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Une famille bien recomposée

Chapitre 5

Inceste
Chapitre 5 - Initiation : Nouvelles définitions du plaisir
    Comme je l’ai dit précédemment, avec Marie, nous avions pris notre douche et c’est à ce moment-là (quand nous sortions) que nous avons entendus la sonnette retentir. Grand blanc dans la pièce, nous ne savions tous deux comment réagir. *Drrrring*. La sonnette retentit une seconde fois. Marie qui était encore en peignoir ouvrir la fenêtre de la salle de bain et vu qu’il s’agissait de sa collègue Amélie, sa stagiaire. Elle lui dit qu’elle allait venir ouvrir dans un instant. Elle s’habilla en quatrième vitesse et alla ouvrir la porte à son amie. Moi, je restais dans la salle de bain comme un con en faisant couler l’eau comme si de rien n’était pour ne pas divulguer notre secret. Cinq minutes après, je ressortais à mon tour de la pièce (habillé bien sûr) et descendis à la rencontre de la collègue de Marie. Ma chère tante ne m’avais pas prévenu que son amie était une apprentie secrétaire : une grande brune, cheveux ondulés, yeux noirs, lunettes carrées, dans un tailleur chic noir, des mensurations énormes que ce soit dans la poitrine ou au cul, des jambes longues et fines avec au bout des escarpins en peau grise avec des talons d’environ 9 ou 10cm.— Bonjour, je suis Amélie, la stagiaire de Marie (dit-elle d’une voix cristalline).— B-Bonjour, moi c’est Kévin, je suis le neveu de Marie (dis-je un peu bouleversé par cette beauté)— Amélie… Kévin est le fils de ma sœur, Mathilde, tu sais, je t’en ai déjà parlé.— Mathilde… euh… ah oui, la femme qui couche avec ton fils. Et donc ce jeune homme est celui dont tu m’as parlé, celui qui te fait tant rêver. (Ma tante me cachait-t-elle son désir depuis longtemps)— Euh, oui, mais là, t’es pas vraiment obligé d’en parler.— Kévin… voici Amélie, ma stagiaire, c’est également la fille de mon patron et de ma meilleure amie de lycée, c’est pour cela que j’ai accepté de la prendre sous mon aile dans l’un des secteurs dont je m’occupe (celui de la vente pour les plus curieux).— Mmmh, ma tante ne m’avait pas dit qu’elle travaillait avec une créature de rêves. Enchanté de faire votre connaissance.— Et poli par-dessus ça. Et encore, tu n’as pas tout vu (dit-elle avec un clin d’œil coquin).— Bon, les jeunes, arrêter votre cinéma. Amélie a 24 ans et toi tout juste 18 et elle est la fille de mon patron, donc si vous pouviez cessez votre petit jeu. Merci.— Mais dis-moi ma chérie, tu ne serais pas un petit peu jalouse que je te pique ton homme ?— Non, ce n’est pas ça, c’est juste que…— T’en fais pas, je risque pas de te le piquer, mais peut-être de te l’emprunter (dit-elle en riant).
    Amélie vexée, je la laissais avec sa collègue pour qu’elles puissent travailler tranquillement pendant que j’allais cuisiner notre repas du soir tout en échafaudant un plan pour terminer au lit avec la jolie Amélie.Quand le repas fut prêt, Amélie commença à ranger ses affaires et à partir quand je lui proposais de rester ce soir avec nous, qu’il y avait assez de nourriture pour elle également. Après une courte hésitation, elle accepta et s’installa à table. Le repas vite englouti et une bouteille et demie de whisky plus tard, elle ne pouvait pas reprendre le volant afin rentrer chez elle. Mon plan débutait enfin. J’emmenais Marie et Amélie dans le salon où elles s’affalèrent dans le canapé. Soudain, Marie dit à Amélie que c’était sur le tapis qu’elle rêvait de « se faire prendre toute entière, à se faire démonter, déchirer et même démolir les trous ».— Marie, je crois que tu es bien éméchée (dit Amélie elle aussi bien remplie).— Oui, mais à ce qu’il parait, l’alcool délit les langues.— Il est vrai, mais ce n’est qu’un vieux dicton.— Je crois pas, non. Si tu veux, je te pari que je peux te faire dire ce que tu penses.— Ok, voyons ça.— Dis-moi t’as un copain ?— Non, mais je viens de quitter le mien il n’y a pas longtemps.— Ma pauvre, je suis sûre que ça te manque, une bonne queue bien dure ?— Mmmh, oui si on veut mais il faut que le gars sache se tenir et s’en servir.— Et si je te disais que mon neveu, ici présent, est un mâle en puissance, tout ce que tu peux imaginer ?— Même pas en rêve, l’Homme parfait n’existe pas, c’est juste une légende pour faire envie aux jeunes adolescentes. (Quoi ? Cela ne la choquait même pas que je puisse coucher avec ma tante)— Ah bon, et le fait qu’il soit poli et charmant comme tu l’avais dit en arrivant, et le fait qu’il sache faire à manger et que ce soit bon en plus, c’est une légende. En plus, je te confirme qu’il baise comme personne.— Cela reste avoir.— Kévin, montre à la dame tes arguments.— Marie, enfin, je suis gêné (dis-je faussement choqué, réellement excité par la scène)— Rhooo, tu vas pas faire ton timide, pas après ce que tu m’as fait aujourd’hui.— Bon, d’accord. (Je me levais et je baissais mon jogging ainsi que mon boxer)— Ah oui, quand même, c’est pas rien ça. (Me voici, les couilles et la queue à l’air en face de ma tante heureuse et de sa stagiaire surprise)— Tu veux goûter ? (Lança ma tante toute contente de sa réussite)— Bien sûr que oui !
    Et sans me demander mon avis, elle se jeta sur moi, enfin, sur ma queue et aspira mon gland qu’elle commença lécher du bout de la langue. Elle commence des vas-et-viens sur ma queue, quand je sens qu’elle a un piercing sur la langue, cette sensation m’électrifie de bonheur. Sentir cette boule de fer me chatouiller la bite de haut en bas décuple mon plaisir. J’en profite pour commencer à toucher ses seins, je glisse une main dans son chemisier. Ma tante arrive par derrière et lui ôte sa veste puis commence à lui déboutonner son joli chemisier bleu océan. Voyant qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, je vois Marie qui la caresse sur les côtés puis ses mains remonte jusqu’à ses seins qu’elle empoigne afin de faire durcir ses tétons, le résultat ne tarde pas à arriver. Amélie s’arrête de me pomper et se retourne pour embrasser son amie. Je me baisse du canapé pour lui retirer sa jupe serrée et je commence à chercher sa chatte et je constate avec surprise qu’elle ne porte pas de dessous, par la même occasion, je peux voir qu’elle ruisselle et qu’elle est complètement épilée.
    Ma tante ne perd pas de temps et l’installe sur le canapé afin de lui manger l’abricot « le dessert tant attendu » comme elle disait. Moi-même, je me glissais derrière Marie pour lui titiller le bouton et lui enfiler un, puis deux, et ainsi jusqu’à quatre doigts. Elle mouillait comme pas possible. Elles couinaient toutes deux de plaisir. Amélie se laissa glisser le long du canapé pour prendre la bouche de Marie. Je ne me retiens plus et j’enfile ma queue dans le vagin de ma tante. Elle gémit longuement lorsque j’entre d’un coup jusqu’à la garde, touchant ainsi le fond, stimulant sa jouissance. Mes vas-et-viens sont rapides à l’intérieur d’elle. Je finis par gicler une quantité assez correcte après la journée que nous avons passé. Elle, qui n’a pas joui, ce retrouve fort dépourvu lorsque mon sexe fut détendu. Elle continua tout de même avec Amélie et elles se positionnèrent en 69 sur le tapis. Quelques minutes plus tard, repu de cette incroyable journée, je me laissais envahir par le sommeil et l’extase. Je pense que l’alcool y est pour quelque chose aussi.Le lendemain matin, je me réveille, à moitié nu, avec juste mon tee-shirt. Les filles ne sont plus là mais leurs vêtements si, signe qu’elles n’ont pas disparu. Ici, personne, cuisine et buanderie aussi. Les deux voitures sont bien là, je monte. Salle de bain, personne, bureau, idem, il ne reste plus que la chambre. Je continue et je les trouve toutes les deux collées l’une sur l’autre, endormies. Elles ont dû finir la nuit par une série de longues caresses et de baisers langoureux. Je m’approche de Marie et lui caresse son joli visage. Elle sort de sa léthargie et me sourit quand elle voit que c’est moi. Je l’embrasse et lui demande comment c’est finit leur nuit. Elle me dévoile tout : le 69 (dont je me souviens), les cunnis endiablés, les godes, les ciseaux, tous, jusqu’à la position finale dans laquelle je les ai trouvé, elle me dit également qu’elle a adoré cette soirée. Personnellement, je ne suis pas fan du triolisme, mais bon, si on peut rendre service, ça ne me dérange pas. Marie, toute contente, est heureuse d’avoir vécue son premier plan à trois, sa première fois avec une fille et d’être devenue cougar tout ça en une journée. Amélie se réveille enfin. Elle aussi heureuse de nous revoir, nous embrasse chacun à notre tour mais revient quand même aux lèvres de Marie qu’elle trouve sucrée. Elle lui dit que c’est le goût de sa chatte et en rigolant, elles continuent de s’embrasser à pleine bouche. Je les laisse ensemble pour préparer le petit déjeuner.
    Il est vrai que ce matin, les cours reprennent et que je dois y aller, les filles pourront partir plus tard. J’avale mon jus d’orange et ma tartine de Nutella et je me dirige vers le bus. Cinq minutes que j’attends et voilà enfin mon car qui arrive, je monte et le chauffeur, que tous les usagers habituels connaissent bien, est surpris de me voir ici. Je lui invente n’importe quel mensonge afin de ne pas ébruiter quelques doutes. Il me dit qu’étrangement, il a pris Norman plus tôt, là où je prends d’habitude le car. Je deviens pâle, je me retourne et vois mon cousin qui me fait signe au fond du bus. Je lui fait signe en retour et dis au chauffeur que c’est normal, et je lui invente un autre mensonge. Ni vu, ni connu, je me sens libre d’un poids car il ne cherche même pas à savoir si c’est vrai ou pas. Je progresse dans le bus et je m’assis au milieu du véhicule. Norman vient me rejoindre sur le siège à côté et il entame la conversation. Il s’excuse de tout ce qui se passe. Il me dit que s’il couche avec ma mère, c’est de sa faute à lui, qu’il ne faut pas lui en vouloir à elle, qu’elle se sent triste de ne pas avoir son fils à ses côtés, etc… Soudain, une étincelle éclate dans mon cerveau et embrase mon corps tout entier. Pour l’instant je continu de l’écouter et je finis par lui dire que moi aussi j’ai couché avec sa mère. Et qu’hier ça c’est fini à trois avec sa secrétaire. Incrédule au départ, il finit par me croire et commence par être excité.
(La suite au prochain chapitre…)
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