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Une belle-fille particulière

Chapitre 4

Divers
L’action conjuguée de leurs deux bouches s’activant sur mon corps a vite chassé cette idée portant enivrante.Stéphanie a maintenant ma queue en bouche alors que Chloé essaie de trouver ma langue avec la sienne. Il faut dire aussi que je lui facilite le travail.
Tout ceci se déroule en silence mais la voix de Stéf vient agréablement rompre cette Omerta, et ce pour notre plus grand plaisir.
« Tu sais Chloé, je ne sais pas si cela serait une première pour Olivier mais quoi qu’il en soit je suis convaincue qu’il adorerait se faire sucer les couilles en même temps que la queue. Ça te dit de m’aider à accomplir cette mission ? »
« Mon Lieutenant ! Je suis votre soldat ! Et en dégorgeant la queue de cet imprudent passé derrière nos lignes, j’espère bien obtenir un grade supérieur dans votre bataillon de salopes ! »
Décidément, le langage cru de Cloé faisait mouche à chaque fois et cela avait pour conséquence de provoquer un fulgurant afflux de sang vers ma bite. Je me demandais où elle allait chercher tout ça et si elle le faisait sciemment ?
« Vide moi ces couilles jusqu’à la dernière goutte et tu seras promue « Videuse en chef ! », ainsi tu auras l’honneur de finir ta carrière dans les baraquements à vider leur couilles et à vidanger les tiennes ! »
Là-dessus elle commence à lécher et sucer mes burnes en émettant des sons que je n’avais jamais entendus à part dans des documentaires sur les animaux en rut !
Ma somptueuse belle fille avait quant à elle tout simplement fait disparaître ma queue dans sa délectable bouche !
Quel bonheur de les voir s’affairer ainsi sur ma personne. Mais je n’allais pas à rester sans rien faire très longtemps.Chloé trouva certainement sa position inconfortable puisqu’elle décida de se mettre en « 69 » sur moi.
C’était la première fois que je voyais une bite d’aussi prêt mais je n’avais qu’une hâte, la sentir bien profond dans ma bouche et ma gorge.Dieu que c’était bon ! En plus la propriétaire de cet énorme dard était également parée d’une pulpeuse bouche de femme et une douce et généreuse poitrine qui me caressait le bas du ventre.
Depuis ce matin je savais que j’allais sucer ma première bite et je craignais de ressentir une gêne, comme si on allait introduire un corps étranger en moi, mais c’était tout l’inverse, la sensation de cette verge dans ma bouche était très agréable, j’avais l’impression qu’elle s’adaptait parfaitement à ma bouche et qu’elle allait et venait dans son étui fait sur mesure.
De plus ses couilles étaient d’une douceur inouïe et je lui demandais : « comment fais-tu pour avoir les bourses si douces ma chérie ? »« Je me rase et m’épile souvent, en fait je fais en sorte d’éliminer de mon corps tout ce qui pourrait faire masculin »
Je comprends maintenant pourquoi elle est toujours si féminine, voir sexy de temps en temps à la maison.
Elle ondulait sur moi et à part mon dos tout le reste de mon corps était pratiquement couvert des douces caresses de mes deux amantes.
A chaque fois que ma queue s’enfonçait dans la bouche de Chloé, la sienne plongeait au même instant dans la mienne. C’était hallucinant de précision, comme une redoutable machine programmée pour la jouissance. J’avais l’impression que le plaisir était multiplié par dix, surtout que pendant ce temps, Stéphanie alternait entre suçons et coups de langue sur mes couilles prêtes à exploser.
Je pense bien que j’étais sur le point de me laisser partir sur une vague de jouissance un peu égoïste, je l’admets, quand Chloé demanda : « maman, tu dois avoir envie qu’on s’occupe de toi ? Nous on se donne du plaisir, mais et toi ? »
Là, je me suis dit, tient, elle doit vouloir engouffrer sa grosse queue dans la fente débordante de cyprine de sa mère, mais va-t-elle se souvenir que c’est censé être la première fois qu’elle le fait ! Intéressant, non ?
Mais Stéf prend vite les choses en mains : « j’ai très envie que tu me pénètre ma chérie mais il faut y aller doucement car c’est la première fois pour toi, à moins que tu aies fais l’amour à une femme dernièrement et que tu n’aies pas eu le temps de m’en parler ? »
Putain, je l’admire ! On ne pouvait pas dire mieux pour cadrer les choses et recentrer le débat !
« Non, non, rien de nouveau de ce côté-là, tu serais au courant maman. »
J’étais quand même persuadé que la petite allait faire une gaffe à un moment je restais donc à l’écoute.
Elles s’allongent sur le flanc pour me donner un meilleur point vue de cette pénétration (soit disant le dépucelage de Chloé !)
Et la gaffe arriva rapidement, non pas par ses paroles comme je m’y attendais mais par ses gestes.
En effet, au lieu d’introduire directement son sexe dans la chatte offerte de sa mère et de commencer à la bourrer jusqu’à l’éjaculation comme tout puceau qui se respecte, Chloé lui suçota délicatement le clitoris pendant une minute puis commença un lent mouvement de va et vient avec sa verge entre ses lèvres jusqu’à son petit bouton autour duquel elle tournait 2, 3 fois avant de repartir en arrière.
Cela était bien le fruit d’années de pratique et d’expérience, on n’improvise pas ce genre gestes !
Stéphanie gémissais, se tortillait sous les caresses de sa fille soudainement experte et m’intima, par de petits mouvements de la bouche qu’elle voulait me sucer en même temps.
Ce fut chose faite, elle était comblée par ces deux queues qui la fouillaient, car Chloé était maintenant bien enfoncée en elle et commençait à la fourrer à un rythme soutenu.
Je ne pouvais pas m’empêcher de penser à ce que j’avais entendu sur le pas de la porte et il me vint une idée. « Chloé, ma puce. On pourrait demander à maman de se mettre sur les genoux et comme ça je pourrais m’occuper de ses jolies fesses ? »
« Oh oui vas-y, montre-moi bien ce qu’elle peut prendre dans son cul ! »
Je n’aurais jamais pensé avoir une belle fille si perverse et vicieuse. Dieu ! Que j’aime ça !
« Eh doucement ma chérie, ne t’excite pas trop ! On parle des fesses de ta maman là ! » Dit Stéphanie en souriant et en changeant de position, nous offrant ainsi sa magnifique croupe.
« Allez mes deux queues, faite moi jouir comme un folle ! Déchaîne-toi ma fille ! »
Chloé s’empresse de présenter son pieu devant la moule ruisselante de sa mère en lui écartant les fesses pour bien me dévoiler son œillet brun qui palpite déjà de plaisir.
Puis elle laisse couler de sa bouche un filet de salive qui atterrit sur la rosette de Stéphanie au moment où elle enfonce brutalement son dard dans le con de sa mère.
Cette scène était d’une obscénité presque dérangeante mais je crois que tous les producteurs de films « x » se seraient battus pour pouvoir la filmer.
« Aaah ! Aaah ! J’aime ça ! Ooh ma fille, ton énorme queue me remplit bien la chatte ! Ooh ! C’est bon ! Continue !»
Je glisse d’abord un doigt, puis deux, puis ma langue que je mets en mode « marteau piqueur » dans son œillet pendant que Chloé la bourre sans ménagement.
Mais mon objectif est bien sûr de fouiller le cul de cette petite salope de belle fille et je dois vite embrayer la dessus. Je reprends alors la paire ciseaux dans le tiroir et lui propose de trouer l’arrière de son collant afin de lui prodiguer les mêmes soins qu’à sa mère.
Elle semble ravie par mon initiative puisqu’elle s’immobilise immédiatement en se penchant en avant pour me faciliter la tâche.
« Oooh, oui, mon trou du cul ! Vas-y beau Papa ! »
« Beau Papa ? C’est quoi ce surnom ? » « Oh c’est rien, en fait quand on baise j’aimerais tellement t’appeler Papa, ça m’excite grave ! » « Pour le moment Appelle le Olivier, ça ira très bien.», rétorque sa mère.
Puis, un doigt dans le cul de Stéphanie, j’écarte les fesses de Chloé avec la main gauche en lui titillant la rosette qui se met à immédiatement m’aspirer et à me sucer le doigt jusqu’à la deuxième phalange.
Plus elle s’active à marteler sa mère, plus son cul semble vouloir engloutir ma main entière !
Les râles de Stéphanie sont de plus en plus éclatant, elle remue doucement la tête en agitant sa langue comme si elle léchait une femme qui se tenait debout devant elle.
Quand à Chloé, le regard perdu dans le vide, le souffle court, ponctué par quelques « Han ! Han ! »,continue d’accélérer la cadence alors qu’elle poinçonne Stéphanie depuis déjà 6 ou 7 minutes !
J’ai l’impression qu’elles ne vont pas tarder à exploser de jouissance et j’ai très envie de voir la petite répandre sa crème blanche sur les fesses encore bronzées de sa mère mais je me dis qu’il est un peu tôt pour ça.
Et puis mes poignets commencent à me faire un peu mal à force d’être pliés dans cet angle et secoués par ces deux culs.
Je retire délicatement mes doigts de ces deux confortables fourreaux espérant que cela les calme un peu.
Je m’apprêtais évidement à sucer mes deux index pour goûter leur jus de fesses quand je les vois qui s’embrassent tendrement en s’enlaçant par la taille.
« Tenez les filles, je pense que vous avez bien mérités une petite gratification pour le merveilleux spectacle que vous nous avez fait partager. »
Je présente naturellement le doigt sorti de Stéf à Chloé et inversement.
Elles sont adorables mes deux complices avec chacune un de mes doigts dans leurs bouches, puis de nouveau s’embrassent en mélangeant leurs langues avec mes doigts.
La tension retombe un peu jusqu’à ce qu’elles s’aperçoivent que je me suis privé de ce savoureux goûter à leur profit.
Et c’est uniquement dans un souci d’égalité qu’elles plongent leurs doigts dans le cul l’une de l’autre et d’en récolter un peu de ce délectable nectar qu’elles s’empressent de partager avec moi.
(À suivre)
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