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Travaux agricoles

Chapitre 8

Erotique
Ça y est ! Le comité a élu son bureau. Comme prévu, Benoît est président. J’ai refusé une vice-présidence, me contentant d’un simple siège de conseiller. Les honneurs publics très peu pour moi. Je m’éclipse lors de la première réunion pour rejoindre ma femme, laissant mes collègues palabrer en vidant les multiples bouteilles de crémant ouvertes pour l’occasion. — Me voici chérie ! Je n’ai pas été long n’est-ce pas ? — Si les prochaines réunions ne durent pas plus ce sera parfait. Nous nous embrassons. On dit que le mental est primordial dans les relations amoureuses. C’est bien exact. Pour la première fois depuis trois semaines je parviens à satisfaire Fabienne. Un orgasme, puis un autre la secouent avant que je ne rende les armes… — Mon chéri ! Je te retrouve enfin, me remercie-t-elle lorsque nous avons repris notre souffle. Depuis le temps que j’attendais une vraie jouissance ! — J’espère quand même que Francis et André ont su, au moins en partie, pallier ma défaillance. — Oh ! Ils ont fait de leur mieux, mais je te l’ai dit, ils n’arrivent pas à me faire jouir comme toi. — Tu es un amour ! Nous nous étreignons dans une tendre effusion. — Tu sais le nouveau jeu qu’ils ont inventé ? me susurre-t-elle à l’oreille. — Non. — Les filles exigent que celui qui les baise se fasse enculer en même temps. — Ils te l’ont dit ? — J’ai même assisté à une démonstration… Francis enculait André qui baisait sa sœur. Puis les garçons ont changé, Francis a baisé Florence pendant qu’André l’enculait. — Pauvres garçons ! Se faire trouer la rondelle pour faire plaisir aux filles. — Pourquoi pauvres ? Ils n’avaient pas l’air de se plaindre ! — Moi je compatis, sans compter qu’ils doivent fournir double travail ! — Là c’est vrai, tu as raison… Bah ! Ils sont jeunes… Fabienne s’amuse avec ma verge détendue. — Tu sais… — Oui ma chérie ? — Les filles disent que c’est super… Que la queue des mecs vibre de manière étonnante… — Ça te fait envie ?… Pourquoi n’essayes-tu pas ? Je suis sûr que Francis et André seraient d’accord. — Oh je n’en disconviens pas… Euh… C’est avec toi que je veux tenter l’expérience… Au moins la première fois. — Il faut que j’encule Francis ou André pendant qu’il te baise ?
— Euh… Tu n’as pas compris… C’est avec toi que je veux faire l’amour. — Pendant que je me fais enculer ? Je ne suis pas un PD moi ! — Pas plus que ne le sont ton fils et André. — Hors de question ! Je lui tourne dos. Comment a-t-elle pu avoir cette idée, elle qui n’accepte la sodomie qu’avec un dégoût visible ? Elle m’entoure de ses bras. Sa main parcourt le ventre, s’amuse dans le nombril, fouille les poils pubiens à la base de la hampe. — S’il te plait… La caresse est efficace. Ah ! Elle connaît bien mes points faibles. La paume se referme sur la tige en une douce manipulation. Je ne suis plus aussi catégorique. J’ai encore en mémoire le plaisir affiché par André quand nous avons opéré sur Florence. — Tu voudrais pas ? insiste-t-elle… Pour me faire plaisir… Ce que femme veut… — Une fois alors. — Je n’en demande pas plus. C’est une vraie masturbation qu’elle me fait subir. Pas question d’éjaculer en pure perte ! Je me retourne brusquement et l’écrase de tout mon poids. J’enroule ma langue autour de la sienne pendant que je guide le gland entre ses cuisses. — Aaah ! — Ah tu veux… Han !… me faire enculer !… Han !… Je vais te le… Han !… le faire payer !… Han ! — Ouiii… Aah !… Fais-moi payer… Aah !… avec ta grosse queue… Aah ! — Prends ça… Han !… ma salope adorée… Han ! — Oh Oui… Aah !… je suis ta salope. — Une grosse salope… Han !… qui se fait tringler… Han !… par son fils ! — Ouiii ! — Ben vous en faites du boucan ! La voix de mon fils. Je regarde vers la porte d’entrée. Lui et sa sœur sont là à nous admirer. — Oui, on ne peut pas dormir, renchérit Florence. — On dirait que tu vas mieux Papa. — Venez près de… Aah !… de nous mes chéris, invite Fabienne. Nos enfants montent sur le lit et nous cajolent. Leur présence augmente notre plaisir. La jouissance monte, je résiste en vain. — Je viens ma chériiiie ! — Moi aussi-si-si-siiiiii ! — Arrgghh ! Essoufflés nous nous délions. Francis et Florence qui s’embrassaient s’empressent auprès de nous. Ma fille me caresse. C’est agréable mais je serai incapable de la satisfaire. Je choisis de faire semblant de m’endormir. — Les enfants… S’il vous plaît, votre père est fatigué, retournez dans vos chambres. Ils descendent du lit, nous embrassent tendrement. A travers mes paupières mi-closes, les regarde sortir la main dans la main. Les draps d’un seul lit seront froissés cette nuit, du boulot en moins pour la ménagère…
Le lendemain, nous vaquons à nos occupations habituelles. Le travail ne manque pas dans une ferme pour un couple. Les enfants bossent à la coopérative, Florence dans les bureaux, Francis au garage. Fabienne ne reparle pas d’une séance à trois. Ce n’est pas moi qui vais mettre la question sur le tapis ! Le soir après le repas nous nous passons au salon. — Alors les enfants, la journée s’est bien passée ? — Oui Papa, tu as le bonjour d’Annie, répond ma fille. — Tiens c’est vrai, on n’a pas vu les jumeaux aujourd’hui. — On n’a pas toujours besoin d’eux, réplique mon épouse. Qu’a-t-elle voulu dire ? Inutile d’approfondir. — Francis, allume la télévision, s’il te plait. — Non, pas la télé, demande Fabienne. On pourrait bavarder entre nous, vous voulez pas ? Clin d’œil appuyé en direction des enfants. — Viens t’asseoir à mes cotés chéri. Hum ! Le temps se gâte, j’ai le pressentiment que quelque chose de désagréable va me tomber dessus, mais je suis trop fier pour m’enfuir. Nous discutons à bâtons rompus. Pendant que Fabienne détaille les déceptions amoureuses d’une voisine, elle déboutonne ma chemise et commence à caresser la poitrine. Je ne suis pas en reste et fouille sous la jupe. Depuis que nous avons accepté nos relations incestueuses, les femmes omettent de porter des dessous à la maison. Mes investigations digitales produisent leur effet. Fabienne bafouille, gémit, puis n’y tenant plus, m’embrasse sauvagement. — Bon, bon on a compris, on vous laisse, s’amuse Florence. — Non, non, restez ! ordonne mon épouse. J’ai besoin de vous, de toi Francis en particulier. Aïe ! Elle n’a pas renoncé à me faire enculer ! Comment vais-je m’en sortir sans perdre la face ? — Tu veux que Papa et moi… pendant que vous… Francis a toujours été gêné de parler de sexe ce qui ne l’empêche pas de baiser. — Papa est d’accord ? s’inquiète Florence. Elle a raison de s’étonner, je ne suis pas favorable à cette idée, pas du tout! Je veux manifester ma désapprobation. Fabienne ne m’en laisse pas le temps. — Il m’a promis, n’est-ce pas chéri ? — Euh… Je ne peux me dédire. Francis s’approche de moi. Je frémis. — Ça irait mieux si Papa quittais son pantalon, suggère-t-il. — Allez mon chéri ! Obéis à ton fils ! — Maman, intervient Florence, vous serez mieux dans votre chambre. — Tu crois ? — Fais-moi confiance. — Elle a raison, approuve son frère. Sur un canapé ce n’est pas commode. Le monde à l’envers ! Les enfants qui conseillent les parents et les font profiter de leur expérience ! Nous voilà partis en groupe vers notre lit. — Déshabille-toi mon chéri. — Euh… moi seul ? — Tu as raison, ôtons tous nos vêtements. Sitôt dit, sitôt fait ! Ne voulant pas m’attirer de reproche je prends soin de plier mes affaires sur une chaise. Fabienne me remercie d’un sourire. Florence en bonne fille de ménagère ramasse les habits de son frère jetés à terre. — Je reviens tout de suite, dit-elle en les empotant dans leur chambre. Je l’enlace à son retour. Le contact avec son jeune corps exacerbe ma virilité. — Papa, Papa ! me gronde-t-elle en se dégageant. C’est Maman qui passe en premier ce soir. — Oui, viens ici mon chéri… Euh… Comment doit-on se mettre, Francis ? — Monte sur le lit Maman, conseille Florence… Sur le dos… Oui… Papa ! Installe-toi entre ses jambes… Reste à quatre pattes… le cul plus haut s’il te plait. — Mais, je ne peux pas baiser ta mère. — Ne sois pas si pressé. Francis ! Grimpe derrière ton père… Le lit gémit sous le poids supplémentaire. Le moment fatidique s’approche. Je tremble d’appréhension. — Place ta queue entre ses fesses… Attends ! Ne bougez surtout pas ! — Où vas-tu ma fille ? s’inquiète Fabienne. — Je reviens dans un instant. Je tente de me dégager. Une tape sur les fesses de la part de mon fils m’en dissuade. — Papa ! Voyons ! On t’a dit de ne pas bouger ! — C’est vrai ça ! Sois raisonnable ! me gronde Fabienne. Un peu de patience. Florence rentre. Elle décapsule un tube. — Montre ton cul Papa !… Mieux que ça… Ah ! Quand même ! Une sensation de fraîcheur sur l’anus. — Ooh ! Que fais-tu ? — Je badigeonne de gel, t’aimes pas ? Oh si ! Mais pas question de l’avouer. Un doigt s’enfonce dans l’orifice. Je sursaute. — Ooh ! — Bouge pas ! m’ordonne ma fille. Tiens Francis, prends un peu de gel et agrandis le trou de balle. — Non ! Je ne veux pas ! Mon fils ne m’obéit pas. Un ongle gratte. — Aïe ! Tu m’as fais mal. — C’est ta faute ! Arrête de bouger Papa ! Le doigt s’enfonce sans difficulté. Francis pistonne, ressort, rentre à nouveau… Oh ! C’est plus gros… C’est avec deux doigts qu’il me pénètre ! — Non… Je veux pas… — François tu te tais ! m’ordonne Fabienne. Assez de simagrées ! Les enfants font leur possible pour que tu n’aies pas mal. J’aurais aimé que tu sois aussi prévenant lorsque tu m’as enculée la première fois ! Mâté je laisse faire. Moins crispé je commence à apprécier. Je devine qu’un troisième doigt rejoint les deux autres. Je prends ma queue en main et l’approche de Fabienne. — Encore quelques secondes Papa et tu pourras faire l’amour à ta femme, me calme Florence. Les doigts ont disparu. Une grosseur douce les remplace. — Vas-y frérot ! Une pression je sens l’anus se dilater. — C’est bon ! Vous pouvez y aller ! annonce Florence. — Euh… Il est rentré ? — T’as pas senti ? — Euh… — Preuve que tes enfants t’ont bien préparé, affirme Fabienne. Tu peux les remercier. Bon, ben maintenant que ces messieurs sont en place, on peut y aller? — Tout de suite Maman. Un main, celle de Florence je devine, guide ma queue. — Pousse Francis ! Je suis propulsé à la rencontre du ventre de Fabienne. Les deux queues s’enfoncent de toute leur longueur. — Aaaah ! Une douleur fugace. Francis recule. — Oooh ! J’ai l’impression que l’on m’aspire de l’intérieur. Mon fils donne deux coups de rein. La douleur disparaît laissant place à une impression de plénitude. — Hé François ! Réveille-toi. Fabienne se manifeste. J’accorde mes coups de bassin avec ceux de mon fils. — Oh ! Oui ! tu… avais raison… Florence… C’est… c’est étonnant… Mon épouse semble apprécier, tant mieux… Moi je ne gémis même pas. Je n’en ai pas la force. Les frottements sur la queue et dans mon intestin absorbent toutes mes facultés. Je vais et viens mécaniquement sur la verge de Francis et dans le vagin de Fabienne. Mon corps entier est parcouru de fourmillement, sensation toute nouvelle pour moi. Oh ! Qu’est-ce cette décharge électrique sur le bras ? Florence me frôle d’une légère caresse. — Ça va Papa ? — Ou-oui… Fabienne est en plein délire. — Oooh… Aaah…C’est booon… En… Encore… Mmmh… Ouiii ! Francis donne ses coups de rein avec une régularité de métronome. J’ai l’impression qu’à chaque pénétration ma queue grossit comme si la verge de mon fils entrait dans mon membre et le dilatait. Je ne sais comment je résiste au torrent de plaisir qui m’envahit. A chaque coup de rein je pense atteindre le maximum, maximum dépassé lors de la pénétration suivante. Tout à coup Francis rugit. Je perçois les jets de sperme déformer mon intestin. Cela déclenche l’ouverture des vannes de ma jouissance qui entrainent un nouvel orgasme de Fabienne. — Mmmmmh ! — Ouiii ! La queue de Francis quitte son logement. Je soupire de regret. Je commençais à l’aimer cette grosseur dans le sphincter. J’ai vaguement l’impression que Florence s’active autour de nous. Elle me retire de Fabienne. Je reste allongé sur le dos le souffle court. Mon cœur bat à tout rompre. Je suis vidé ! Heureux mais vidé ! J’ouvre les yeux, deux visages inquiets m’auscultent. — Ça va pas mon chéri ? Si ça va ! Je caresse leurs cheveux. — Je… je vous aime. — Tu nous as presque fait peur, dit Florence. — C’est… c’était… merveilleux. Fabienne m’embrasse sur le coin de la bouche. — Je suis bien contente pour toi, déclare-t-elle. Pour moi aussi cette manière de faire l’amour est une découverte. C’est à refaire, n’est-ce pas chéri ? — Euh… Avec plaisir mais… euh… pas tout de suite. Elle met la bouche contre mon oreille. — Alors la sodomie passive ? Qu’en penses-tu ? — Je dois admettre que mes préventions étaient injustifiées. Mais je crois que je la réserverai à des circonstances exceptionnelles comme aujourd’hui. — Je suis de ton avis. — Que complotez-vous tous les deux ? interroge Florence. — Rien ma puce, ta mère et moi vous remercions. Florence se couche contre moi, câline. — Je sais comment tu peux me remercier, Papa. — Je crois que tu te fais des illusions. — Mais non, tu verras, la forme reviendra vite. — Qu’est-ce que je deviens moi ? rouspète Francis qui avait des vues sur sa sœur. — Maman saura te dédommager à sa façon. — Viens mon bébé, viens dans les bras de ta mère. Nous sommes tous les quatre allongés sur le lit. Les femmes jouent avec nos verges pour les faire grossir. Mon fils récupère plus vite que moi, privilège de l’âge… Fabienne et moi nous faisons baiser, car c’est Florence à cheval sur mon ventre qui me fait l’amour et non le contraire… J’ai à peine conscience qu’ils nous quittent après nous avoir tendrement embrassé. — Nous avons de la chance d’avoir des enfants comme eux, murmure Fabienne. — Tu as raison… Je sombre dans le néant…
Florence a voulu expérimenter avec moi l’étreinte à trois avec l’aide d’André. Ma fille et le garçon ne tarissaient pas d’éloge. Du coup, Annie a exigé à son tour de me subir avec la participation cette fois-ci de Francis. Mon cul commence à s’habituer, l’introduction s’est faite sans mal, mais je n’ai pas retrouvé le plaisir intense découvert avec Fabienne. Je préfère baiser les filles d’une façon dirons nous classique et réserver à ma femme la possession à trois. Celle-ci, suite à deux essais avec les jeunes m’a avoué préférer ma queue. Nous l’avons annoncé aux enfants. Florence nous a fait la tête deux jours puis a accepté notre décision.
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