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Une expérience magique

Chapitre 1

Zoophilie
Alors que je me trouve dans la chaufferie à l’entretien de ma chaudière, mon chien, un beauceron de 3 ans vient se frotter contre moi. Sa truffe me renifle et devient indiscrète dans mon entrejambe. Avec insistance son museau fouille le haut de mes cuisses, essayant de fourrer sa truffe sous mon short. Je m’aperçois que la pointe de son sexe sort de son fourreau. M’accroupissant face à lui, il me bouscule en se jetant sur moi ce qui me fait perdre l’équilibre. Me retrouvant assis sur sol, il commence à s’agiter. Il tourne autour de moi, vient me lécher la figure, passe derrière et me grimpe sur les épaules. Alors qu’il commence à haleter je sens taper son braquemart dans mon dos. Je me dégage de cette emprise.— Qu’y a-t-il mon petit Joé, c’est parce qu’une chienne du quartier est en chaleur que tu m’as l’air si excité ? Tu veux faire des câlins à ton petit père ? Viens mon chien, doucement.Le lui glisse la main sous son sexe, remonte mes doigts le long de sa tige et le masturbe. Là il s’arrête et semble apprécier. Maintenant qu’il ma communiqué son excitation, je commence à bander sec. Moi qui n’avais jamais envisagé, qu’un jour, j’aurais une telle relation avec mon chien.Nous sommes seuls dans la maison pour au moins deux heures. Je n’hésite pas longtemps à ouvrir ma braguette et lui présenter ma queue en pleine forme. Il me lèche le gland d’où perle déjà un peu de mouille. Je n’ai pas lâché son fourreau, il se déchaine et commence à manœuvrer lui même dans ma main.— Attends il faut fermer la porte, on va bien s’amuser nous deux, hein mon gros toutou ?Je le laisse et me dirige vers l’entrée du garage, communiquant avec la chaufferie, pour baisser la porte basculante. Il me suit et ne me lâche plus d’une semelle. Il me fait la fête, impatient qu’il est de se satisfaire et que je reprenne possession de son plaisir. Je reviens vers la chaufferie dont le sol est surélevé par rapport à celui du garage. Debout, je me débarrasse de mon short et de mon slip à grand peine parce qu’il continue de me donner des coups de museau en léchant au passage ma queue libérée. Tant bien que mal, j’étale une vieille couverture sur le sol au bord de la marche. A genoux pour l’étendre je ne fais pas attention que je suis dans une position provocante pour lui. Il me saute sur le dos.— Attends, pas comme ça mon chien, pas comme ça…Je le repousse et me couche sur le dos, mon derrière au bord de la marche. Je m’accroche les jambes sur chaque montant de l’embrasure du passage, elles sont en l’air et écartées. Aussitôt, Joé fouille de sa truffe mes fesses, me lèche les couilles et la pine qui mouille de plus en plus. Je le tire au dessus de moi par son collier.— Viens mon bébé, viens me la mettre, viens m’élargir mon petit trou qui a faim de ton gros membre.Ses pattes postérieures son restées devant cette marche, bien pratique pour ce que nous allons faire. Ses pattes antérieures s’accrochent à ma taille. Son mandrin est complètement sorti maintenant. De son bout, encore en pointe, suinte un liquide légèrement visqueux. Le saisissant, je le frotte entre mes fesses pour lubrifier l’orifice convoité. J’ajuste la hauteur en tirant sur mes jambes pour que la jonction de nos objets de plaisir soient bien dans l’alignement l’un de l’autre. Joé commence à me besogner, à chaque mouvement sa tige percute ma rosette, c’est un enchantement. Au bout de quelques minutes, sa pointe trouve l’entrée convoitée et se glisse à l’intérieur. Elle ressort et rentre de plus en plus profond dans mon anatomie. N’étant pas rôdé à ce jeu, une douleur croissante se fait sentir car son dard devient de plus en plus gros. Mais Joé n’en a cure, lui, il continue à s’acharner. Ça dure au moins un quart d’heure car par moments il se retire, me lèche et repart à la charge retrouvant de suite le chemin. Je commence à m’habituer maintenant que tout est bien ajusté, ça devient de plus en plus agréable. D’un coup de rein plus appuyé que les autres, alors que mon anneau est déjà bien dilaté, je ne sens pratiquement pas le nœud naissant de mon chien se faufiler dans ce chenal. Boule qui se met à gonfler rapidement une fois à l’intérieur de mon rectum.Joé arrête de me secouer. Je sens bien les contractions de son dard logé au fond de mes entrailles et les jets sous pression qui s’y répandent. Son nœud occupe tout le volume. Les parois de cette enceinte se sont tendues et cette boule stimule outrageusement ma prostate. Je suis bien, une douce quiétude s’installe. Maintenant mes mains se sont croisées sur son derrière et impriment au bas de ses reins un léger mouvement de pompage pour accentuer le frottement de la boule sur cet endroit sensible. Soudés l’un à l’autre je me rends compte que je ne suis pas loin de jouir car ce contact interne est tellement efficace que je m’en délecte. Lui ne cherche même pas à se détacher, bien planté, qu’il est, au fond de mon anatomie. Je suis bien, je lui caresse doucement la tête, il me lèche la figure, ma langue vient au contact de la sienne, une vraie scène d’amour canin !— Qu’il est bon ton gros nœud dans mon cul, mon dieu que c’est bon tu sais… Oh là là… Oui ça vient, oui oui je jouiiiiiiiiiiis…Euh Euh que c’est bon mon toutou … C’est encore bien meilleur que l’amour ordinaire…Tu sais… J’aime, j’aime, on recommencera dis ?… Tu sais que tu viens de me faire jouir par le cul, petite salope !Nous restons comme ça au moins vingt minutes attachés amoureusement l’un à l’autre en attendant que mon chien s’apaise. Puis, il recule lentement et c’est le grand vide. Il se nettoie et là, je découvre l’immensité de son braquemart.Après sa toilette intime, il vient faire la mienne, lapant avec gourmandise tout son sperme qui dégouline encore de mes fesses et le mien qui s’est répandu sur mon ventre. Quand je me relève il vient renifler la couverture sur laquelle nous venons de jouir, il lèche les reliefs de nos amours.Une expérience si exquise que nous l’avons renouvelée plusieurs fois avec toujours autant de plaisir quand nous étions seuls. J’avais découvert ces jeux zoo et ne pouvais plus m’en priver. Lorsque Joé venait me rejoindre dans le garage et que je fermais la porte derrière lui, il savait ce que nous allions faire. Je lui présentais ma queue en érection qu’il prenait plaisir à envelopper de sa grande langue, il me faisait aussitôt la fête et je n’avais pas besoin de le masturber pour que son phallus prenne forme. Quand je n’avais que peu de temps devant moi, il m’est arrivé de le sucer. La première fois, je l’ai obligé de se coucher sur le dos, en lui caressant le ventre, j’ai pris son bout entre les lèvres. Je fus surpris que le goût de cet outil ne soit pas du tout écœurant mais possédait une saveur assez subtile et j’en profitais pour le faire filer au fond de ma gorge. Plus tard, je l’ai habitué à venir au-dessus de mon visage. Quand il me voyait dans la position couchée et que je n’avais pas les fesses à sa portée, il enjambait ma tête relevée par l’éternelle couverture roulée sous ma nuque, ses pattes arrières sous mes aisselles, mes mains accrochées au bas de ses reins pour contrôler ses mouvements. Son phallus arrivait irrémédiablement à hauteur de ma bouche grande ouverte. Sous l’action de mes lèvres et de ma langue, le bout passait assez vite de pointu à dodu pour remplir la cavité qui lui servait de défouloir. En le pompant, son dard augmentait de volume et de longueur. Il semblait apprécier aussi cette façon de jouir. Je faisais attention que son nœud ne s’introduise pas entre mes dents avant de gonfler car au moment d’éjaculer, celui-ci prenait une taille affolante. C’est là, sans toutefois l’avaler, que j’ai évalué la quantité de sperme, qui s’échappait de mes lèvres, qu’un chien de cette grosseur pouvait éjaculer.C’était il y a longtemps. Je n’ai plus de chien car ma nouvelle femme n’en veut pas. Après avoir bourlingué quelques années à l’étranger et maintenant retraités, nous sommes revenus habiter dans un petit hameau de la campagne française où la chasse et la pêche sont reines. Un jour que j’étais seul et que je bricolais dans mon ancienne écurie transformée en atelier, je vois arriver un beau chien de chasse, certainement perdu qui, dans l’embrasure de la porte, me regarde. Je m’approche de lui, comme il remue la queue je le caresse. Il se roule parterre, certainement pour me montrer son affection.A partir de ce moment tout rejaillit dans mon esprit, mes amours zoophiles avec Joé. Je ferme la porte de l’écurie sans qu’il cherche à s’en échapper. Je le caresse sous le ventre, il ne bouge pas. Je baisse mon pantalon et mon slip, il me regarde en inclinant sa tête de part et d’autre et s’approche, il me lèche la pine qui commence à gonfler. J’ai nettement l’impression qu’il doit être habitué à ce petit jeu, peut-être que son maître doit jouer de la sorte avec lui. Dans nos campagnes c’est une pratique courante. Une fois un voisin, Joseph bi comme moi, avec qui j’ai parfois des relations homo, alors que je m’étonnais que son passage fût très libre, m’a raconté qu’il avait fait l’amour avec Arthur son âne. Dans son étable, il avait installé une table pour se faire prendre par son animal. Il m’expliquait qu’il l’échauffait en le masturbant. Quand il sentait que son dard était bien dur, courbé en appuis sur la table, les fesses provocantes, Arthur venait se placer derrière lui, ses pattes avant montant sur la table à hauteur de sa tête et commençait à lui besogner la rondelle.— Tu sais la première fois ça s’est produit à l’orée du petit bois au fond de mon pré, mon âne triquait, je lui ai caressé le chibre, je l’ai même sucé. Comme il s’excitait de plus en plus, moi aussi d’ailleurs, alors j’ai voulu essayer. Je me suis accroché à un arbre, courbé en arrière, les fesses dénudées. Il n’a pas fallu beaucoup de temps pour qu’il réagisse. Son poitrail sur mon dos il a tout fait pour me pénétrer et il y est arrivé ce con. Bon dieu que j’ai eu mal, durant une semaine j’ai eu de la difficulté à m’assoir. Après je me suis rodé le cul avec des courgettes de plus en plus grosses et je me suis installé ce petit coin dans l’étable pour nous faciliter la tâche. Un jour, si tu veux, tu n’as qu’à venir me seconder.Arthur en forme, Joseph me prévient. Nous le faisons rentrer dans l’étable tout en lui caressant la bite et les couilles. Joseph baisse vite son pantalon et se met en position sur la table. Sur le flan d’Arthur, je guide son braquemart à l’entrée du cul de Joseph puis je me place de l’autre coté de la table en face de lui, les jambes écartées pour qu’il me fasse une bonne fellation pendant que son âne s’acharne dans ses fesses. Vachement excitant cette séance mais à moi, une bite d’homme ou de chien me suffisent et je n’ai pas encore osé essayer avec Arthur.Pour en revenir à mon compagnon de passage qui se laisse masturber tout en m’enveloppant la pine avec sa langue gourmande, j’ai une envie folle qu’il m’encule. Je l’abandonne un instant afin d’installer, avec des chutes de solive, un reposoir à hauteur de son chibre pour qu’il me prenne comme Joé en son temps. Le chien me tourne autour et vient finalement se positionner au-dessus de mon ventre. Sa tige entre dans mes fesses et s’agite de plus en plus vite. En quelques minutes son nœud s’y glisse sans difficulté et nous bloque. Je retrouve le type de jouissance d’antan. Bon dieu que c’est bon l’amour avec un chien !
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