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Une élève infirmière

Chapitre 6

Trash
Quand Elodie entendit ça, il lui fallut quelques instants pour comprendre la situation. Elle commença à pleurer silencieusement, le visage caché dans ses mains. En même temps, son corps se liquéfiait, elle ne pouvait ignorer plus avant son envie, son besoin viscéral de continuer sur le chemin de la soumission, même si elle devait renoncer à toute dignité.
Alors elle releva la tête, espérant malgré tout que Steve se moquait d’elle de cruelle manière ; mais il paraissait sérieux, hélas. Elle tomba à genoux et noua les mains jointes devant elle dans un geste implorant.
— Non, ce n’est pas possible ! Je vous en prie, ne faites pas ça ! Gardez-moi ici, je ferai tout ce que vous voudrez, je serai votre chienne et votre esclave.
Steve empoigna sa queue de cheval et la tira en arrière, la forçant à garder la position, et il la gifla posément, gauche droite. Deux gifles sèches qui claquèrent durement dans la pièce. Deux gifles qui laissèrent Elodie à moitié groggy, tellement que quand il la lâcha, elle ne bougea pas, oscillant sur place. Le visage rouge, elle respirait lourdement et sa poitrine gonflée se soulevait en cadence.
— Je suis sûr que tu le feras, mais tu vas apprendre à obéir avant tout.
Il se tourna vers son frère, et lança :
— Cette pute fait la difficile, je vais dire à Drago d’être particulièrement sévère avec elle.— Tu me fais rire ; Drago est un fils de pute vicieux et méchant, elle va déguster de toutes façons.— C’est vrai.— C’est pour ça que j’étais pas trop pour ; il y a d’autres personnes qui en auraient pu faire ce boulot, des pros qui connaissent la valeur de la marchandise. Drago, c’est un salaud qui a du fric et tout ce qu’il aime, c’est prendre son pied en dressant les filles.— C’est vrai encore ; mais c’est un ami et on lui doit du fric.— Elle va pas rigoler, la petite infirmière.
Drago arriva un peu après onze heures ; quand il sonna, Elodie attendait à genoux dans le séjour ; nue, bien sûr.
Pendant près de deux heures, les trois hommes l’avaient prise sans douceur par tous ses orifices ; à sa grande honte elle avait joui intensément alors que les frères la prenaient en sandwich aussi fort qu’ils pouvaient et que Franck s’était enfoncé dans sa bouche de toute la longueur de sa verge. Elle avait connu plusieurs orgasmes dévastateurs sous leurs assauts répétés, n’en revenant pas de pouvoir connaître autant d’orgasmes si puissants.
Puis elle avait pris une nouvelle douche froide et nettoyé ses orifices souillés en enfonçant le tuyau flexible dans ses reins comme dans son vagin puis en se vidant dans la baignoire.
Elle n’avait rien mangé depuis la veille, à part du sperme, juste bu de l’eau, et elle était affamée. Epuisée aussi, elle sentait qu’elle aurait du mal à se lever. Et fataliste enfin, elle ne savait pas comment revenir en arrière, elle ne savait d’ailleurs pas si elle en avait envie. Elle avait quitté le domicile familial, quitté son mari pour rejoindre ce gros type sale et vulgaire. Qui la faisait jouir comme elle ne le croyait pas possible. Ce qui l’attendait s’annonçait difficile mais au fond de son cœur, elle savait qu’elle était prête.
Bien sûr elle avait peur, la situation lui avait échappé ; elle sentait qu’elle atteignait un point de non-retour, qu’elle allait basculer dans un monde qu’elle ne connaissait pas, un monde glauque de sexe et de violence dont elle ne ressortirait pas indemne.
Pourtant elle n’avait pas envie de se lever et de partir ; elle restait là, à genoux et les mains sur la nuque, cuisses ouvertes à angle droit exposant son pubis lisse. Lisse et mouillé aussi, elle sentait que son corps la trahissait encore une fois. Exposée crûment et humiliée, elle ne pouvait ignorer que ses mamelons roses étaient dardés et que sa fente ruisselait.
Franck fit entrer Drago ; après les présentations d’usage, il se tourna vers Elodie qui n’avait pas bougé d’un pouce, mais qui le regardait aussi discrètement qu’elle pouvait. C’était un homme sec et noueux, dans les trente ans, le visage dur barré par une moustache drue et couvert d’une barbe de trois jours, cheveux noirs ondulés et gras ; vêtu d’un costume beige à rayures tellement froissé qu’il avait dû dormir avec, de chaussures bicolores pointues et mal cirées, il avait tout du mac de seconde zone. Jusqu’à l’air méchant ; très méchant.
— Alors, vous voulez me louer cette salope ? Lève-toi, la blonde, que je vois combien tu peux valoir… Tu entends ?— Oui monsieur… répondit-elle d’une toute petite voix.
Elodie se releva difficilement, les muscles engourdis et si faibles qu’elle dut s’appuyer au mur. Elle se redressa, coudes contre le mur et jambes jointes, paupières baissées pour ne pas avoir à soutenir le regard d’acier du nouveau venu.
— Mmm… Rien à dire, jolies jambes, gros seins, belle gueule. Elle est docile, au moins ?— Pas trop, il vous faudra la dresser.— Bon, vingt et un ans, c’est ça. Et vous me devez 50 000. Bon, vous ne me devez plus que 20 000. Et je la garde six mois.— On pensait que vous effaceriez toute la dette.— Eh, je suis pas une poire non plus ! Bon, elle est belle, si elle est rétive j’aurai plaisir à la dresser ; vous me devez plus que…— Allez, soyez sympa avec nous, on se connaît depuis longtemps !— Mon bon cœur me perdra ! D’accord, j’efface tout mais je la garde un an. À compter d’aujourd’hui. J’espère ne pas le regretter.
Ils se serrèrent la main et se donnèrent l’accolade, puis Drago toisa Elodie, le regard plein de mépris ; il lui fit signe d’approcher, ce qu’elle fit à pas mesurés, un peu chancelants. Sa main droite parcourut les hanches pleines, soupesa un sein puis l’autre.
Quand il saisit un mamelon qui durcit encore sous ses doigts, il sentit le frémissement parcourir tout le corps de la beauté blonde offerte devant lui. Il releva le menton de la jeune fille jusqu’à ce que ses yeux bleus un peu voilés se fixent dans les siens. Il posa deux doigts sur le lèvres roses et gonflées ; docilement, Elodie ouvrit la bouche et accueillit les doigts, les léchant et les aspirant comme elle l’aurait fait d’une verge.
— Je crois que je vais bien m’amuser avec toi, petite chienne. Tu ne demandes que ça, obéir et remuer ton petit cul pour plaire à ton maître. N’est-ce pas ?
En rougissant, Elodie cligna des yeux une fois, pour signifier son accord. Elle savait qu’elle était prête à… Tout ce qu’il voudrait. Sa vie d’avant, son couple, ses études, c’était fini. Sa nouvelle vie l’attendait. Celle qu’elle avait choisi.
— Oui, Monsieur. Je ferai ce que vous voulez.
Drago demanda à Steve quelque chose pour couvrir Elodie, il alla chercher un grand tee-shirt blanc, propre mais usé, couvert de taches indélébiles, d’accrocs et de trous de brûlures de cigarettes ; elle l’enfila sans faire de commentaires. Il couvrait à peine ses fesses, mais c’était mieux que rien.
Tête basse, elle sortit de l’appartement sans un au revoir à Franck et ses fils et suivit Drago ; d’ailleurs sur le palier il lui saisit le gras du biceps gauche en serrant si fort qu’il lui fit mal, mais elle n’osa pas protester, bien convaincue qu’il le faisait exprès. Devant l’entrée, juste derrière sa voiture était garé un fourgon blanc sale ; Drago tira Elodie jusqu’à la porte latérale qu’il ouvrit pour la faire entrer ; il monta derrière elle et referma la porte. Elodie examina l’intérieur bien éclairé par deux glaces à l’arrière et deux autre forme hublot de chaque côté. Sous ses pieds nus, des panneaux d’aggloméré poussiéreux et couvert de traces sombres indéterminées.
— Le tee-shirt, vite.
Le cœur au bord des lèvres, Elodie obéit et le lui tendit, douloureusement consciente d’abandonner peu à peu son libre-arbitre. Il la fit asseoir contre la cloison avant et lui passa des fers aux chevilles et aux poignets ; les chaînes étaient très courtes et elle ne pouvait plus guère bouger. Elle s’abandonna contre la paroi et attendit.
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