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I.S.A.N, une boite qui vous change...

Chapitre 4

Travesti / Trans
L’arrivée de la patronne
Le lundi matin, julien se présenta au travail la boule au ventre. Il avait suivi scrupuleusement les conseils de Clara et c’était raser consciencieusement partout. Il arriva à 8h00 et se dirigea directement dans son bureau. Il se planta devant l’armoire. Pris une respiration et l’ouvrit. Et là stupeur ! L’armoire était vide. Julien recula d’un pas, puis paniqué tourna en rond dans le bureau en essayant de chercher une solution. Sa patronne arrivait dans 30 minutes et il n’était pas en tenue ! Julien était complétement effondré. Puis il entendit un léger bruit derrière la porte. Il eut envie de se cacher sous son bureau mais fus tétanisé. La porte s’ouvrit et Clara apparue. Elle portait un top en satin rouge fluide qui laissait ses tétons s’exprimés. Une jupe haute noir l’a moulait de la taille à ses genoux. Elle paraissait un peu plus petite que d’habitude mais cela tenait au petit escarpin noir qu’elle portait. Julien se calma un instant en voyant cette bombe entrée. En voyant Julien, toujours en tenue d’homme, Clara s’affola un instant.— Mais tu n’es pas habillé !— « Non ! Il n’y a rien dans l’armoire ! Comment je vais faire ? » Puis après une courte pause il ajouta : « je vais rentrer chez moi, cela vaut mieux. »Clara courra voir l’armoire et l’inspecta rapidement pour s’assurer des dire de julien. Elle posa sa main sur son front et se tut un instant. Julien s’apprêtait à sortir de la pièce quand Clara le stoppa.— Arrête, j’ai une idée.Elle enleva son haut, dé-zippa sa jupe et enleva ses sous-vêtements. Elle se retrouva nue en quelques secondes. Julien la regarda consterné. Il pouvait ainsi admirer le galbe de ces seins, sa taille de guêpe et sa petite tonsure au-dessus de son vagin qu’il n’avait même pas remarqué dans l’obscurité de son entrejambe.— « Mets mes affaires ! » lui ordonna t’elle.Julien cru mal entendre la proposition de Clara.— Dépêche-toi ! elle sera là d’une minute à l’autre !— Mais toi ? comment vas-tu faire ? Tu ne peux pas rester ainsi ?— « T’occupes ! Habilles toi ! » S’énerva Clara. Joignant le geste à la parole elle lui fit enfiler son string en dentelle noir. Puis elle lui fit mettre son soutient gorge. La dentelle surplombant le satin des balconnets était supposée souligner les courbes de l’opulente poitrine. Cela n’avait pas tout à fait le même effet sur julien… Clara ne s’arrêta pas à ce détail. Elle était déjà à lui enfiler ses bas. Puis rapidement elle lui passa sa blouse rouge et lui zippa rapidement la jupe qui lui serrait énormément la taille. Julien en avait presque le souffle coupé tellement il se sentait comprimé par la jupe de Clara. Mais il n’eut pas le temps de se plaindre que des bruits de pas se faisaient entendre dans le couloir. Voyant Julien tétanisé Clara lui lança :— « Va t’assoir à ton bureau ! Vite ! » Et fila avec les affaires de julien s’enfermer dans la penderie.Julien eu juste le temps de s’assoir sur sa chaise quand une femme d’un mètre soixante-dix entra. Il ne vit d’elle qu’une longue chevelure auburn. Elle était emmitouflée dans un long manteau blanc et son chapeau lui masquait son visage. Isabelle, car c’était bien elle, traversa la pièce sans même jeter un regard à julien et alla s’installer dans son bureau. La scène parut surréaliste. Cette femme qui traversait son bureau avec Clara caché dans l’armoire ! Incroyable. Il en avait le souffle coupé. Apres quelque seconde Clara sortit silencieusement du placard et enfila rapidement les affaires de julien et quitta sans un mot le bureau. Elle lui jeta juste un regard compatissant et inquiet en sortant de la pièce.Julien attendit quelque minute puis alla préparer un café noir comme Laurène lui avait spécifié. Il s’arrêta un instant, le café à la main, devant la porte et frappa. — « Entrée. » s’exclama une voix douce et chaude.— Il poussa la porte et trouva une femme d’une trentaine d’année au teint halé. Elle avait ses cheveux qui lui tombaient au niveau du cou. Un collier de perle soulignait le décolleté plongeant de sa robe. Là encore il se trouvait face à une femme digne des plus beaux mannequins. Il se demanda même un instant si c’était une entreprise de mannequina ou de communication ! Elle avait les traits du visage fin et une bouche très sensuelle. Sa robe ivoire sculptait son corps et mettait en évidence ses bras fins et bronzés. Et ses jambes… un véritable envoutement…Julien se sentant perdre pied, se dépêcha de déposer le café et se pressa de sortir de la pièce. Il n’eut pas le temps de quitter le bureau qu’Isabelle l’interloqua :— Et vous n’avez aucune bonne manière ? Vous ne savez même pas dire bonjour ?Julien se retourna et balbutia gêné un bonjour madame. Ils se regardèrent pendant quelques secondes et Isabelle lui avança sa main. Julien compris son erreur et en plein stress, s’avança vers isabelle et lui baisa la main. Elle fit alors pivoté son fauteuil afin qu’il puisse se retrouver en face d’elle. Puis avec un calme olympien elle écarta ses jambes. Julien redoutait ce moment. Il s’agenouilla et s’approcha du coin le plus intime de cette illustre inconnue. En plongeant sa tête entre ses cuisses il nota des jarretelles en satin brodée qui tenaient des bas de soie. Mais il n’osait avancer plus. Isabelle inspira fortement ce qui semblait souligner son agacement. Puis Julien, sans réfléchir, se mis à lécher l’étoffe de satin qui se trouvait devant lui. Elle était à la fois fine et douce et laissait sentir tous les détails de l’anatomie qu’elle masquait. Il s’efforça d’insister avec sa langue sur les parties les plus sensibles. Puis après quelques minutes, il entendit le subtil signal d’isabelle qui se dandinait sur son siège. Il se mit alors à tirer doucement, avec sa bouche, le String de sa patronne. Comme lors de sa formation avec Laurène, il laissa le string à mi-cuisse et se replongea entre ses jambes. Il se mit alors à faire des allez retour entre son clitoris et son orifice vaginale. Cette situation ne pouvait laisser Julien indifférent et son pénis se mis à grossir. Le string de Clara ne put retenir le membre à l’intérieur mais la jupe étant assez serrée, cela limitait la protubérance. Il essayait de faire fi de son propre désir pour essayer de contenter sa patronne. Les derniers suçons de son clitoris eurent raison d’Isabelle. Et dans une compulsion non contrôlée, elle le serra entre ses cuisses. Cela dura quelques courtes secondes, puis l’étreinte se relâcha. Il alla se retirer quand il entendit Isabelle :— Finissez le travail assistante ! je ne veux pas rester humide.Julien s’exécuta et lécha à nouveau consciencieusement le sexe de sa patronne puis se retira enfin. Il se leva sans oser la regarder dans les yeux. Lui qui venait pourtant de s’occuper de ses parties les plus intimes et se retourna. Il sentait le regard d’isabelle le fixer alors qu’il sortait de la pièce. Au moment où il allait refermer la porte elle lui dit :— J’espère que je n’aurai pas à attendre la prochaine fois.Et julien se contenta d’un : « Non, madame ». Puis ferma la porte.Il alla se rassoir à son bureau et se mis mécaniquement à classer les mails. Il ne se rendit même pas compte que son érection était toujours présente.Isabelle ne sortit du bureau qu’à l’heure de la pause déjeuné. Et là encore, elle ne se souciât pas un instant de Julien. Apres quelques instant à se remémorer la matinée il s’inquiéta pour Clara et l’appela en urgence.— Tu vas bien ? Tu es… — « En tenue » compléta Clara. « Oui » par contre j’ai dû acheter dans le premier magasin venu une nouvelle tenue ! Tu me dois au moins un déjeuner !— « Tout ce que tu veux ! » lui dit-elle, rassuré de savoir qu’elle s’en était sortie sans trop d’inconvenance.— Je te paie déjà ton sandwich si tu veux. On se retrouve dans 5 minutes à la cafeteria.— « Ok à tout de suite. » conclu Clara.Ils se retrouvèrent ainsi à la cafeteria à rire de la situation caucasse du matin. — « Ma tenue te va bien » souligna Clara.— « Enfin ta jupe me serre beaucoup quand même ». Répondis Julien en souriant. « Par contre, j’ai eu mal au pied toute la journée avec tes chaussures ! » Julien faisait quand même 2 pointures de moins que Clara…Elle ne put se retenir de s’esclaffer de rire. Puis elle ajouta — Garde mes fringues, ils te vont au moins aussi bien qu’à moi !Il ne sut quoi répondre. Puis la remercia pour le cadeau.
Cette pause fut la bienvenue dans cette matinée riche en émotion. Ne voulant pas être absent avant le retour de sa patronne il remercia encore Clara et fila à son bureau.De retour derrière son ordinateur, il écrivit un mail à Laurène pour lui demander ce qui s’était passé avec sa tenue. Il n’eut pas de réponse dans l’immédiat. Elle devait toujours déjeuner.Vers 13H30, Isabelle rentra dans le bureau, puis cette fois ci, lui jeta un regard et un sourire ravageur avant de rejoindre son office. Julien était un peu décontenancé par ce changement d’attitude soudain. Il en resta perplexe quelques minutes puis repris son travail. La présence d’Isabelle doublait sa charge de travail. Il était en permanence au téléphone à coordonner les différents rendez-vous et à traiter les demandes de rapport qu’isabelle lui envoyait par mail. Dans le courant de l’après-midi, il reçut un mail de Laurène s’excusant pour l’oubli et lui assura qu’elle ferait le nécessaire pour que cela n’arrive plus. Julien s’en contenta. Le reste de la journée se passa sans fait notable. Ne voulant partir qu’après Isabelle, il l’attendait. Mais passé vingt heures, Julien ce décida à rentrer après avoir mis un mail à isabelle pour le notifier de son départ. En passant la porte de son bureau, il s’arrêta net. Il était toujours en tenue de femme ! Et Clara avait pris ses affaires en s’esquivant de son bureau ce matin. Apres quelques minutes de réflexion, il décida de commander un taxi pour rentrer. Cela serait moins gênant que de prendre les transports en commun. Il s’emmitoufla dans son long manteau. Seul les bas et les chaussures de Clara restait visible. Il se dit que cela ferait l’affaire à cette heure de la journée. Apres 35 minutes de stress dans le taxi, il arriva à son domicile. Il courra jusqu’à son studio et s’enferma. Apres c’être remis de ses émotions, il se déshabilla et contempla les vêtements que Clara lui avait donné. Tel un cadeau précieux il les plia délicatement et les rangea dans le tiroir de sa commode.
Le lendemain, il arriva encore à 8h au travail et fila s’assurer qu’une tenue était bien présente dans l’armoire. Ce qui fut le cas. Un chemisier à jabot blanc et une jupe en satin noir l’attendait. Il y trouva également une paire de sous-vêtements en dentelle crème et des bas sur l’étagère de gauche. Il se dépêcha de s’habiller et fut prêt avant que Clara n’entre. Elle le regarda et lui fit un signe approbateur et fila à son poste. Isabelle arriva à 8H30 précisément. Elle portait une robe bleue ciel qui marquait fortement sa taille. Elle était resplendissante. Elle traversa le bureau en jetant un bref coup d’œil à Julien et s’enferma dans son office. Cette fois si Julien lui apporta son café et n’oublia pas la révérence matinale.Les semaines passèrent ainsi et Julien commençait à s’avouer à lui-même que sa condition ne lui déplaisait pas. Il travaillait parmi des gravures de mode. Il faisait jouir sa patronne tous les jours. Et il continuait à apprécier de plus en plus la compagnie de Clara. Il s’était même fait quelques restaurants et cinéma au cours des derniers jours. Il semblait enfin avoir trouvé sa place.
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