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Une excitation inattendue !

Chapitre 7

Inceste
Cette discussion avec Marc m’avait finalement bien avancé. j’y avais pas mal réfléchi de mon côté, dès le nuit qui avait suivie. Le soir venu, comme ma mère travaillait la journée et que moi j’étais en ville avec ma copine, le couvert était déjà mis. J’étais dans ma chambre quand elle est rentrée. Elle n’était apparemment pas seule. Une copine à elle était venue dix minutes. J’ai tout de même pu entendre que cette attention avait fait un petit effet chez les deux femmes qui me connaissaient bien. Quand la copine à maman fut partie, j’entendis gratter à la porte de ma chambre. Sans répondre, ma mère entrait le sourire aux lèvres.

"Je voulais te remercier d’avoir préparée la table pour le dîner déjà, c’est gentil de ta part.— De rien maman ! je me suis dit que ça serait bien que je prenne un peu plus ce genre d’initiative."

Elle me sourit encore un peu plus puis sortit.

"Bon ! je prend une douche et je m’occupe de faire à manger. Je t’appellerai quand ça sera prêt.— D’accord, maman !"

Je repris mes activités pendant ce temps. Le repas se passa sans rien de spécial. la soirée par contre eut un caractère agréable qui m’avait quelque peu manqué ces derniers temps. Ma mère présentait à nouveau un visage plus serein et heureux. On regardait la télé ensemble, moi assis à un bout du canapé, les jambes étendues sur le pouf. Maman, elle, était quasiment allongée sur le canapé, la tête sur un coussin posé contre moi. j’étais un peu embarrassé par ce positionnement et me sentait obligé de garder mon bras gauche sur le haut du canapé. A la fin, elle s’est relevée et est partie se coucher et moi aussi, un peu après.

Dès ce jour-là, j’ai réussi à garder cette habitude de mettre le couvert par anticipation qu’elle soit encore au travail ou déjà à la maison. Une attention qui la touchait clairement, même si elle ne disait plus rien. Juste de la voir me sourire à chaque fois me suffisait.

Au bout de quelques jours, nous nous retrouvions dans la même position sur le canapé devant le film du soir. Mais cette fois-ci au lieu de me laisser le bras en hauteur, elle décida sans rien dire de me le prendre et le poser sous sa tête. Ainsi, j’encadrait son visage. Je la regardait par réflexe pour comprendre ce qu’il se passait, et elle me sourit. Elle savait pourtant que j’avais encore ma copine, même si je restait toujours discret à ce sujet, mais je la sentait rassurée et heureuse de me voir essayer de prendre quelques nouvelles habitudes.

Le lendemain, quand elle rentra, en milieu d’après-midi, elle vint me dire bonjour dans ma chambre et m’embrasse sur la joue. J’en profitait alors pour lui faire une proposition :

"Est-ce que tu pourrais m’apprendre un peu plus à faire la cuisine. J’aimerai t’aider encore un peu plus surtout quand tu rentres en toute fin d’après-midi, comme ça tu pourras te reposer avant de manger.— C’est gentil de ta part, mais tu sais ça me fait plaisir de te faire à manger mon chéri.— Je sais bien, maman, ça ne t’empêche les autres jours.— Ok ! Pour ces jours-là je te laisserai des instructions.— Mais tu n’as pas peur que je me rate complètement et qu’on mal ?— Non ! Je ferai en sorte d’être précise pour que tu ne te rates pas.— On commence quand ?— Lundi, tu pourras t’occuper de ça.— Je pourrai aussi faire quelques courses au cas où de temps en temps.— Chaque chose en son temps."

Sur ces mots, elle m’embrassa à nouveau sur le front et se retira.

La fin de semaine ne différa guère des jours précédents.

Le lundi venu, je me levais vers 9h. Arrivé dans la cuisine, la liste des instruction de ma mère était là accrochée au tableau. Je pris mon petit déjeuner, ma douche et fit l’inventaire des ingrédients pour ce soir. Tout était prêt. Ma journée se passa assez tranquillement. Je chattais un peu comme tous les jours avec ma copine, et reçu un mail de Marc auquel je répondis lui relatant les progrès déjà réalisés. La fin d’après-midi approchant, je commençais à m’organiser pour faire à manger.

Quand ma mère rentra, j’avais bien entamé le travail.

"Huuuummmm ! ca sent bon la cuisine en préparation. Dit-elle en humant les odeurs lui venant de la cuisine. Je vais m’allonger sur le canapé. Tu me diras quand ça sera prêt.— Oui, maman !"

Une heure après, j’avais fini mon job et mis le couvert. J’avertis ma mère que ça allait être servi. Elle se leva, allait se laver les mains et vint me rejoindre à table. J’avais déjà fait le service et n’attendait plus que son jugement avec une petite appréhension quand même, malgré que je fut assez content de moi.

"Huuuummmm ! Pour une première c’est une réussite.— Merci maman. C’est grâce à toi.— Non ! Non ! Moi je n’y pas pour grand chose, c’est toi qui a tout fait tu mérite d’être récompensé.— Quelle récompense ?— Je ne sais pas encore, mais ne t’inquiète pas ça va venir."

Sur ces mots, nous continuons le repas, parlant de notre journée, même si moi je n’avais pas grand chose à dire. Elle me questionnait quand même un peu sur la cuisine, si ça n’avait pas été trop dur, etc. A la fin, nous débarrassions la table et elle insista pour faire la vaisselle seule.

Je m’installais donc devant la télé. Quand elle eu fini, elle vint me rejoindre. Elle s’allongea, les genoux pliés et la tête posée sur ma cuisse. Sans réfléchir, je posait mon bras sur sa taille. Nous étions bien installés. Le programme télé commença au bout d’un petit moment après la pub d’usage. La série télé était super.

A un moment donné, ma mère posa sa main sur ma cuisse, au moment ou les deux personnages principaux, un homme et une femme, vivaient une scène dans laquelle leur regards déclarait l’attachement l’un envers l’autre. Au bout d’un instant qui paraissait des heures presque, ils finirent par s’embrasser amoureusement. Le geste de ma mère à ce moment-là ne purent m’empêcher de ressentir un petit quelque chose qui me dérangeait tout de même un peu.

Maman, bougea peu après pur bien se repositionner contre moi. sa main fini par passer sur mon autre cuisse qu’elle caresser légèrement. Elle remonta même subrepticement, sans que je m’en rende compte, tellement j’étais finalement recaptivé par la télé. Par contre quand elle atteint mon entre-jambe, je le ressenti comme une décharge électrique et baissa le regard. Elle me regardais à également certaine que j’allais réagir. j’étais en érection et sa main était posée sur la bosse de mon pantalon de jogging. Je sentais qu’il allait se passer quelque chose. Une partie de moi me disais de ne pas me laisser aller par respect pour ma copine, mais une autre me disais de succomber à se désir.

Je ne pouvais au final rien faire contre. Ma mère commençais à me caresser le sexe par-dessus le jogging. Elle sentait bien sa raideur, mais elle avait les yeux de nouveau rivés vers la télé. Moi, je ne pouvais plus trop la regarder et commença à caresser son ventre.

Nous sommes restés ainsi jusqu’à la fin de l’épisode. Elle se releva ensuite et me prit par la main, m’invitant à la suivre. Je ne pouvais que me laisser entrainer. Elle n’étais plus ma mère, mais comme une déesse, une vénus, une sirène qui m’avait envouté.

Elle me conduisit jusqu’à sa chambre. Là ! Elle se retourna et m’embrassa à pleine bouche. Je l’accueillais sans résister et la pris même dans mes bras. Nous étions l’un contre l’autre à côté du lit. Le baiser dura quelques minutes accompagné de caresses. A son initiative, on se décolla et elle entreprit de me déshabiller. Elle m’enleva le haut, mon sweet et mon t-shirt et en profita pour me caresser l’abdomen, et y posa même quelques baisers. Elle s’attaqua ensuite au bas, passant directement sa main dans mon pantalon et mon slip et agrippant mon sexe. Elle me masturba doucement quelques instants avant de la lâcher, d’étirer mes vêtements vers l’avant pour libérer mon sexe et ainsi facilité mon dévêtissement. En un instant, je me retrouvait nu. La laissant faire, elle dézippa sa robe pour la laisser glisser jusqu’au sol, puis dégrafa son soutien-gorge et retira son string assorti. Elle était à sont tour nue avec juste ses escarpins aux pieds.

Elle s’accroupie alors et repris en main mon sexe qu’elle branla à nouveau avant de se rapprocher et l’enfourner dan sa bouche. Elle commença à me sucer comme il faut, comme elle l’avait déjà au cinéma, mais en mieux car cette fois-ci il n’y avait rien pour la gêner. Elle me suçait, me léchait, me branlait successivement. Mon sexe entrait tout entier dan sa bouche et elle jouait alors avec mes bourses. L’effet était incroyablement excitant.

Au bout de plusieurs minutes, elle se releva sans lâcher mon sexe de sa main et m’embrassa à nouveau. Elle relâcha son emprise.

"Prends-moi ! Portes-moi ! Allonges-moi sur le lit et fais-moi l’amour. J’ai trop envie de toi depuis l’autre jour."

Sans rien dire, je la pris dans mes bras, l’attrapa par les cuisses et la souleva. Elle se tint à moi, les bras autour de mon cou. J’avançais, montant sur le lit à genoux et la posa le plus délicatement possible. Nous nous allongeâmes alors, moi sur elle et nous nous embrassions à nouveau. Nous étions l’un contre l’autre, mon sexe tendu contre son bas-ventre. J’entrepris des mouvements bassin sans relâcher ce long baiser que nous échangions. Même mes testicules participaient. Je me rendait compte qu’elles se frottaient à sa chatte que je sentait bien humide. J’y déposait une main pour vérifier et effectivement elle était toute mouillée.

Je voulais lui faire un cunni, la lécher, la doigter, mais cette humidité m’incitait davantage à y aller plus directement.

Je me redressait légèrement, quittant ces lèvres, puis déposant des baisers dans son cou et le haut de corps, au-dessus de sa poitrine. Mon sexe se positionnait, et de ma main je l’aidait un peu pour bien le présenter devant l’intimité de cette déesse. D’un bon coup de rein, il la pénétra, puis je me redressait pour remonter vers sa bouche pour l’embrasser encore, et mon sexe s’enfonçait un peu plus jusqu’à entrer en entier.

Dans notre étreinte, je l’entendais gémir de plaisir de sentir mon sexe s’enfoncer en elle. Elle continua de gémir quand j’entamais mes va et vient. Je commençais tout doucement, mais longuement pour bien lui faire ressentir toute la longueur de mon sexe. Mes aller et venues s’intensifiaient progressivement jusqu’à s’accélérer brutalement, mais brièvement ce qui la fit gémir fortement.

Je me redressais pour la voir prendre son plaisir dans cette union incestueuse, mais qui nous paraissait hors de toute réalité. Nous étions comme dans un univers parallèle. Nous incarnions à notre façon ces deux personnages qui ont déclenché cette scène du monde réelle. Elle me souriait et gémissait à la fois qu’elle était belle à voir sous mes assauts répétés de mon sexe dans son bas-ventre. Elle gémissait et vibrait même quand par moment je passait d’un rythme  plus tranquille à un rythme plus intense, quand, au bout d’un moment de ce régime :

"Oh ! Je vais jouir mon chéri. C’est trop bon de te sentir ainsi en moi. Continu ! Continuuu ! Contiiiinuuuuuuu !"

Elle jouissait enfin, gémissant follement et de façon assez bizarre. Ca vibrait en elle et ces vibrations atteignaient ses cordes vocales qui faisaient vibrer sa voix. Sa respiration s’intensifiait aussi très fortement. Elle n’en finissait plus de jouir et m’agrippait par la taille avec ses jambes. Et pendant ce temps je poursuivais mon traitement.

Elle se calma finalement, mais moi je ne cessais pas. Je n’avais pas encore jouis. Elle ne me disait pas d’arrêter d’ailleurs. Elle été allongée complètement. Ses jambes étaient retombées sur le lit, me libérant d’une attache excitante et belle à voir certaine de l’extérieur. Ses seuls mouvements étaient ceux de sa poitrine qui se gonflait et vidait alternativement de l’oxygène au rythme des inspirations et des expirations. Je la voyais ainsi, belle, les yeux fermés, subissant mes coups de reins. Cette situation m’excitait. Je l’avais faite jouir après tout et il est normal que je jouisse à mon tour. Alors je profitait de cette vue, de cette offrande qu’elle faisait de son propre corps. Ce moment dura encore quelques minutes et je finis par jouir en elle, ne cessant mes coups de rein pendant que mon sperme se répandait dans son vagin. Quand les jets spasme devinrent plus faibles, je me laissait aller alors et m’allongeait sur ma belle. Ma mère !

On resta un moment comme cela, le temps que nous nous calmions enfin, puis je redressait, l’embrassa et enfin me retira complètement. Je m’allongeais alors à côté d’elle. Elle se tourna vers moi, posa son bras droit son mon torse et son visage contre mon oreille et ma joue. Nous n’échangeâmes aucune parole. Nous finîmes par nous endormir ainsi.

Au petit matin, je me réveillais, nous avions changé de position. Nous étions passés sous la couette en position de la cuillère, moi dans son dos. Ma belle dormait encore. Je regardais l’heure ... j’avais un quart d’heure avant que son réveil ne sonne. J’en profitais en me remuant dans son dos, mon sexe en érection matinale. A ce petit jeu elle se réveilla, tourna son visage le sourire aux lèvres. Elle m’embrassa.

"Veux-tu un petit truc à boire ? Lui demandais-je."

En guise de réponse, elle se redressa et engouffra mon sexe dans sa bouche. Elle me fit une magnifique fellation, et je ne tardait pas à jouir dans sa bouche. Elle n’en voulait rater aucune goutte et avala le tout, puis m’embrassa.

Nous nous sommes levés et elle me dit alors :

"C’était magnifique ! J’ai adoré cette soirée et cette nuit, et ce réveil. Mais nous n’aurions pas dû. C’était ta récompense pour m’avoir rappelée que tu pensais toujours à moi malgré ta copine. C’était aussi pour mettre fin à une envie qui me minait et minait notre relation depuis cet après-midi au cinéma. Nous ne recommencerons plus. Tu pourras faire venir ta copine que je fasse sa connaissance."

Elle m’embrasse, mais sur la joue cette fois et partit à la douche. De mon côté, je retournais dans ma chambre et retrouvais un petit sommeil. Quand je me réveillait, ma mère était partie travailler. Elle n’avait pas laissé d’instruction pour le soir, signe qu’elle rentrerait pas trop tard.

Par la suite, ma mère et moi nous sommes maintenus à une stricte relation mère/fils. Elle m’a d’abord posé des tas de question sur ma copine, puis je lui ai présentée au bout de deux semaines. Les résultats des examens étaient tombés et nous avons été reçus tous les deux. Ma mère sortait un peu plus avec ses copines et me parlait des ses rencontres, de ses aventures sans entrer dans les détails. Cette histoire nous avait incroyablement rapprochés. Quelques mois plus tard, elle avait rencontré un homme dont elle tomba amoureuse.

Merci à tous les lecteurs d’avoir suivi cette histoire, et surtout d’avoir été patients car cette épisode a mis pas mal de temps à sortir. Je suis désolé qu’elle se finisse ainsi, mais comme on dit : "Toute histoire a une fin". Et voilà une belle fin ! Ne trouvez-vous pas ?

A bientôt pour d’autres aventures.
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