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Une belle-fille particulière

Chapitre 6

Inceste
« Quand je vois cet alléchant dessert, ça m’ouvre l’appétit ma chérie »
Avant de trouver une position qui nous permette de se délecter de tous nos délicieux fluides nous récoltons d’abord nos bonnes purées sur la nuque, le dos et les fesses de Stéphanie.
Chloé prend un verre sur la table de nuit et je réalise alors que comme à son habitude, Stéf a bien exagéré quant à la quantité de jus que pouvait déverser Chloé.
Au lieu de « des litres et des litres » c’était plutôt l’équivalent d’un verre de 50 cl. Ce qui est déjà fort impressionnant !
Vous imaginez un peu ! Un demi-litre de bonne crème de couilles de femme vicieuse à partager en famille, quel bonheur !
Stéphanie reprend alors les choses en mains : « allongez-vous mes deux zobs d’amour, comme vous avez bien besogné nos culs, c’est à moi de faire ma part de travail »
Puis elle se met à nous lécher, sucer, alternativement, recueillant la crème perlée du succulent Nutella, dans sa bouche et nous déverse chacun notre tour nos divines semences sur nos langues que nous nous empressons de mélanger avec frénésie.
Lorsque nos queues sont enfin nettoyées elle s’empare du verre emplit de nos purées encore tièdes, en verse un peu danssa bouche puis la fait couler sur nos membres toujours raides avant de les engloutir à nouveau, puis nous inonde le visage avec nos jus de burnes.
Je me sentais submergé par un Tsunami d’un lait épais et crémeux, si bien que n’avais pas d’autre alternative que d’en avaler une bonne dose car je ne voulais pas en perdre une goûte.
Chloé mélangeait ce bon foutre qui me maculait le visage, avec sa langue, puis recueillait un peu de jute qu’elle faisait déborder de sa bouche en se pourléchant les lèvres.
Sa mère, en me fixant du regard, canalisait le sperme dégoulinant sur sa langue puis le faisait rejaillir de nouveau en direction de mes lèvres.
Puis ma belle-fille revenait puiser le fameux nectar pour compléter la chaîne. Et ainsi de suite jusqu’à ce nos jus commencent à refroidir, comme pour nous inviter à initier une séance de nettoyage.
Nous passons alors les vingt minutes suivantes à nous lécher, suçoter, téter le moindre centimètre carré de nos peaux ou nous trouvions encore un peu de nos onctueuses crèmes nourricière.
Lorsque la séance fut achevée je décidais de partager un peu mes émotions :
« Vous savez les filles, des plans culs j’en ai eu pas mal dans ma vie mais laissez-moi vous dire que ce qu’on vient de faire tous les trois est de loin l’expérience, intellectuellement, la plus jouissive que j’ai jamais eu.
Le fait de posséder les fesses de ma belle-fille pendant que tu encules cette salope de maman, ça me fait carrément grimper aux rideaux ! »
« Pour moi, alors c’était divin ! Mon mec et ma propre fille s’activant en rythme synchronisé pour nous faire jouir tous ensemble. Je n’en reviens pas que ce soit arrivé si vite. »
« Et encore, Camille n’était pas avec nous parce que si elle avait été là on aurait pu jouir encore plus fort!
Elle se serait mise derrière toi Olivier pour te remuer son pieu dans le cul et on aurait eu encore plus de bon jus de bites ! » Rétorque Chloé, d’une douce voix de chargée de regrets.
« Ah oui, Camille ? Parlons-en de Camille ! Hein les filles, justement il va falloir m’en dire un peu plus sur ce que vous faites ensemble car j’ai vraiment l’impression d’être le con à qui on cache des choses dans cette histoire.
Si vous avez des secrets, des choses que vous ne partagées qu’entre vous je vais vraiment me sentir mis à l’écart, moi. Et si c’était l’inverse mes chéries d’amours, vous vous sentiriez comment ? Vous avez pensez à ça ?»
Dis-je en sur le ton d’un homme au bord des larmes, dissimulant son chagrin derrière une fausse colère.
« Tu as a raison mon biquet, on va te dire, tout ce que tu veux savoir, mais pas avant d’avoir mis une chose au point. Quelque chose de très important. » Nous dit Stéphanie sur un ton très solennel.
« Si nous voulons continuer à faire l’amour en famille comme nous l’avons fait cette nuit nous devons absolument fixer des règles. Il faut qu’on apprenne à freiner nos pulsions, nos envies.
Car si on ne réglemente pas notre manière de procéder on va tous aller à vol eau et notre petite tribu va tout simplement éclater et il ne restera plus rien de nous !»
« Ooh non Maman, surtout pas ! Dis-nous ce qu’il faut faire et on le fera. »

« On fera tout ce qu’il faut pour que cela n’arrive pas. On t’écoute ma puce. »
« Il y a 3 règles fondamentales et incontournables qu’il faudra toujours respecter :
1ère : n’évoquer ce sujet qu’avec les trois personnes concernées, c’est-à-dire nous.
2ème : ne jamais pratiquer quoi que ce soit de sexuel entre nous si le trio n’est pas entièrement réuni.
3ème : avertir le reste de la triade si vous sentez que quelqu’un à des doutes ou des interrogations à notre sujet.
« Est ce clair pour tous les deux ? »
« Très clair » dit Chloé »,
« Clair comme de l’eau de roche » répondis-je. »
« Alors joignons nos mains pour faire une chaîne et prononçons ensemble les trois règles. »
« Par ce serment, nous scellons notre alliance pour le reste de notre vie …… etc. »
Une fois le pacte entériné nous reprenons notre intéressante conversation.
« Eh bien maintenant réglons les détails pratiques. Toi ma fille tu te charges d’avertir Camille de notre nouveau venu et de notre nouvel accord, nous lui ferons prononcer le serment à notre prochaine rencontre. »
« Moi je me m’occupe Mamie et de Caroline, inutile de dire qu’elles seront ravies d’accueillir un nouveau membre, sans jeux de mots, dans notre famille. »
« Tu veux dire que ta mère et ta belle-sœur font aussi partie de la bande ? »
« Eh oui mon chéri, et pour notre plus grand bonheur ! »
« Tu verrais comme elle est bonne à baiser Mamie avec son énorme pair de nichons, et en plus elle a 50 ans d’expérience d’une vie sexuelle complètement débridée ! »« Doucement les filles, comment est-ce arrivé ? Et puis y il en a combien d’autre ? »
« Non, c’est tout pour ce que nous avons en stock Monsieur, peut être désirez-vous les essayer avant de faire votre choix ? »
« Eh maman tu oubli Zahira ! Même si elle ne fait pas encore vraiment partie du club. »
« Mais qui est Zahira ? »
« C’est une magnifique black, que Chloé connait à la clinique où elle voit son docteur spécialisé pour les cas d’hermaphrodismes. »
« Ah, je vois, vous êtes vraiment de redoutables succubes insatiables toutes autant que vous êtes ! »
« Mais non Olivier, mets-toi à notre place enfin ! Quand nous sommes toutes réunies avec Maman, Mamie, Camille, Caroline et moi il nous manque une grosse bite et par conséquent nous souffrons d’un déficit de foutre crémeux si tu fais bien le compte. »
« Donc le Baobab d’ébène de Zahira est parfaitement justifié mon chère beau-père. »
« Effectivement, vu sous cet angle, je ne peux que m’incliner devant cette sage décision guidée par le bon sens. »
« Et puis tu te doutes bien mon chéri que sans notre généreuse invitation, cette pauvre Zahira continuerait d’errer sans espoir sur la longue route désertique de sa lamentable vie sexuelle. »
« Mesdames, votre bon cœur vous perdra ! »
« Ne te moques pas Olivier car si on était réellement des salopes on aurait pu appâter les dizaines de femmes à bites de la clinique »
« C’est cool les filles, au moins si on a plus de travail, on pourra toujours ouvrir une laiterie industrielle. »
« Oui, bonne idée, moi je serais responsable de la traite de ces dames, toi et maman vous serez les goûteurs. »
« Tu n’as pas sommeil mon bébé, il est déjà 3 heures 10. »
« Tu as raison maman, sur ce elle nous embrasse puis se blottit entre nous en s’endormant comme une petite chatte, mais certainement partie dans de doux rêves érotiques Chloé nous gratifie d’un ultime filet de sauce qui s’écoule de son gland tout en ronronnant. Sa mère, délicatement lui calotte la verge.
« N’est-elle pas adorable ma fille Olivier ? »
« Mon amour, tu as donné naissance à la plus belle créature que cette terre ai jamais porté. »
Je réalisais en le disant que c’était la première fois que j’appelais Stéphanie mon amour. Je ne sais pas si elle l’avait remarquée aussi.« Ou en étions nous Stéphanie ? Oui, je te demandais comment c’était arrivé avec ta mère et vous deux. »
« C’est ça, mais pour que tu comprennes bien l’ensemble il faut que je commence par le début.
Quand Chloé s’approcha de ses quatorze ans, elle nous a fait vivre l’enfer sur terre. Je veux dire par là que tous les après-midis, après l’école je devais laver entièrement ses pantalons, sous-vêtements, parce qu’ils étaient plein de semence collée, séchée, même durcie par endroits.
Puis la nuit je l’entendais gémir, se débattre comme une forcenée dans sa chambre. Le matin je découvrais l’horreur. Son lit, ses draps étaient maculés de foutre gras, épais, jusque sur le parquet de chêne. Et je devais me coltiner une heure de nettoyage avant de me préparer pour aller travailler.
Elle essayait de m’aider bien sûr mais la plupart du temps elle était en larmes ou bien sa queue continuait d’égoutter sa crème partout où elle allait.
Alors je lui disais de se retenir, de ne pas se caresser durant la nuit, mais elle répondait que ça sortait tout seul pendant son sommeil, qu’elle se réveillait souvent trop tard après l’explosion !
J’avais de sérieux doutes quant à la véracité de ses dires, alors je décidais de passer quelques nuits à ses côtés afin de lui apprendre à canaliser ses pulsions.
La première nuit je fus réveillée aux alentours de trois heures car elle commençait à s’agiter dans son sommeil, puis je découvrais le drap pour y découvrir son membre d’une taille démesurée, palpitant, gainé de veines prêtes à exploser.
Je pouvais sentir ses grosses couilles bouillonner à l’intérieur. Chloé n’ouvrait toujours pas les yeux, tapie au fond de son rêve pornographique.
Ses bras étaient repliés en croix sur son buste Je n’osais la toucher, ni lui parler. A vrai dire j’étais complètement désarmée et pas du tout préparée à ce genres de situation.
Je passais en revue dans ma tête le livre que ma mère m’avait offert, intitulé « Mon ado et moi. Vivre en harmonie »
Quelle idiote, bien sûr que non je n’allais rien trouver sur ma fille et son énorme trique incontrôlable qui gicle des litres de sperme dans toute sa chambre.
Tout d’un coup je vis le drap s’agiter comme si un serpent emprisonné donnait des coups de tête pour briser sa cage.
Je la découvris à nouveau et ce que je vis me marquas pour toujours. Sa bite donnait de grands coups dans le vide puis retombait sur son ventre, puis repartait en l’air.
Chloé, toujours en dormant avait instinctivement placé ses mains sous le bas de son dos comme pour s’empêcher de se toucher dans son sommeil.Alors son zob se figea en l’air quelques secondes et commença à débiter des giclées de jus laiteux, par à-coups.
J’eus le réflexe d’attraper un verre d’eau sur la commode, jetais le contenu sur bord de la couette et revins vers ma fille.
Il y en avait déjà partout, son visage, ses cheveux, son oreiller et ses draps étaient parsemés de petits monticules blanc et un peu gluant.
Le dessus de lit dans les tons bleus avec cette substance me rappela une pub pour la Mer Morte que j’avais vu sur un magazine dans une salle d’attente.
Mais je devais parer au plus pressé, c’est-à-dire éviter que cette sauce se répande partout. Je place donc le verre à la sortie d son gland en guidant son manche vers l’entrée du récipient.
Le verre fut rempli très vite et je dus aller dans les toilettes pour le vider, pas sans avoir préalablement emballé sommairement son gourdin dans un sac plastique qui traînait.
Quand je revins des toilettes Chloé s’était réveillée et regardait avec étonnement ce sac marqué « Un geste pour ma planète. », autour de sa queue.
Tout ma va bien ma chérie, je suis là. Je retirais le pochon et le remplaçais par je verre vide.
« Qu’est ce qui s’est passé maman ? Je dormais profondément puis je me suis réveillée avec ce sac autour de mon zizi ! C’est toi qui la mis ? »
Oui à cet âge, Chloé disait encore zizi pour évoquer son sexe.
« Oui mon bébé, ne t’inquiète pas, je prends les choses en mains. Regardes plutôt ce qu’il faut faire dans ces cas-là. Maintenant je me rends compte de la réalité mon cœur. »
Et quand je l’essuie avec un mouchoir en papier de la main droite pendant que je maintiens la peau de son phallus en bas avec la main gauche, elle éclate de rires en disant :
« Maman arrête de faire ça, je sens que je redeviens toute dure tellement tu me fais du bien. Je ne voudrais pas encore éjaculer partout. »
Puis elle sent une perle de sperme ruisseler sur sa joue, la récupère sur son doigt, et l’avale goulûment.
Elle recommence avec un autre doigt et le tend vers moi en disant ! « Tu veux goûter maman ?, c’est drôlement bon tu sais. »
« Mais ça va pas Chloé ! Ce genres de choses ne se font pas voyons ! »
Là-dessus, je stoppe immédiatement le nettoyage et nous nous enlaçons tendrement. Je vais pour l’embrasser sur la joue mais elle bouge délibérément son visage au dernier moment afin que mon baiser finisse sa course sur ses lèvres.
A cet instant, je ne sais plus quoi penser et je préfère me dire que demain sera un autre jour. Nous nous endormons, blotties l’une contre l’autre et je sens son souffle chaud dans mon coup.
Sa main s’est posée sur ma hanche et me caresse machinalement.
Le sommeil commence à m’envelopper de son soyeux duvet et je ressens une chaleur émanant de mon bas ventre m’envahir de la tête aux pieds.
La mouille qui vient de s’écouler de mon minou me fait abominablement honte mais m’excite terriblement.
Je m’endors, je ruisselle, je rêve, …..
(À suivre)
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