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Une si belle famille

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Petit rappel pour les absents :Mélanie, la mère, 42 ans, comptable dans une entreprise, soumise,Stéphane, le père, 45 ans, artisan menuisier, soumis,Cloé, la fille, 19 ans, étudiante, soumise,Christine, 51 ans, collègue de travail de Mélanie.D’autres personnages vont entrer dans cette histoire dans les prochains chapitres.
Deux semaines s’étaient écoulées. Suite à la révélation de ma fille (voir le chapitre 3), je sentais bien que nous étions en train de déraper. Mais mon mari et moi y trouvions un vrai plaisir pervers. Cette montée aux enfers nous excitait grandement, et la dépravation qui se profilait à l’horizon nous faisait très envie.Nous avions recontacté le Maître pour l’informer de la nouveauté, à savoir, le désir de notre fille de participer à la fête. Il donna son accord, après s’être assuré que Cloé était majeure et décidée. Nous avons pris rendez-vous pour le premier contact tant désiré.C’était un samedi en fin d’après-midi. Nous nous étions préparé avec soin, aussi bien Cloé que mon mari. Une tenue sexy pour les filles, mais raisonnable tout de même, et un style sport décontracté pour Stéphane. À la demande de notre Maître, nous avions revêtu des dessous, culotte et soutien-gorge. Bien sûr, les classiques portes jarretelles et bas. Nous avons dû en acheté pour Cloé, ceux-ci ne faisant pas encore parti de sa panoplie vestimentaire.Heureusement, nous habitions pas très loin de chez notre Maître, à peine plus d’une heure de trajet. Nous étions plus qu’excité à la pensée de cette première rencontre, et le voyage fut animé.Nous sommes arrivés vers 17 heures trente. La maison de notre Maître était un peu isolée, ce qui nous plut beaucoup. Stéphane gara la voiture dans la petite cour intérieure. À peine garés, le Maître apparu à la porte, et se dirigea vers nous.Il était encore mieux que ce que nous avions aperçu lors de nos discussions sur le net. Pas très grand, mince, avec une grande prestance, et une autorité naturelle qui se lisait dans son regard.— Bonjour nous dit-il. La route a été bonne ?Sans attendre notre réponse, il vint en face de moi, et d’un geste sûr, il m’embrassa sur la bouche, sa langue fouillant la mienne. Je lui rendis son baiser avec fougue. Quelle belle entrée en matière.Le Maître alla vers Cloé et lui appliqua le même traitement. Je regardais mon mari qui avait les yeux grands ouverts. Il appréciait ce spectacle, les deux chiennes mises au pas dès le début. Le Maître se contenta de lui serrer la main.Stéphane sortis les quelques bagages que nous avions pris, et nous sommes entrés.Nous nous sommes installés dans le salon. Le Maître était assis en face de nous dans un fauteuil, Cloé et moi dans le canapé, Stéphane dans un fauteuil également.— Comme je vous l’ai dit, je vais vous donner votre contrat de soumises et de soumis. Lisez-le, et s’il vous convient, signez-le, précédé de la mention « lu et approuvé ». À partir de là, vous serez mes esclaves et vous ne pourrez plus revenir en arrière, sauf à rompre ce contrat et cesser nos relations.C’était un document établissant les règles de soumission, nos devoirs et obligations, en 17 chapitres. La lecture m’échauffait, et je sentais Cloé et Stéphane monter en température également. Nous avons signé avec un immense plaisir. Notre soumission prenait un tour concret.— Allé Cloé, tu ne t’es pas présentée à ton Maître. Tes parents y ont u droit par cam interposée, alors tu vas commencer. Mélanie, tu vas mettre à poil ta fille devant nous et bien l’exposer.— Oui Maître répondis-je avec un regard gourmand.Ma fille portait une robe moulante s’arrêtant 10 cm au-dessus de ses genoux, avec un décolleté mettant sa belle poitrine héritée de sa mère en valeur.Elle se leva pour aller au milieu de le pièce avec une démarche lascive. Je la suivais, et vint derrière elle pour atteindre la fermeture éclair de sa robe. Mettre ma propre fille à poil m’excitait, et m’humiliait en même temps. Ma gorge devenait sèche.Je pris les bretelles de sa robe et les fit glisser lentement le long de ses bras. Sa robe tomba pour découvrir ses seins tenus par son soutiens gorge transparent. Cloé regardait notre Maître droit dans ses yeux, avec un petit sourire de satisfaction. Je ne savais que ma fille pouvait être aussi salope, mais elle a de qui tenir.
Je fis glisser sa robe sur ses fesses, puis ses cuisses, dans un mouvement lent. Finalement elle tomba sur ses chevilles, dévoilant ma fille en culotte, bas et porte jarretelles. Qu’elle était belle avec ses cuisses rondes et son cul rebondit. Je sentais ma chatte se mouiller, et mes seins commençaient à pointer sous mon chemisier. Mon mari n’en perdait pas une miette.Notre Maître avait l’air satisfait aussi. Il regardait Cloé, mais aussi moi et Stéphane, pour s’assurer que notre excitation grandissait au fur et à mesure que Cloé perdait sa dignité et ses vêtements.Je dégrafais son soutien-gorge d’un geste sec. Ses seins pointèrent immédiatement. Il faut dire que, contrairement à ma poitrine, ma fille possédait des tétons conséquents. Je dus me retenir pour ne pas prendre ses nichons à pleine main. J’en avais très envie, mais ce n’était l’ordre que m’avait donné mon Maître.Presque nue, ma fille bougeait un peu, faisant peser son corps d’une jambe sur l’autre. Ce mouvement de balancement était très érotique, et mettait en lumière son superbe cul. Je la pris par les épaules pour la faire tourner de manière à ce que notre Maître puisse en profiter.Je mis mes doigts dans sa culotte sur les bords, et je fis descendre celle-ci lentement, très lentement pour découvrir sa chatte complètement rasée. J’arrêtais à mi-cuisses et lui fit ouvrir ses jambes en tendant au maximum sa culotte. Ma fille était presque nue, son sexe et ses seins à la vue de tout le monde. Je la mettais bien en face du Maître, la laissant plusieurs secondes dans cette position. Je lui retirais sa culotte enfin. D’un geste élégant, elle jeta celle-ci d’un mouvement de la jambe en gardant ses cuisses bien écartées. Mon mari commençait à en plus tenir en place. Voir la chatte et les seins de sa fille ainsi le mettais dans un état pas possible. D’un geste alternatif de l’index, le Maître lui fit comprendre qu’il lui était interdit de succomber à son envie.Je me plaçais derrière ma fille et je passais mes mains sur sa chatte en lui écartant ses lèvres. Son trou était ouvert découvrant les chairs de son vagin. Ma fille avait la peau blanche et le rose de son trou contrastait fortement.— Maître dois-je lui retirer ses bas ou laisser ma fille qui vous sers de pute comme cela ?— Laisse-lui ses bas et son porte-jarretelles cela la fait bien plus salope.Je retournais Cloé. Son cul apparu dans toute sa beauté. Je pensais que le Maître serait content de lui claquer ces deux beaux globes. Une main sur son cou, je la fis se courber. Je dis à ma fille d’écarter ses fesses avec ses mains. Ce qu’elle fit sans hésitation. Comme nous l’avions fait lors de notre présentation mon mari et moi, j’insérais un doigt dans son cul et je commençais un mouvement de va et viens. Cloé ne s’y attendais pas et elle eue un petit mouvement de surprise, puis elle se laissa faire.— Parfait dit le Maître, Tu as de bonnes dispositions Cloé. Tes parents ont eu raison de me vanter tes qualités. Va t’assoir maintenant, et puisque ta mère est en place, elle va se mettre à poil aussi.Je compris pourquoi le Maître nous avait dit de mettre des sous-vêtements. Il voulait profiter d’un effeuillage complet.J’étais vêtue d’un chemisier et d’une jupe à la même longueur que celle de la fille.Je décidais de remuer mes hanches dans un balancement lascif en me déshabillant. J’étais très excitée par l’exhibe de ma fille, et je désirais être nue le plus vite possible. Je voulais que ma fille voie sa mère à poil et comprenne à quel point j’étais salope. Cette pensée me rendait folle.Mon chemisier disparu assez vite, découvrant ma poitrine avec mon soutien-gorge ouvert sur mes tétons. J’avais mis du rouge à lèvres dessus pour les mettre en valeur. Me mains se dirigèrent vers ma culotte. Je la fis glisser sur mes cuisses en faisant passer ma langue sur mes lèvres. Ma culotte à mes chevilles, j’écartais largement mes jambes et je me plantais d’un seul coup deux doigts dans ma chatte. Ma fille fit un petit « oh » et fixa son regard sur mes doigts qui ramonaient mon trou. C’est vrai qu’elle n’avait pas vu sa mère à poil depuis des années, et surtout pas celle-ci se branler la chatte comme une putain que j’étais en train de devenir.Sentant le plaisir monter, je me rassis bien en face du Maître, les cuisses bien écartées, comme il était demandé dans le contrat que nous venions de signer. A cette vue, ma fille m’imita immédiatement. Le Maître avait une vue imprenable sur les deux trous de la mère et la fille déjà bien huilés par l’excitation.Ce fut au tour de mon mari. Il se leva et se plaça au milieu de la pièce.— As-tu déjà vu la bite de ton père Cloé ?— Non répondit-elle, je n’en ai aucun souvenir.— Cela t’excites de la voir. De voir cette queue qui a baisé ta mère pour te concevoir ?— Oui, beaucoup.— Alors vas-y cocu, fais ce plaisir à ta fille.Stéphane était passablement chauffé par les précédents spectacles que moi et ma fille lui avions offerts. Cela se voyait à travers son pantalon léger. Il retira sa chemise d’abord, laissant le principal pour plus tard. Voir mon mari, le père de ma fille se mettre à nu devant nous me chamboulait complètement. Nous étions bien sur le chemin de la soumission totale dont nous rêvions.Le pantalon a suivi le même chemin que sa chemise, faisant apparaître mon mari avec son petit slip. Sa bite tendait tellement le slip que les bords étaient décollés faisant apparaître le bas de ses couilles. Enfin, Stéphane fit tomber le slip sur ses chevilles, libérant sa belle bite bien droite. Cloé avait le regard hypnotisé par ce bâton bien droit. Mon mari prit sa bite à pleine main et commenças à se branler doucement en la tirant au maximum entre ses cuisses vers son cul.— Tu vois Cloé dans quel état tu as mis ton père ? dit le Maître. Tu n’as pas le droit de le laisser ainsi. Tu vas sucer ton père, et ensuite il va te baiser comme la pute que tu es.Je dois dire que cette pensée m’avait effleurée, sans m’y attarder. Je savais que le Maître nous ferait pratiquer l’inceste, mais y être confrontée dans la réalité est autre chose. Après un moment de panique, je me suis calmée. Cela faisait partie du contrat. Et mon esprit s’habituait à cette idée, la perversion prenant le dessus sur le tabou. Quand je déshabillais Cloé, j’avais eu des envies de la toucher, voire de la baiser. Alors …— C’est ta mère qui va introduire la bite de ton père dans ta chatte, et qui va l’assister pour qu’il te baise, ajouta le Maître.Je regardais Cloé. Elle n’avait pas l’air dérangée par cette idée. Je dirais même que celui lui faisait très envie.Ma fille se leva et se mit à genoux devant son père. Elle prit délicatement la queue paternelle entre ses mains, sortit sa langue et lécha délicatement le bout le la bite de son père. Puis, ses lèvres ont entouré le gland dans un mouvement de succion. Mon mari avait les yeux fermés, sans doute pour mieux gouter le plaisir d’être sucer par sa fille. Puis Cloé descendit le long de la tige doucement jusqu’à engloutir pratiquement jusqu’aux couilles la bite de son père. Elle commença un mouvement de va et vient sur la tige avec sa bouche bien fermée. Mon mari commençait à gémir, en regardant la tête de sa fille aller et venir. Je ne savais pas ma fille si douée pour les pipes. A priori elle avait de l’expérience, à moins que le fait de sucer son père lui donnait de l’inspiration.La voix du Maître retentit :— Stéphane, insultes ta fille pour apprécier de sucer son père.— Tu n’es qu’une salope Cloé. Tu n’attendais que ça de me sucer. Tu es une putain, comme ta mère qui regarde ça avec un grand sourire. Vous êtes deux grandes salopes.Je ne puis m’empêcher d’ajouter :— Et toi tu n’es qu’un vieux pervers de donner en spectacle ta femme et ta fille comme ça.Depuis notre arrivée, l’ambiance devenait de plus en plus électrique. Notre excitation montait graduellement, sous la direction de notre Maître. Nous devenions chaque minute plus soumis, plus pervers, plus dépravés. J’aimais ça ! J’adorais ça ! Chacun à notre manière, nous devenions accros.Le Maître ordonna à Stéphane de s’allonger sur le dos. Sa bite était dressée bien droite vers le plafond, suite au traitement que lui avait fait subir Cloé. Il me dit d’amener Cloé sur son père à cheval et de procéder à l’insertion incestueuse. Je savais que ma fille n’était plus vierge, donc pas de soucis de ce côté.J’amenais Cloé sur son père, plaçant sa chatte au-dessus de sa queue. J’étais fier du corps de ma fille, des formes et des rondeurs que j’avais créées, faites pour faire bander un régiment d’impuissants. Je pris la bite de son père d’une main, et je mis l’autre sur son épaule. Je fis descendre doucement ma fille sur la queue de son père pour qu’elle puisse profiter de l’intromission, et que notre Maître puisse apprécier notre perversité. Cloé émit un petit soupir quand elle sentit le gland toucher les lèvres de sa chatte. Quelle pute ma fille ! Elle n’attendait que ça que de se faire mettre par son père. Le gland avait disparu dans son trou. Alors, d’un seul coup, je la fis s’assoir sur la queue paternelle. Celle-ci avait complètement disparue dans la chatte de Cloé. Les couilles de son père touchant son cul rebondit. Cloé se mit à jouer le yoyo sur son père. Elle mouillait tellement que je voyais une crème blanche se former sur la bite de mon mari. J’étais dans un état second. Voir le père de ma fille baiser celle-ci me rendait folle. Je me déplaçais devant Cloé, pris sa tête entre mes mains et complétais l’inceste père fille par l’inceste mère fille en lui prenant sa bouche. Elle ouvrit la sienne aussitôt et enfonça profondément sa langue dans ma bouche. Nous avions les lèvres grandes ouvertes, nos dents s’entrechoquant et nos langues fouillant au plus profond. J’aurais voulu que la terre entière nous voit tous les trois en train de se baiser. D’un même mouvement, nos mains se sont retrouvées sur nos nichons. Nous nous malaxions nos seins, en tirant sur nos tétons. Cloé continuais son ramonage de chatte sur la bite de son père. Elle laissa un de mes seins pour venir sur ma chatte. J’écartais mes cuisses pour lui faciliter l’accès à mon trou de pute. Elle rentra facilement un puis deux et trois doigts dans ma chatte, et commença à me branler.Stéphane gémissait de plus en plus. Sa fille lui baisait la bite avec beaucoup de maîtrise. Cloé approchait aussi de l’orgasme en disant tout ce qu’il lui passait par la tête :— Baise-moi papa, baise ta salope de fille. Remplis-moi de ton foutre. Je veux sentir to sperme tapisser mon trou. Plus fort, démontes la chatte de ta fille.Ces mots et les doigts de Cloé dans ma chatte m’amenaient au paroxysme. Dans un grand râle je m’écroulais sur le sol en jouissant comme jamais. J’avais les jambes qui tremblaient et j’étais dans une demi-conscience. Cloé se mit à jouir bruyamment à ce moment en sentant son père éjaculer en elle. Nous étions tous trois sur une autre planète en attendant de reprendre nos esprits.Le Maître, lui était resté assis dans son fauteuil, savourant le spectacle de cette famille qui venait de s’abandonner complètement à lui.Et ce n’était pas finit, nous ne devions repartir que le lendemain.
À suivre …
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