elle était face à moi. Le gars était assis dans un des fauteuils du salon, le pantalon et slip aux chevilles. Elle était sur lui, dos à lui, face à moi… Ses mains sous ses cuisses, il la faisait monter et descendre le long de son membre bandé, son pieu de chair planté entre ses fesses… ses seins généreux, aux larges alvéoles brunes et aux tétons très pointés dansaient au fur et à mesure que son corps coulissait le long du membre du gars… Sa robe relevé jusqu’à sa taille me permettait de voir son string en dentelle rouge, la ficelle sur le côté pour laisser libre accès à son anus, et devant, elle avait un pénis, qui ballottait lui aussi au gré de des coulissements de son corps le long du pieu du gars… je l’avais bien deviné… elle avait un beau sexe, à demi bandé il était presque aussi gros que le mien dans sa plénitude ! Qu’est-ce que ça devait être lorsqu’il était tout à fait bandé ! Il semblait doux, sans un poil, comme les deux bourses qui pendaient sous sa verge luisante de pré-sperme… Le gars ne pouvait pas me voir, derrière elle, mais j’avais une vue plongeante sur sa verge qui apparaissait et disparaissait dans le cul magnifique de Nancy… Elle dardait son regard sur moi… elle savait que j’étais là, m’avait directement vu… mais n’en montrait rien, et lorsque nos regards se croisèrent, elle passa sa langue sur ses lèvres d’une façon si lascive… le rouge aux joues, je reculais doucement, pris mes affaires, et descendit terminer mes archives, puis rentrais chez moi sans remonter à nos bureaux…
Je n’en avais vu que quelque secondes, pourtant j’en rêvai la nuit, et me branlai le dimanche en pensant à elle… Elle avait un corps parfait, et même le fait qu’elle ait un pénis ne me dérangeait pas du tout. Elle était si belle ! Si l’on m’avait dit ça avant, j’aurais dit un « non merci » avec une mine dégouttée… moi, trouver un pénis beau ! J’étais totalement hétéro ! Mais le fait de l’avoir vu, et sur une si jolie femme rendait les choses différentes. Cela rendait même son pénis désirable.

J’arrivais au bureau le lundi avec une boule dans le ventre, ne sachant comment elle allait réagir… mais elle fit semblant de rien, étant tout à fait comme d’habitude. Nous eûmes notre réunion pour préparer la semaine, avec les tâches principales que j’aurais à accomplir, en plus des tâches journalière, puis un briefing sur les réunions prévues et les dossiers à préparer.
L’après-midi nous eûmes la réunion avec les chefs de département, mais tout semblait aller bien, il n’y avait rien de spécial. J’y appris tout de même deux choses. D’abord que les trois sœurs Posseis habitaient dans le building, dans les trois derniers étages, ceux où il faut avoir une clef pour y accéder. Le chef du département maintenance y fit allusion en parlant que les services d’incendie de la ville râlaient de n’avoir pu visiter les trois derniers étages pour leur inspection bisannuelle des risques incendies. Et aussi que l’enquête sur la mort de mon prédécesseur (celui dont Gérard m’avait parlé l’autre jour) se clôturait bien sur la thèse du suicide, au grand dam de sa famille. Les syndicats firent allusion à un journal de gauche qui avait lancé de perfides rumeurs quant à des pressions du ministère de la justice en ce sens, pour étouffer l’affaire (n’était-ce pas là que travaillait l’homme que j’avais vu samedi avec Nancy ?), mais elle balaya ces rumeurs d’un sourire enjôleur et un signe de la main, comme si ce n’était rien de grave.
Nancy quitta le bureau après la réunion, moi je remontais terminer quelques dossiers. Lorsque j’eus fini il était de nouveau aux alentours des 20h, et j’étais seul. J’allais mettre ma veste, lorsque j’entendis de nouveau des sons dans le couloir. Mon ventre se serra d’excitation lorsque je constatai que la porte du cagibi était à nouveau ouverte. Je fis d’abord un tour de tout l’étage, mais il n’y avait personne… j’entrais dans le cagibi… les films qui passaient en boucle montraient des types normaux qui suçaient des trans ou des autres types, ou qui se faisaient sodomiser dans toutes les positions par des trans, des autres types ou des filles avec des godes-ceintures… Je voyais ces sexes bandés qui pénétraient des bouches, des anus, tout ce sperme qui s’écoulait, les visages contractés de plaisir, voir extatiques lors des orgasmes… Je bandais dur dans mon boxer, me caressant la bite par-dessus le pantalon… Soudain, les images accélérèrent, se focalisant sur des pénis bandés, des pénétrations, et des visages ravis par le plaisir… une petite vignette apparut dans le bas de l’écran, montrant un gars sur une chaise identique à la mienne qui se branlait… une phrase passait à l’écran « Prépare-toi… » … « 20 »… « Prépare-toi… » … « 19 »… Omnibulé, et presque automatiquement, sans quitter l’écran des yeux, j’ouvris ma braguette et sortit mon membre du caleçon… « Prépare-toi… » … « 11 »… « Prépare-toi… » … « 10 »… je me branlais au même rythme que le gars sur la vignette, tout en regardant les images à l’écran, qui défilaient de plus en plus vite… « Prépare-toi… » … « 5 »… « Prépare-toi… » … « 4 »… « Prépare-toi… » … « 3 »… « Prépare-toi… » … « 2 »… je sentis le plaisir monter dans mes reins, mon sexe battre, pulser sous ma main… « Prépare-toi… » … « 1 »… « Prépare-toi… » … « 0 »… « Maintenant ! » Je jouis, en même temps qu’une explosion de sperme à l’écran, et les images qui défilent encore plus vite, se focalisant maintenant sur des éjaculations, sur des visages, dans des bouches, sur des mains, coulant d’anus palpitant… je continuais à jouir, le regard rivé sur l’écran… puis le film se termina, et l’écran devint noir… j’étais dans une semi pénombre, seule me venait la lumière du couloir… quel orgasme ! J’avais les jambes qui tremblaient, mon cœur qui battait la chamade, ma main, pleine de sperme, toujours crispé sur mon membre qui débandait petit à petit… Je pris soudain conscience du lieu où j’étais. Je pris vite des mouchoirs en papier, frotta ma main, mon sexe, la chaise, la table, le sol, pour enlever les tâches les plus visibles de ma perversion… Puis je m’habillais et partir en vitesse vers chez moi, car il était déjà presque 22h00 !

Le lendemain, la journée de travail fut bien remplie, et passa bien vite. Je terminais un dossier d’assurance, assez difficile, lorsque le bruit recommença dans le couloir, vers les 19h30. Juste en entendant le bruit, je me mis à bander. Excité, je ne m’étonnai même pas de la situation. Le ventre pulsant d’excitation, je me rendis dans le cagibi, et suivis le même genre de film que la veille… un peu plus hard encore, plus explicite, et avec quelque scène très hard de domination de trans sur des hommes… et j’éjaculais avec le décompte final à la fin… Même chose le lendemain, avec de plus en plus de scènes de domination, d’hommes dominés par des trans, ou par des types avec des bites énormes. Sur une des vidéos, un type se faisait sodomiser par un black avec la queue la plus grosse que j’ai vu de ma vie, tout en suçant un autre énorme mandrin… Lorsque le black retira sa bite énorme, l’anus du gars était tout à fait dilaté, débordant de sperme, qui coulait sur ses testicules, ses cuisses… J’éjaculais de nouveau avec le décompte final… le jeudi ça recommença… toujours vers 19h30. le son se faisait entendre, et directement je bandais, me sentant tout excité… le même genre de film que la veille, mais focalisé surtout sur le sperme, du sperme sur le visage de types, sur leurs croupes, coulant de leur anus, sur leurs lèvres, leurs mentons, dans leurs bouches… tout en me branlant, un tas de questions me passaient par la tête « Quelle sensation cela faisait d’être utilisé comme objet de plaisir ? » « Quel goût à le sperme ? » « Qu’est-ce que ça fait d’avoir une bite en bouche ou dans le cul ? »… Le décompte apparu comme d’habitude, et j’éjaculais en même temps… mais après la fin du décompte, les images montraient des gars qui se branlent, replié, leur sexe vers leur bouche, et qui jouissent dans leur propre bouche, ou d’autres qui jouissent sur des mains (la leur ou celle d’un trans) puis qui lèchent la main souillée… Je regardai ma main, souillée par mon propre sperme… instinctivement je la levai vers ma bouche, ma langue sorti et l’effleura… plongea dans le sperme… c’était tiède, salé… soudain je sursaute… Mais qu’est ce que je faisais ? Je pris des mouchoirs, frottai le tout, et rentrai chez moi, honteux…

Le vendredi j’arrivai tout juste au bureau, je n’avais pas très bien dormi. Nancy me demanda un café que j’allais lui chercher. Chaque matin un thermos remplis était posé sur une table, dans mon bureau. Je le lui apportai. Elle me félicita pour le dossier d’assurance difficile que j’avais bien négocié. Elle était vraiment superbe. Elle portait un tailleur bleu marine, avec un chemisier couleur crème. Le chemisier laissait deviner le soutien noir à dentelle, et sous la robe très courte des bas résilles qui gainaient ses jambes jusqu’à ses talons stilettos…
Comme c’était vendredi, les bureau se vidèrent déjà vers 17h00… je m’attardais un peu, en fait j’attendais avec une sorte d’excitation anticipative le son dans le couloir… 18h00… 18h30… Soudain, un son se fait entendre, mais pas celui que j’attendais ! C’est le rire de Nancy. Elle entra dans le bureau, suivi du gars que j’avais vu la première fois : le longiligne, avec des cheveux long et blond, très fin, des yeux bleus délavés (des lentilles à mon avis, cette couleur ne peut exister naturellement !). Mannequin, comme je le pensais, j’avais vérifié sur le net. Il me dit gentiment bonjour et entra dans le bureau, suivi par Nancy, qui me fit un clin d’œil en passant… clin d’œil évocateur ou provocateur ???
Ce qui est sûr, c’est qu’avec eux dans le bureau, je n’oserais jamais aller dans le cagibi… je terminais le dossier en cours, puis j’éteignis mon ordinateur, rangeais mon bureau. Je sortis dans le couloir, pensant à ce cagibi, et allais vérifier… la porte était fermée à clef, comme toujours pendant la journée (j’avais déjà vérifié plusieurs fois). Je retournais à mon bureau, pour prendre ma veste, lorsque des bruits évocateurs parvinrent du bureau de Nancy. Et cette fois elle avait laissé la porte grande ouverte… J’hésitais… puis, l’entendant pousser de petits cris rauques de plaisirs, comme hypnotisé, je jetais un coup d’œil. Elle était de nouveau face à la porte (si ce n’était pas fait exprès !), debout, un bras posé sur le dos d’un des fauteuils. Son chemisier était ouvert, son soutien-gorge gisait au sol. Ses seins amples se balançaient, semblant rire de moi. Sa jupe était de nouveau roulée sur son ventre, elle ne portait pas de culotte… Le gars était entièrement nu, et debout derrière elle il avait soulevé une de ces jambes, l’autre main sur la hanche de Nancy, et il la sodomisait, là debout, face à moi. Son membre, assez long mais fin, allait et venait entre ses fesses, tandis qu’elle ahanait de plaisir. Son pénis à elle était fièrement dressé, face à moi, le bout du gland luisant de pré-sperme. Bien plus gros que le mien ! Elle me vit et sourit. Sa main libre se posa sur son sexe, et elle l’astiqua doucement. Mes yeux et toute mon attention se portèrent sur ce pieu de chair, sur ce pénis dur entre ses doigts graciles… les images vues me revenaient en tête, je ne pouvais en détourner les yeux… elle sourit, et me fait signe de venir. Je tremblais… elle refait signe, et je m’approcha. Le gars me vit et sourit, continuant à la besogner comme si je n’étais pas un intrus. Je m’approchais près d’elle. Comme elle l’avait déjà fait, elle mit sa main derrière ma tête, sur ma nuque, et plaqua mon visage contre le sien. Elle m’embrassa, sa langue trouva la mienne… Je sentis ses tétons pointés contre ma poitrine, à travers le tissu de ma chemise… ma main se leva doucement pour caresser cette opulente poitrine, mais sa main m’arrêta, et attrapant ma main elle la posa directement sur son sexe… c’est la première fois que je touchais un autre sexe que le mien. Sa peau était si douce et chaude, et je fus étonné de sentir les nervures des deux grosses veines qui parcourent son membre dur et raide… je l’astiquais lentement, sans qu’elle m’y pousse trop… ça venait tout seul, naturellement… ma main enserra son membre tiède, avant de doucement aller et venir, c’était étrange comme sensation, mais pas dérangeant, surtout que je sentis à la façon dont elle m’embrassait le plaisir que je lui donnais. Puis son visage se décolla du mien. Ses yeux plongèrent dans les miens, ils avaient une lueur de défi... sa main posée sur ma nuque remonta vers le haut de ma tête, et un sourire aux lèvres elle poussa doucement… mais fermement ! Je suivis le mouvement, m’agenouilla… elle amena doucement ma tête vers son sexe bandé… Je vis ma main qui l’astiquais doucement, son gland, tout humide qui se rapprochais de moi…
Ma main quitta son sexe. J’avais un peu peur, au début, je n’osais pas ouvrir la bouche… elle approcha son sexe de mon visage, et le caressa contre mes lèvres… il laissa son pré-sperme humide sur mes lèvres… que je lèchais timidement… mmmm pas mauvais du tout… son gland vint se frotter à nouveau à mes lèvres, je sortis alors timidement la langue, et commençais à lécher le gland… il était tout doux, tout tiède… la sensation était agréable… Je voyais les testicules du grand blond frapper doucement son derrière à elle à chaque fois qu’il lui donnait un coup de boutoir, je synchronisais mes coups de langue avec les coups de boutoirs. Mais je sentis qu’elle voulait plus ! Ma langue se hasarda le long de sa hampe, descendit, remonta, revient sur le gland… soudain, le gland s’avança… je savais ce qu’elle voulait, et je le craignais autant que je le désirais, sans l’admettre vraiment… le gland glissa le long de ma langue vers ma bouche… et soudain, un coup de boutoir plus fort du blond, et je sentis son gland entrer entièrement dans ma bouche, raclant mon palais, j’étais comme en trance, je n’osais rien faire… c’est elle qui commença à aller et venir dans ma bouche, doucement, lentement, mais sans que je puisse résister… petit à petit, je me pris au jeu, accompagnant le mouvement de mes lèvres, de ma langue… je me souvins des vidéos vues dans le cagibi et j’essayais d’imiter ce que j’avais vu… Sa main accrocha mes cheveux plus fort, tandis que son membre se fit plus dur, plus gros dans ma bouche… cette sensation me donna des papillons dans le ventre, je bandais comme un fou… son membre commença à palpiter… je compris ce qui allait arriver ! Instinctivement, je voulus me retirer, mais sa main derrière ma tête me tint fermement en place… et dans un râle rauque, elle jouit… le premier jet de sperme, tout chaud, s’écrasa au fond de ma gorge… le deuxième sur ma langue… ainsi que le troisième… elle recommença à aller et venir dans ma bouche, éjaculant un sperme épais et abondant, qui remplit ma bouche, coula dans ma gorge… au lieu d’être dégoutté j’en ressenti du plaisir, je me rendis compte que je jouissais dans mon slip au fur et à mesure qu’elle remplissait ma bouche de son sperme, au fur et à mesure que je l’avalais… Je trouvais le goût pas désagréable du tout, étrange, déconcertant, mais pas désagréable. Elle me caressa gentiment la tête, tandis que je continuais à sucer et lécher son membre, qui débandais petit à petit.
Ouateux, dans un état encore un peu orgasmique, je me reculai un peu, me retrouvant assis au sol, contre le dos du fauteuil, celui contre lequel elle était appuyée… J’entendis à peine les halètements du blond, qui se déchargeait dans son cul magnifique… Je vis du coin de l’œil son sexe sortir du cul de Nancy, puis s’approcher de moi… le bout de son pénis, humide et fort chaud, toucha mon front, glissa le long de mon nez, se présenta devant mes lèvres… laissant une traînée humide sur mon visage... Il avait une odeur musquée, mais il n’était pas « sale » et la situation m’excitait… encore cotonneux, j’ouvris ma bouche et léchais son sexe, comme pour le nettoyer… il l’enfonça dans ma bouche, je le suçais, avalant les dernières coulée de sperme, ma langue léchant le dessous de ses bourses duveteuses... puis il se retira…
J’étais dans une extase sexuelle, difficile à expliquer, car je n’avais jamais connu ça… mon caleçon était trempé par mon propre sperme, j’avais joui en avalant pour la première fois de ma vie le sperme d’autres personnes… et j’avais aimé ça ! J’étais comme drogué contre ce fauteuil, dans un état second, et lorsque Nancy vint vers moi, passa devant moi et me présenta sa superbe croupe, j’agis sans réfléchir, juste obsédé par son corps et par l’état orgasmique dans lequel j’étais… Je caressais ses fesses rondes et fermes, les embrassais, ma bouche les parcourant fiévreusement… puis ma langue s’enhardit et descendit le long de son sillon, trouva son anus, lui tourna autour, son anus mouillé du sperme du blond… je le sentis palpiter, sous ma caresse linguale, ce qui eut pour effet de faire ressortir le sperme laissé par le blond dans son rectum… il coula hors de son anus, et je le rattrapai avec ma langue. langue qui lapa le tout avant de s’introduire dans son anus, pris que j’étais dans une frénésie sexuelle incontrôlable. Cela l’excita à nouveau, elle me repoussa contre le fauteuil, et enfourna sa bite à nouveau dure dans ma bouche… je léchais, suçais à nouveau, jusqu’à ce qu’à bout de force je la laissais me baiser la bouche… où elle éjacula une seconde fois, me remplissant la bouche de sperme, juste un peu moins que la première fois…
Nous étions tous les deux hors d’haleine, et moi plutôt pantelants. Je n’avais pas vu le blond quitter la pièce, mais nous n’étions plus que deux… elle caressa alors très tendrement mon visage, me murmurant « tu es presque prêt ! » puis se rhabilla, et quitta la pièce, me laissant assis au sol, contre le canapé, le goût du sperme plein la bouche, mon slip souillé et humide…
Je restais comme ça un bon moment, je somnolais même un peu… puis je repris conscience d’où je me trouvais, et me remis debout, pris mes affaires et rentrais chez moi. On était au milieu de la nuit.

Le lendemain, malgré que ce soit samedi, j’avais accepté de l’aider dans la matinée. J’arrivais en retard au bureau, et avec une de ces migraines. Je me demandais même si je n’avais pas été drogué, à cause du mal de tête et pour avoir fait ce que j’avais fait la veille. Mais quand et comment ? A mon arrivée, Nancy m’appela dans son bureau.
— Alors, on arrive en retard ?
Je restais sans voix, avant de bredouiller
— Je… j’avais un de ces mal de tête ce matin… je… je suis désolé…— Je n’aime pas trop ça, les retards. Mais je comprends, avec ce qui est arrivé hier. C’est une première fois, hein ? Je le savais. Pour ça on oublie le retard. Pour cette fois. Vous êtes bien pâle Pierre, ça va ? Ooh, ce n’est pas ce qui est arrivé hier qui vous dérange, n’est-ce pas ? Ce sont les petits extras possibles de notre dur travail ! En plus, je suis sûr que vous avez aimé ça !
Je rougis. La façon dont elle en parlait, comme si ce n’était rien me dérangeais. J’avais passé ma frontière hétéro, mes valeurs en étaient toutes retournées, je n’avais plus de repères… parce que j’avais aimé ça, oui, j’avais eu des orgasmes comme jamais auparavant !
— Vous n’avez vraiment pas l’air bien… venez.
Elle me prit par le bras et m’emmena vers un de ces fauteuils. Elle m’y assit. Ils étaient vraiment très confortable…
— Un petit café vous fera du bien, j’en suis sûre !
J’acquiesçais mollement de la tête, toujours mal à l’aise… Est-ce parce qu’il n’y avait quasiment personne (on était samedi) dans les bureaux qu’elle était si gentille ? Elle revint avec une tasse de café, qu’elle me mit entre les mains…
— Oh mais j’y pense, vous prenez du sucre, ou de la crème avec le café ?— De la crème, mais…
Je n’eus pas le temps de continuer que je la vis soulever sa jupe, et sortir son sexe bandé de sa petite culotte en mousseline blanc.
— Maintenant que vous connaissez mon petit secret, plus besoin de se cacher !
Elle s’astiqua le manche, je ne pouvais détourner mes yeux de lui… après quelque minutes elle éjacula, droit dans ma tasse de café ! Un jet, deux, trois, quatre jets… Son sperme blanc flottait dans le café noir, mais je ne pouvais détacher mes yeux de son sexe… il débandait, une goutte de sperme pendant à son bout… elle l’approcha de moi… de ma langue, je happais la goutte de sperme, léchai son gland, puis bu le café avec son sperme… Elle sourit…
— Parfait, je vois que vous avez repris des couleurs ! Vous savez, le sexe est le meilleur incitant au travail ! Cela fait presque deux semaines que je vous excite avec mon corps, et regardez tout le travail que vous avez abattu ! Ce n’est peut-être pas très moral, mais je booste n’importe quel mâle avec mon corps ! Et vous avez aussi eu droit à des récompenses… donc vous n’êtes pas victime, mais complice ! Allons, assez parlé, maintenant au boulot Pierre !
J’acquiesçais de la tête sans rien dire, et me mis au travail… une part de mon esprit était préoccupé par l’impression d’avoir encore une fois été utilisé, mais l’autre part était heureux, en extase, à cause des sensations qu’elle me donnait. Je n’avais jamais été dans un tel état auparavant. Mon travail fini, je rentrais chez moi, toujours dans cet état partagé, entre remord et pur plaisir…

Le Lundi, j’arrivais au bureau dans un drôle d’état. Je me sentais chamboulé de l’intérieur. Parce qu’autant qu’elle m’énervait, Nancy m’avait manqué… Un jour et demi sans elle, et je me sentais… comme en manque ! En manque de elle, mais aussi de son sexe si puissant ! Si puissant ? Mais à quoi je pensais là ? Pourtant je sentis mon cœur accélérer lorsque elle entra dans le bureau, perché sur ses talons aiguilles, avec un tailleur à la jupe courte, ses jambes gainées dans des bas résilles, le décolleté provoquant… Elle me sourit et me demanda :
— Un café crème ?
Je rougis… et je rougis encore plus lorsque dix minutes plus tard elle me l’apporta, sa semence blanche flottant dans le noir du café… Je ne la vis plus de la journée. Le soir, je rangeais mon bureau avant de rentrer chez moi lorsque le son recommença dans le couloir… directement mon sexe commença à bander, ma gorge s’assécha, mon cœur accéléra dans ma poitrine… et quasi inconsciemment je me retrouvais devant le cagibi… je voulais m’asseoir, mais il y avait quelque chose sur la chaise… comme un petit œuf en plastique, style les jouets vibrant, rose, couché sur la chaise, où je voulais m’asseoir pour profiter de mon spectacle pervers et lubrique… j’essayais de l’enlever, mais pas moyen, il était vraiment vissé ou collé à la chaise ! Et le film commençait ! Une superbe trans qui se faisait sucer par un type, la caméra en gros plan sur sa verge dure et tendue, de plus en plus mouillée par la salive du type… J’essayais de m’asseoir sur le bord de la chaise, pas confortable, mais bon… le film s’arrêta, comme s’il était sur pause ! Je me levais et regardais autour de moi, personne… et le film toujours sur pause… J’avais tellement envie de le voir ce film ! De dépit, je me rassis normalement, oubliant l’œuf… le film repartit ! Je m’avançais un peu sur la chaise pour pas avoir ce truc entre les fesses… et le film s’arrêta à nouveau… Étonné, je me rassis convenablement sur la chaise… le film repartit à nouveau ! Bon, si je voulais voir le film, j’allais devoir supporter l’œuf en plastique entre mes fesses… mais je n’y pensais déjà plus, subjugué par les images à l’écran… Des sexes en érection, des trans, des types, des sexes qui pénètrent des bouches, du sperme, qui semble tellement apprécié… mon ventre se noue, je repense au sperme de Nancy… si elle était là, je quémanderais son sexe pour en avoir, me rappeler la texture, le goût, la chaleur… Puis, les images montrent des culs superbes, des anus qui sont gentiment caressés, doigtés… à ce moment, l’œuf se met à vibrer entre mes fesses ! J’en sursaute de surprise, mais aussi de la décharge que cela m’a donnée ! Une décharge… de plaisir ? Le film continue, les doigts sont plus passionnés, et en voyant ces anus doigtés, le plaisir que cela semble procurer, je ne peux m’empêcher de me frotter sur l’œuf vibrant, pour augmenter les sensations plaisantes… A l’écran une superbe trans frotte sa splendide verge entre les fesses d’un gars… je me pousse sur la chaise, pour sentir encore mieux les vibrations de l’œuf… pendent un moment j’imagine que c’est la belle bite que je vois à l’écran… puis doucement elle caresse l’anus du gars avec son gland, et lentement s’introduit en lui… je jouis à ce moment dans mon caleçon… et gêné, m’enfuis à toute jambe…

Le lendemain, je ne vis pas Nancy de la journée, elle était en réunion à Londres… elle me manqua énormément, et pour oublier je me jetais dans le travail. Je travaillais comme un fou, toute la journée, pour qu’elle soit fière de moi en rentrant ! Le soir, le son se mit en route vers 19h00… je me ruai presque dans le cagibi… l’œuf était toujours là… je m’assurais qu’il n’y avait personne à l’étage… puis je me déculottais, enlevais mon boxer, et m’assis, sentant le plastique directement entre mes fesses… mon regard sa braqua sur le film, le même genre que la veille, et lorsque la caméra se focalisa sur des anus léchés, caressés, l’œuf se mit à vibrer… quel plaisir ! J’écartais doucement les fesses, pour le sentir directement contre mon anus… la sensation fut si plaisante que j’en jouis directement, mon jus s’écrasant sur la chaise, mes jambes, mes doigts… Avec tous ce que j’avais vu à l’écran et vécu avec Nancy, je n’hésitais pas et léchais mes doigts… je me rendis compte que comparé à la première fois, je m’étais vraiment habitué au goût… et que j’aimais ça !

Le mercredi, Nancy n’était toujours pas là, étant sur le chemin de retour de Londres, et prenant sa journée après. Elle me manquait… Je pris mon café, seul dans le bureau, lorsque j’eus une idée complètement folle… et si je m’ajoutais ma crème moi-même ? Il n’y avait pas grand monde en cette heure matinale… je sortis vite mon sexe, qui bandait rien qu’à l’idée, et me masturbais en vitesse, la peur de l’interdit et de me faire découvrir décuplant mon plaisir… je jouis dans mon café, et le dégustais ensuite… De nouveau j’eus une grosse journée de travail. Et lorsque le son commença dans le couloir, à 18h30, je le sentis comme une libération ! Je me rendais dans le cagibi… pour constater que l’œuf avait changé de place ! Enfin non, de sens… il était toujours à la même place, mais n’étais plus couché, il était placé en hauteur ! A nouveau j’essayais de l’enlever, mais pas moyen… et impossible de m’asseoir en pantalon là-dessus, c’était trop inconfortable ! Et le film était en pause sur une superbe bite, le pré-sperme suintant à son bout… je voulais voir la suite… qu’allait-elle pénétrer ? Me rappelant les sensation divine de l’œuf entre mes fesses de la veille, j’osais aller plus loin… à nouveau je me déculottais, enlevais mon boxer, et m’assis doucement… l’œuf caressa mon anus, je laissais mon poids lentement faire le travail, me laissant aller sur la chaise… l’œuf pénétra en douceur en moi… mais pas de beaucoup… la chaise et la position assise faisait que seul un petit centimètre ou deux du petit œuf passèrent mon anus… le film démarra aussitôt… toujours le même genre, sauf que l’œuf vibra directement… la sensation était encore plus forte… c’était vraiment bon… je me trémoussais sur la chaise pour tenter de le faire entrer un peu plus… je gagnais quelque millimètres, guère plus… Je jouis assez rapidement, à nouveau sur ma main, la chaise… je léchais ma main, m‘habituant de plus en plus au goût, et nettoyais le reste avec des mouchoirs en papier avant de rentrer chez moi…
On jouait avec moi, tout ceci n’était pas normal… ce paradis ressemblait de plus en plus à un piège, dans lequel je m’enfonçais orgasme après orgasme. Mais la partie consciente et en doute de mon esprit diminuait jour après jour, s’émoussant pour ne laisser plus que la place à la partie avide de luxure, de plaisir, de sexe…

Et le lendemain, je fus tellement content de revoir Nancy que j’en oubliais le reste ! Elle dût le remarquer, car avec son sourire charmeur, elle me lança un :
— Mais on dirait que je vous ai manqué, Pierre… ou bien est-ce la crème pour le café ?
Comment savait-elle ? Je rougis, et me replongeais dans mon travail tandis qu’elle entrait dans son bureau en riant. Elle fut fort occupée de la journée, mais contente de moi car j’avais bien travaillé en son absence. Elle quitta le bureau assez tôt, me laissant un dossier à terminer. J’étais concentré sur mon travail lorsque j’entendis le son addictif dans le couloir… mais il n’était que 18h ! C’était de plus en plus tôt ! Je jetais un œil mais il ne semblait y avoir plus personne. Peut-être encore dans les étages en-dessous, mais à cet étage, plus personne. Je me rendis donc au cagibi… et restais comme pétrifié en y entrant !
« On » avait dû changer la chaise… elle était presque identique à celle de la veille… si ce n’est le trou duquel dépassait une sorte de tige noire, positionnée là où il y avait l’œuf vibrant la veille… je m’en approchais… ce qui dépassait n’était pas une simple tige, c’était plus gros, en fait c’était un sextoy. Il était de couleur noire, doux au toucher, et avait une forme allongée… il devait faire à vue de nez un peu plus de 10 cm de longueur et quasiment 3 cm de diamètre. Son bout était arrondi, et le milieu un peu enflé. Il n’était pas droit comme un i, mais légèrement incliné, vers l’écran d’ordinateur… en fait, un angle d’insertion parfait… J’hésitais… c’était tout de même autre chose qu’un petit œuf en plastique… je ne m’étais jamais rien enfoncé dans l’anus, sauf les quelques centimètres de l’œuf la veille… mais là… en même temps, l’œuf m’avait donné de ces sensations ! Et dans les vidéos, tout ceux qui se masturbait l’anus avec ce genre de jouet semblaient en avoir un tel plaisir… En plus, à l’écran, il y avait une superbe croupe, les mains écartant les fesses, montrant un petit anus, rouge, rond, tout lisse, appétissant à croquer ! Je m’assis sur le bord de la chaise, le jouet pointant dans le bas de mon dos… mais rien à faire le film ne démarra pas… J’étais pris entre la peur et l’excitation… mais finalement, c’est l’excitation qui gagna !
Je m’assurai encore une fois qu’il n’y avait personne, puis j’enlevai complètement mon pantalon et mon boxer, que je laissais à l’entrée du cagibi, puis j’enjambais la chaise et positionnais mon derrière au-dessus du sextoy. Ma chemise me gênait, je l’enlevais donc, ainsi que la cravate, les jetant par derrière moi sur les autres vêtements. J’étais nu, mis à part mes chaussettes. Je frottais mon anus contre le bout du sextoy, il était froid et mouillé (quelqu’un avait dû le lubrifier, mais cela ne tilta pas à mon esprit…). Au bout d’un moment, je me poussais un peu plus fort contre le bout arrondi du jouet, qui passa la porte serrée de mon anus. Les premiers centimètres ne furent pas difficile à entrer… ce fut plus difficile ensuite… je dus un peu monter et descendre le long du jouet, laissant le temps à mon anus et à mon rectum de se faire à cet intrusion, à cette présence à la fois étrange, un peu dérangeante, mais aussi très excitante… Lorsque après un certain temps je réussis à m’asseoir totalement sur la chaise, le jouet tout à fait en moi, j’étais déjà prêt à éjaculer ! Il faut dire que le bout me donnait des sensations exquises, sans doute touchait-il ma prostate ? En tout cas, le film s’était mis en route, et je voyais en vitesse rapide des trans qui dominaient des types, des types habillés en sous-vêtements féminins, qui prenaient un pied pas possible à sucer, à se faire sodomiser, à avoir leurs orifices remplis de sperme ! Le jouet se mit à vibrer, massant directement ma prostate, et je jouis directement… le film continuait, les images se succédaient, je jouis encore une fois, en pleine extase... J’étais à nouveau dans cet état orgasmique, cotonneux, tout mon corps n’était que plaisir, ces ondes vibrant au plus profond de moi se répandant dans tout mon corps, me faisant cabrer et encore jouir... c’est à ce moment qu’une chose terrible arriva !
Soudain, un éclair de lumière jaillit, m’aveugla, éclairant toute la pièce, deux ou trois fois de suite ! C’était sans nul doute le flash d’un appareil photo !
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