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Une adolescence perturbée

Chapitre 2

Lesbienne
Chapitre 2

J’avais passé une nuit compliquée ; voir mes parents faire l’amour de cette façon m’avait retourné le cerveau. J’avais tout de même dormi un peu, mais je fus réveillé par une étrange sensation. Une sensation d’oubli. En effet, j’avais oublié de ramasser ma semence que j’avais fait gicler sur le sol. Mon réveil indiquait 9 h 30. Je bondis de mon lit et courus dans l’escalier ; ma sœur me regarda d’un air imbécile courir pour rejoindre le seuil de la chambre de mes parents, là ou j’avais connu une de mes plus grandes jouissances. Je regardai au sol et palpai le carrelage, mais rien : pas une seule trace, comme si j’avais tout rêvé. Puis une voix interrompit mes recherches :
— Tu cherches quelque chose ?— Non, pas du tout ; enfin si, mais cela te regarde pas !— Ah ? OK ! Tu es un peu tendu ce matin.
Elle repartit dans la cuisine finir son café. Après encore quelques instants, j’allai rejoindre ma sœur dans la cuisine. Je préparais mon petit déjeuner tout en regardant ma sœur se réveiller petit à petit. Elle était encore en tee-shirt et culotte. C’était le tee-shirt qu’elle préférait, mais cela faisait déjà quelques années qu’elle le portait et il commençait à devenir trop petit, surtout depuis que sa poitrine avait pris la taille de celle d’une femme.
— Que vas-tu faire aujourd’hui ? me dit-elle. — Je dois passer chez mon pote Marc ; on va jouer un peu à la console, et cet après-midi on devrait se faire un foot entre potes. Et toi ?— Je ne sais pas encore ; un peu de bronzette, et Isaline doit passer en fin de matinée.
Aaah, Isaline, la femme de tous mes fantasmes ! Elle avait sûrement la plus grosse poitrine que j’aie jamais vue. Je n’en avais jamais vraiment su la taille exacte, mais il paraît qu’elle avait subi une opération en fin de 3ème pour arrêter la croissance de ses seins. Pour ne rien gâcher, elle avait un corps menu et une petite taille, ce qui accentuait encore la taille de ses seins. Alors que je bavais en fantasmant sur elle, ma sœur claqua des doigts sous mon nez.
— Rêve pas, puceau, tu ne te la feras jamais !
Ma sœur savait que j’en pinçais pour elle, et elle adorait me chambrer avec cela. Je fis la grimace, finis mon petit déjeuner et partis me changer en passant par la piscine pour me réveiller après une toute petite nuit. Je m’étais réveillé tard et je ne pouvais pas pratiquer mon rituel quotidien (branlette) car ma sœur était dans sa chambre et j’étais en retard. J’enfilai un short et un tee-shirt et quittai la maison en direction de chez mon pote. Sur la route, alors que la journée était très belle, je repensais à mes parents dans leur chambre, mon père le cul en l’air et ma mère en train de l’enculer. J’avais beau être un habitué du porno, je n’avais jamais vu cela. Et surtout, mon éjaculation, où était-elle passée ? Mes parents se doutaient-ils que je m’étais masturbé en les matant ?
Je n’ai pas eu le temps de répondre à mes propres questions que j’arrivais déjà devant la porte de chez Marc. Je frappai et sa mère m’ouvrit. C’était une magnifique femme, blonde, de taille normale ayant de jolies courbes, mais surtout un regard pénétrant ; et lorsqu’elle nous fixait, on ne pouvait que rougir ou baisser la tête quand nous faisions des conneries.
— Bonjour, Laurent. Comment vas-tu ?— Très bien, Madame. Et vous ?— Bien, merci. Tu es venu voir Marc ? Il n’est pas très bien aujourd’hui.— Ah bon, il a quoi ?— De la fièvre. Donc je crois que tu vas devoir remettre cela.
Après l’avoir saluée, je repartis d’où j’étais venu. Je rentrai dans la maison ; ma sœur était déjà sur le transat. Je décidai de monter dans ma chambre et faire quelques recherches sur les pratiques de mes parents. J’étais installé devant l’ordinateur lorsque je vis apparaître la silhouette d’Isaline près de la piscine. Je m’approchai un peu de la fenêtre en faisant rouler la chaise de mon bureau et écartai doucement les stores. Ma sœur se leva pour saluer sa copine, mais à ma grande surprise, au lieu de lui faire la bise, elle lui roula une pelle torride. Je n’en croyais pas mes yeux : ma sœur et mon fantasme qui s’embrassaient chez moi à quelques mètres de moi !
Isaline portait un petit short, un débardeur et de petites claquettes. Elle commença à se déshabiller pour se retrouver en bikini. Il n’avait rien avoir avec celui de ma sœur : le haut était plus couvrant, et surtout avec une armature à l’arrière pour tenir sa poitrine. Ma sœur fouilla dans son sac et sortit la crème solaire. Isaline attacha ses cheveux longs et bruns pour dégager son cou. Ma sœur, qui était déjà topless, fit tomber le haut de maillot de bain de sa copine.
Ma respiration s’arrêta tout net : j’allais enfin voir les seins qui avaient hanté tous mes rêves. De là où j’étais, je ne voyais pas bien car elle était de dos, et c’était ma sœur qui me faisait face. Puis ma sœur installa Isaline sur le transat, et là je vis deux énormes seins bien ronds et légèrement tombants vu leur poids s’affaisser sur son corps. Ma sœur commença à étaler de la crème sur son corps. Je n’en croyais pas mes yeux : ma sœur à moitié nue et mon fantasme se touchant de façon sensuelle ! Sans m’en rendre compte, j’avais sorti ma queue et je commençai à l’astiquer doucement ; j’avais déjà du pré-sperme dans la main. Alors qu’elle mettait de la crème sur les seins de sa copine, elle lui roulait des pelles en même temps. Maintenant, les deux femmes se touchaient carrément. Elles frottaient leurs seins entre elles. Même si ma sœur avait une belle poitrine, à côté de ceux d’Isaline, ses seins passaient pour ceux d’une adolescente.
Les minutes passaient et les filles prenaient de plus en plus d’aises. Elles étaient maintenant complètement nues, deux belles petites chattes bien épilées. J’avais un peu honte de me branler en regardant ma sœur, mais il faut dire qu’elle avait, elle aussi, un corps de rêve. Je ne fus pas étonné de la voir entreprenante lorsqu’elle glissa des doigts dans la petite chatte de sa copine. Celle-ci était assise dans le transat, les talons posés sur les accoudoirs pour bien ouvrir la chatte de ma sœur qui s’en donnait à cœur-joie pour la faire jouir. Elle appuyait de toutes ses forces avec ses doigts au fond de la chatte d’Isaline. Elle gueulait fort, et même avec la fenêtre fermée je pouvais l’entendre.
Puis ma sœur baissa le transat pour allonger sa copine et elle posa sa chatte sur sa bouche. Elle fit glisser sa fente humide tout le long de la bouche de sa partenaire. Tout en se faisant jouir sur sa bouche, ma sœur se touchait les seins, les tirait, jouait avec les tétons. Sa tête était penchée en arrière, puis, dans un grand râle, elle jouit. Sa chatte crachait de grands jets de cyprine : ma sœur était une femme fontaine et une sacrée lesbienne !
C’est à ce moment-là que moi aussi je jouis, de longs jets de sperme dont le premier s’écrasa contre le mur alors que les autres, plus épais, venaient échouer sur mes cuisses.Le temps que je m’essuie, les filles faisaient quelques brasses dans la piscine.
La fin de la matinée se passa tranquillement ; les filles continuaient de parfaire leur bronzage, et moi à mater du porno, notamment sur les femmes dominatrices.

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