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Une balade inoubliable

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
C’était un dimanche ensoleillé du mois d’août, une belle journée à passer en compagnie de ma chère et tendre femme. Nous avons f ait la grasse matinée ; nous nous sommes levé de bonne humeur, puis nous avons mangé un bon barbecue. Après le repas, nous avons décidé de faire une balade à vélo, chose que nous faisons assez souvent : nous adorons profiter de la nature, habitant dans un petit village d’Alsace ; ce ne sont pas les coins sympas qui manquent.
Nous, c’est Julien, 29 ans, 1m 80, brun, yeux marrons, un corps musclé par la pratique régulière de la natation, et Emilie, 27 ans, blonde aux cheveux longs, yeux bleus, 1m 74, un corps fin, une divine paire de fesses et des seins magnifiques en forme de poires et bien fermes, un joli 90B. Nous sommes ensemble depuis 6 ans ; nous ne sommes pas mariés et nous n’avons pas encore d’enfant. Notre couple se porte à merveille : nous nous entendons sur tous les points, et notre sexualité se porte également très bien, même si elle est plutôt classique.
14h : je me suis préparé ; baskets, short et t-shirt. Je suis au garage en train de préparer les vélos ; le sac à dos est prêt : comme d’habitude, j’ai pris à boire, des petites choses à grignoter et un drap, car nous nous arrêtons souvent dans des petits endroits que nous trouvons pour en profiter. Emilie, enfin prête, me rejoint pour le départ. Elle est très belle aujourd’hui ; elle porte de petites sandalettes, une petite robe d’été, très légère, assez courte avec de fines bretelles. Cette robe met vraiment son corps en valeur ; elle épouse ses formes à merveille.
Nous enfourchons nos vélos et prenons tranquillement la route. La balade se fait à un rythme vraiment tranquille. Nous traversons les champs, les forêts. J’observe Emilie, qui me fait vibrer en ce jour : sa robe flotte au vent ; la vue de ses belles jambes ne me laisse pas insensible… Je vois sa poitrine, a priori libre sous la robe, également bouger au rythme des coups de pédales. Le soleil tape fort ; au bout d’une heure, nous trouvons un petit coin sympa où nous décidons de faire halte.
C’est dans une forêt ; un petit coin de verdure, un endroit très calme, loin de tout regard. Nous déposons les vélos. J’ouvre mon sac à dos et en sort le drap que je pose sur le sol ; Emilie s’y installe. Je pose la bouteille d’eau, nos petits en-cas, et je m’installe à ses côtés. Nous discutons un moment de la beauté du paysage, du soleil, et de nos tracas quotidiens. Je me mets torse nu et m’allonge sur le drap pour profiter de ce moment et des rayons du soleil ; Emilie s’allonge a mes côtés. Un petit vent très léger mélangé au soleil, un moment magique… Emilie saisit une fleur par la tige et commence à me taquiner avec : elle parcourt mon torse, me provoquant des fous rires en passant sur mon nombril et mes tétons ; cette situation commence à m’émoustiller. Je la saisis par les bras et la plaque au sol, me mets au- dessus d’elle, et lui prends la tige des mains pour la chatouiller à mon tour. Je constate que cette situation ne la laisse pas indifférente non plus : sa poitrine se gonfle et ses tétons apparaissent, tendant le fin tissu de sa robe. Je lui donne un baiser dans le cou, puis sur sa bouche. Nos langues ne mettent que quelques secondes à se rencontrer, et nous échangeons un langoureux baiser.
À ce moment-là, je ne sais pas ce qui se passe ; nous avons déjà fait beaucoup de balades, mais sans jamais rien faire de particulier. Mais aujourd’hui, quelque chose est différent. Toujours au-dessus d’elle, je pose ma main sur sa poitrine et je commence à la caresser. Comme je l’avais deviné, elle ne porte pas de soutif ; le contact de sa robe douce et de sa poitrine me fait immédiatement avoir une érection. Je palpe sa poitrine, joue avec ses tétons qui ressortent ; elle apprécie, et me caresse le torse. Je saisis une bretelle et la fais lentement glisser le long de son bras ; un sein apparaît : je pose ma bouche dessus et commence à y faire tournoyer ma langue tout en caressant de ma main l’autre sein. Ses bouts durs roulent sous ma langue. Je mordille, lèche ; Emilie me caresse les cheveux. Nous ne sommes pas habitués à faire cela à l’extérieur, mais la situation a priori enchante nos sens à tous les deux, et nous nous laissons aller à nos désir. Je fais ensuite glisser la deuxième bretelle, libérant totalement sa poitrine. Je la saisis de mes mains, colle ses seins ensemble et passe ma bouche et ma langue de l’un à l’autre. Emilie commence à onduler et à pousser de petits gémissements de plaisir.
Je me lève et lui retire sa robe ; elle est allongée, nue, ne portant rien d’autre que son string rouge. Je retire mon short et mon boxer, puis je reprends ma place au-dessus d’elle. Mon sexe est en érection ; je le décalotte et le pose sur sa poitrine, passe mon gland sur ses seins, sur ses tétons… De ses mains, Emilie serre ses seins pour coincer mon sexe entre ses deux globes. Je commence alors un petit va-et-vient entre eux. Elle me regarde dans les yeux ; mon gland s’arrête à chaque fois devant sa bouche : je meurs d’envie qu’elle me prenne en bouche, la fellation étant une de ses grandes qualités. Elle ne tarde pas longtemps avant de saisir mon membre dans sa main, et elle commence à me masturber, puis me prend enfin dans sa bouche chaude et humide. Je sens sa langue tourner autour de mon sexe : un vrai délice... Elle me pompe avec sa bouche gourmande, ses lèvres pulpeuses, je ne mets pas longtemps avant de jouir sur son visage. Ne voulant pas en rester là, je l’embrasse et descends vers son sexe pour lui procurer le plaisir qu’elle mérite. Je lui ôte son string et prends place entre ses jambes. Je commence par lui donner des coups de langue sur son petit œillet d’amour, puis je joue avec mes doigts et commence à mon tour à la masturber pour enfin les introduire dans son sexe trempé. Plus je la doigte, plus elle gémit ; on partage un moment merveilleux : le plaisir charnel, la chaleur du soleil et une petite brise légère sur nos corps nus qui met tout nos sens en émoi.Alors que je dévore la chatte d’Emilie, j’aperçois un homme seul en train de nous observer derrière un arbre.
D’habitude, cette situation m’aurait vite énervé ; mais aujourd’hui, cette situation m’excite plus qu’autre chose : d’ailleurs, mon sexe reprend de la vigueur, et je décide de continuer à procurer du plaisir a ma moitié. Toujours sous le regard de cet inconnu, je présente mon sexe à l’entrée du jardin des plaisirs, et je commence à pénétrer Emilie. Posant ses jambes sur mes épaules, j’entame mes va-et-vient. Je regarde régulièrement cet homme ; d’ailleurs, je crois qu’il a remarqué mon manège. Emilie pousse de petits cris de plaisir. Au bout d’un instant, je prends Emilie et la mets à quatre pattes ; je la saisis par les hanches et reprends ma pénétration avec encore plus de vigueur. Ses belles fesses claquent contre mon torse. Je dis alors à Emilie, qui n’avait toujours pas vu notre voyeur : « Tu as vu ? On nous observe… »Je m’attendais à une réaction brutale de sa part, mais elle ne dit rien, et accélère même la cadence. A priori, le fait d’être observée l’excite ; c’est une révélation pour nous.
L’homme, qui ne rate rien de notre spectacle, ayant remarqué que nous l’avons vu et que, malgré tout, nous continuons, sort du bois et se rapproche de nous. C’est un homme dans la cinquantaine, avec un peu de ventre, pas très grand, pas très beau, habillé comme un chasseur. Il est à nos côtés, ne disant rien ; nous aussi, sous nous taisons, moi occupé à combler ma moitié et elle occupée à crier son plaisir. Le voyeur observe Emilie avec beaucoup d’intérêt ; je remarque que son pantalon est déformé par une bosse. Au bout de cinq minutes, je le vois ouvrir son pantalon et sortir son sexe en érection. Il est beaucoup plus court que le mien, mais bien plus large, avec un très gros gland rose ; il commence à se masturber devant nous. Moi, je continue à limer ma belle ; j’en profite pour lui introduire un doigt dans l’anus, ce qui l’excite comme une folle. Le voyeur s’approche d’Emilie pour lui caresser un sein de ses grosses mains ; je n’aurais jamais pensé que voir un autre homme profiter du corps de ma compagne m’exciterait autant. Il lui pince un téton : elle pousse un cri où douleur et plaisir sont intimement liés. Ce vieux pervers se rapproche encore d’Emilie pour présenter son sexe devant son beau visage… Là, je me dis qu’il rêve, qu’Emilie ne ferait jamais quoi que ce soit.À ma grande surprise, elle ouvre la bouche, et notre inconnu y glisse sa grosse bite.Voir Emilie prendre cet homme entre ses lèvres me fait monter mon excitation au summum ; ce sexe va et vient entre les lèvres d’Emilie, qui le branle et lui caresse les couilles tout en le suçant. Vu la taille de ce sexe assez court, elle n’a aucun mal à l’engloutir en entier, mais son diamètre lui remplit bien la bouche, et je vois ses joues se déformer lorsqu’il bute contre elles. Il ne met pas très longtemps à jouir ; il éjacule au fond de la gorge de ma belle, qui le pompe jusqu’à la dernière goutte. Et moi qui n’avais encore jamais eu le droit de jouir dans sa bouche ! À ce spectacle, j’explose en elle en lui remplissant ses entrailles de mon jus.
Notre inconnu se rhabille et reprend son chemin après nous avoir remerciés et nous avoir dit que nous étions un très beau couple. Nous ne connaissons pas son prénom, qui il est, ni d’où il vient : il repart comme il est venu, sans bruit. Ma femme se retourne vers moi et me roule une pelle ; je goûte le sperme d’un autre homme dans la bouche de ma compagne.
Emilie enfile sa robe ; moi, je range les affaires. Nous reprenons nos vélos et repartons vers notre domicile, en laissant sur place, comme un souvenir, le string de ma belle. Nous avons prit un pied d’enfer, tous les deux ; nous avons découvert beaucoup de nouveaux plaisirs en cette belle journée : l’amour en pleine nature, à trois avec un inconnu. Arrivés chez nous, nous prenons une douche et nous refaisons l’amour, encore excités par ce qui vient de nous arriver.
Depuis cette journée mémorable, nous avons encore fait de belles balades, parfois en baisant en pleine nature, mais pour le moment nous n’avons encore rencontré personne lors de nos ébats. Ce souvenir restera gravé pour longtemps dans nos mémoires ; il nous a donné l’envie de découvrir de nouvelles choses afin d’épanouir notre sexualité. Nous aimerions faire cela avec un autre couple ; pourquoi pas, un jour ?
J’espère que vous avez pris autant de plaisir à nous lire que nous en avons eu au cours de cette journée, et en vous relatant ce moment inoubliable.
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