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une cousine autoritaire

Chapitre 2

Lesbienne
J’avais pris des congés comme promis pour aller chez ma cousine. Elle m’attendait sur le quai de la gare. Pour être dans l’ambiance dès mon arrivée, elle m’avait dictée ma tenue. J’étais donc en minijupe vraiment mini et en chemisier transparent sans soutien-gorge. Elle m’accueillit en m’embrassant, nous étions heureuses de nous retrouver. Elle m’avait prévenue que sa femme de ménage serait absente et que nous serions donc seules. En montant l’escalier qui menait dehors, elle se mit derrière moi et souleva ma jupe ce qui permit à l’homme derrière elle de bien voir mes fesses.« C’est très bien, tu m’as obéit et pas mis de culotte ma cochonne. N’est-ce pas qu’elle est cochonne sans sa culotte ? »L’homme la regarda en souriant et siffla. 

On alla boire un verre dans un petit bar en face de la gare où il nous suivit. Il se mit au comptoir de façon à voir notre table. Ma cousine se mit assise en face de moi. Et j’ouvris mon blouson sous lequel mon chemisier n’était pas boutonné jusqu’en haut ce qui laissait voir la naissance de mes seins à peine cachés par le chemisier transparent. L’homme put se rincer l’œil copieusement ainsi que le serveur qui vint chercher notre commande. J’allais aux toilettes, il me suivit. « Tu as de beaux nibards, tu me les montres ? »Ma cousine qui l’avait vu me suivre était là aussi derrière.«Va-y ouvres qu’il puisse voir »J’ouvris mon chemisier pour exhiber ma poitrine.« Belle laiterie, et le reste ? »« Montres lui ta chatte. Tu écartes bien pour qu’il puisse bien voir »

Je soulevais ma jupe et écartais mes lèvres et dégageais mon clito qui bandait déjà. Il tendit la main et passa son doigt sur ma chatte comme je ne disais rien, il le rentra dedans. Comme je ne disais toujours rien, il mit deux doigts supplémentaires et prit l’un de mes seins dans la main qu’il malaxa tout en me branlant la chatte. Je m’appuyais au mur en gémissant et en écartant le plus possible les jambes.« Qu’est-ce qu’elle mouille ! Tu es une sacré salope toi ! »Il se pencha et me suça le téton. Je voyais ma cousine qui se masturbait en nous observant. Lorsqu’il me masturba le clito je jouis en me mordant les lèvres pour ne pas nous faire remarquer plus que ça. Il sortit les doigts de ma chatte et me les enfonça dans la bouche, je m’étouffais à moitié.« Lèches salope! »

 Puis ma cousine m’attira dehors et nous allâmes boire notre café. Il se remit au comptoir pour nous regarder. Voilà qui inaugurait mes quinze jours de congés. Elle m’avait prévenue que l’on en profiterait à fond. En arrivant chez elle, je dus me déshabillais à peine entrer puis elle me fit visiter sa maison et je rangeais mes affaires. Elle entra dans la chambre.« Appuies toi au mur ! »J’obéis et elle agrippa mes seins, j’avais l’impression qu’ils étaient pris dans des serres, elle enfonça ses doigts et serra, puis elle me les griffa et les gifla violemment séparément puis les deux en même temps. Elle en prit un par le téton et le claqua par-dessous. Elle sortit deux cordelettes de sa poche et entoura mes seins avec et elle les caressa.« Finis de ranger tes affaires et viens me rejoindre dans le jardin, je vais préparer une boisson fraîche »

Je restais donc avec mes seins bien serrés pour finir ma tâche et je la rejoignis. Elle passa une petite ficelle entre les deux et serra mes seins l’autre contre l’autre. Je m’assis en face d’elle et nous discutions de choses et d’autres. Elle s’absenta quelques minutes et revint avec une cravache qu’elle posa sur la table. Je la fixais et je vis qu’elle se finissait par une petite main. Nous finissions nos verres, mes seins viraient au rouge. Je regardais autour de moi pour être sure que personne ne pouvait nous voir. Mais nous étions en pleine campagne et à part des champs, il n’y avait pas grand-chose autour de nous. Elle passa derrière moi et prit mes seins dans les mains pour appuyer dessus. Je gémissais sans que cela me fasse mal mais ils commençaient à devenir sensibles car elle avait bien serré les cordes. 

Elle me mit debout et m’attacha au portique à balançoire. Elle caressa mes seins puis pinça les tétons, je criais de douleur. Elle alla chercher la cravache, m’en mit quelques coups sur la chatte et les fesses. Puis face à moi, elle caressa mes seins avec. Je gémissais car je savais ce qui m’attendait. Elle commença par alterner les coups de cravache avec des caresses. Puis soudain se mit à me frapper sur un téton en cadence et de plus en plus fort, puis passa à l’autre. Je m’agitais et criais. Mes seins viraient au violet car ça faisait longtemps qu’ils étaient attachés et serrés ce qui accentuait la douleur. Elle frappa sur toute la surface de mes seins. Les larmes coulèrent et ma cousine arrêta pour détacher mes seins, la douleur se fit plus vive et je criais plus fort. Elle caressa mes seins, sa main descendit vers ma chatte.« Tu mouilles ma salope, tu aimes ça que l’on te fasse mal aux mamelles. On va passer quelques jours fantastiques toutes les deux »« Et bien qu’as-tu fait à cette pauvre fille pour qu’elle pleure ? Toutes les deux ? J’espère bien que tu vas partager avec moi cette chaire fraîche »

Je regardais et je vis s’approcher une femme du même âge que ma cousine. Elle me caressa les seins, je gémissais car ils étaient très sensibles puis elle me titilla le clito et me fit jouir. Elle me détacha et nous allâmes toutes les trois nous asseoir et boire un verre tout en conversant comme si de rien n’était hormis mes seins qui étaient toujours attachés et qui me faisaient mal, ils étaient rouge vif et douloureux. Je lui expliquais le métier que je faisais et lui racontais ma vie.« Vous venez à la soirée chez Claudine ? »« Oui bien sûr, elle l’a organisé spécialement ce jour-là pour que ma jeune cousine soit là. »Je ne savais pas de quoi elle parlait mais je ne demandais aucune explication car j’avais pour consigne de ne jamais la contredire devant quelqu’un. Son amie partit en me promettant de revenir pour me faire découvrir les différentes tailles de ses godes. 

Ma cousine en profita pour prendre la cravache et tapoter mes seins déjà douloureux, je serrais les dents en gémissant et je me mis à criais lorsqu’elle s’en prit à mes tétons sur lesquels à commença par tapoter pour finir par donner des coups très forts. Même lorsqu’elle se contentait de les caresser c’était suffisant pour déclencher des gémissements de douleur. Ce fut au tour de ma chatte puis mes fesses. Elle prit des photos et je fus mise au coin. Elle décida enfin de détacher mes seins, je m’accrochais à la table tellement la douleur fut forte.« Comme ils sont beaux quand ils sont bien marqués. Je te les fouetterai tout à l’heure »Je n’osais rien lui dire et nous préparâmes le repas du soir. Lorsque l’on sonna à la porte. Je dus aller ouvrir toute nue. Je me trouvais face à un homme qui ne prêta pas plus que ça d’attention à ma tenue. Je leur servis l’apéritif et du me mettre à genoux les mains dans le dos.

« Et bien tu t’es encore bien amuser sur les beaux nichons de cette demoiselle ma chérie »« C’est une cousine qui m’a demandé de l’éduquer et en tant que cousine plus âgée c’est normal que je lui rende ce servie. Elle a de bonnes capacités pour faire une bonne chienne »Tout en disant ces mots, elle attrapa un de mes seins qu’elle serra jusqu’à ce que je gémisse. Lorsque je leur servis un deuxième verre l’homme tendit sa main pour toucher ma chatte.« Elle mouille bien effectivement, elle pourra devenir une bonne bête »Je me remis à genoux tête basse et mains dans le dos. Ils m’attachèrent au plafond et ma cousine me fouetta violemment les deux derniers coups provoquèrent des boursouflures. Ils me laissèrent dans cette position et je les entendis monter dans la chambre et faire l’amour. Quand ils redescendirent une heure plus tard, il partit et elle détacha.

 Nous primes notre repas, je devais me tenir bien droite pour qu’elle puisse bien voir mes seins marqués.« Comme tu as bien compris demain soir, nous sommes invitées à une soirée. Tu feras partie des serviteurs. Il y a en général 5 femmes et un majordome. Toi tu seras entièrement nue, tu auras les seins attachés avec des cordes comme aujourd’hui. Je ne les serrerai pas trop fort pour que tu puisses bien les supporter toute la nuit s’il le faut, tu porteras un collier de chien et tu seras pieds nus comme une esclave. » Le lendemain au levée, elle m’attacha immédiatement les seins avec des cordes bien serrées puis nous prîmes le petit déjeuner. Je restais une grande partie de la matinée comme cela puis elle passa une corde à un anneau au plafond puis elle la passa dans les cordes que je portais, elle m’attacha les mains dans le dos et elle commença à tirer sur la corde, je me retrouvais pendue par les seins, j’avais juste la pointe des pieds qui touchait le sol. Je criais, elle me bâillonna. Elle me fouetta les fesses, j’essayais de ne pas bouger pour ne pas tirer plus fort sur mes seins qui étaient violets. Je ne les sentais plus c’était au niveau de la peau autour que je sentais le tiraillement. 

Mais si je bougeais j’avais l’impression que l’on me les arrachait. Elle décida ensuite de les fouetter, là les larmes coulaient puis elle détacha la première corde mais pas celles qui étaient serrées autour d’eux.« Humm, tu as vu la belle couleur violette de tes mamelles, c’est joli »Elle passait sa main dessus, je sursautais à chaque fois puis elle les fouetta à nouveau. J’essayais de crier et de lui échapper. Elle prit une règle plate et attrapa l’un de mes seins et tapota le téton, je n’en pouvais plus. Elle changea de téton puis s’arrêta et détacha les cordes. La circulation qui reprenait me fit hurler plus fort encore dans mon bâillon. Elle les prit à pleines mains pour les malaxer se fut pire encore. Elle m’attacha assise sur une chaise et me fouetta à nouveau les seins, des zébrures et des boursouflures apparurent. Elle s’arrêta enfin et me détacha.

 Debout devant une glace et derrière moi, elle caressait doucement mes seins.« Vois comme ils sont beaux, ces marques montreront à tout le monde ce soir que tu m’appartiens. Humm que c’est bon de les triturer, ils sont gros et mous et tu aimes que je leurs fasse mal. Regardes comme ils pointent sous mes doigts. Tu es ma salope, mon esclave, tu m’appartiens. Dis-le ! »Elle enleva mon bâillon« Je suis ta salope et ton esclave, je t’appartiens »Elle me donna une feuille sur laquelle était écrit en gros Contrat d’esclavage. Je le signais, je lui appartenais pour 15 jours et il serait renouvelable si je le souhaitais. En cadeau, elle me mit un collier de chienne.« Bien prépares le repas, j’ai mon amie qui vient manger, tu prépares la table à l’extérieur. Comme tu es quand même ma cousine, tu pourras manger avec nous mais tu nous serviras. »Son amie arriva c’était la même que l’autre jour. 

Elle déposa sur la table divers godes dont certains de plus de 10 cm de diamètre. Je me sentais mal à l’aise. Je fis le service et mangeais avec eux sans rien dire car je n’en avais pas le droit. A la fin du repas, je débarrassais et mis le lave-vaisselle en route. Ma cousine vint attacher à nouveau mes seins et cette fois-ci les relia avec des ficelles au collier pour chien. On m’attacha sur la table bien ouverte, ma cousine prit son camescope et filma tout avec beaucoup de gros plans. Son amie commença par me dilater la chatte avec des godes de plus en plus gros jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qu’elle ne put pas entrer entièrement tellement il était gros. Puis elle appuya son bassin dessus et mima l’acte sexuel en lui-même, je gémissais à chacun de ses coups de rein, je sentais ma chatte s’ouvrir un peu plus à chaque fois. Elle le retira et en mis un d’environ 10 cm qui entra comme dans du beurre tellement j’étais dilatée. 

Elle en mit un autre dans mon cul et appuya sur la poire pour le gonfler. Cette fois c’est mon cul que je sentais s’ouvrir. Elle le ressortit sans le dégonfler, mais avant elle avait enfilé un gode ceinture, qui me parut énorme. Elle profita de mon anus dilaté pour entrer d’un seul coup. Je criais, je l’avais senti passé, j’eus l’impression que mon cul s’ouvrait en deux. Elle commença les allers retours, je gémissais de douleur puis je sentis une chaleur montait dans mon ventre, le plaisir arrivait. Elle posa un doigt sur mon clito, je sursautais en criant, je vis qu’il était relié un fils. J’avais la chatte dilatée, le cul ouvert en deux et elle m’envoyait des impulsions électriques sur le clito. Je criais à chaque fois qu’elle me touchait mais le plaisir montait, je gémissais de plaisir. Lorsqu’elle accéléra les mouvements dans mon cul et qu’ils commencèrent à se faire plus violents, je jouis en hurlant mon plaisir. Elle s’allongea sur moi nue sans enlever le gode que j’avais dans la chatte et se frotta qu’elle jouit et moi aussi. Je pus aller me reposer en prévision de la soirée.

Le soir venu, j’étais entièrement nue, les seins serrés dans des cordes et juste un manteau pour le voyage.« Bon en arrivant, tu enlèves le manteau et tu suis le majordome dans la cuisine et tu obéis à tous ses ordres et tu feras comme les autres esclaves femelles qui seront là. Si tu n’obéis pas, il a le droit de te punir sévèrement si il l’estime nécessaire »En arrivant, je fis ce que l’on m’avait ordonné. Le majordome qui avait ouvert me regarda.« Elle sera la seule entièrement nue, les autres ont des tenues soubrettes mais c’est très bien aussi un collier de chien. Suis-moi ! »J’allais dans la cuisine où les autres étaient déjà là, 4 femmes et 1 homme. Effectivement, ils avaient des tenues de soubrettes plus que décolletés et très très courtes en fait ça ne cachait pas grand-chose mais moi j’avais l’impression d’être encore plus nue si cela était possible. 

« Allez en rang mains dans le dos pour l’inspection ! Toi, ta maîtresse aime te punir les mamelles ça se voit, elles sont bien marbrées. Ce dégradé de couleur est très beau. Les autres on se connaît ce n’est pas notre première soirée ensemble. Donc montrez-lui l’exemple. Prenez les plateaux et allez servir. Toi restes ici ! »Je restais donc là. Il me tourna autour et tira sur les cordes. Il passa derrière moi et attrapa mes seins qu’il malaxa sans aucun ménagement, il serra, appuya dessus puis pinça les tétons qu’il tira. Je me baissais pour suivre le mouvement mais comme il était derrière ce n’était pas facile.« Redresses-toi, je vais serrer les cordes, elles ne le sont pas assez à mon goût. On verra plus tard s’il faut changer »Il les serra très fort. Je gémis. Il pinça à nouveau mes tétons et je me mis à genoux.« C’est bien, prends un plateau et va faire le service »

Je rejoignis les autres et fis comme eux, je passais entre les groupes avec mon plateau. Ils regardaient des télés sur lesquelles passaient des vidéos. J’en reconnus une celle que ma cousine avait tourné l’après-midi et regardant de plus près sur les autres, on pouvait voir les autres esclaves. N’ayant pas l’habitude, je fis tomber un verre qui cassa. Je retournais rapidement à la cuisine où le majordome m’attendait. Il désigna l’esclave mâle pour aller nettoyer.« Viens ici toi, mains sur la tête ! »Il se mit à me gifler les seins violemment, rendus déjà très sensibles par le traitement dont ils avaient bénéficiés le matin et par le fait qu’il avait serré les cordes, je gémissais de douleur. Il fit allonger une autre esclave en-dessous de moi et je dus me mettre à genoux.« Tu la lèches mais ne la fait pas jouir ou gare à toi. Quand à toi, ouvres la bouche, tu vas me sucer ! »J

’ouvris la bouche et entrepris de le sucer mais ça ne lui a pas suffi. Il agrippa mes cheveux et tira dessus et enfonça sa queue au fond de ma gorge et décida de me baiser la bouche profondément. J’étais à la limite de l’étouffement lorsqu’il éjacula sur mon visage.« Tu te nettoies et tu retournes faire le service ! »Ma cousine me vit passer et remarquer mes seins gonflés par les cordes et rouges par les gifles reçues, mais elle ne dit rien. Ils passèrent à table et on continua le service. On se faisait tripoter de tous côtés mais on devait faire en sorte de rien renverser. Les autres y arrivaient très bien grâce à l’habitude ce ne fut pas mon cas. Je renversais une assiette. Le majordome arriva, me tira vers l’estrade où je fus attachée sur une croix. Il plaça un vibromasseur sur mon clito et l’y fixa. Il me fallut 5 mn pour jouir la première fois puis après les orgasmes se succédaient. Au bout de 20 mn, je suppliais pour que ça s’arrête.

 Ma cousine se leva et vint vers moi, le martinet à la main.« Tu me fais honte salope, tu ne sais pas te tenir ni accepter la punition avec philosophie ! »Elle se mit à me fouetter les seins, le ventre et la chatte sans que le vibro ne soit arrêté. J’avais mal mais je continuais à jouir. Elle arrêta de me fouetter lorsque des zébrures apparurent et coupa le vibro. Je fus détacher et allonger au sol, attachée à un anneau avec une courte laisse. Mais je m’en moquais, je ne pouvais pas tenir debout tellement mes jambes tremblées. Une esclave fit tomber un verre, elle fut attachée à ma taille et dus me lécher. Je gémis et essayais d’échapper à sa langue, mon clito n’en pouvant plus mais je fus rappeler à l’ordre par plusieurs coups de martinet. Je finis par crier autant de douleur que de plaisir. Elle fut emmenée et elle dut aller sous la table où elle suça plusieurs invités. 

Quant à moi, je m’endormais à moitié. Je fus réveillée et tirais vers une table où on m’attacha les jambes bien écartées. Un homme se mit à ouvrir ma chatte et à la doigter, il m’examina sous toutes les coutures« Puisque tu t’endors, on va te tenir éveillée ! »Le majordome plaça une machine à baiser entre mes jambes et la mit en route, je gémis sans discontinuer. J’étais clitoridienne donc je ne pouvais pas jouir comme ça mais mon corps était tellement excité par les orgasmes à répétition, que le plaisir était là sans arrêt. En fin de soirée, malgré l’épuisement, je vis sur l’estrade tous les esclaves qui étaient punis pour une raison ou une autre. L’une d’elle attachée à la croix subissait les orgasmes forcés, les autres devant baisés ou être baisés devant toute l’assistance qui parfois participée quant à moi, on venait régulièrement me titiller le clito pour me forcer à jouir. 

Je fus enfin détachée et portée à la voiture, je ne pouvais plus marcher tellement j’étais épuisée par le plaisir et les orgasmes. Le majordome nous accompagna pour me porter jusqu’à la chambre. Je m’endormis en les entendant faire l’amour. Le lendemain, ma cousine me laissa tranquille toute la journée, je me levais dans l’après-midi. Je mangeais légèrement et la rejoignis dehors. Elle était allongée et lisait un livre tranquillement. Je me mis à genoux à ses côtés.« Hello, et bien tu as dormi longtemps toi, ça fatigue le plaisir ma cochonne. Ils sont très beaux tes seins avec les couleurs de l’arc-en-ciel »Mes seins étaient effectivement couverts d’hématomes à différents stades (vert, jaune et bleu) sans compter les zébrures rouges. Elle me les massa, je gémissais car ils étaient douloureux mais en même temps c’était bon de se sentir ses caresses. J’entendis un tracteur qui s’arrêta sur le bord du chemin, c’était la première fois que je voyais quelqu’un là. J’y allais à quatre pattes comme ordonné par ma cousine.

« Vas voir ce qu’il veut »« Avez-vous besoin de quelque chose Monsieur ? »« Non, je me suis arrêté pour vous regarder et là je vous vois mieux. Qu’est-ce qui vous est arrivé, un accident ? »« Non pas du tout »« Mais tous ces bleus sur votre poitrine ?  Et pourquoi vous déplacez-vous à quatre pattes ?»« J’ai été punie car je me suis mal conduite »« C’est intéressant. La dame a raison, si vous vous conduisez mal, une punition s’impose. Vous avez un joli collier de plus. Attendez une minute »Je le vis prendre un papier dans sa poche ainsi qu’un crayon, il écrivit un message qu’il plia et me donna.«Mets un pied sur le marchepied, vas-y plus haut que je puisse bien voir ta chatte ouverte. Tiens, donnes-lui ce papier et ne le lis pas en route. »Je retournais auprès de ma cousine et lui tendis le papier, qu’elle lut. Elle sourit et fit un signe au monsieur qui repartit. Pendant que je discutais avec l’homme, elle avait apporté une bassine pleine d’eau et de glaçons.

« Penches-toi en avant et trempes tes nichons dans l’eau glacée ça te fera du bien, et surtout tu n’hésites pas »Je fis ce qu’elle me dit, c’était glacé mais en même temps ça faisait du bien. Pendant ce temps, elle se mit à me fouetter le cul.« Il n’a pas reçu grand-chose hier soir. En plus, tu m’as mis la honte, tu n’es pas fichue de tenir un plateau correctement. Ecartes les jambes plus que ça »Elle en profita pour me fouetter la chatte. Je bougeais le moins possible. Mais ce fut la seule punition du jour en dehors de l’obligation de me déplacer uniquement à 4 pattes et le fait qu’à plusieurs reprises, elle rajouta des glaçons dans la bassine. J’étais frigorifiée et je ne sentais plus mes seins. La journée fut calme, je fis le repas, la vaisselle, je me couchais à ses pieds, elle en profitait pour me piétiner.

« Alors dis-moi, tu as aimé t’exhiber hier soir ? »« Oui, c’est excitant toutes ces mains qui te touchent ou alors comme cet homme qui m’a examinée sous toutes les coutures »« Bien et cet homme ce matin, j’ai vu que tu avais mis un pied sur le tracteur, ça a dû de plaire de faire ça devant un inconnu ? »« Oui, mais c’est lui qui m’a demandé de le faire pour prendre le papier et j’avais peur d’être punie si je ne le faisais pas »«Oui et non, cela dépend de mon humeur, pour aujourd’hui je ne te dirai rien. Ca t’a excitée de le faire ? »« Oui »« Tu es une bonne salope. »

Le soir après le repas et devant la télévision, j’ai dû lui masser les épaules, les seins et les pieds et je pus ensuite aller me coucher. Elle avait installé un petit matelas très fin au pied de son lit pour moi y dormir. Le lendemain, je me levais la première et lui préparais son petit déjeuner qu’elle prenait au lit. Puis je fis le ménage et le repas pour midi. Je fus ensuite attacher en croix après le portique de la balançoire, les seins serrés dans des cordes. Au bout d’un certain temps, je vis le même monsieur qu’hier arriver. Il alla directement voir ma cousine qui lui proposa le café. Elle me détacha pour que je fasse le service puis je dus me mettre à genoux à côté de lui mains dans le dos.« C’est bien pratique d’avoir ce genre de personne à disposition »« Oui c’est vrai en même temps c’est ma cousine, elle m’a demandé de l’éduquer. J’ai donc accepté par gentillesse mais parfois elle est difficile. L’autre soir, nous sommes allées à une soirée et elle s’est mal comportée, nous avons dû la punir »« J’ai vu le résultat qui était fort agréable à voir, en plus j’ai pu remarquer qu’elle se déplaçait à quatre pattes, j’aime beaucoup. Je doute fort que ma femme accepte de faire ça pour moi. D’où le petit mot que je vous ai fait parvenir hier. J’aimerai assister parfois une séance pour le plaisir des yeux »

« Mais bien sûr, vous pouvez même participer si vous le souhaitez »Du coup, il tendit la main et la posa sur un sein qu’il pressa fortement. Je gémis de douleur. Il se leva, toucha ma chatte et resserra les cordes.« Ce sera mieux comme ça, il faut qu’elle les sente bien. Elle mouille beaucoup, elle doit vraiment aimer ça, c’est une bonne chienne. Marches, je veux te voir te déplacer, voir ton cul roulait comme hier »Je me promenais à quatre pattes en roulant bien des fesses. Ma cousine m’appela pour m’attacher au portique. Elle m’attacha les mains dans le dos et mit une autre corde autour de mes seins, la glissa entre et la passa au-dessus du portique et tira dessus. Je me retrouvais sur la pointe des pieds. Elle donna le martinet au monsieur qui me fouetta en s’en donnant à cœur joie. 

Dès que je bougeais la douleur se ressentait au niveau des seins. Ma cousine mit un vibro puissant sur mon clito pour me faire jouir, lui me fouettait les fesses. Il arrêta et tira plus fort sur la corde, je me retrouvais pendue par les seins. Je criais, je sentais monter le plaisir, j’essayais de bouger le moins possible. Soudain ça arriva, je jouis en hurlant car elle insistait avec le vibro, je me tendis comme un arc, j’eus l’impression que mes seins allaient s’arracher. Ma cousine me balança légèrement, je gémissais en serrant les dents. Puis il me fit redescendre sur la pointe des pieds. Il prit la cravache et tapota mes tétons gonflés qui avaient pris une teinte violette. Je criais à chaque fois.« Tu vas t’habituer et tu aimeras ça. »« Si ça ne vous dérange pas, j’aimerai la baiser »« Allez-y, elle est là pour ça. Si vous souhaitez être seule avec elle, il y a une chambre »« Oui merci »

Il me décrocha du portique mais me laissa la corde, je me retrouvais à quatre pattes pour le suivre comme tenue en laisse sauf qu’elle était accrochée à mes seins. Arrivée dans la chambre, il détacha enfin mes seins, je n’en pouvais plus. Il les massa pour rétablir la circulation, je gémissais, j’avais mal. Il m’attacha en croix aux barreaux du lit. Il me défonça la chatte, il me retourna et m’attacha sur le ventre et me pénétra le cul d’un violent coup de rein qui me fit crier. « Tu es une bonne chienne, juste un trou bonne à baiser. Je vais me finir dans ta bouche, tu vas te mettre à genoux à mes pieds »Il me détacha du lit mais attacha mes mains dans le dos, attrapa mes cheveux et tira dessus pour me baiser la bouche jusqu’au fond, je m’étouffais à moitié. Il finit par éjaculer sur mon visage."Va te nettoyer salope"J’allais me nettoyer et je les rejoignis dans le jardin, où ma cousine m’ordonna de me mettre à genoux près de la table et de poser mes nichons dessus qu’elle s’amusa à cravacher.
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