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Une famille bien recomposée

Chapitre 7

Inceste
Chapitre 7 – Vérification : Le début de la fin (n’ayez pas peur, ce n’est pas la fin du roman mais plutôt de la saison 1)
    Depuis que Norman m’avait révélé le fait qu’il couchait régulièrement avec ma mère et qu’il se trouve qu’elle est une perverse jusqu’à l’os, je ne me tenais plus et j’avais hâte de rentrer chez moi pour vérifier ce que venait de me raconter mon cousin car en plus de cela, Norman m’a confié que Mathilde était inquiète pour moi et avait envie que je rentre au plus vite car je lui manquais.
    Dès que je suis arrivé, je sentais que quelque chose avait changé. Je n’avais pas prévenu ma mère de mon arrivée étant donné que j’eus l’idée de revenir au domicile familial à partir du moment où Norman m’a raconté son histoire. Pour vous décrire la pièce en quelques mots, la lumière était éteinte, les rideaux fermés, des bougies étaient étalées sur la plupart des meubles du salons (bar, placards, table et table basse, etc…) et une musique douce emplissait la pièce. Ne voyant pas Mathilde dans la pièce, ni dans la cuisine, dans la salle à manger non plus, dans le bureau également, je décide de l’appelé :    - Maman ?    - Mon poussin, tu es de retour ? ça me fais plaisir de te revoir, attends-moi dans le salon, j’arrive tout de suite, je sors du bain.    - Je peux monter poser mon sac vite fait quand même ou pas ?    - Euh… Non, pas la peine, tu t’en occuperas après avoir mangé. Dis-moi plutôt comment se fait-il que tu décides de revenir auprès de ta « chère maman ».
    Je ne savais pas quoi dire, je n’allais pas lui dire cash « Parce que Norman m’a raconté votre histoire et qu’il parait que t’es une cochonne comme pas possible et je veux voir si mon cousin n’est pas un menteur. », même si c’est ce que je pensais, je ne pouvais pas me le permettre.    - Je voulais m’excuser de m’être emporté et de t’avoir laissé pour partir avec tante Marie.    - Chéri, ne t’inquiètes pas pour moi. De plus, comme tu as pu le comprendre en vivant chez Marie pendant deux semaines, je n’étais pas toute seule.    - Ah, ça, je suis au courant de…
    Merde, je suis mort, j’en ai trop dit je sens que je suis allé trop loin. Tout dépend si ma mère a compris ou pas.    - Ton cousin t’a expliqué ce qui s’est passé en ton absence ? Le salaud, il m’avait juré de ne rien te dire pour que je puisse te le dire moi-même !    - Ce n’est pas sa faute, c’est le remords qui l’a poussé à bout, en plus, j’ai moi aussi quelque chose à t’avouer.
    Pendant que je parlais, la voilà qui termine sa préparation, et qui descend les escaliers pour me rejoindre en bas. Quand elle arrive, elle est habillé d’un joli peignoir rouge en satin avec des fleurs noires style geisha japonaise, les cheveux en chignon, les jambes gainées de bas couleur chair et chaussées de ballerines noires. Elle s’approche de moi, me tend les joues et me fais un bisou assez appuyé pas très loin des lèvres. Je reste bouche bée devant une telle beauté.     - Alors Kévin ? Qu’est-ce qui t’arrives mon chéri ?    - Rien, *mmmrrrr*, rien du tout, c’est juste que… que… que je te trouve très belle et que je ne suis pas habitué à ça, mais si c’est Norman que tu attends, je peux y allé et je peux l’appeler pour qu’il revienne.    - Non, ne fais pas ça, ce serait une bien belle connerie avec ce qui nous attend ce soir.    - Que veux-tu dire ?    - Kévin, ne fais pas l’idiot, je sais que tu as compris et je pense que ton cousin a mis le feu au poudre en te racontant nos exploits de ces dernières semaines. De plus, c’est lui qui m’a prévenu de ton arrivée et j’ai juste eu le temps de me laver et de me préparer pour toi.
    - Maman, tu veux dire que… que tu veux de moi ?    - Oui, je t’aime mon chéri.    - En parlant de ça, je dois te dire quelque chose.    - De quoi veux-tu me parler ?    - Pendant mon absence, je me suis lié avec ta sœur et nous avons fini par couché ensemble ce week-end.    - Et alors ?    - Je ne suis pas fier de ça, en plus, elle a fait venir sa secrétaire dans notre duo. Je m’en veux Maman, tu es la seule que j’aime et même si nous n’avons rien fait ensemble et que nous ne sommes pas en couple, j’ai l’impression de t’avoir trompé. Je me sens coupable de cela et je…    - Ne t’en fais pas mon chéri, dit-elle en posant un doigt sur ma bouche. J’ai moi-même couché avec ton cousin et je n’en suis pas morte pour autant, mais il est vrai que moi aussi je suis triste de ce qui s’est passé, entre ton départ, m’imaginant les pires situations qui auraient pu t’arriver. Je ne peux plus vivre sans que tu sois loin de moi mon amour.    - Maman, je t’aime, à chaque fois que je baisais avec Marie, c’est à toi que je pensais, c’est à toi que j’imaginais et je souhaitais au plus profond de moi te faire l’amour.    - Moi aussi mon chéri, j’adorais coucher avec Norman, il m’a fait jouir plusieurs fois, mais il ne pensais qu’à ça et salement en plus, ces derniers temps, il ne faisait plus attention à mon propre plaisir.
    Et ce qui devait arriver arriva, elle m’attira vers le canapé, me fis asseoir dessus et s’assit sur moi en passant ses jambes de chaque côté des miennes. Elle joint ses mains derrière ma tête, approcha son visage du mien et posa délicatement ses lèvres sur les miennes pour un baiser tendre et sucré. Ne pouvant rester sans rien faire, je pris l’initiative de faire glisser mes doigts sur ses hanches, de remonter ma main droite sur ses côtes, de continuer mon ascension jusqu’à sa tête où je pus enfin caresser sa magnifique chevelure pendant notre baiser passionné qui se voulait de plus en plus passionné. Mon autre main n’étant pas en reste elle prit le chemin des cuisses de Mathilde. Lorsque mes doigts atteignent le haut de ses bas, la sensation de sa peau lisse est électrisante et termine de me faire bander dur. Je continue de me frayer un chemin vers son entrejambe mais le fait de caresser une peau d’une douceur exceptionnelle me retient sur cette partie du corps de ma mère. Notre baiser n’en finit pas.    - Hmmmm, mon chéri, tes mains à la fois douces et fermes sur mes cuisses me font un effet de folie, continue ta progression, et caresse-moi avec tes doigts.    - Comme tu veux, tes désirs sont des ordres ma chérie.
    Et je fais monter ma main de sa cuisse à sa culotte qui était largement trempée (je me demande si c’est le bain ou si c’est ma faute ;-) ) et elle se met à ronronner comme une chatte tout contre mon oreille. Je crochète le bord du tissu et tire pour pouvoir y glisser mes doigts comme ma mère me l’a demandé et atteint le fruit défendu. A ce moment-là, Mathilde fut comme tétanisée, elle se dressa d’un coup et ne bougea plus, attendant une réaction de ma part, ce qui ne tarda pas d’arriver. Je commence par toucher doucement son pubis, nu pour l’occasion mais à la fois bien entretenu comme si elle en avait l’habitude. Je continue ma progression vers sa fente en passant par le clitoris, tendu sous mes doigts, que je titille volontiers. Son souffle et sa respiration deviennent rapides et saccadés, elle semble aimer cela. Elle s’enfonce sur moi et fini par coller sa poitrine contre mon visage et le contact du satin, compressé entre les seins de ma mère et ma peau renforce ma bandaison.
    Comme si elle lisait dans mes pensées, Mathilde retire ses mains de derrière ma tête et les posent sur la bosse que forme mon pantalon. Habile de ses dix doigts, elle défait le bouton du jeans, défait la braguette et me fais lever pour me descendre mon vêtement sur les chevilles. Elle tombe nez à nez avec mon caleçon, tendu par la trique qui commence à me faire mal.    - Ouah, mon chéri ! Mais tu dois avoir mal, non ?    - Oui, en effet, cette gêne est perturbante.    - Est-ce que j’en suis la cause mon amour ?    - C’est vrai, mais est-ce que tu peux y remédier ?    - Il est vrai que je connais un traitement imparable contre cette « maladie ».    - Ah bon ? Donc je crois que je vais devoir m’en remettre entre tes « mains expertes ».
    Elle se relève, m’embrasse et se dit de m’allonger sur le canapé. Elle m’enlève le dernier rempart qui la sépare de mon membre érectile. Elle attrape mon sexe par la base à pleine main et commence par me caresser doucement. Elle continue par souffler délicatement sur le bout du gland. Enfin, elle appuie un peu plus sa caresse sur mon sexe et termine par aspirer le sommet de ma bite, rougi par la quantité impressionnante de sang qui y afflue. A genoux à côté du canapé, ma mère s’affaire à me téter la queue, j’en profite pour insérer ma main dans son décolleté que je discerne maintenant et qui me parait plongeant. Elle ne porte à première vue qu’un léger soutien-gorge en dentelle. Je tire sur le bonnet et enfourne mes doigts autour du sein chaud qui ne demande qu’à être bien traité par une main filiale douce, tendre et chaleureuse. Je fais glisser le téton entre mon pouce, mon index et mon majeur. Je le sens se tendre au fur et à mesure que la caresse dure. Ma mère, elle, continue pendant ce temps à aspirer mon sexe dans sa bouche et, appuyant sa caresse linguale, elle prend un morceau plus important dans sa bouche et entreprend désormais une fellation pure et dure qui m’enivre les sens. Il est vrai que Mathilde sait s’y prendre avec une belle queue entre les mains, ou plutôt entre les lèvres. Quelques minutes de ce traitement suffisent pour commencer à faire monter la sauce le long de ma colonne.
    Sentant le moment fatidique arriver, elle arrête sa fellation et m’enjambe, posant sa chatte devant mon menton puis reprend là où elle en était peu de temps avant. Il me suffit de redresser la tête pour atteindre son con fabuleux. J’écarte les pans de sa culotte, qui désormais ne sert plus à grand-chose étant donné la quantité exceptionnelle de mouille qui la rend inutilisable et dépose ma langue sur la fente brillante de jus d’amour de ma maman chérie. Ma langue naviguant rapidement entre le clito et le long des grandes lèvres, réussie à s’introduire dans le con maternel. La mouille abondante qui s’écoule me remplit la bouche et j’en profite pour faire remuer quelques doigts entre ses fesses. Elle semble aimer vu qu’au moment où mon pouce, venu chercher sur sa fente de quoi humidifier sa rondelle, elle se met à gémir, ma queue au fond de sa bouche. Mettant le pied à l’étrier, je profite de cet instant de faiblesse pour introduire un doigt fin dans son cul qui l’achève, en plus de ma langue qui lui fouille la chatte, et elle appuie sa succion et me fait elle aussi venir dans son gosier.
    Repus, nous nous redressons, l’un à côté de l’autre et elle s’assoit sur mes genoux et me fait voir sa bouche grande ouverte où se trouve mon sperme qu’elle avale devant moi. Elle la ré-ouvre et me fait constater qu’il n’y a plus rien. Sur ce, nous nous embrassons encore et, bien que la soirée vienne de commencer, Mathilde me propose de la continuer dans sa chambre, ce que j’accepte avec joie et excitation.
    Comme un époux la nuit de son mariage, je prends ma mère dans mes bras et la monte dans sa chambre, qui deviendra notre suite nuptiale pour une nuit mais restera à jamais notre territoire de plaisir intense. En marchant dans les escaliers, elle me dit vouloir rester avec moi toute sa vie, et je lui réponds par l’affirmative et lui explique comment je vois ma vie avec elle et comment je ne la verrais pas sans elle. Poussé par un élan d’amour, elle m’embrasse au moment de passer la porte. Elle tend le bras et appuie sur l’interrupteur pour éclairer la chambre. D’un coup de pied, je referme la porte derrière moi et emmène ma belle sur son lit…
(La suite au prochain chapitre…)
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