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Une si belle famille

Chapitre 3

SM / Fétichisme
La nuit qui a suivi notre premier chat avec notre Maître a été chaude. Mon mari m’a ramoné mes trous avec sa bite, mais aussi avec tout ce qu’il a pu trouver sous sa main. J’étais remplie comme jamais, et je criais ma jouissance en disant que j’allais devenir la putain de la terre. Lui me suppliait de l’enculer le plus fort possible. Il clamait haut et fort qu’il voulait sucer toutes les chattes et les bites qui passeraient à sa portée, et de se faire défoncer le fion.Le Maître nous avait donné 48 heures de réflexion, mais notre décision était prise. Nous étions devenus ses salopes soumises. Dès le lendemain, je lui envoyais un mail dans ce sens.Le lundi, ma collègue Christine me sauta dessus dès mon arrivée au travail.— Viens me dit-elle. On va aller se prendre un café, et tu vas me raconter.Je lui racontais dans les grandes lignes not soirée chat.— Toi, tu ne me racontes pas tout, grande cachotières. Aller, ne soit pas timide.Alors je suis entré dans les détails. Il faut dire que cela m’excitais de mettre au courant Christine. Je lui ai décrit notre exposition, nos enculages mutuels, mon mari et moi, et la suite de la nuit avec mon mari.Heureusement que nous étions dans un coin reculé de la cafétéria, car au fur et à mesure de mon récit, je vis la main de Christine descendre sous la table. À la vue des mouvements de son bras, il ne fallait pas être grand clerc pour deviner qu’elle était en train de se branler.— Et bien dis donc, on dirait que ça t’excite grave. Sois discrète quand même. Sinon tu vas avoir des surprises. Ça te fait envie ?— Heu, je ne sais pas. Oui peut-être. En tous cas j’adore t’entendre et suivre votre évolution à distance, par ta bouche. Ça oui ça m’excite.— Confidence pour confidence, savoir que tu sais, ça me rend folle aussi. Et si ça te donne des idées, on ne sait jamais, n’hésites pas.Sur ce, il fallait quand même travailler. Nous sommes allés dans nos bureaux respectifs en nous faisant des bisous sages mais tendres.Le soir en rentrant à la maison, ma fille se précipita sur moi.— Maman, la batterie de ma tablette est à plat et j’ai oublié mon chargeur chez Corinne vendredi, et j’ai un truc à voir sur le net pour demain. Tu me prêtes ton PC ?— D’accord, il est dans notre chambre. J’arrive.Je ne voulais pas laisser Cloé seule sur mon PC. Connaissant ses talents de fouineuse, elle est de nature très curieuse, et sachant ce qu’il y avait sur le disque, je ne voulais pas tenter le diable.Donc, postée en mode garde barrière, je regardais Cloé faire ses recherches.Le téléphone sonne.Aie, j’allais être obligée de répondre. Je descendis quatre à quatre les escaliers vers ce foutu téléphone. C’était mon mari qui avait besoin d’une référence de facture pour un de ses clients. J’expédiais la chose le plus rapidement possible, et je retournais à mon poste de garde. Et là, arroseur arrosé.Bien au milieu de l’écran, Cloé lisait attentivement notre annonce.Comment allais-je m’en sortir ???Ma fille ayant senti ma présence, elle tourna lentement la tête vers moi et dit :— Et bien mamoune, quelle surprise !!— Alors comme ça, tu fouilles mon ordi ?— D’abord, je n’ai pas fouillé. J’ai ouvert ton éditeur de texte pour taper un petit mémo vite fait, et je suis tombé sur ton historique de fichiers. Pure hasard. Et puis il n’y a pas de quoi en faire un scandale. Papa et toi avez le droit de vivre votre vie.
J’étais interloqué qu’elle le prenne si bien. C’est vrai que nous avons toujours été proche de notre fille, pas cool tout le temps, mais compréhensif. Disons que les choses de la vie n’ont jamais été un mystère pour elle, et que nos discussions portaient quelques fois sur des sujets libres.Perdue dans mes pensées, elle continua :— C’est vrai que j’ai été un peu surprise, au début, mais bon, à partir du moment où c’est librement consenti, je ne vois pas de quoi crier au loup. D’ailleurs je dois t’avouer que ce n’est pas pour me déplaire. J’ai aussi ce petit penchant, ma petite maman. Tels parents, telle fille.Et elle éclata de rire.Complètement déstabilisée par ses paroles, mon cerveau tournait à cent à l’heure pour trouver la réponse adéquat. Je décidais de pousser plus loin pour avoir le cœur net sur ses intentions.— Et bien, nous sommes une belle famille de salopes ! fis-je.— Ah ça, ma petite maman chérie, nous le découvrons ensemble.Et là, elle me sortit l’argument imparable :— Comme ça, vous n’aurez plus à vous cacher pour vos rendez-vous éventuels. Ce sera plus facile pour nous tous.— Ah bravo !! (je ne pus m’empêcher de sourire). Au moins tu vois le bon côté des choses ma chérie.— Vous avez trouvé un Maître ?— Oui. Nous avons un très bon contact.— Et vous allez le rencontrer ?— Sans doute, Enfin oui, bien sûr. Il faut savoir ce que l’on veut.— Oh mamounette, je pourrais venir avec vous ?Alors là c’est le bouquet ! Voilà que ma fille s’y met aussi. Quelle soirée ! En fait, je n’étais qu’au début de mes découvertes concernant Cloé, mais je découvrirais cela plus tard.— Écoutes, je ne sais pas. D’abord il va falloir que j’en parle avec ton père, ensuite que nous en parlions avec le Maître. Je ne peux pas savoir leurs réactions comme ça. En ce qui me concerne, je dois dire que, même si la situation semble m’échapper, cette idée m’émoustille grandement.Pourquoi mentir ? De nouveau, cette conversation avait alimenté la chaudière qui se tenait entre mes cuisses. Être soumise avec mon mari, délicieuse idée, mais avec et en présence de notre fille, grandiose !! Cela devenait salace et pervers, comme Stéphane et moi l’avions envisagé. Même au-delà de nos rêves les plus fous. Vive la dépravation !!Je fis promettre à ma fille la plus grande discrétion, en échange de quoi, je ferais mon possible pour accéder à ses (nos ?) désirs. Elle se précipita vers moi pour me prendre dans ses bras et me faire de gros poutous. Ah l’amour filial !Ma fille partie, je n’en pouvais plus. Je me suis allongée sur notre lit, pantalon et culotte sur le sol, cuisses largement écartées, bien face à notre miroir pour voir parfaitement mon trou de pute, et je me suis branlé furieusement. Je n’ai jamais ramoné ma chatte comme cela auparavant, en me claquant mes lèvres jusqu’à l’orgasme. J’avais en tête l’image de ma fille me regardant.Classiquement, le soir, dans notre quartier général qui nous servait de chambre, j’informais mon adorable mari de l’évolution de la situation. J’étais à peu près sûr de sa réaction. Bien sûr il donna son accord, ravi que notre famille soit sur la même longueur d’onde. Je décidais d’envoyer un mail à notre Maître pour avoir son avis. Complètement excitée par notre conversation je lui dis :— Encules moi chéri, défonces moi le cul. J’ai besoin que tu déchires la putain qui te sert de femme. Fais-moi salope. Réveille la connasse qui sommeille en moiSans attendre, il me retourna d’un geste sec. Sans préparation, il enfila sa bite dans mon cul, d’un coup en poussant un cri.— Tiens connasse, prends ça dans ton cul de chienne. Tu n’es qu’une putain qui vend sa fille au premier venu. Tu vas le payer quand notre Maître va le savoir.Je sentais sa bite aller et venir dans mon cul. J’avais mal, et en même temps je sentais le plaisir monter. Le l’aidais en reculant le plus possible mes fesses vers lui, pour bien sentir ses couilles contre ma raie.— Plus fort criais-je, encore, baise le cul de la pute. Elle ne mérite que ça. Je suis un garage à bite. Remplis-moi de ton foutre.Je m’écroulais sur le lit dans un orgasme fantastique, en espérant que ma fille avait entendu sa mère se faire baiser comme la belle salope qu’elle me savait être.
À suivre …
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