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Une épouse presque fidèle

Chapitre 3

Erotique
UNE ÉPOUSE PRESQUE FIDÈLE

ÉBATS TORRIDES (2)

LIOUBOV
Jessica quitte cependant mes bras pour descendre au niveau de mon bas-ventre. Il me semble lui avoir dit que je désire goûter à la douceur de ses lèvres sur mon vieux gland… Elle s’empare de ma verge en semi-érection et commence à la lécher en me jetant des regards coquins ; dans ces conditions, il me faut peu de temps pour retrouver une rigidité à toute épreuve. Elle se met à alterner des pompages du gland avec des gorges profondes ; le fait que je sois totalement épilé lui facilite la tâche. Elle me branle un peu aussi, sans omettre de placer son pouce sur mon frein (que j’ai très développé et hypersensible). Sachant que je suis toujours en train de filmer, elle pousse le souci du détail jusqu’à relever fréquemment ses cheveux qui pourraient masquer le délicieux traitement qu’elle procure à ma vieille bite !
Au bout d’une minute, elle se met à lécher le pourtour de mon méat, pointant même sa langue à l’entrée de mon urètre. Je sais ce qu’elle va faire : nous en avions déjà parlé. C’est pourquoi je ne suis pas surpris lorsqu’elle dépose de la salive sur son auriculaire et commence à le faire glisser sur l’extrémité de mon gland, tournant autour du méat pour s’en rapprocher de plus en plus. Elle appuie un peu à l’entrée, et son doigt disparaît dans mon urètre jusqu’à la première phalange. Elle le ressort et le réintroduit à plusieurs reprises. Je commence à pousser des gémissements de plaisir.
– Tu m’arrêtes si je te fais mal…– Non : continue ; plus loin ! Continue : c’est bon… Force ! N’aie pas peur.
Jessica maintient fermement ma verge entre ses doigts, juste derrière mon gland que je vois se déformer tandis qu’elle appuie de plus en plus fort. Sur mon conseil, elle vient déposer un peu plus de salive pour faciliter cette introduction perverse ; un long filet de bave relie mon gland à ses lèvres lorsqu’elle se redresse pour contempler ce qu’elle me fait subir. C’est vrai qu’elle semble très intéressée par ce qu’elle me fait subir ; qu’elle est belle ainsi, en pleine dépravation…
– Vas-y, n’aie pas peur : je n’ai pas mal.
Elle enserre fortement ma verge dans sa main et appuie encore plus fort ; ainsi emprisonné, mon gland devient rouge foncé
– Oh, oui, c’est bon… Ah oui !
Mon urètre a maintenant absorbé deux phalanges ; Jessica force encore, mais ne parvient pas à faire pénétrer sa deuxième articulation. Elle n’essaie pas d’aller plus loin, craignant de me déchirer. Mais elle continue cependant à mouvoir son doigt à l’intérieur de moi, en me branlant de l’extérieur avec son autre main, tout en surveillant l’expression de mon visage sous cette délicieuse torture. Elle sourit et se mord les lèvres en regardant la progression de son doigt, qu’elle fait maintenant coulisser en le faisant pivoter, comme si elle vissait et dévissait…
Pour moi, la sensation est troublante ; je sens mon urètre se dilater en étant caressé de l’intérieur, où Jessica découvre des zones extrêmement érogènes. Et puis cette autre main qui coulisse sur ma hampe tout en me serrant le gland lorsqu’elle remonte. Le plaisir est immense, et la douleur tout autant ; mais l’une et l’autre sensation se mêlent en un cocktail des plus agréables. Je sens mon sperme monter… Non, ce n’est pas ainsi que je veux jouir.
– Ta bouche, maintenant.
Sans la moindre hésitation, Jessica se penche pour emboucher mon gland. Elle l’aspire très fort en me branlant la hampe, puis alterne avec des gorges profondes. À mes gémissements, elle doit penser que je ne vais pas tarder à jouir ; ses mouvements s’accélèrent, mais je tiens à faire durer le plaisir.
– Aspire-moi le gland…
M’obéissant instantanément, elle diminue l’amplitude de ses mouvements pour les concentrer uniquement sur mon gland, que je vois entrer et sortir de sa bouche ; lorsqu’elle l’a à l’intérieur, elle resserre ses lèvres gourmandes juste derrière la couronne, zone extrêmement sensible chez moi.
– Ah, comme c’est bon…
Elle continue de me téter le gland en m’envoyant des regards coquins…
– On mettra la vidéo sur Xstory ?– Ah non !– Ah ah ah ! Je te remets le bandeau, si tu veux.
Elle recommence une série de gorges profondes, mais un peu trop rapides à mon goût pour que je puisse apprécier à leur juste valeur ces caresses délicates.
– Tu sais, ce n’est pas la peine d’aller vite : vas-y doucement ; j’aime bien, aussi.
Obéissante, Jessica l’est, assurément. Elle ralentit ses caresses buccales ; ça doit la soulager, car ça fait une dizaine de minutes qu’elle me suce sans discontinuer !
– Oui… Oui ! Humm… Humm… Oui ! Oui !
Mes yeux sont fixés sur le champignon obscène de mon gros gland décalotté qui disparaît par à-coups entre les lèvres de Jessica… Je sens la pression monter… Elle me sourit chaque fois qu’elle laisse mon gland sortir de sa bouche, puis elle me lance des regards effrontés tout en me le léchant pendant qu’elle me branle. Quelle délicieuse petite cochonne ! Elle me branle à présent en faisant virevolter sa langue autour de mon gland. Comment arrive-t-elle à me sourire en même temps, tout en me lançant des regards incendiaires ? Quelle salope ! (Dans ma bouche, c’est un compliment)
Je commence à souffler comme une vieille locomotive à vapeur ; la jouissance approche… Mes halètements se font de plus en plus rapprochés. Jessica prend alors ma verge en la serrant fortement dans sa main. Ses doigts glissent lentement sur mon gland brillant de salive tandis que son pouce décrit des mouvements rotatifs sur mon frein. Elle observe ma verge avec énormément d’intérêt… J’émets des gémissements incontrôlables, entrecoupés de halètements irrépressibles. Elle me reprend encore en bouche ; mon regard éperdu de désir et de plaisir suit les mouvements de sa langue sur mon gland… Elle m’amène tout doucement aux portes de la jouissance… Ses lèvres se resserrent autour de mon gland pour l’aspirer avec une puissance incroyable…
– Oh… Oh… Oh !
Ma jouissance est toute proche. Je vois du sperme qui s’écoule de mon gland violacé à cinq ou six reprises ; Jessica en prend une giclée sur le nez… Mais le véritable orgasme n’est pas encore là. Elle continue de me triturer le gland pendant une quinzaine de secondes avant que l’orgasme me submerge. Mes cris de plaisir se transforment en véritables hurlements ! Jessica n’arrête pas pour autant de me manipuler le gland : je l’avais bien briefée au cours de nos correspondances enflammées ; elle savait donc ce qu’elle devait faire pour m’amener jusqu’à cette explosion démentielle. Mais elle improvise pour augmenter encore – si c’est possible – mon plaisir : pendant que je hurle sous ses caresses, elle vient me lécher les bourses ! Un flash m’éblouit ; je perds presque conscience… Puis la tension qui m’avait envahi s’apaise ; je flotte dans un bien-être total… Jessica revient vers moi pour s’allonger sous la couette. Je la prends dans mes bras et nous nous embrassons tendrement.
(En regardant après coup cette séquence vidéo, j’ai constaté que mon orgasme avait duré une minute et dix secondes, dont cinquante-cinq secondes de hurlements démentiels)

JESSICA
J’ouvre les couvertures et me glisse vers sa verge, que je découvre enfin : totalement épilée, et circoncise. Exactement comme je les aime ! Sans la toucher avec mes mains, je la lèche doucement sur toute sa longueur. Lioubov attrape son iPhone et commence à filmer.
Le coquin, il sait que j’aime ça ! Il veut voir une chienne ? Il va être servi ! Son pied, moi, je vais le lui faire prendre comme on n’a jamais osé !
Sa verge vibre sous les caresses de ma langue. J’aspire délicatement son gland entre mes lèvres et commence à le tétouiller, tandis que la pointe de ma langue taquine son frein. Je suis excitée par le désir brûlant qui envahit ses yeux qui m’observent.
J’absorbe lentement sa verge dans les profondeurs de ma bouche, puis je me concentre uniquement sur son gland, que je suce puissamment. Ensuite, j’absorbe vivement sa verge toute entière dans ma bouche. Je l’entends gémir : il aime ça ! Je continue ce traitement pendant quelques secondes en alternant avec des caresses de la main, le pouce courtisant son frein. Je peux ainsi en profiter pour guetter sur son visage la progression de son plaisir.
Sa petite verge me rappelle celles des deux puceaux de 13 ans qui étaient passés sous ma langue de jeune fille de 17 ans. Je la lèche sur toute sa longueur. Elle est délicieuse. Je pourrais la sucer pendant des heures. Mais Lioubov apprécie un plaisir bien différent de celui que peut fournir une simple fellation : un plaisir que je n’ai encore jamais donné de ma vie, et que j’ai très envie de lui offrir.
Je lèche et suce son gland en veillant à y déposer une grande quantité de salive. Je lèche l’orifice de son urètre, qui s’ouvre sous la pointe de ma langue. Je le titille de l’intérieur. J’aimerais pouvoir rendre ma langue encore plus fine pour le pénétrer profondément. Je mouille mon auriculaire et le caresse avec ce doigt ; je suis surprise de le voir aussi dilaté. J’y insère lentement mon doigt jusqu’à la première phalange. C’est vraiment très serré, doux et brûlant. Je m’amuse à le ressortir et le réinsérer doucement plusieurs fois. Lioubov pousse des gémissements. Je lui souris, ravie de découvrir cela et de lui donner ce plaisir.
– Tu m’arrêtes si je te fais mal…
J’ai peur de le griffer avec mon ongle.
– Non : continue ; plus loin ! Continue : c’est bon… Force ! N’aie pas peur.
Je maintiens fermement sa verge dans ma main gauche et pousse. Le pauvre gland se déforme sous mes yeux. Lioubov me conseille de mettre plus de salive. Je fais alors couler un filet de bave dans son urètre et réinsère doucement mon doigt que je mouille avant. La première phalange y glisse sans soucis.
– Vas-y, n’aie pas peur : je n’ai pas mal.
Je serre encore plus fort sa verge dans ma main afin que son gland ne glisse pas entre mes doigts. Le pauvre devient rouge foncé. Mon auriculaire est comprimé dans son urètre, et je sens de petites aspérités, comme le point G d’une femme.
– Oh, oui, c’est bon… Ah, oui !
Je réussis à enfoncer deux phalanges, mais ne force pas plus, de peur de me casser le doigt. Je décide de le caresser de l’intérieur pour détendre sa chair. La douceur est vraiment très agréable, bien que mon doigt commence à s’engourdir. Je titille les petites aspérités. Je m’aperçois que mon auriculaire déforme sa verge, faisant apparaître une bosse qui en redéfinit les contours de l’intérieur. Je branle sa queue de l’extérieur. C’est une bien étrange sensation que je découvre, de pouvoir le caresser de l’intérieur et de l’extérieur simultanément. Je sens ma main sur mon auriculaire : je comprends que la paroi est tendre, et pas aussi épaisse qu’elle ne paraît.
J’ai envie d’enfoncer encore plus loin mon doigt dans son urètre pour continuer mon exploration. S’il a pu y insérer quelque chose d’aussi épais que son index, alors mon auriculaire devrait pouvoir y glisser ! Je serre de nouveau sa verge dans ma main gauche et commence un mouvement de rotation avec mon auriculaire dans le but de l’enfoncer plus profondément. Lioubov gémit plus fort encore. Je souris en découvrant que je lui donne involontairement encore plus de plaisir. Je sens bien les aspérités sous mon doigt ; j’avais bien deviné qu’il s’agissait de son point G.
Toutefois, il m’avait dit éprouver du plaisir plus profondément encore. L’idée se sortir les petits instruments que j’ai apportés avec moi pour expérimenter cette exploration s’impose à moi. Il s’agit d’une aiguille à tricoter et d’un crochet. J’avais pensé insérer d’abord ce dernier en le faisant lentement coulisser dans son urètre, dans un mouvement de va-et-vient. J’aurais ainsi eu le plaisir de pénétrer un homme sans avoir à toucher son petit trou. Je souhaitais faire la même chose avec l’aiguille, mais plus profondément encore, afin d’atteindre un endroit qui procure un intense plaisir, que Lioubov m’avait dit avoir à une quinzaine de centimètres de profondeur, soit à la base même de sa verge.
Je retire lentement mon doigt engourdi de son sexe pour le lui proposer.
– Ta bouche, maintenant ! réclame-t-il.
Sans hésitation, mes lèvres fondent sur son gland que j’aspire très fort tout en le branlant. Puis j’alterne en absorbant vivement sa verge toute entière au plus profond de ma bouche. Ce faisant, ma langue compresse son frein à chaque passage. Ses gémissements, de plus en plus audibles, témoignent de son plaisir. J’adore cela : on ne me résiste pas !
– Aspire-moi le gland…
Je prends l’intéressé entre mes lèvres. Je le tète, le suce et le mordille doucement en regardant Lioubov qui filme toujours. Il est visiblement très intéressé par le spectacle que je lui offre. Je m’applique de plus belle… Aspirant fortement son gros gland circoncis, mes lèvres se referment juste derrière la couronne, tandis que la pointe de ma langue fait des va-et-vient sur son frein.
– Ah, comme c’est bon…
Je continue ainsi en regardant son plaisir inonder ses yeux.
– On mettra la vidéo sur Xstory ?– Ah non !– Ah ah ah ! Je te remets le bandeau, si tu veux.
Je recommence à absorber entièrement sa verge en aspirant fortement son gland comme je le faisais précédemment. J’alterne avec des aspirations moins longues et moins fortes.
– Tu sais, ce n’est pas la peine d’aller vite : vas-y doucement ; j’aime bien, aussi.
Sa verge est si délicieuse que je ne m’étais pas rendu compte que j’étais en train de la lui dévorer. Ma gourmandise me fait sourire. J’adoucis la pression de ma langue et les mouvements sur sa verge.
– Oui… Oui ! Humm… Humm… Oui ! Oui !
L’extase se lit sur son visage ; son orgasme est très proche. Sa verge est bien raide entre mes petits doigts et prête à exploser, mais je ne veux pas qu’il jouisse tant que je ne l’ai pas décidé.
Je m’amuse à absorber vivement et entièrement par à-coups ce membre engorgé entre mes lèvres. J’alterne en léchant son gland tout en le branlant. Je lui souris en surveillant sa jouissance sur ses traits fins et délicats. Je m’apprête à comprimer son point de non-retour lorsqu’il jouira. Ainsi, un violent orgasme s’emparera de lui sans qu’il ait éjaculé. Je pourrai lui donner ce plaisir plusieurs fois, jusqu’à ce que je désire qu’il me donne enfin son sperme.
Il commence à haleter fortement : sa jouissance est proche. Je serre fortement sa verge dans ma main. Elle glisse lentement entre mes doigts. Je surveille attentivement son gland brillant de salive tandis que mon pouce décrit des mouvements rotatifs sur son frein.
La pression redescend lentement, comme ses halètements. Je le reprends doucement en bouche en léchant et suçant son gland. Je resserre mes lèvres autour de lui pour l’aspirer fortement. Lioubov pousse désormais des gémissements incontrôlés.
– Oh… Oh… Oh !
Je branle tout en douceur cette délicieuse verge lubrifiée de salive. Je sens qu’elle va exploser entre mes doigts. Je comprime de nouveau légèrement son point de non-retour. Trop tard ! Du sperme très clair s’écoule de son gland. Je continue de le caresser, tout en faisant des mouvements rotatifs avec mon pouce sur son frein. Lioubov pousse des hurlements de plaisir ! L’idée qu’on pourrait l’entendre et tenter de le sauver d’un pseudo-massacre me fait sourire. Je continue de caresser son frein et sa verge, comme il m’avait dit aimer. J’observe son sperme qui s’écoule en se mélangeant à ma salive. Sa verge brillante glisse entre mes doigts. Un désir m’envahit soudainement. Je m’autorise une dernière gourmandise, celle de lécher délicatement ses bourses de la pointe de ma langue tout en le branlant. Il se met à hurler encore plus fort ! Je m’aperçois alors que j’ai du sperme qui coule le long de l’arête de mon nez.
Je reviens m’allonger sous la couette, fière de moi et espérant lui avoir laissé un souvenir inoubliable. Il m’invite dans ses bras où je me blottis tendrement. Nous échangeons ensuite de longs et langoureux baisers.

(à suivre)
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