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Troublante Sylvia

Chapitre 1

Hétéro
Je sonne chez Sylvia qui m’a été chaudement recommandée par un ami.Une voluptueuse brune en lingerie transparente m’ouvre la porte.J’admire sa luxuriante chevelure jais qui tombe en cascade sur ses épaules. Ses yeux bruns en amande et ses lèvres gourmandes donnent à son visage un air volontaire et sensuel.Sa robe de nuit s’ouvre sur un corset rose comprimant ses seins magnifiques. Un slip brésilien met en valeur ses cuisses fuselées sur lesquelles sont tendus des bas fixés par quatre paires de jarretelles. Perchée sur ses cuissardes à talons aiguilles, elle me fait entrer et me demande de m’asseoir tout prés d’elle sur son canapé.Lors de notre conversation, elle croise et décroise lentement ses longues jambes pour me laisser entrevoir son string rose.Quelques instants plus tard, m’invitant à la confidence, elle pose sa main sur ma cuisse et me demande :— Décris-moi tes fantasmes pour que je puisse répondre à tes attentes.Excité par cette superbe créature, je me confie à elle sans retenue.— Je rêve de devenir une fille sexy, dotée d’une somptueuse poitrine, d’une croupe à damner un saint et d’avoir une garde robe pleine de lingerie.— Je suis venu aussi pour que tu me prennes avec ton gode ceinture.— C’est un beau programme qui me donne des idées, me dit Sylvia d’un air inspiré. — Pour commencer, puisque nous allons partager un moment entre femmes, je vais m’adresser à toi au féminin.— Puisque tu es déjà épilée, je vais t’habiller et te maquiller.— Viens dans ma chambre choisir tes dessous, me dit-t-elle en me prenant par la taille.Son armoire regorge de lingerie et j’ai du mal à me décider. Me voyant rouge d’excitation, elle vient à mon aide pour me conseiller et me les faire essayer. J’aurai pu passer des heures avant de faire mon choix si elle ne m’avait pas aidée. Ayant achevé ma métamorphose, elle me plante devant la glace pour que je puisse juger du résultat. — Regarde-toi ma belle, tu es prête pour l’amour, me chuchote-t-elle à l’oreille.Le miroir me renvoie l’image troublante d’une Messaline portant tous les symboles de la féminité.Je suis coiffée d’une perruque blonde bouclée très glamour.Mes yeux allongés par le maquillage portent des faux cils.
Un rouge intense souligne mes lèvres pulpeuses et un fond de teint cache les imperfections de ma peau.Mes seins siliconés sont contenus dans une guêpière rouge recouverte d’une adorable combinaison en satin de même couleur s’arrêtant à mi-cuisses.Un slip ouvert encadre ma queue d’un écrin de dentelle et de soie qui met ma croupe en valeur en dévoilant mon œillet au regard de Sylvia.Pour terminer, elle accroche mes bas à huit jarretelles affriolantes et remonte sur mes cuisses deux ravissantes jarretières. J’aime sentir le contact des mailles de nylon en contemplant le galbe parfait de mes jambes sublimées par mes escarpins. Virevoltant devant la glace, j’admire ma silhouette élancée et ma taille sanglée dans mon ensorcelante guêpière. La tension des fibres synthétiques sur mes cuisses et le balancement de mes seins à chacun de mes pas ajoutent à mon excitation.Je cambre les reins pour mettre en valeur mes fesses hautes et musclées qui font généralement craquer les femmes.Sylvia n’y fait pas exception, car elle les fixe avec insistance en s’approchant de moi.Soudain, elle me culbute sur le lit et glisse sa main sous ma nuisette en la remontant lentement jusqu’à la racine de mes cuisses. Je tombe définitivement en son pouvoir lorsqu’elle me masturbe lentement avec un savoir-faire étonnant.Puis, elle écarte la fente de mon slip et plonge son majeur dans mes fesses.Très expérimentée, elle le recourbe vers le haut en massant avec insistance mon point G.— Tu mouilles beaucoup ma belle et ton œillet est déjà bien ouvert, me dit-t-elle d’un air satisfait.— Attends-moi un instant, je vais me changer, rajoute-t-elle d’une voix sibylline.Un moment plus tard, je vois réapparaître Sylvia en superbe dominatrice vêtue d’une cape rouge et de cuissardes assorties.S’approchant de moi, elle écarte son vêtement en me fixant d’un regard torride.— Regarde la surprise que je te réserve ma chérie.Je reste sidérée en voyant l’énorme gode ceinture fixé sur ses hanches.Semblant sortir de son ventre, il se balance lourdement entre ses cuissardes.Son gland épais se prolonge d’une hampe striée de grosses veines saillantes.Je n’arrive pas à détacher mon regard de cette queue monstrueuse en doutant fort de pouvoir la prendre dans les fesses.— Ce gode mesure presque trente centimètres. Mais, c’est surtout son diamètre qui va te donner du plaisir, rajoute-t-elle en connaisseuse.Elle me le montre complaisamment sous tous les angles pendant qu’elle le lubrifie en me décochant des regards brûlants.Puis, avec une lueur trouble dans les yeux, elle me dit : — Viens mon ange, je veux te prendre debout.A la fois excitée et inquiète, je me lève sous son regard de braise.Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d’un coup par la fente de mon slip ouvert. Sylvia sourit devant ce spectacle avant de me plaquer le dos contre le mur de sa chambre.Je frissonne de plaisir lorsqu’elle m’embrasse dans le cou en me pelotant les fesses.Elle profite de son avantage pour remonter lentement ma combinaison sur mes hanches en frottant sa jambe gainée de nylon contre ma verge pour entretenir mon érection.Puis, elle soulève mes bourses pour accéder à ma grotte en m’écartant les jambes avec son genou.Mon cœur bat la chamade quand je sens le gode glisser entre mes cuisses et buter contre ma rosette.Elle s’immobilise et me fixe du regard en attendant que je lui dise d’une voix brûlante de désir :— Je t’en supplie Sylvia, prends-moi maintenant.Sans me quitter des yeux, elle pousse le pieu dans mon ventre en s’aidant de sa main.Haletante, la poitrine palpitante, je la laisse m’embrocher sans résister.Lorsqu’elle se rue en moi, je lui presse les seins dans un réflexe incontrôlé en lui arrachant un gémissement de douleur. Elle se venge aussitôt en me clouant au mur comme un papillon.Accompagnant ses coups de reins de fortes poussées de ses mains sur mes hanches, elle m’enfonce le pal de plusieurs centimètres à la fois.Puis, elle entame une irrésistible danse du ventre en ayant son bassin soudé au mien.— Tu as une queue de huit cent grammes plantée dans les fesses, me dit-t-elle en me violant avec une joie non dissimulée. Elle se tortille de plus belle en me labourant le ventre afin de mieux sentir les frottements du gode sur son clito.Puis, elle plaque ma jambe contre sa taille pour regarder le pal disparaître dans ma grotte. Ne tenant plus en équilibre que sur un talon aiguille, je mets mes bras autour de son cou pour me stabiliser.L’image que me renvoie le miroir est très excitante. Je suis debout, une jambe posée sur la hanche de Sylvia.Ma combinaison retroussée sur le haut de ma cuisse, dévoile mes jarretelles tendues à craquer.Mon corps tressaute en cadence sous les puissants coups de reins de ma maîtresse qui ne ménage pas ses efforts.J’ai vraiment l’impression d’être une fille que l’on prend à la hussarde et que l’on plaque contre un mur pour satisfaire ses pulsions.A cette pensée, je fonds de plaisir en remerciant Sylvia de m’avoir fait vivre ce fantasme.Me voyant trembler de désir et vaciller sur mes escarpins, elle me dit avec un sourire prometteur :— Suis-moi, je vais t’achever sur mon lit ma belle.Elle m’allonge sur le dos et place deux coussins sous mes fesses pour les mettre à la hauteur du gode qui se balance entre ses cuisses.— Ecarte les jambes et prend tes chevilles en main pour rester bien ouverte, me dit-t-elle A genoux face à moi, elle contemple ma rosette qui se contracte de plaisir. Galvanisée par ce spectacle, Sylvia ne peut plus attendre et force mon passage. Mes sphincters ne résistant pas à la pression, je laisse échapper un cri lorsqu’elle me transperce le ventre.Cette fascinante Dominatrice me possède méthodiquement avec la régularité d’un métronome.— Cambres toi et pousses fort ma chérie, m’ordonne-t-elle. Puis, écartant mes fesses avec ses pouces, elle se laisse tomber de tout son poids.Complètement empalée, j’ai le souffle coupé et j’essaye vainement de diminuer la pression du gode avec mes mains.— C’est sûrement la première fois que tu prends un tel calibre dans les fesses ? — Nous pouvons faire une pause si tu le souhaites, m’interpelle Sylvia.Pour toute réponse, je croise mes jambes dans son dos en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles.— Puisque tu aimes cela mon ange, je vais te montrer mes talents, me dit-t-elle.Elle repère facilement ma glande interne qu’elle pilonne avec une habilité diabolique. A d’autres moments, elle tourne vicieusement le gode dans ma grotte pour me faire sentir ses reliefs tourmentés.Puis, elle roule et ondule du bassin en faisant vivre d’une manière prodigieuse ce pieu qui m’enflamme le ventre.Me voyant perdre mon contrôle, elle me comprime la racine du sexe pour m’empêcher de jouir. Mais, elle réalise à mon souffle court et aux tremblements de ma verge que je ne vais pas résister longtemps.Elle me chuchote à l’oreille :— Viens maintenant, ma chérie.J’essaye de prolonger l’instant en contractant mes fesses pour retenir la lave que je sens monter en moi.— N’essaye pas de me résister, ajoute-t-elle en riant. Pleine de ressource, elle gratte lentement mon frein avec son ongle.L’effet est indescriptible et j’explose en laissant échapper un râle de délivrance et de plaisir.En maîtresse très expérimentée, Sylvia amplifie mon plaisir en pressant le gode contre ma glande à chacun de mes spasmes. Ma sève jaillit avec force et lui éclabousse la main avant de retomber en longues arabesques blanchâtres sur ma guêpière.Attendant la fin de mon orgasme, elle contemple un moment le gode qu’elle m’a enfoncé jusqu’à la garde.C’est avec regret, qu’elle se décide à le sortir de mon fourreau.Je reste un moment immobile, les yeux mi-clos et en extase en contemplant le mince filet de sève qui s’échappe encore de mon sexe.— Tu avais des réserves, me dit-t-elle en voyant ma lingerie toute éclaboussée de mes secrétionsDécidée à me faire récupérer mes forces le plus vite possible, Sylvia s’allonge sur moi et m’embrasse longuement en pressant ses seins contre ma poitrine.Puis, elle frotte mon gland entre ses cuisses en l’excitant sur les fibres de nylon de ses bas. Quelques minutes plus tard, elle arrive à ses fins.Stimulée par ma superbe érection, elle plaque aussitôt son clito gorgé de sang contre mon sexe turgescent.
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