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Une si belle famille

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Ce soir va être un grand soir.Pour la première fois, nous allons avoir un chat webcam avec celui qui sera peut-être notre Maître.Nous avons passé une annonce sur plusieurs sites SM pour faire connaitre notre recherche.Dans cette annonce, nous précisions que nous étions un couple uni, désireux de devenir les soumis, voir plus d’un Maître exigeant, mais aussi courtois et éduqué. Bien que nous soyons débutant, nous étions très motivés et prêts à envisager une belle évolution.Nous avions reçu pas mal de réponses, la majorité provenant de fantasmeurs, faux pseudo, ou obsédés. Une réponse avait retenu notre attention. Le ton du message, la maîtrise du langage, et surtout peu d’allusions graveleuses. Plutôt une prise de connaissance.Au fur et à mesure du temps, une affinité s’est dégagée et, voyant que nous étions d’accord sur beaucoup de points, nous avons convenu de ce rendez-vous virtuel.Pour ce chat, nous avions accordé à notre fille la permission d’aller passer la nuit chez sa meilleure amie pour un pyjama partie. Les parents de son amie étaient aussi partis de notre cercle d’intime, ce qui facilitait les choses. Ainsi, nous serions tranquilles à la maison pour cette rencontre virtuelle.La journée avait été longue. J’avais en tête cette soirée et mes pensées n’étaient pas du tout au travail. Ma chatte se mouillait régulièrement, et je fréquentais régulièrement les toilettes pour soulager ma tension. Pour l’occasion je n’avais pas mis de culotte ce matin et avoir mon sexe à l’air augmentait mon excitation. J’ai plus que bien doigté mon trou de pisse, me retenant pour ne pas crier à chaque orgasme. Je me sentais de mieux en mieux dans mon état de chienne lubrique.Une collègue, Christine, avec qui j’étais très intime (mais ceci est une autre histoire) me demanda si tout allait bien en voyant mes fréquentes allées aux toilettes.Nous nous confions tous nos petits secrets, comme des ados, et je ne puis retenir mon envie de lui avouer la raison exacte de mes visites aux WC. Un peu choquée, elle me dit : « et bien dis donc, j’ai compté, cela fait cinq fois depuis le début de la matinée que tu vas te branler. ».En fin d’après-midi, en partant, je suis allé lui faire une bise. Christine m’a souhaité une bonne soirée, avec un grand sourire et un clin d’œil, en me faisant promettre de tout lui raconter lundi.Heureusement, le début de soirée a été occupé. Bain, maquillage, habillage avec des dessous sexy, un chemisier fin et une jupe 10 cm au-dessus des genoux. Ensuite le repas, partage avec mon mari Stéphane de nos journées respectives. Le pauvre, mon récit l’a fait bander comme un cheval, surtout quand je lui ai dit que j’avais tout avoué à Christine.À neuf heures pétante, nous étions dans notre chambre, connectés sur le chat. Attendant avec impatience l’apparition de notre contact. D’un commun accord, nous avions décidé que je mènerais le début de conversation.La sonnerie de demande de connexion retentit et c’est avec un picotement entre les cuisses que je cliquais sur OK en lançant la caméra.— Bonsoir Mélanie et .Stéphane.— Bonsoir Monsieur, nous sommes heureux de vous rencontrer.— Moi aussi, très satisfait de pouvoir constaté de visu que vous êtes bien réels. Alors, comment vous sentez vous ?— Un peu nerveux, mais surtout contents et excités tous les deux.— Parfait. Je vous reprécise ce que je vous ai déjà dit. J’attends de mes soumis une appartenance totale et sans restrictions. Aussi bien sexuelle que SM, physique que moral. Si nous nous entendons, vous devrez respecter toutes mes directives et mes envies. Êtes-vous toujours d’accord ?— Oui, c’est ce que nous désirons. Nous voulons devenir des esclaves obéissants et respectueux de notre Maître. Nous voulons nous livrer entièrement. Mais nous sommes débutants, alors nous demandons une certaine progression. En contrepartie, nous sommes très motivés et nous le désirons profondément.— Ne vous inquiétez pas, on peut être Dominateur et en même temps gentleman.L’échange s’est poursuivi, mon mari et moi nous nous sentions de plus en plus en confiance. À un moment mon mari me glissa discrètement que nous avions fait le bon choix. C’est lui me dit-il. Moi aussi je me sentais complètement partante, et la température montait dans la pièce. Je pouvais voir l’excitation de mon mari à la taille de la bosse dans son pantalon léger. Ma chatte était de plus en plus chaude, et je mouillais depuis un moment déjà, mes seins commençant à jaillir dessous mon chemisier.— Monsieur lui dis-je, Stéphane et moi sentons que nous sommes vraiment en phase avec vous. Nous voulons que vous soyez notre Maître. Nous acceptez-vous comme vos esclaves, vos salopes ?— Oui. À partir de maintenant vous m’appartenez. Je suis votre Maître, je vous possède entièrement.— Merci Maître.— Je veux vérifier la marchandise. Mélanie, met à poil ta pute de mari et présentes le moi.À ces mots, je reçus une décharge électrique. Enfin, le dressage de notre couple commençait.Je regardais mon mari. Lui aussi était dans un état second. Il se leva, le bras le long du corps. Je le plaçais face à la caméra et je commençais à lui retirer son polo, doucement. Son torse apparu. Ensuite je fis descendre son pantalon. On voyait nettement sa bite coincée dans son boxer qui ne demandait qu’à s’échapper. En même temps, sa respiration s’accélérait au rythme de son excitation. Se sentir dévoilé comme ça le rendait fou. Enfin je retirais son boxer. Voir sa queue toute dressée me fit émettre un soupir. Mais je savais que je ne pouvais pas y toucher.— Belle queue dit notre Maître. Voilà une petite lope dont je vais avoir plaisir à m’occuper. Retourne le Mélanie et montre-moi bien son cul de chienne.Stéphane se retourna. Je le fis pencher en avant, les jambes écartées. Je saisis son cul et écarta bien ses fesses pour ouvrir son trou du cul à notre Maître. Voir mon mari ainsi exhibé sans retenue fit encore monter mon excitation d’un cran. Que c’était bon.— Enfile tes doigts dans son cul pour commencer sa formation.— Toi, Stéphane, demande à ta femme de t’enculer.— S’il te plait, encule la pute qui te sert de mari.Ces mots ont déclenchés une irrésistible envie de lui défoncer son cul. Je fis pénétrer un doigt puis deux et je commençais à lui branler son cul en le traitant de salope. Mes seins devenaient durs et les tétons pointaient à travers mon chemisier. Mon string était tout mouillé de la bave qui s’échappait de ma chatte.Au bout de cinq minutes d’enculage de mon mari, le Maître m’ordonna d’arrêter, à mon grand regret.— À ton tour Mélanie de faire la pute. Stéphane met à poil ta femme qui est maintenant ma salope.Je regardais mon mari, et je vis une étincelle dans ses yeux. C’est avec un désir fou que je m’abandonnais dans ses mains.Debout, face à la caméra en fixant celle-ci intensément, je laissais Stéphane m’exposer à notre Maître. Il commença par remonter ma jupe pour découvrir mes cuisses rondes. Puis il tira d’un coup dessus. Je me retrouvais en string, la fente trempée et fier de me montrer ainsi. Je découvrais le plaisir de l’exhibition. Sans prendre le temps de déboutonner mon chemisier, mon mari l’arracha. Je le sentais très excité d’exposer sa femme ainsi. Sa bite était bien dressée vers le plafond. La violence de son geste me surprit. Mes seins apparurent, uniquement tenus par un soutien-gorge pigeonnant, mes tétons dressés comme si eux aussi étaient fiers de se montrer. Stéphane prit une paire de ciseaux sur la table à coté, et, sans hésitation coupa mon string et mon soutien-gorge. Mon mari était décidément bien inspiré ce soir. Il faut croire que cette séance lui plaisait beaucoup.Enfin, j’étais complètement nue devant un étranger, et devant mon mari. Je ressentis un sentiment de bien-être et de plénitude.Stéphane me fit écarter mes jambes et pris ma chatte entre ses mains. Les doigts sur les lèvres, il les écarta pour bien ouvrir mon trou. Sur l’écran de contrôle de notre caméra du chat, je pouvais voir ma chatte écartée, la couleur blanche de la peau tranchant avec le rose de mon vagin ouvert. Je pouvais voir aussi mon trou du pipi. Je pensais qu’une table de gynéco aurait été la bienvenue.— Retourne la que je vois son cul, dis le Maître.Aussitôt dit, aussitôt fait. Stéphane me pris les épaules, me tourna, et me fit pencher en avant à 90 degrés. Je sentis ses mains sur mes fesses. Il écarta celles-ci et mon trou du caca s’est ouvert, accueillant. Sans attendre l’ordre du Maître, il planta deux doigts dedans et me laboura consciencieusement mon trou. Je l’encourageais en remuant mon cul, ce qui fit vibrer les deux globes de mes fesses.Au bord de la jouissance, j’entendis le maître dire :— Parfait. Cela n’était pas prévu, mais cette séance me prouve que vous êtes vraiment ce que je cherchais. Je vous félicite.— Merci Maître, nous répondîmes en cœur. Nous sommes très contents que vous nous considériez à la hauteur. Nous sommes très excités, et décidés à poursuivre avec vous. S’il vous plait, acceptez nous comme vos esclaves, nous le désirons vraiment.— Oui, je vous prends comme esclaves. À partir de maintenant vous m’appartenez. Mais je vais vous laisser 48 heures pour vraiment vous décider. Parlez en entre vous, en sachant que votre décision sera irréversible, et que vous vous engagerez entièrement.
À suivre …
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