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Une croisière paradisiaque

Chapitre 2

Erotique
Une croisière paradisiaque, le départ vers la liberté

Mon réveil sonne, il est six heures quarante-cinq. J’ai la tête un peu embrumée. En effet hier soir, après avoir fait connaissance avec certains voyageurs et membres de l’équipage, j’ai voulu rejoindre ma chambre assez tôt pour pouvoir vivre avec intensité mon départ vers une grande et belle aventure de six mois.
Seule dans mon lit, je repensais à un jeune homme d’une trentaine d’années, qui était accoudé au comptoir, et je ne sais pas pourquoi, je me suis mise à me caresser. Mais les bruits de pénétration ont réveillé ma sœur qui était dans la même chambre que moi, et m’a rejoint dans le lit pour me procurer un plaisir qui m’était inconnu. Dans le passé, je n’avais jamais connu d’aventures lesbiennes.
Bref, je sors de mes pensées par le réveil de Sophie, qui m’embrasse en guise de bonjour. Nous décidons de prendre une douche ensemble, puis de nous habiller. L’heure de départ approche, nous allons à l’accueil de l’hôtel pour retrouver nos accompagnateurs et les autres voyageurs. Quelques retardataires arrivent, complètement essouffler par la panique. Puis nous sommes transportées par des mini-bus en direction du port. Après un quart d’heure de trajet, nous arrivons devant un immense paquebot, j’en ai bien vu quelques-uns en photos, mais en vrai, c’est impressionnant. Il ressemble à un immeuble posé sur l’eau.
Nous descendons des véhicules, puis nous sommes accueillis par un groupe de musiciens et le capitaine. Je me crois dans le célèbre film de James Cameron, Titanic. Après cette pause musicale, nous entrons dans le bateau. Un agent d’accueil distribue les clés des cabines, puis les hôtesses nous emmènent dans nos chambres, nous y posons nos valises puis nous sommes conviés dans un immense salon. Brigitte la femme du capitaine, nous donne une brochure qui explique les activités possibles à effectuer dans le navire. Il y a cinq bars lounges, une salle de spectacle, un casino, deux piscines une en intérieur, l’autre en extérieur, deux jacuzzis, un spa, deux jacuzzis, deux salles de restaurants avec un thème différent chaque jour, une bibliothèque, une discothèque et pour finir une salle de sport. Mes yeux pétillent de joie, je suis dans un rêve.
On nous annonce que le bateau partira dans une demi-heure. J’en profite pour monter sur le pont, quelques badauds nous disent au revoir. Trois coups de klaxon raisonnent, le bateau quitte la terre, avec ma sœur, nous partons enfin à l’aventure. Première destination New-York, le temps du trajet est estimé à environ sept jours. Une fois la côte disparue, nous descendons dans nos cabines, il est l’heure de se préparer pour aller dîner dans l’un des restaurants du  bateau. Je m’habille avec une robe classique qui m’arrive à peine au dessus du genou, je me maquille légèrement, puis nous rejoignons nos convives.
Deux serveuses nous invitent à rejoindre une table de six, autour de celle-ci se trouve un couple d’une soixantaine d’années, d’une femme et d’un homme seul. Nous discutons de tout et de rien, le repas est divin, le vin est d’un excellence remarquable. Quand soudain, le rideau d’une scène s’ouvre, des musiciens parcourent le répertoire des musiques classiques contemporaines, puis apparaît une espèce de clown. Il fait plusieurs blagues, saute, danse, l’ambiance est au beau fixe. Son show dure pratiquement une heure, puis le grand tissu se referme. C’est à ce moment-là qu’un disc-jockey diffuse des musiques un peu plus moderne. Les clients se lèvent et danse sur des morceaux des années quatre-vingt. Avec ma sœur, nous suivons le mouvement. Après ces quelques minutes de détentes, je décide d’aller en direction du bar pour prendre une boisson rafraîchissante.
J’y retrouve le fameux trentenaire de l’hôtel. Cette fois-ci, je me rapproche de lui et prends le temps de le connaître. Il s’appelle Florent, il a trente-cinq ans, et travaille pour les banques, il est trader. Il a un charme fou, il doit faire un mètre quatre-vingts, il est brun aux yeux bleus et le corps d’un sportif.
Puis, je retourne voir ma sœur, gagner par la fatigue, nous décidons de retourner dans notre cabine. Je décide de prendre une douche, Sophie me suit, et je ne sais pas si c’est le fait d’avoir parler avec le jeune homme, mais je me sens toute bizarre. Instinctivement, mes mains descendent en direction de mon clitoris pour m’apporter un soulagement.
Ma sœur qui est derrière moi, ne manque pas de s’apercevoir du manège que je suis en train de faire. C’est à ce même moment qu’elle décide de prendre ma poitrine fermement dans ses mains et de les pétrir. Ma tête part en arrière sur son épaule, ses caresses sont si douces que je me laisse transporter par le plaisir. Je me tourne face à elle, et je l’embrasse avec passion, puis petit à petit, je glisse vers son puits d’amour. Je titille son bouton magique avec le bout de ma langue, elle ondule du bassin, c’est à ce moment-là, que je glisse un puis deux doigts dans sa fente humide. Je l’entends gémir de plaisir, mais elle saisit mes mains, je me relève, et c’est à son tour de me procurer des sensations fortes. Elle répond à mes envies avec perfection, je suis au bord de l’explosion et je ne tarde pas à pousser un râle de plaisir. Mes jambes tremblent, j’ai du mal à tenir en équilibre, je reprends petit à petit mes esprits pour lui offrir un orgasme qu’elle obtient rapidement.
Nous sortons de la douche, nous nous séchons puis nous rejoignons notre lit. Avant de nous endormir, Sophie me fait des papouilles, et je me laisse transporter vers un sommeil bien mérité. Je ne peux m’empêcher de penser à Florent ce bel homme, et je m’endors lentement avec la sensation de découvrir petit à petit la définition du mot liberté.
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