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Travaux agricoles

Chapitre 9

Erotique
L’époque des labours est arrivée, il est temps de reprendre mes ‘cours de conduite’ sur tracteur. Je l’annonce à la cantonade au petit déjeuner. — Je commence aujourd’hui à labourer. C’est moins difficile que de moissonner. S’il y en a qui veulent prendre des cours de conduite, je suis à leur disposition. Pas de réaction. Les enfants terminent leur déjeuner, nous embrassent avant de partir travailler à la coopérative. — Au revoir Papa, au revoir Maman. C’est tout ! Pas même une caresse. — Tu n’as pas de succès mon chéri, se moque Fabienne quand la porte se referme. Je néglige de répondre. Confiant dans l’avenir, j’omets de mettre un slip sous ma salopette. Le matin passe vite, je termine seul le premier champ avant midi. L’après-midi personne non plus pour égayer ma solitude… Tant mieux pour le travail… tant pis pour mon plaisir… A trois heures je vois pointer une silhouette… C’est Florence ! Enfin ! J’avais raison de ne pas désespérer. — Excuse-moi Papa, j’ai pas pu me libérer avant. — Tu es toute excusée, ma puce. — Je peux monter ? — Je n’attends que ça. Un coup d’œil aux alentours, il n’y a personne. Florence ôte sa culotte et la range dans son sac avant d’escalader jusqu’à la cabine. J’ai déjà descendu les fermetures éclair de ma salopette jusqu’au ventre lui laissant le soin de terminer. — Je vois que tu ne perds pas de temps, sourit-elle. — Toi non plus, réplique-je en caressant ses fesses nues. Elle dégage mon sexe. — C’est vrai que tu as une belle queue. — Elle ne change pas tu sais, c’est la même qu’hier soir (je l’avais baisé dans son lit). — Je sais, mais j’ai toujours plaisir à la caresser. Que c’est agréable de se faire masturber par la douce main de sa fille ! Mais le travail n’avance pas… — Ma puce, tu peux te mettre en place, il faut labourer. — Je me mets comme pour les foins ? — Oui ma chérie. Elle enjambe mes cuisses, je guide le gland. — Ouissh ! soupire-t-elle en s’asseyant sur ma queue. Elle prend le volant en main.
— Ça y est j’y suis ! Je glisse une main sous son tee-shirt l’autre entre ses cuisses sur le petit bouton sensible. — Moi aussi, en avant ! Elle met les gaz, le tracteur s’ébranle. Oh ces vibrations ! J’avais raison de penser que cela serait meilleur que pour les foins ! Les secousses transmises par les roues roulant sur les mottes suffisent à maintenir notre excitation. C’est délicieux de jouir ainsi sans faire de mouvement. Florence est du même avis. — Oh Papa !… Mmmh !… Que c’est bon ! — Maintiens bien… Sssh !… la ligne ma puce. — Tu sais… Aah !… je ne me rappelais… plus comme… c’était bon. — A mon avis… Ssh !… c’est plus joui… jouissif que lors des… Mmmh !… foins. — Oh Ouiii ! Nous parvenons au bout de la raie. Florence suit mes instructions pour tourner et poursuivre le labour. Après le calme du aux manœuvres, l’excitation reprend de plus belle. Florence gémit, ses mains se crispent sur le volant. La sève monte dans ma verge. Je n’y tiens plus, attrapant ma fille aux hanches je la fais monter et descendre sur ma queue. — A… Aaah !…arrête le trac… Aah !… tracteur Fran… Aah !… Florence. — Ou-ouii… Aah !… Papaaaa ! L’engin immobilisé nous donnons libre cours à notre jouissance. — Ooh !… ma chériiiiiie ! — Papaaaa !… Ouiiiii ! Quoique détendu mon sexe reste prisonnier du sien. Florence remet en marche. Nous parvenons au bout de la rangée. Déjà je ressens le picotement annonciateur d’une nouvelle érection. Je serai bientôt prêt pour une nouvelle étreinte. Malheureusement ce n’est pas l’avis de ma fille. Elle abandonne le volant et se lève de mes cuisses. Ma queue en sortant de son étui de chair produit un bruit de succion qui la fait sourire. Moi pas ! — Tu ne restes pas ? — Non Papa, je dois retourner à la coopérative faire signer le courrier. Elle prend un mouchoir dans la boite derrière mon siège et essuie mon sexe. — C’est vrai qu’elle me donnerait des regrets cette coquine, s’amuse-t-elle en secouant la tige qui grossit. — Tu ne veux vraiment pas rester ? — Non, Papa d’amour, c’est impossible, mais je te retiens pour une bonne baise ce soir. Je referme ma salopette en la regardant disparaitre au coin du champ. Il est temps de reprendre le travail si je veux terminer avant la nuit…
Le lendemain je suis à nouveau sur mon tracteur dans un autre champ, espérant une nouvelle visite de Florence… Euh… Pourquoi pas d’Annie ou même de Fabienne. J’aimerai faire découvrir cette manière de faire l’amour à ma femme. Faudra que je lui suggère. Je trace le premier sillon. Les vibrations me rendent tout chose. Mon sexe grossit. J’ouvre la salopette et extrait un membre dur que je caresse doucement en me remémorant la soirée de la veille. Mes deux femmes, enfin ma femme et ma fille se sont disputées le privilège de recevoir ma queue. C’était Francis qui en faisait une tête ! Et moi ? criait-il ! Florence a réussi à s’empaler sur ma queue avec un cri de triomphe. Bonne joueuse Fabienne a commencé à la caresser. Du coup ma fille s’est plus préoccupée de sa mère que de moi ! Pour me venger au lieu de continuer de la baiser je l’ai enculé. Cela ne l’a pas perturbé ! Elle m’a même remercié de faciliter ainsi les investigations digitales de Fabienne ! Francis s’en est mêlé et a pris sa mère par derrière. L’a-t-il enculé ? Je ne saurais dire, mais cela m’étonnerait. Nous avons terminé dans la chambre des jeunes à quatre sur leur lit… Eh ! Attention ! De repenser aux scènes torrides de la veille me conduit près du point de non retour. Je dois me calmer pour maintenir cet état d’excitation tranquille que j’adore. Par chance la pression baisse pendant les manœuvres de demi-tour.
Je tiens près d’une heure aux berges de l’éjaculation, mais ma résistance a ses limites je vais être obligé de conclure, quel dommage ! Ah ! Quelqu’un se pointe… Zut ! Un garçon… Mais non ! C’est Annie ! Quelle bonne surprise ! Je me félicite d’avoir préservé mes forces, car je vais en avoir besoin ! J’ai quelques dizaines de mètre à labourer avant de parvenir au bout du champ où m’attend la jeune fille. J’esquisse le geste de dissimuler mon membre, mais j’abandonne. Elle n’est pas venue discuter politique, autant afficher les couleurs ! — Bonjour Annie ! Quel bon vent ? — J’ai pu m’absenter une petite heure. — Et tu en profites pour me rendre visite, que c’est gentil ! Veux-tu monter ? — Avec plaisir, j’avais hâte de reprendre les cours de conduite. Pourquoi alors n’a-t-elle pas mis une jupe au lieu du jeans qui ne facilite pas le contact ? Enfin on fera avec… Elle grimpe dans la cabine. La vue de la salopette ouverte sur mon sexe encore gros la fait sourire. — Oh ! Je vois que tu ne t’embêtes pas tout seul. — Disons que j’espérais une visite et me préparais à bien la recevoir. — Tant mieux pour moi… Je sais que tu préfères quand on est en jupe mais je n’ai pas eu le temps de me changer avant de venir. Tu m’en veux pas ? — Je t’en prie. — Je me prépare à mon tour. Elle descend jeans et culotte sur les chevilles. Ses fesses roses se couvrent de chair de poule. Ça c’est de la préparation ! Je devine que l’on ne va pas perdre de temps en préliminaires. Je m’empresse de bien dégager mon sexe que j’affute de quelques coups de poignets. Elle s’installe à califourchon me tournant le dos. Sa main part entre ses cuisses à la recherche de ma queue, frotte deux fois le gland sur la vulve, trois fois sur le clitoris et le présente à l’orée du vagin. Je n’ai qu’à avancer un peu sur mon siège pour entrer. Elle est trempée ! La hâte de se faire baiser sûrement. — Excuse-moi, mais je n’ai pas beaucoup de temps. — Tu es toute excusée (tu parles ! Je ne vais pas me plaindre !). Je la tiens contre moi, une main sur un sein sous le tee-shirt, l’autre entre ses cuisses comme avec ma fille. — Oh oui ! Mon index tourbillonne sur le petit bouton. — Tu peux démarrer Annie. — Comment on fait déjà ? — Tu tiens le volant et tu actionnes la manette des gaz. Le tracteur fait un bond. — Hé ! Pas tant !… Là, c’est bon. Je retrouve la même sensation que la veille avec Florence. Annie est ravie. — Oh c’est drôlement… bon, meilleur… que dans mon souvenir. — Je suis… de ton avis. Nous parcourons la moitié du champ. — Comment ça se… se fait, on bouge pas… et c’est comme… si on baisait. — C’est grâce… aux secousses… quand on roule… sur des mottes. — Dis donc c’est… c’est sensationnel ce… ce truc, le… le plaisir sans la… la fatigue ! — Tu… tu l’as dit ! — Aaah… Oooh… je… je pars… Ouiiii ! Je suis fier d’avoir résisté. Ce n’est pas fini ma petite Annie ! Arrivé au bout du champ elle veut partir. — Merci François c’était super, mais il faut que je m’en aille. — Mais tu ne vas pas me laisser comme ça, dis-je en secouant devant ses yeux ma verge raide. Laisse-moi au moins te ramener de l’autre coté sur le chemin. Elle hésite, regarde sa montre, ma queue. — Bon d’accord, jusqu’au chemin. Elle enjambe à nouveau mes cuisses empoigne la verge entre ses jambes. — S’il te plait Annie… dans le cul. — Hé ! Hé ! Petit… euh… non gros salaud ! Tu aimes ça ! — Et toi non ? — T’as raison. Elle se penche en avant écartant les fesses de ses mains. Je découvre la rosette de l’anus, la chatouille du bout du sexe et m’enfonce de quelques millimètres. — Ou-Ouiii ! soupire-t-elle en s’asseyant dessus. Comme à l’aller, inutile de bouger. Les muscles de son sphincter massent la tige. C’est délicieux. Je sens que je ne tiendrai pas longtemps. Ma main entre ses cuisses fouille à la recherche du vagin, deux doigts pénètrent. — Ouiii ! C’est une drôle d’impression que de toucher son sexe fiché dans le trou voisin. La sève monte dans la tige… C’est trop tôt… pas avant la fin de la ligne… Encore deux cent mètres à tenir. Je serre les dents pour endiguer la montée du plaisir. J’ai une envie folle de prendre Annie par la taille et de la faire monter et descendre sur ma queue. Je parviens à me retenir, à laisser les secousses faire seules le travail… — Arrgghh ! — Ooh ! Ton foutre !… Aaah ! C’est bon… Ouiiii ! Nous reprenons haleine pendant que le tracteur parcourt les vingt derniers mètres. J’arrête l’engin. Nous restons immobiles une petite minute, le temps que les battements de nos cœurs se calment. Mon sexe se rétracte, sort de l’orifice entraînant une partie du sperme qui dégouline sur mes cuisses. — Ben toi alors ! soupire-t-elle. — Tu ne regrettes pas d’être restée ? — Oh non alors ! Elle se dégage. — T’as un mouchoir ? — Dans la boite derrière moi… donne m’en un s’il te plait. Elle s’essuie les fesses et la chatte. Je la regarde faire en souriant. — Spectacle charmant ! — C’est ça, rince-toi l’œil ! — Tu pourrais m’essuyer aussi ? — T’es assez grand pour le faire tout seul, d’ailleurs je dois partir, je suis déjà en retard. Elle refile sa culotte et son jeans. Elle m’embrasse près de l’oreille. — Merci pour tout François, je reviendrai. — Je suis à ta disposition. Je n’utilise le mouchoir que lorsqu’elle a disparu. Après m’être ajusté, je me remets au travail, il faut finir avant midi…
Nous sirotons notre café. Les enfants sont partis travailler. Je dépose ma tasse. — Il me faut y aller. — Tu auras fini de labourer chéri ? me demande Fabienne. — Oh non, je viens à peine de commencer. — C’est pas trop dur ? — Tu sais, c’est le tracteur qui fait la majorité du travail. — Je ne parlais pas de ce travail là… Je peux venir avec toi cet après midi ? Moi qui me creusais les méninges pour savoir comment la convaincre de m’accompagner… — Avec plaisir chérie. — Alors laisse-moi une minute, je me prépare. — Rejoins-moi à la remise, je mets le tracteur en route. Je l’attends au portail. Je souris : elle a remplacé son jeans par une jupe. — Tu veux conduire jusqu’au champ ? — Non, mon chéri, je reste debout derrière toi. Nous traversons le village. Fabienne salue les voisins que nous croisons. Arrivé dans le champ, je positionne le tracteur sur la ligne de départ. — Comment elles se mettent, Florence et Annie quand tu leur apprends soi-disant à conduire ? interroge Fabienne. — Euh… Tu veux faire comme elles ? — Je suis venue pour ça, non ? — Une seconde… J’ouvre les fermetures éclair de ma salopette et sors mon sexe. — Je vois que tu étais prêt à toute éventualité, sourit-elle… Moi aussi. Elle soulève sa jupe sur son ventre nu. — Tu es un amour ! — Je me mets comment ? — Ben, tu te places contre le volant… Soulève ta jupe… Attends ! Je place le gland entre ses fesses. — Non, pas là. Elle rectifie la position. C’était pourtant bien essayé… Bah, on verra une prochaine fois… — Bon, recule et assieds-toi sur mes cuisses… Mmmh !… Encore… Oui ! — Ssssh ! — Tiens bien le volant et actionne la manette des gaz. — Tu… on ne bouge pas ? — Pas la peine, tu verras. Mets en route. Le tracteur s’ébranle, les socs retournent la terre. Les vibrations font leur effet. — Oh !… Aah !… C’est drôle… C’est comme… avec un vibro… Aah !… vibromasseur… Mmmh ! Je contracte le périnée pour faire gonfler le sexe. — Aah ! C’est meilleur même… Pour me remercier elle resserre le vagin. Nous nous taisons pour profiter au maximum des ondes de plaisir qui se développent en nous. Je suis fier de lui faire découvrir cette manière de faire l’amour. Arrivés au bout de la raie, elle stoppe le tracteur. — Est-ce que je dois m’enlever, demande-t-elle d’un air de regret. — Inutile… Je commande le vérin qui soulève la charrue. — Remets un peu de gaz… Oui, fais demi-tour… là… bien. Je rabaisse les socs. — Accélère ! Nous voilà repartis. Fabienne gémit doucement. Les muscles vaginaux massent délicieusement ma queue. Je bande comme un taureau, mais je sens, je sais que je me retiendrai. Il n’en est pas de même pour ma femme. Les secousses du tracteur ont raison de sa résistance. Les contractions s’accélèrent. On dirait une bouche qui tête le gland. — Mmmh… Mmmh… Mmmmmh ! Elle s’effondre tout à coup sur le volant. — Attention chérie, maintiens la ligne ! Elle rectifie la trajectoire. — Alors ma chérie ? Qu’en dis-tu ? — Oh que c’est bon ! J’aurais jamais imaginé jouir presque sans bouger. — Et ce n’est pas fini. — Je le sens gros cochon, tu n’as pas déchargé toi. — Et je ne suis pas près de le faire. — On verra… C’est tout vu ! Fabienne tient le coup plus longtemps mais son orgasme se déclenche avant la fin du troisième tour. — Aaah ! Comment tu fais pour te retenir ? — Je ne sais pas. Les manœuvres de demi-tour apportent un peu de calme. Ma queue est toujours aussi raide dans la chatte de ma femme. — Cette fois-ci tu ne m’auras pas ! lance-t-elle. Et en avant pour une rotation supplémentaire ! — Tu vois j’y arrive ! m’annonce-t-elle au bout de deux allers et retours. — La champ n’est pas terminé. Et nous voilà repartis ! Les trépidations nous maintiennent dans un état proche de la rupture mais nous résistons. Plusieurs fois j’ai eu peur de m’effondrer. En serrant les dents je réussis à enrayer la montée du sperme. Enfin le champ est entièrement labouré. Fabienne arrête le tracteur sur le chemin. Nous restons immobiles une minute. Je suis aussi fatigué que si j’avais eu plusieurs orgasmes. — On a réussi ! Tu peux t’enlever ma chérie. — Pas encore, si je bouge, je lâche tout, murmure-t-elle. Ce serait bête maintenant. Ramène-moi à la maison. — Tu veux rester comme ça ? — Ça te gêne ? — Pas du tout, continue à conduire. Sur le macadam les vibrations sont moins fortes mais ma queue ne débande pas. Nous parvenons sur la place du village. Fabienne arrête le tracteur. — Qu’est-ce qui se passe ? — Je viens de penser qu’il me manque de la farine. Je passe chez l’épicier. Nous nous délions avec précautions. Fabienne sourit à la hampe qui pointe fièrement. — Tu as bien fait ton travail ma petite queue… — Euh… Petite ? — Tu as raison, ma grosse queue, Je suis fière de toi ! Elle dépose un baiser sur le bout. La queue hoquette, vais-je partir ? Non, je me calme un peu. — Je remonte ta salopette ? — Non ! Le frottement du tissu suffirait à me faire éjaculer et en pure perte cette fois-ci ! — Tu vas rester la bite à l’air ? — Il n’y a personne et je suis presque arrivé. — J’en ai pas pour longtemps, attends-moi à la maison. Une dernière caresse sur le gland qui hoquette de satisfaction et elle descend du tracteur. Je m’empresse de rallier la ferme. Je vais directement dans la remise où Florence me rejoint. A la vue de la salopette défaite, elle s’esclaffe ! — On dirait que tu t’es pas embêté cet après-midi ! Avec qui tu étais, Annie ? Elle t’a laissé tomber à en juger par l’état de ton zob. Pauvre Papa obligé de se calmer tout seul ! — Attends que je t’attrape ! Elle s’enfuit en riant mais pas assez vite. Je la coince contre un ballot de paille. Je soulève la jupe sur les fesses, pas de culotte pour cacher la chatte, je trouve la bonne ouverture et enfonce le gland d’un maitre coup de rein ! — Han ! — Ouch ! — Tu vas voir comment je me calme ! — Aaah ! Je la pilonne sans retenue. Florence s’agrippe au ballot. J’ahane comme un forcené. Elle gémit, de plaisir ? De douleur ? Je ne suis pas en état de réfléchir. Tout ce que je souhaite c’est vider mes bourses. La jouissance est plus longue à venir que je ne le pensais, enfin la semence grimpe dans la tige, encore quelques coup de rein… ça vient… oui… c’est làààaaaah ! Je retire une verge enfin détendue. Florence tapote sur sa jupe remise en place. Je referme la salopette. — Ben dis donc Papa ! Qu’est-ce qui t’a pris ? — Excuse-moi ma chérie, je t’ai fait mal ? — Euh… non, c’est la paille qui piquait. Fabienne en revenant des courses m’a fait la tête…
Les jours suivants je ne laboure jamais seul. Je pense que les femmes s’entendent entre elles car il n’y pas de télescopage. Je les soupçonne de faire la compétition pour savoir qui résistera le mieux. A ce jeu Fabienne remporte la palme ! Hier nous avons réussi à labourer les Tachères et revenir à la ferme sans nous désunir. Je ne dis pas l’explosion de plaisir une fois le tracteur garé dans la remise ! Francis s’est porté volontaire pour me seconder. Le petit coquin ! Sa sœur ou Annie ont du vanter ma méthode de travail ! Dire qu’avant je devais menacer pour qu’il daigne exceptionnellement travailler dans les champs ! Il me remplace lorsque son boulot à la coopérative lui en laisse le loisir. Je ne suis pas jaloux, un peu de repos sexuel diurne ne me fait pas de mal. Je me venge le soir venu !
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