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Une belle doctoresse

Chapitre 1

Hétéro
Une belle doctoresse Maitre corbeau
Bonjour, c’est Hervé, je vais vous parler d’un de mes fantasmes. Depuis que j’ai eu l’âge de m’intéresser aux filles (14 ans), j’ai toujours beaucoup apprécié les filles d’Europe de l’Est que je trouvais plus sexy et moins coincées que les Occidentales que je fréquentais à l’époque. J’ai justement pu assouvir ce fantasme ; c’est-à-dire que j’ai fait l’amour avec une fille de l’Est. L’histoire que je vais vous raconter s’est passée chez le médecin alors que je devais recevoir un vaccin, tout ce qu’il y a de plus basique. Mais, ce jour-là, c’était un peu différent. Je suis arrivé à la réception du cabinet pour m’annoncer et la réceptionniste m’a dit que mon médecin habituel n’était pas là et que, de ce fait, ce serait sa stagiaire qui me ferait mon vaccin. Comme on se connaissait bien (ça faisait des années qu’elle était là et que j’allais dans ce cabinet pour des vaccins ou des contrôles, et je l’appréciais beaucoup en tant que personne), on s’est permis de se tutoyer ; elle me demanda : « Comment ça va avec Rosalie ? » (voir mon récit, chaude retenue). Eh oui, dans ma région, les nouvelles fusent à vitesse grand V mais ne choquent pas forcément les gens.— « Très bien, lui répondis-je, on s’aime comme pas permis.— Vous faites vraiment un très beau couple tous les deux malgré votre différence d’âge— L’âge importe peu, du moment qu’on s’aime. Et puis on n’a pas une différence d’âge très élevée. J’ai 19 ans et elle 35. Donc, ça ne choque pas puisqu’on est tous les deux majeurs.— Je peux voir sur ton visage que tu es heureux avec elle. Tous mes vœux à vous deux. Et sache que je te soutiendrai à 100% parce que je sais reconnaître un couple solide quand j’en vois un, et vous deux c’est indestructible.— Merci, Christine.— Ouh là là, tu vas rater ton rendez-vous. Dépêche-toi ! »
Je me hâtai donc de rejoindre la salle de vaccins. La stagiaire n’était pas encore là. En l’attendant, je regardais l’ameublement de la pièce. A l’opposé de la porte se trouvait une magnifique baie vitrée qui donnait sur une petite avenue, et ses rideaux rouges donnaient à la pièce un peu de couleur, d’harmonie. Suffisamment pour qu’on ne ressente pas le fait qu’on est dans un cabinet. Sur la gauche, une porte donnait probablement sur le bureau de mon docteur absent. A droite, je pouvais voir quelques tableaux de peintres célèbres comme Botticelli ou De Vinci qui décoraient ces murs blancs qui rappelaient l’atmosphère des hôpitaux à cause de leur blancheur terne. Au centre de la pièce, se trouvait un lit où le « patient » devait s’allonger. Bilan global de la pièce : c’est une pièce très agréable à voir mais je ne m’y attarderais pas à cause du fait que je suis dans un cabinet. Mais elle est différente des autres cabinets. Lorsque j’eus fini de regarder la pièce, la stagiaire entra. Dès que je la vis, mon sexe se développa à une vitesse comme seule Rosalie pouvait me le faire ressentir. Ses cheveux blonds tombant jusqu’à ses épaules et ses seins dont je pouvais distinguer les contours à travers sa blouse blanche faisaient naître en moi un violent désir. Sa blouse lui donnait un petit plus à son physique déjà agréable à voir. Elle m’ordonna d’enlever mon pull, ce que je fis. Elle me dit ensuite de l’attendre pendant qu’elle allait chercher mon dossier. A ce moment-là, un conflit intérieur me rongeait. Je n’aurais jamais imaginé tromper ma copine, mais là, cette fille me faisait bander comme un fou et je la trouvais très voluptueuse et très belle aussi. De plus, lorsqu’elle m’a dit de me déshabiller, j’ai remarqué un léger accent d’Europe de l’Est. Elle devait être Russe ou Bulgare et j’ai toujours beaucoup apprécié les filles de l’Est. Mais coucher avec elle serait trahir ma copine. Et je ne voulais pas la perdre. Finalement, je pris une décision : je me déshabillai entièrement de sorte à avoir ma bite de 18,4 cm à l’air. Ma queue n’avait jamais été aussi droite et aussi dure. Visiblement, cette stagiaire m’excitait et je voulais la baiser. La belle stagiaire reparut avec mon dossier et lorsqu’elle vit mon sexe dur et dressé, elle poussa un soupir d’émerveillement. “Belle queue !”Elle s’approcha de moi et commença à m’administrer une fellation à me faire oublier qui j’étais. Rien ne comptait plus sauf donner du plaisir à cette beauté en blouse blanche qui était en train de me sucer. Rendu fou par le désir, je sortis ma bite de sa bouche et lui retirai sa blouse. Elle portait un T-shirt bleu qui portait l’inscription « I love boys ». Ce qui se voyait vu la façon dont elle s’est jetée sur ma queue. Je lui retirai son T-shirt pour pouvoir voir ses seins. Ils étaient parfaitement mis en valeur avec ce soutien-gorge noir. Je le lui arrachai et pus admirer sa superbe poitrine que j’estimais à 95D. La stagiaire retira son pantalon et se retrouva en petite culotte (également noire) devant moi. Elle s’allongea sur le lit et je me mis sur elle. Je lui suçai ses seins avec passion en même temps que je lui retirai délicatement sa petite culotte. Une belle chatte avec de beaux poils noirs me fut dévoilée. Je continuai à lui sucer les seins tout en lui caressant la chatte. La belle eut le bon sens de ne pas crier mais de soupirer pour manifester son plaisir. Si elle avait crié, cela aurait risqué d’ameuter tout le cabinet. Après lui avoir sucé les seins pendant dix minutes au moins, je mis ma tête entre ses cuisses et me mis à lécher sa chatte de rêve. Elle soupira très fort. J’introduisis ensuite mon membre viril en elle et commençai à faire des mouvements de va-et-vient d’abord lentement puis de plus en plus violents. Les soupirs de plaisir de la stagiaire m’encourageaient à continuer de la baiser et à ne pas jouir trop vite (j’aurais pu jouir dans sa bouche pendant qu’elle me suçait tellement elle m’excitait, mais cela aurait été la décevoir et je déteste décevoir une femme). Je la retournai ensuite pour la mettre à quatre pattes, et lui léchai le cul. Elle adorait ça puisque je l’entendais soupirer de plaisir. Après cet anulingus, je me mis à la sodomiser d’abord lentement puis de plus en plus violemment et frénétiquement. Lorsque je sentis que le sperme montait dans ma bite, je lui demandai de se remettre sur le dos, ce qu’elle fit. Et je mis ma queue entre ses seins et commençai à me branler. Elle ouvrit la bouche pour recevoir ma bite. Chaque fois que mon membre viril entrait dans sa bouche, elle me taillait une pipe magistrale, ce qui ne tarda pas à me faire jouir et à inonder sa bouche de sperme. J’en n’avais jamais craché autant et je regardais le reste de mon jus qu’elle n’avait pas pu avaler descendre sur ses seins (il y avait pas mal de sperme sur ses seins).Après que j’eus joui, elle se leva et alla prendre une seringue pour m’administrer le vaccin que je devais initialement recevoir. Avant de me rhabiller et de partir, je lui dis que je voulais la revoir. Elle me donna une adresse et un numéro. Je me rendis compte ensuite que je ne connaissais pas son nom et le lui demandai.« Je m’appelle Ivana », me répondit-elle.Je lui avouai ensuite que je la trouvais très jolie et que j’avais aimé notre séance de « galipettes » et lui demandai ensuite d’où elle venait.« Je viens de Sofia » Je lui dis ensuite que j’espérais construire quelque chose avec elle. Elle me répondit qu’elle avait hâte de me revoir.« Appelle-moi.— T’inquiète pas, je t’appellerai — Demain, ok ?— D’accord, je te rappelle demain. »Et, pour conclure, nous échangeâmes un long baiser sensuel.Après m’être rhabillé, je lui caressai une dernière fois les seins avant de m’en aller et lui déposai un court baiser sur la bouche.Je m’en allai en songeant au dangereux mais agréable double jeu que je jouais. J’avais deux copines très sexy, une Française et une Bulgare. La première a 35 ans, la deuxième 25. Si vous voulez connaître la suite de ce récit, dites-le moi et j’en publierai la suite.Hervé
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