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la travestie et son beau-père

Chapitre 1

Travesti / Trans
Je vis avec ma mère et mon beau-père. A 16 ans, âge de ma majorité sexuelle, ceux-ci ont accepté que je me travestisse à la maison. Ma mère m’a appris à me maquiller, puis j’ai pu me constituer une garde robe somme tout modeste. Tous les soirs en rentrant de l’école, le rituel était le même : me déshabiller, m’habiller en fille, me coiffer. Je ne me maquillais que le WE, et je dois dire que chaque semaines sans exception j’attendais celui-ci avec impatience afin de passer deux jours en demoiselle. Ma mère étant hôtesse de l’air, je passe beaucoup de temps à la maison avec mon beau-père.
Ce jour là, ma mère était encore absente. Mon beau-père entra dans ma chambre mécontent. Je lisais, allongée sur mon lit. Depuis quelques temps, je me préoccupais moins de mes études que penser aux garçons.« nous allons devoir sévir si tes notes continuent à chuter. Fini les photos de mecs sur internet, fini les jupes et soutien gorge.tu peux pas me faire ça !Bien-sûr que je peux ou as-tu quelque chose de mieux à proposer ?Je remarquais une bosse sous son pantalon.Je... Je te plais ? Demandais-je maladroitement.Hum... »Il prit la main et la posa sur sa bosse. J’avais toujours rêvé d’hommes mûrs, sans jamais avoir osé franchir le cap, mais là, je n’avais plus trop le choix. Je lui proposa d’être indulgent avec mes notes et en échange, il pourrait s’occuper de mon éducation.
Il s’allongea à côté de moi, me tâta la poitrine puis m’embrassa avec la langue. Il caressa mon corps en continuant à m’embrasser, passa sous ma jupe et me caressa les fesses. Il dénoua mon haut, et embrassa mes tétons, puis sa main à la fois douce et ferme retourna à mon postérieur. Il me proposa de passer aux choses sérieuses. Il se mit debout et me proposa d’ouvrir son pantalon, ce que je fis. Son pieu dressé en sorti. Je le mis dans ma bouche et commença à le pomper. Il m’ordonna d’aller jusqu’au fond et plaqua ma tête contre lui. Sa bite allait jusque ma gorge. Je fis alors attention de parfois tout mettre, parfois juste sucer le bout. Il finit par éjaculer dans ma bouche. Je le remercia, mais il me dit qu’il n’avait pas terminé. Il me demanda de me mettre à quatre pattes, ajoutant qu’il fallait passer par là pour satisfaire les hommes. Il écarta mon string et cracha sur mes fesses. De ses doigts il étala sa salive sur les parois de mon trou. Il me pénétra enfin. Il le fit en plusieurs fois, de plus en plus profond. Enfin, il me culbuta. Je le sentais aller et venir contre moi. J’avais chaud. Il s’arrêta, s’allongea sur le lit et me fit asseoir sur son phallus dressé dos à lui. Les jambes écartées, je me pencha en arrière puis nous nous embrassâmes de nouveau pendant qu’il me limait. J’adorais cela : Je me sentais enfin femme dans les bras d’un homme. Ses coups de reins allaient de plus en plus vite, et je gémissais en rythme. Cela dura un petit moment entrecoupé de baisers. Puis il me féconda.« Alors, qu’est-ce que ça fait de se faire dépuceler, d’être enfin une vraie femme ?j’ai adoré cela, dis-je d’une petite voix.Tu aimerais recommencer de temps en temps ?On a enfin trouvé à quoi tu était bonne. Ca ne compte pas à l’école, mais qu’importe ? Je vais donc t’apprendre à t’occuper des hommes et à t’assumer comme femelle.Merci pour tout.Tu auras un cadeau demain pour t’être bien conduite aujourd’hui. »Il prit une photo de moi en fille, jupe relevée en string, me disant que si quelqu’un était au courant, il la diffuserais au lycée.
Pendant toute la journée, je n’ai cessé de repenser à ce qu’il m’a fait. Le soir, je n’arrivais pas à dormir. Je me suis rendue en nuisette dans sa chambre, me suis glissée dans son lit. Ca le réveilla, mais il ne dit rien. Il passa juste son bras sur moi, et je pus enfin trouver le sommeil. Le lendemain, il m’offrit un spéculum que je devais porter régulièrement pour dilater mon anus. C’était son cadeau. Il me demanda aussi de ne porter que des strings lorsque nous étions ensemble. D’une part, cela était bien plus sexy, mais aussi plus pratique pour accéder à mon petit cul. Lors des absences de ma mère, nos rapports étaient quotidiens, tantôt oraux, tantôt anaux. Je pense même qu’il y avait un peu d’amour envers l’homme qui m’avait dépucelée.
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