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Une bourgeoise délaissée

Chapitre 1

Hétéro
L’histoire que je vais vous raconter est bien réelle. Cette histoire est récente nous sommes en mars 2013. Je me prénomme Anne-Sophie, je suis une Versaillaise de 45 ans, mariée à un chef d’entreprise, nous avons une fille de 17 ans. Je suis consultante de profession en informatique, de part cette fonction je me déplace beaucoup, participe à de nombreux séminaires. Sur un plan affectif, je suis dans la catégorie des femmes délaissées depuis bien trop longtemps. Ainsi je chat sur le web pour des dialogues et rien de plus, mais depuis peu, j’ai fait connaissance de Marc un homme sympathique rencontré au hasard sur un site de rencontre. Ce jour-là, j’avais une conférence au CNIT à la défense, Marc travaillant à proximité, nous avions convenu de déjeuner ensemble pour notre première rencontre après plusieurs semaines de chat le soir sur le net, j’avais fini par accepter. Mon poste m’oblige à être toujours bien habillée mais là j’avais envie d’en faire un peu plus, pour être certaine de plaire. Pour ne pas éveiller de soupçons, prétextant un horaire de début tardif de la conférence, je traine exprès dans la salle de bain en profite pour me vernir les ongles, espérant que mon mari quitte la maison en premier. Je suis une femme coquette, je mesure 1,69 mètre pour 55 kilogrammes, une poitrine « pomme » en 90E, j’ai les yeux bleus et les cheveux mi long auburn. Bien conservée, sportive, j’ai de très jolies jambes, je prends soin de moi. Pour cette conférence, j’avais prévu ce matin de porter un tailleur jupe noire, la jupe bien au-dessus des genoux, une jupe plissée ondulant à chacun de mes pas. En dessous un corsage blanc mi transparent mi opaque très chic, un soutien-gorge à balconnet, un string, un porte jarretelles et des bas nylons couleurs chair de la marque Cervin très agréable à porter. La porte de l’entrée vient de claquer, monsieur est parti, presque seule, Elsa dans sa chambre termine de se préparer pour partir à son tour, au lycée. Je regarde les chaussures que je pourrai mettre, je porte d’habitude des talons moyens, que je ne trouve pas suffisamment « sexy » pour la circonstance, après quelques essayages je me décide pour une paire d’escarpins à talons aiguilles avec des talons de 11 centimètres. Elsa, notre fille entre dans ma chambre pour me faire un baiser avant de partir à ses cours. Surprise de me voir ainsi elle me complimente sur ma tenue et me lance un large sourire. La porte de l’entrée claque à nouveau. Enfin seule. Je peaufine mon maquillage, me parfume, accroche un collier de perles à mon cou, accentue le rouge à mes lèvres et passe mon manteau. Un dernier coup d’œil, dans le miroir, mon taxi est devant la porte.Je prends place à l’arrière de la voiture, ma jupe en profite pour remonter sur mes cuisses je tente t’en bien que mal de la remettre en place avec un succès limité, au point de laisser visible la lisière du haut de mes bas. Le chauffeur de taxi ne ménage pas ses efforts pour me mater dans son rétroviseur. La Défense, nous voici arrivée, le chauffeur me complimente sur ma tenue et encaisse la course me proposant de revenir me chercher en fin de journée, je range sa carte dans mon sac à main. Je suis en retard. Je me dirige vers l’accueil du séminaire, retire mon badge d’inscription et me dirige vers l’amphithéâtre, mes talons aiguilles retentissent sur le sol en marbre blanc. J’entre, il fait sombre, un orateur a commencé son discours, je prends place au dernier rang pour ne déranger personne. Je suis un peu loin de la scène, les rangs devant moi son vide, tans-pis je décide de rester à ma place. Je m’installe confortablement, je pose mon manteau à côté de moi avec mon sac à main, comme dans le taxi, l’assise du fauteuil remonte ma jupe, je remarque en croissant les jambes que ces escarpins me font de bien belles jambes. J’en profite pour envoyer un SMS à Marc, lui indiquant où je me trouve si toutefois il avait l’intention de venir me chercher sur place pour aller diner. Avec bien du mal je tente de prendre le fil du discours.Je ne suis pas la dernière, un autre retardataire vient de prendre place à quelques sièges du mien. Un jeune homme, en costume, plutôt pas mal de race noire. A peine assit, je le vois se lever et se diriger vers moi en prenant toutes ses affaires, manteau et attaché case. Me dit bonjour, me demande s’il peut s’asseoir et si la séance a commencée depuis longtemps. A ces mots je lui rends son bonjour, accepte qu’il s’asseye et lui indique que je suis arrivée également depuis peu.Soudain mon portable se met à vibrer, c’est Marc, il annule pour ce midi sans aucune autre explication. Je suis tout d’abord déçue puis la rage m’envahit pour se calmer peu de temps après bien décider à balayer de mes pensées ce Marc, cet homme qui m’a tant fait fantasmée sur le net. Les bras appuyés sur chacun des accoudoirs, bercée par la monotonie de l’orateur mes yeux deviennent lourd … Combien de temps c’est écoulé, je ne sais, trois fois rien sans doute où je me suis assoupi, réveillée par mon bras qui a glissé de l’accoudoir, j’entrouvre les yeux pour me rendre compte que j’ai la main de posé entre les cuisses de mon voisin. Il ne bouge pas pour ne pas me réveiller. Je reste également immobile, je ne sais plus que faire. Ma main me fait mal, j’ai des fourmillements, je décide de la remué un peu. A ce moment je sens sous elle quelque chose de dur, oh ! J’ai ma main de posée sur son sexe. Je ne bouge plus, la bosse grossit de plus en plus, des sensations envahissent mon bas ventre, en quelques minutes je me retrouve toute excitée rien au fait de penser à cette situation. A ce moment-là je ne sais pas ce qui m’a pris, je n’étais sans doute plus moi-même, j’ai commencé à caresser cette bosse délicatement, mes caresses se faisant de plus en plus appuyée en réponse aux mouvements de bassin de cet inconnu qui ne disait mot.Mes doigts effleurant de temps à autre la glissière de sa fermeture éclair je ne pus m’empêcher de la lui descendre. Rapidement ma main trouva l’ouverture de son boxer et se trouva en contact avec son membre. Tentant de le dégager il écarta un peu les jambes pour me faciliter l’opération, quelle ne fut pas ma surprise. Son sexe était énorme à mes yeux, je n’en avais jamais vue de si gros, ma main me semblait toute petite. J’étais en train à ce moment précis de prodiguer des mouvements de va et vient à un membre d’une personne que je ne connaissais même pas, j’étais trempée. Je continuais à le besogner, lorsqu’il se fraya un passage pour avec sa main relever ma jupe et la glisser dans mon string humidifié. Sa main était douce, il m’introduisit un doigt puis deux. Je penchais ma tête vers lui et ouvrit une large bouche pour prendre son sexe. Soudain je senti une autre main sur moi me parcourant les seins, c’était Marc qui était là, me soufflant à l’oreille de continuer, ce que je m’empressais de faire. Mon inconnu ne tarda pas à me décharger tout son foutre en parti dans la bouche et l’autre dégoulinant le long de son sexe que je m’appliquais à nettoyer. Marc lui m’avait relevé entièrement la jupe et je sentis coulé son sperme chaud sur mes bas. Peu de temps ensuite nous partîmes diner dans l’hôtel où mon inconnu avait sa chambre …
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