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Une famille bien recomposée

Chapitre 8

Inceste
Chapitre 8 – Vérification : 2ème et dernière partie de la première saison.
Comme il était dit précédemment, après avoir bien débuté notre soirée dans le salon, nous montions tous les deux dans la chambre de ma mère , j’aimais l’idée de porter ma « princesse » dans mes bras comme si j’étais le prince qui venais la délivrer du méchant dragon et elle aimait se savoir aimée et en sécurité dans mes bras musclés.
Dès notre arrivée dans la pièce, elle alluma la lumière. Les rideaux étaient tirés mais on pouvait quand même apercevoir la lumière des lampadaires dans la rue. J’étais émerveillé devant la déco de cette chambre, et tout en déposant ma belle sur ses jolis draps en lin blanc, je lui déposais un petit bisou sur les lèvres qu’elle s’empressa de me rendre tendrement, en y mettant tout l’amour qu’elle pouvait. Elle me demanda d’aller allumer les quelques bougies qui trônaient par ci par là et d’éteindre la lumière afin de créer un cocon de bien-être. Quelque chose dans ce lieu ressortait ce qui en faisait un endroit qui sentait la luxure à plein nez et je ne pouvais pas me résoudre à ne pas respirer cette odeur à plein poumon. Pendant ce temps, Mathilde plongea ses bras sous son lit et en retira un petit coffret en osier. Elle l’ouvrit et prit une bouteille de parfum d’ambiance dont elle humidifia la pièce, surtout les contours du lit. Après en avoir terminé avec les bougies, je vins la rejoindre sur son aire de jeux et elle me proposa un massage avant de reprendre là où nous en étions restés quelques minutes plutôt, ce que j’acceptais volontiers.
Pour ce massage, elle me fit m’allonger sur le lit la tête dans les oreillers et à plat ventre. Elle commença par faire glisser délicatement ses doigts sur ma peau. Elle déposa ensuite une huile froide qui me hérissa d’abord les poils droits sur le dos mais qui, au fur et à mesure de la progression du massage, me détendit et me procurait une sensation encore jamais connue. Ces gestes, en plus d’être les plus sensuels possibles, étaient très explicites : ses doigts fins passaient partout, que ce soit par les bras, la nuque, le cou, le bord du visage, le dos, le long de la colonne vertébrale, les reins, les fesses, les cuisses, le ventre, le pubis et pour finir, elle me fit m’asseoir devant elle et c’est avec les mains encore pleines d’huiles qu’elle me massa la queue, la prenant à deux mains pour biens étaler le liquide partout, le sexe, le gland, les couilles, tout y passait. Puis elle continuait son massage d’une main tout en commençant à me sucer, son autre main partant explorer son bas ventre. Son massage sur mon membre devint de plus en plus une branlette et avec l’huile de massage, la trique que j’avais était plus importante que j’avais.— Vas-y Maman, j’aime ce que tu me fais, c’est tellement électrisant. Tu es la meilleure masseuse du monde. Dis-je, tout en essayant de ne pas mourir de bonheur.— J’adore faire des massages, mais je ne les fais pas à n’importe qui. Tu es le seul depuis bien longtemps à qui j’accepte de faire ce genre de massage. En plus, cette huile aphrodisiaque est parfaire pour exciter de jeunes mâles déjà bien excités tels que toi mon amour.— Je t’aime ma Maman chérie.— Je t’aime aussi mon cœur. Et j’aime aussi ta belle queue qui me remplit par tous les trous, surtout qu’avec cette huile goût chocolat, elle est encore plus appétissante… Miam !— Si tu la trouves à ton goût je peux te la servir tous les jours si tel est ton désir. Je ne ferais jamais rien qui te déplaise.— Mon amour, tu es l’homme parfait ma parole. Dit-elle avec un énorme sourire.— Il faut bien qu’il y en ait un. Lui répondis-je avec un clin d’œil.
    Par la suite, elle continua sa fellation et se retira avant que je ne vienne dans sa bouche, elle préfère que je me déverse dans ses autres orifices. Pour elle, le moment était venu que je l’embroche avec ma tige dressée rien que pour elle. De ce fait, elle allongea et releva son fessier afin que je puisse la prendre par derrière. Je me positionnais entre ses jambes et délicatement, je me frayais un chemin dans sa chatte luisante de mouille. Elle ronronnait à chacun de mes vas et viens dans son con, et à chaque fois que je touchais le fond, un petit gémissement émanait de sa bouche, ce qui me poussait encore plus à la faire jouir comme elle le mérite après le bonheur qu’elle m’a procuré avec son délicieux massage. Au bout d’une vingtaine de minutes et d’un changement de position où elle me fit m’allonger sous elle et qu’elle décida de me chevaucher, dos à moi, je me vidais au fond d’elle et déversais mon sperme dans son utérus. Je me demande si elle est féconde ou non, le désir ne nous avait pas attendu pour les questions-réponses. Après ce moment de bonheur intense, elle vint se coucher sur moi et nous nous endormîmes comme ça, l’un sur l’autre. En m’endormant, je remarquais que nous n’avions pas encore mangé, les assiettes devaient être froides et nous nous étions nourris du meilleur plat possible, l’amour.
    Le lendemain, comme je l’avais prédit, la lumière du jour me réveilla. Mathilde était encore dans le lit. Elle était juste positionnée différemment, allongée à côté de moi, la tête sur mon torse. En la voyant, je sus que ma vie avait changé et que pour rien au monde je ne changerais quoi que ce soit. Je restais un moment comme ça a émergé du sommeil et à imaginer ma vie comme je lui l’avais décrite hier soir. Je vins déposer un bisou sur son front, un bisou protecteur et bienveillant, qui voulait dire « n’aies pas peur, je serais toujours là avec toi, pour toi », et sans n’avoir rien dit, un sourire s’esquissa sur son visage ensoleillé comme si elle avait compris tout le sens de cette démonstration de tendresse. Quelques minutes plus tard, elle se réveilla à son tour et m’embrassa lorsqu’elle réussit à rassembler toutes les pièces du puzzle dans sa tête. Sans prononcer la moindre parole, on se regardait, les yeux dans les yeux, et on se comprenait mutuellement. Ma mère, ma chère maman, n’était plus, et maintenant devant moi, il restait Mathilde, la lionne affamée qui ne vivait plus que pour l’amour et le désir que je lui procure.
    En se levant pour le déjeuner, elle vint s’asseoir sur moi, avec juste sa robe de chambre à peine fermée. Cette invitation à la caresse était sans équivoque et je lançais ma main à la recherche du sein perdu. La caresse devait lui plaire car elle se redressa sur ma jambe pour venir poser sa tête sur mon épaule. Je jouais avec le mamelon et faisais rouler le téton sous mon pouce, mais c’était de courte durée car elle fila directement à la douche. Elle me prit par la main et me traina avec elle dans la pièce d’eau « afin d’économiser le plus d’eau possible » selon elle. Elle alluma le robinet, l’eau coula et nous arrosait tous les deux. Mathilde commença par prendre le gel douche, et pour cela, elle dut se baisser, c’est à ce moment-là que j’en profitais pour glisser ma main entre ses jambes et masser les bords de son clitoris sans y toucher. Elle restait quelques secondes sans rien dire ni rien faire, juste à profiter de la caresse. Lorsqu’elle se redressa, elle prit du gel douche dans un gant et nous lava tous les deux, en insistant bien sûr sur les parties les plus érogènes de nos corps (sexe, poitrine, fesse pour elle, cou pour moi) et cette douche se transforma progressivement en jeux sexuels. Je pris à mon tour du savon dans ma main et l’étala sur ma bite turgescente, et ce qui restait sur mes doigts fini sur son minou et sa rondelle qui m’était encore inconnue. Je la portais et la collais contre le mur de la douche tout en enfonçant ma langue dans sa bouche, mais c’est elle qui prit l’initiative de prendre ma bite et de la poser à l’avant de sa chatte. J’avais à peine à pousser pour que je m’enfonce directement dans son sexe chaud et humide et grâce au gel douche, mes vas et viens étaient plus rapides que d’habitude, ce qui lui décupla son plaisir. Au bout de quelques minutes et de vas et viens qui s’éternisaient, je la déposais par terre et elle le cambra pour que je puisse placer mon gland sur le bord de son anus. Elle me supplia de l’enculer, ce que je fis sans tarder, pour son plus grand bonheur (et aussi pour le mien, sans rien vous cacher). Et là, cette toute nouvelle sensation était magique, le fait de sentir l’anneau culier se resserrer sur mon membre pourtant déjà bien dur, solide comme le roc, était merveilleux et il ne m’a fallu que quelques secondes et quelques vas et viens pour vider mes bourses de tout ce qu’elles avaient pu se recharger après les lourds assauts de ma mère la nuit passée. Après avoir repris notre souffle, on sortit de la douche pour se sécher chacun de son côté et s’habiller pour aller faire les cours.
    Mathilde restait sobre mais sexy au possible. Dès notre départ, on parlait de tout et de rien comme des gens normaux mais dans les rayons et dans la rue, il nous était impossible de rester éloignés l’un de l’autre et nous restions main dans la main tout l’après-midi. De retour chez nous le soir, elle prépara le diner pendant que de mon côté je terminais mes devoirs, pour avoir mon dimanche seul avec ma bien aimée. Soudain, le téléphone sonna. Je répondis et il se trouve que c’était Marie au bout du fil. Elle nous appelait pour savoir si nous voulions bien partir en vacances avec elle, Norman et Amélie « afin de nous faire une semaine à 5 dans le but de tous nous retrouver et de tenter de nouvelles expériences » disait-elle. Je demandais à Mathilde en lui expliquant le fond de la pensée de sa sœur et elle n’hésita pas ne serait-ce qu’une seconde, ravie de rencontrer la jeune secrétaire de Marie. Je confirmais donc la réponse à ma tante et elle, de son côté, confirma la réservation du chalet à la montagne pour la deuxième semaine d’Avril. Elle raccrocha en me demandant de passer le bonjour à sa sœur et de lui faire pleins de bisous, ce à quoi j’ai répondu que je n’y manquerais pour rien au monde, et elle éclata de rire en coupant la conversation.
    Les vacances étaient dans un mois. Jusqu’à là, avec Mathilde, nous savions comment occuper nos soirées et nos week-ends.
    Amour, tendresse, sexe et luxure étaient les maîtres mots de notre nouvelle relation.
(La suite dans le prochain chapitre, de la nouvelle saison…)
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